main sur la poignée, il hésite un instant. courir c'est une chose, mais disons-le sincèrement, jason n'a jamais été un de ses films d'amour...l'idée de savoir qu'un con avec une tronçonneuse lui colle au cul, c'est loin d'être excitant. cependant, l'homme n'a pas le choix si il veut en finir avec cette initiation. prenant une grande inspiration, il finit par ouvrir la porte coulissante et l'air frais lui fait un bien monstre...jusqu'à ce qu'il entende ce bruit si familier venu sur sa gauche. "putain, vous êtes plusieurs?". il est temps de courir...


réussi :il parvient à semer jason
échoué : il doit dévier de sa trajectoire après avoir glissé sur le sol humide, et perd une chaussure dans la bataille

progression:

ses pieds se mettent en route. le coeur qui valse, la nervosité, l'adrénaline. il adore ça...il zigzague dans l'obscurité, tente de rejoindre les autres étudiants, du moins, jusqu'à ce qu'un rocher lui fasse effectuer une manœuvre qui le fait glisser et...perdre sa chaussure. merci seigneur. pas le temps de pleurer, jason se rapproche et il doit se relever, couvert de boue et dieu sait quoi d'autre


réussi :il parvient à semer jason
échoué : il tourne en rond autour d'un arbre...

progression:

il finit par se relever rapidement, se remettre à courir. un tour autour d'un arbre, un croche pied à jason et le voilà courir comme un lapin vers la foule d'étudiants vers qui il se fraye un passage, le coeur tambourinant dans sa poitrine. "plus...jamais..." qu'il finit par murmurer, allongé sur le sol, une chaussure en moins, le nez qui a cessé de saigner. "vous êtes de vrais malades". au moins, ulrik avait réussit à arriver à son but, avec une dégaine minable, mais là, tout de suite, ce n'était pas ce qui comptait

progression: