i'm sexy and i know it
11 juillet 2020 - Soir ★ @Aubrey Nicholson ★ un bar à Tokyo

« when i walk in the spot. this is what i see. everybody stops and they staring at me. i got passion in my pants and i ain't afraid to show it. show it, show it, show it.. i'm sexy and i know it »


j'ai réussi ! je suis fière de moi. bah ouais, après quelques minutes de négociation par sms et un petit travail au corps au resto, j'ai réussi à te trainer dans un bar, toi Aubrey, anti bar et casseuse d'ambiance quand nous les gars on est chaud comme la braise. mais ce soir, je voulais te sortir le grand jeu ! le resto bien sympa, un peu calme et presque romantique où pour une fois, on a parlé un peu sérieusement. en vrai, c'était pas encore une de mes techniques foireuse pour te pécho. cette fois c'était vraiment moi aidan, qui t'invitais au resto parce que même si je passe mes journées à te faire chier.. bah je t'apprécie vraiment. je vais pas le cacher, si je pouvais baiser avec toi je dirais clairement pas non. mais j'aime bien aussi qu'on soit ami. alors petit resto tranquille et après on rejoint Jax et Dylan dans un bar. j'ai promis que j'allais resté sage alors à la première tournée je commande juste une bière. et une autre à la seconde. et puis à la troisième je me laisse juste tenter par un whisky et un petit deuxième parce que c'est pas un whisky qui va me faire tourner la tête et... je suis complètement bourré. ah mais rond comme une queue de pelle. je te vois en trois fois et c'est carrément génial. je suis heureux, comme un acarien au salon de la moquette. je suis prêt à partir à pied je sais pas où, j'ai envie de danser comme un fou, de faire un strip tease sur une table, t'apprendre la salsa et oups, j'ai envie de vomir. je m'enfonce dans ma chaise histoire que ça passe et je te souris comme un con « oui et toi ? » tu m'as posé aucune question je sais, c'est moi qui parle à moi même dans ma tête mais je me réponds à voix haute des fois.

Elle a accepté pour une fois. Elle le sait d'avance qu'elle va le regretter amèrement, mais c'est sans doute parce que c'est le seul qui peut lui faire ce genre de coups. L'envie de le tuer par moment et rire en s'en plier le ventre par la suite. Et c'est de cette manière qu'il n'arrive pas à se séparer. Le feu et la glace. Aidan, se laisse aller et elle se contient du mieux qu'elle peut, agacée mais à la fois trop préoccupée pour l'abandonner. Quand il revient à charge, un sourire faux apparaît sur ses lèvres, avant de se dissiper aussitôt quand il se retourne,levant les yeux au ciel, plus qu'il ne le faut. Puis finalement,son teint est presque verdâtre et Aubrey sait que c'est le moment de donner le signal. Elle lui retire rapidement son verre des mains. «Bon, la fête est finie !» Elle lance deux trois billets sur la table au même moment, avant de pointer ses deux amis. «Et vous aussi, vous allez rentrer et pas de discussions» Aubrey trop autoritaire et trop tendue pour se lâcher et si maternelle à la fois. Elle tire sur le bras d'Aidan et le laisse passer un bras autours de ses épaules. «Allez viens Don Juan !» C'est pour le avant, pour la dicussion sérieuse qu'ils ont eu. Le Aidan que peu connaisse. C'est pour ça qu'elle est là dans ce bar, malgré ça. Elle le tire jusqu'à l'exterieur difficilement essayant de ne pas trop brusquer les passants. Ils attendent sur le trottoir, un taxi vide prêt à les accueillir. «C'est le temps de vomir si tu en as envie.» Elle le retient toujours sous ses jambes minuscules, un petit corps qui renferme la force d'une tempête. Elle soupire et jure plusieurs fois quand l'attente se veut trop longue et qu'Aidan à encore le coeur à la fête malgré le calme de la rue pour ce que Tokyo est.

i'm sexy and i know it
12 juillet 2020 - Soir ★ @Aubrey Nicholson ★ un bar à Tokyo

« when i walk in the spot. this is what i see. everybody stops and they staring at me. i got passion in my pants and i ain't afraid to show it. show it, show it, show it.. i'm sexy and i know it »


je te jure que je pensais que je pourrais me tenir à carreau jusqu'au bout ! je pensais pas me bourrer la gueule à ce point, même si avec le recul, un verre, et un autre, et encore un autre.. ça fait déjà trois. je me rends pas vraiment compte sur le moment que ça peut être agaçant pour toi. parce que c'est vrai qu'en y pensant c'est souvent toi qui doit me ramener quand je suis complètement mort en soirée et que t'es dans le coin. ou alors quand je t'envoie des sms qui n'ont aucun sens et que tu comprends que c'est le nom de code. alors quand tu m'arraches mon verre des mains et que tu me sors de table, bah même si je suis plein comme une barrique, je comprends bien que c'est la fin de soirée et que moi je vais me faire engueuler. « HÉÉÉÉÉÉ BISOUS LES BG HEIN » que je gueule en plein milieu de la rue. d'ailleurs on est au bord du trottoir mais je comprends pas trop ce qu'on fou là. on attends qui ? « naaan tranquille ça va » en vrai c'est passé, c'était juste un rototo à cause des glaçons dans le whisky. je regarde un peu autour de moi et je vois un mec au loin qui te mate comme un porc. la je commence à bloquer sur lui. dans ma tête il se passe un million de truc. je me rappelle que la dernière fois que je me suis énervé contre un mec.. je l'ai tué. je me souviens que je peux être très agressif et que cette violence elle est en moi depuis bien trop longtemps. je sais aussi que c'est pas le moment de laisser sortir cette facette de ma personnalité, pas avec tout les efforts que j'ai fait dernièrement. sauf qu'il mate ton cul et que moi ça me gonfle. y a que moi qui peut faire ça avec insistance, parce que tu sais que 90% de moi te charrie et fait ça dans le but de t'énerver. lui il est sale. « regarde pas ma meuf comme ça toi où je t'éclate la gueule » que je lui dis bien distinctement. boh je marche pas très très droit mais j'ai un super crochet du gauche. surveille moi Aubrey, parce que je suis comme les gosses, tu détournes la tête et hop, j'suis déjà loin en train de faire une connerie.  

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12 juillet 2020 - Soir ★ @Aubrey Nicholson ★ un bar à Tokyo

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« t'aimes pas les surprises ? » que je te dis en agitant mes sourcils dans tout les sens. ouais ça se voulait sexy mais je crois que là c'est tombé à l'eau à partir du moment où j'arrivais plus à marcher et à parler sans hurler. en tout cas, même sans tout mes moyens, je suis prêt à me battre pour toi et à démonter la gueule du petit fils de pute qui te regarde comme s'il allait te bouffer. alors je fais genre je suis ton mec grave vénère, mais t'es décidé à me garder au pieds, parce que t'attrapes ma chemise et je recule alors que mon corps était pas parti pour ça. je manque de te tomber dessus. putain l'état du mec. bref, tu me fous dans un taxi, monte à côté et nous voilà reparti pour l'hôtel. moi la voiture alcoolisé, ça me berce, j'ai envie de pioncer. je sens ma tête qui part sur le côté mais je suis trop éméché pour me contenir. tu repousses ma tête et ça me réveille. « on rentre ? » que je dis en collant ma gueule à la fenêtre. « on aurait pu embarquer mes drôles de dame avec nous » je parle bien entendu de Jax et Dylan. « sauf si » je me retourne vers toi, recommençant à agiter mes sourcils dans tout les sens. « tu voulais te retrouver toute seule avec moi hein » étrangement, l'idée que t'ai envie de me pécho dans un taxi, ça me fait légèrement désoûler. enfin.. je suis réveillé quoi.

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12 juillet 2020 - Soir ★ @Aubrey Nicholson ★ un bar à Tokyo

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t'es vraiment pas drôle. j'ai tout essayé : être sérieux, être drôle, être distant ou même insistant et la réponse c'est toujours la même : non. tu veux pas coucher avec moi. y a pleins de fille qui voudrait être à ta place et toi tu fais la difficile. je comprendrais jamais les femmes. et je suis sûr que le chauffeur de taxi non plus il comprend pas des masses ce qui se passe. et quand enfin je pense que ça peut arriver, que tu pourrais te laisser tenter par mes délicieux lèvres qui n'attendent que de toucher les tiens, je ferme les yeux, en me disant que je pourrais au moins me dire que je t'ai pécho la bouche, bah non. tu brises mes rêves d'enfants, tu détruis mon innocence en me foutant ton bonbon dégueu dans la bouche là. je le recrache quand ma main, baisse la vitre et le balance. « bah j'aurais préféré que tu fasses tourner un seins plutôt que ton truc crade là » je vois le chauffeur qui me regarde bizarrement dans le retroviseur. « vous inquiétez pas monsieur, c'est ma meuf, c'est pour ça que je lui parle comme ça » et toi tais toi, sinon on va arriver à l'hôtel y aura une voiture de flic qui m'attendra pour agression sexuelle et salut le summer camp. on arrive sans trop d'accro et on pends l'ascenseur pour monter à mon étage. déjà là, je te regarde avec mes yeux amoureux, tu sais mes yeux de mec bourré qui galère à les garder ouvert mais qui pense que c'est sexy et que ça fait un peu regarde de braise bah voilà ça. « tu restes prendre un dernier verre beauté » que je te dis devant ma chambre en essayant de faire le mec viril des films là, en mettant ma mains contre l'encadrement de la porte, sauf que je le loupe et que je manque de te tomber dessus.

i'm sexy and i know it
12 juillet 2020 - Soir ★ @Aubrey Nicholson ★ un bar à Tokyo

« when i walk in the spot. this is what i see. everybody stops and they staring at me. i got passion in my pants and i ain't afraid to show it. show it, show it, show it.. i'm sexy and i know it »


on peut pas dire que je sois quelqu'un qui ai peut du ridicule. la plupart du temps, quand je fais un truc con, à part mes potes qui trouvent ça ridicule et qui se marrent bien, les autres trouvent ça cool. parce que ouais c'est ça d'être populaire. je suis le mec qui peine jamais pour pécho en soirée, je rentre toujours bien accompagné, je suis toujours en contact avec des meufs qui veulent rencontrer le Nesbittator. mais dans le lot j'ai aussi des amies filles, bien que je pensais pas ça possible un jour. voilà comment je me retrouve ami avec toi, pendant une soirée de beuverie que je vais regretter demain matin. on entre dans la chambre et j'ai même pas le temps de demander quoi que ce soit que tu me pousse sur le lit. je me retrouve allongé sur celui-ci avant de m'assoir et que tu t'attaques à ma manche pour me déshabiller. « bah dis donc, tu fais la prude mais en fait tu perds pas de temps pour m'arracher mes fringues » je rigole comme un con, t'aidant à enlever ma veste avant de retirer aussi mon t-shirt. « bah et toi ? tu te déshabille pas ? » ouais parce que tu rentre avec moi, tu me pousses sur le lit en mode dominante sexy et tu me retires ma veste, moi j'ai compris que ça allait être la fête du slip.