On était incapable de se stopper, nos corps nous poussant à nous rapprocher encore plus et nous unir pour de bon, comme si on était fait pour ça, mais je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée. L’envie est bien évidemment présente mais après cela qu’est ce qu’il en sera ? J’en sais rien et c’est justement ce qui m’effraie un peu. Et si une fois que l’on passe à l’acte on finit par se perdre de vue, s’éloigner et juger l’autre comme une simple fréquentation de passage ? Ce n’est pas ce que je désire « Oui mais c’est une bonne idée … » Ou pas en fait car pour l’un ce sera agréable alors que pour l’autre ce sera une torture et la frustration sera d’autant plus forte. Malgré mes pensées saines, mon corps me trahi alors que je glisse ma main contre son corps, flirtant avec le fruit de mon désir habilement, sa peau que je vois réagir immédiatement avant que l’on ne s’éloigne l’un de l’autre pour notre bien et en même temps notre mal car le fait de s’éloigner ainsi au fond ça nous frustre encore plus. Elle se propose de partir mais il en est hors de question en revanche « Bien sûr que je le veux » J’ai envie d’elle c’est vrai et l’inverse l’est aussi mais ce n’est pas pour autant que l’on va commencer à prendre des distances. De mon côté je vais à la salle de bain pour me changer et lui ramène sa nuisette qui ne risque pas d’atténuer mes envies. « Non c’est vrai aussi et d’ailleurs je ne suis pas sûr de vouloir l’oublier. Mais bon au moins je pourrais être moins tenté » Petit aveu pour le moins sincère que je lui glisse alors que je pars vers la cuisine pour nous faire de quoi manger. Je commence à préparer les ingrédients et alors que je coupe ma viande en morceau, la jeune Bulger refait son apparition et me fait sourire « Il parait mais j’suis pas sûr d’être un si bon parti que ça » Je cuisine peut être mais je suis plein de vice et elle le sait mieux que personne. « Mieux je sais pas mais c’est moins tentant » Bien entendu elle n’en reste pas moins attirante, car elle est de ces femmes qui peuvent porter n’importe quel genre de vêtements et pourtant être toujours aussi sexy, seulement là je ne pourrais m’attarder sur rien d’autre que ses yeux azurés. Je lui souris tout en lui faisant un clin d’œil « Alors ça dépend de ce que tu es capable de faire avec un couteau en main » Je la taquine alors que je reprends « Mais oui je veux bien » C’est toujours plus drôle quand on est plusieurs à faire la cuisine. « D’ailleurs c’est pâte carbo ce soir ça te va ou tu veux autre chose ? » Je commence tout de même à préparer la sauce alors que je cuis les lardons et quand j’ajoute la crème fraiche, je ne peux m’empêcher de vouloir faire le con et c’est pourquoi je m’approche d’Izzy l’air innocent « Tu t’en sors ça va ? » Et que je viens lui barbouiller le visage de crème, rigolant à gorge déployé plutôt content de ma connerie.

Au fond de moi, malgré les nombreuses questions que je me posais à ton sujet, j'étais certaine de ne pas vouloir te perdre. Est-ce que cette jalousie et cette possessivité n'était que le reflet de mes véritables sentiments ? Je n'en savais rien et je n'avais pas envie de savoir au risque de te voir t'éloigner si je t'interrogeais à ce sujet. J'y connaissais rien Alec, aux histoires de coeur, à la perceptions de l'attachement et des sentiments, mais la seule chose dont j'étais complètement sûre, c'était qu'une baise n'aiderait en rien notre relation à perdurer dans le temps. Nos corps nous trahissaient, et cette envie de te faire mien, ne faisait qu'accentuer cette frustration en m'interdisant alors d'aller plus loin. « Tais-toi... » Arrête. Pourquoi t'étais si sexy et pourquoi t'entendre soumettre l'idée de venir glisser habilement tes doigts ou ta bouche entre mes jambes, m'excitait autant ? Et si d'un revers de la main je virais toutes ces pensées de ma tête et que j'écoutais mes véritables envies, je serais déjà en train de me déhancher au dessus de toi. Je me redressais, t'attrapant au passage pour que tu me suives et je me questionnais à voix haute sur la nature de ta réponse. Tu le voulais alors ? Que je reste près de toi, malgré cet épisode déroutant ? Sourire aux lèvres, je t'attendais au milieu du salon, toujours complètement nue, avant de te voir revenir un peu plus habillé. « Ne l'oublie pas... » Ni mon corps, ni moi. « Jamais. » Et je pouvais te faire de nombreuses piqûres de rappel si toutefois ça venait à arriver. Je m'éclipsais, fouillant tes affaires pour trouver une tenue plus adéquate et finir par te rejoindre dans la cuisine. J'haussais les épaules à ta remarque avant de rire, sachant que t'étais loin de l'être et que ça m'allait très bien comme ça. T'façon j'étais pas prête à te partager. « J'aurai pas dû mettre de jogging, j'suis bête. » Pour continuer d'attirer ton regard et encore jouer avec les limites. Pourtant, c'était la meilleure idée de ma journée, préférant la jouer plus secure. Je m'approchais de toi, riant à ta demande, avant d'attraper le couteau et de te regarder en haussant les sourcils. « Menacer, poignarder, tuer ? Mais aussi cuisiner, mais c'est moins drôle. » Je pouffais de rire avant d'ajouter. « C'est parfait. » Je m'attaquais à la découpe de quelques trucs, pendant que tu commençais la sauce et concentrée, je ne te voyais pas venir. Je répondais simplement un : « Mhmh » en hochant positivement la tête puis hurler de rire quand tu me badigeonnais de la crème sur le visage. « Putain Alec, j'sors de la douche... » Glissant mon doigt contre ma joue pour finalement goûter la crème sur le bout de mon doigt. répondais simplement un : « A charge de revanche. » Pestais-je faussement dans mon coin. Puis quand tu semblais retourner à la cuisson de ta sauce, j'attrapais ton visage pour venir coller ma joue à la tienne et te crémer que partiellement le visage. « Ça t'apprendra. »

J’avais envie d’elle, probablement plus que de n’importe qui d’autre, mais peut être que c’est dû aussi à ces limites que l’on se fixe car c’est connu que l’interdit ça attire, surtout nous d’ailleurs. Je ne peux m’empêcher de lui dire ce que je pourrais lui faire, même si je sais que c’est mal et sa remarque me fait légèrement rire « Si je me tais, la soirée va être longue » J’essaye de détendre l’atmosphère et de le rendre moins hot. L’avoir devant moi comme ça, totalement nu forcément que ça me fait quelque chose alors je fuis, me réfugie dans la salle de bain pour me changer et ne plus être dans ma tenue d’Adam. J’en profite aussi pour me rafraichir un peu les idées avant de la retrouver et lui signaler que je veux qu’elle reste ici malgré tout car j’aime sa compagnie, j’aime ce danger qu’elle peut être pour moi. Ce qu’elle me dit sonne comme une décharge sur tout mon corps, j’sais pas ça m’a fait quelque chose d’électrifiant, je ne saurais l’expliquer mais au lieu de rester sage, j’écoute ce petit démon un peu trop « Si je l’oublie, je compte sur toi pour me le montrer sous toutes ses coutures » Je ne peux pas m’en empêcher c’est plus fort que moi, puis je la laisse de nouveau pour partir à la cuisine afin de nous faire à manger. Elle revient dans un accoutrement moins dangereux et attrayant donc ça va et je lui en fais part, mais c’est sans compter sur elle qui n’est pas mieux que moi au final. Je sens un frisson parcourir mon échine à l’image que je me fais et ce que je m’imagine, avant de lui glisser malicieusement à l’oreille « Si tu aimes te faire prendre sur la table effectivement tu aurais mieux fait de pas mettre de jogging » Je me recule pour reprendre ce que je faisais avec un sourire plutôt aguicheur avant que je ne lui propose de m’aider en coupant la viande « T’as un sacré bagage avec une arme blanche en main dis donc » Je rigole avec elle avant d’hocher la tête quand elle me signale que c’est très bien comme ça, et je ne peux pas m’empêcher de faire le con, de l’embêter, alors quand elle se concentre sur la viande à couper, moi je viens la tartiner de crème fraiche riant littéralement aux éclats tout comme elle. « Oops alors. On ne prends qu’une seule douche par jour ici, tu vas devoir faire comme les chats et te lécher toute seule … » Je me concentre un instant sur ce que je fais puis je relève la tête, un large sourire en disant très long « … ou alors je peux te lécher si tu préfères » C’était bien de sous entendu. Intenable voilà ce que j’étais. J’essaye de m’éloigner pour calmer mes pulsions et je replonge dedans à la première occasion. Elle me menace et j’hausse les épaules « Je t’attends » Oui ça ne m’effraie pas et j’aime rire alors forcément que si elle se venge je vais passer un bon moment et vouloir surenchérir ensuite sans pour autant aller dans l’irrespect. Tandis que je cuis ma sauce, faisant attention à ce qu’elle ne crame pas, je sens sa joue toute humide et glissante se coller contre la mienne. Je ferme les yeux tout en explosant de rire « Ooh mais apprends moi vas y maîtresse Izzy montre moi comment tu éduques les mauvais garçons » Toujours plus de provocations alors que je la regarde tout en me mordant la lèvre inférieure, m’approchant d’elle pour lui mordre la joue, profitant de l’instant pour lécher une partie de la crème se trouvant sur son visage. On est proche de nouveau, peut être un peu trop mais c’est probablement plus fort que nous « Tu as finis de couper la viande pour que je la chauffe ? » Oui je réussi à me sortir de cette situation, un peu comme si j’avais une double personnalité, le Alec raisonnable qui fait son apparition que peu de fois et l’autre bien plus aventureux et provocateur, celui que je suis quasiment tout le temps avec Izzy « A moins que tu ne préfères passer à la casserole toi et non pas la viande » Voilà ce que je lui glisse au creux de l’oreille l’air de rien. Forcément ça aurait été trop beau que je reste sage.

THIS ALL OR NOTHING REALLY GOT A WAY OF DRIVING ME CRAZY ★ ─ w/@Alec Steadworth

J’avais arrêté d’écouter mes envies, dès la première fois que j’avais ressenties cette envie de te faire mien. Peut-être parce que j’avais fait un choix et que j’aimais m’y tenir, pour ne pas faire la girouette. Pourtant, plus le temps passait, plus il était difficile pour moi de résister. Je souriais, te regardant t’éloigner vers la salle de bain et revenir habillé. Probablement que t’avais fait le bon choix, même si une part de moi regrettait de ne pas avoir franchi la fameuse ligne qu’on s’était fixé, des mois auparavant. T’en profitais pour me jeter ma nuisette et finalement, je t’ordonnais dans un aveu qui m’crevais le cœur, de ne jamais m’oublier. Je n’avais pas envie d’être catégorisé comme les autres aux rangs de passagères et c’était sûrement pour ça qu’on avait privilégié l’amitié. Peut-être que j’étais trop naïve pour croire que j’aurais toujours ma place à tes côtés, mais dans le fond, je l’espérais. Je l’espérais malgré ma jalousie, malgré ma possessivité et mais à l’heure d’aujourd’hui je n’étais pas prête à te partager, je n’en disais rien. Tu partais en direction de la cuisine, alors que de mon côté, je te volais quelques fringues pour couvrir un peu plus mon corps que la simple soie de ma nuisette. Incorrigible, je pestais, avouant à demi-mot, vouloir toujours être l’objet de ton désir. C’était loin d’être sain, j’en étais consciente, pourtant, je m’étais habituée à la flamme dans ton regard, cette lueur qui prenait place dans tes yeux quand ils défilaient le long de ma silhouette. Ton souffle au creux de mon oreille, n’aidait en rien mon envie de garder une certaine distance. Je souriais, ne répondant pas à tes provocations, et me concentrer sur la viande à couper. « Si tu savais, tout c’que j’peux faire avec un couteau… Mais aucun d’eux ne vaut perçante. » Ma lame, mon héritage et l’unique moyen que j’avais trouvé pour garder mon père toujours près de moi depuis son décès. Nos rires se mélangeaient dans la pièce et sans que je ne te vois venir, tu tartinais mon visage de crème fraîche, hurlant à plein poumon, sans penser à tes voisins. Je tournais la tête à tes mots, avant de voir ton sourire illuminer ton visage et j’attendais déjà la connerie. « Il parait qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même. » Alors si la proposition était plus que tentante, j’attendais que tu baisses le garde, pour venir coller mon visage au tien, de manière enfantine. « T’as d’la chance que je n’ai pas ramenée mon fouet pour te dresser. » J’avais complètement abandonné mon poste à la coupe, pour me concentrer sur toi, et sourire quand tes dents, venaient se planter dans ma joue et finir par sentir ta langue attraper un peu de crème. J’hochais la tête positivement pour répondre à ta question, et venir glisser mon doigt sur ta joue, saisissant un peu de crème, avant de presque m’étouffer avec cette dernière à la suite de tes mots. « Presque aussi bonne que moi. » Je reculais doucement, m’installant sur le plan de travail. « Je sais déjà que t’attends qu’ça. »

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J’aimerai être de ceux qui réussissent à être sérieux dans ce genre de moment pour ne pas perdre le contrôle et ne pas laisser mes pulsions parler, seulement c’est trop fort, et je remarque le même effet chez Izzy. En effet nous avons beau dire qu’à présent il nous faut cesser ce jeu dangereux, nous sommes incapables de le faire parce que c’est tellement fusionnel entre nous que forcément ce désir revient toujours. « Tu n’as qu’à me dire si tu veux que j’en sache plus » J’hausse un sourcil amusé à ma réponse plutôt conne alors que je m’amuse à tartiner son visage de crème « Un jour j’vais me réveiller et tu seras en train de dépecer » Voilà la vie dangereuse que j’ai choisi de mener. Quand je ne suis pas dans la rue je suis en compagnie d’une experte des armes blanches pouvant à tout moment s’acharner sur moi. Je rigole avec elle et j’hausse les épaules en la regardant « Alors ça c’est ce qu’on dit quand on fréquente les mauvaises personnes » Je ne me considère pas dans ses fréquentations, n’ayant jamais passé le cap des câlins et baisers jusqu’à maintenant. Je sens par ailleurs sa joue grasse se coller à la mienne et je rigole car après tout je l’ai bien cherché et c’est bon enfant de toute évidence. « Je suis incorrigible, on ne me dresse bébé et ça tu le sais. Y’a bien qu’une seule chose que tu es capable de dresser » Sourire espiègle, alors que mon regard croise le sien et que je me doute qu’elle a saisi de quoi je veux parler avant que mes dents viennent mordre sa joue et que je laisse ma langue récupérer un peu de crème. « Alors ça c’est ce que tu dis, seulement je n’en sais rien et je suis du genre à croire seulement ce que je vois, ou ce que je goûte pour le coup » On se renvoi systématiquement la balle. Lorsqu’elle est sérieuse, je suis dans la fourberie et la séduction et quand c’est elle, alors je prends le rôle du sérieux. Jusque là nous avons été sauvé par cela, mais qu’est ce qu’il va se passer le jour ou nous serons tous les deux dans la séduction pure ? « J’obtiens toujours ce que je veux. Et si ça serait le cas je serais déjà en toi à ce moment même » J’hausse les épaules tout en souriant alors que je prends ses découpes pour les mettre dans la poêle chaude, les laissant crépiter tranquillement. Bon je lui mens légèrement c’est sûr puisqu’évident je la désire ardemment mais nous ne devons pas aller plus loin, ça ne serait pas sage de notre part et ce même si je ne désire pas la partager et la faire mienne. « Toi en revanche t’aimerais que je fasse ce premier pas et partager une longue nuit, voire plusieurs » Je tourne la tête quelques secondes, quittant la poêle des yeux, tout sourire.

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On était comme ça, incapable de se tenir dès lors qu’on se trouvait face à face. C’était aussi beau que dangereux de voir que cette attraction, nous torturait tant. Peut-être qu’on devrait vraiment céder à la tentation, peut-être, mais je n’étais pas encore prête à prendre ce risque. Et si après ça, tu t’en allais, pour de vrai et que tu m’oubliais ? Je n’avais simplement pas envie de te perdre et encore moins pour une partie de baise. Parce que c’était ça non ? C’était purement physique, j’me trompe ? Mais si c’était plus que ça, je n’avais pas suffisamment été rassurée pour vouloir sauter le pas. « Je ne voudrais pas te faire peur et te faire fuir… » Soufflais-je amusée, en réponse à ta remarque. Tu connaissais dans les grandes lignes mon parcours, mais jamais je n’entrais dans les détails de mes nuits tourmentés où je répondais à mes pulsions. J’étais étrange, un peu psycho sur les bords, complètement barré par la vie qu’on m’avait imposée, mais j’étais heureuse. Heureuse d’être encore en vie heureuse de pouvoir profiter pleinement de ma vie, sans avoir peur de décevoir quelqu’un. « Peut-être en effet qu’aucun homme et aucune femme n’avait suffisamment de cran pour me satisfaire pleinement, qui sait ? » Moi, c’était certain, mais je n’étais pas le genre de personne à parler sur mes expériences sexuelles, qui n’appartenaient qu’à moi. Après une taquinerie de ta part que je te rendais, le jeu reprenait, comme si de rien n’était. « Tu veux qu’on vérifie ensemble à nouveau ? » Que je te demandais, alors que je te laissais profiter de cette proximité, alors que tes dents marquaient ma joue, puis que ta langue venait glisser contre cette dernière. « Ce n’est pas comme si tu n’avais jamais eu d’avant-goût. » Soufflais-je en croisant les jambes après m’être hissé sur le plan de travail. « T’es un peu trop sûr de toi, je ne suis pas comme les femmes-objets que tu mets dans ton lit habituellement. » Toi et moi c’était un cran au-dessus, c’était intense autant physiquement que psychiquement. Tu attrapais les lardons, que tu laissais crépiter dans la poêle, avant de parler à nouveau en tournant la tête vers moi. « Tu penses.. ? » Que je soufflais en me laissant glisser du plan de travail pour retrouver le sol et m’avancer doucement de toi puis je déposais mes lèvres dans ta nuque en enroulant mes bras autour de toi. « J’en ai envie, tu le sais, de toi plus que de quiconque… » Mais sauter le pas, juste pour prendre notre pied, ça ne m’intéressait pas, on trouvait ça auprès d'autres, non ?

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