JULYA ☾ it's an emergency
w/@Cléolya A. Strauss  — Juillet 2019
" La modestie ne va pas vous étouffer visiblement Mademoiselle Strauss... " Il se moque d'elle de part son ton et en l'appelant par son nom de famille. Ca l'amuse et ça lui évite de trop penser à la sublime créature qu'il a entre ses bras. Il la laisse se blottir contre lui et l'embrasser encore quand son regard brulant capture le sien. " Arrêtez tout de suite de me chauffer Mademoiselle Strauss. " Ses mains s'aventurent sur les zones sensibles de son corps, celles qu'elle caressait elle-même quelques minutes avant qu'il ne la fasse sienne ne pouvant plus tenir de la voir se faire du bien sans qu'il ne soit acteur. Ses mains viennent taquiner le bout de ses tétons pour les faire durcir alors que ses pouces tracent des auréoles autour de ses mamelons. " Tu devrais y aller parce que je suis insatiable de toi... Et si deuxième round il y a, je te promets que tu ne pourras pas te retenir de crier mon prénom dans tout l'hôtel... " Il se redresse pour la dominer aspire le bout de l'un de ses seins puis vient plaquer violent sa bouche sur la sienne et son bassin contre le sens pour qu'elle sente bien qu'il la désire toujours beaucoup trop puis il se relève brusquement. Debout, il l'admire là, complètement nue, sans aucune retenue. Cette femme l'ensorcèle, il perd complètement le contrôle.

« Jamais. » Que je soufflais amusée par la légèreté de ce moment, rigolant à cette manière que t’avais de te moquer de moi. C’était ça aussi que j’appréciais, chaque moment était bon, l’avant, le pendant et l’après-acte. Je trouvais pourtant qu’on dépassait certaine limite, pour deux personnes qu’étaient censé juste coucher ensemble, pourtant, je ne relevais pas, par peur. « Et toi arrêtes de m’appeler mademoiselle Strauss. » Que je soufflais, avant de sentir tes mains explorer à nouveau ma plastique. « Putain… » Mes tétons réagissaient sous tes doigts experts, avant de sourire à tes mots. Tes lèvres retrouvaient ma poitrine, puis sauvagement mes lèvres, avant de te voir te relever brusquement pour m’observer. Sur le dos, je redressais mes jambes, laissant mes cuisses bouger, tantôt ouverte, tantôt fermées. « Tu sais pourtant que je ne peux crier ton nom, à moins de vouloir nous faire prendre. » Je me levais, te rejoignant, pour venir glisser mes mains contre tes hanches. « Sois patient, la prochaine fois, j’espère bien pouvoir crier sans retenue. » Ma langue passait rapidement sur tes lèvres avant de coller mon corps au tien. « Pourtant, ce n’est pas l’envie qui m’a manqué. »

JULYA ☾ it's an emergency
w/@Cléolya A. Strauss  — Juillet 2019

JULYA ☾ it's an emergency
w/@Cléolya A. Strauss  — Juillet 2019

Vous étiez différents, tous, pourtant, j’avais entretenu une relation avec chacun d’entre vous. Camila, mon âme-sœur, pour qui j’avais pris votre nom le temps de quelques semaines pour la sauver de son mariage avec Abélard. Dimitri, que j’avais tenté de séduire pour le sauver de sa Carter, me liant finalement d’amitié avec lui. Cole, qu’avait été une relation aussi courte qu’intense, l’ayant aimé plus que n’importe quel homme de mon passé. Toi, qu’était en train de me faire perdre pied, me torturer sous la force de notre attirance. T’étais le diable Julian et d’autant plus quand tu réagissais de manière sauvage, m’attrapant pour venir me pénétrer comme punition pour tout ce que je t’avais fait subir ce soir. S’il n’y avait pas eu Dimitri et Nélya de part et d’autre de cette chambre, j’aurai aimé profiter d’un round deux, preuve étant, que j’étais encore une fois toute mouillé, effet que ton petit jeu avait sur moi. Je te regardais, te laissant alors lire dans mes yeux tout le désir que j’éprouvais à cet instant pour toi, caressant ton membre, avec envie, avant de me faufiler pour t’échapper. Tu avouais en être sûr or, on savait tous les deux, qu’on voulait céder une nouvelle fois à la tentation, qu’on aimerait n’avoir aucune retenue l’un pour l’autre, mais ça ne pouvait être aujourd’hui. Je me baissais, attrapant l’un de tes tee-shirts que je m’empressais d’enfiler, puisque tu avais déchiré mes fringues, pour finalement me diriger vers la porte. « La prochaine fois, emmène-moi loin de tous. » Que je soufflais dans un murmure, t’avouant d’une certaine façon vouloir remettre ça, puis je t’envoyais un baiser avant de refermer la porte derrière moi, m’empressant de rejoindre ma chambre pour ne pas me faire prendre dans tes vêtements.

Fin du rp