"Ce qui c'est passé, je dansais enfin je répétais une danse à la perfection à la maison et je me suis dis que je vais rejoindre après . Après je suis sortis et là j'ai entendus l'explosion, j'ai crus que s'était ailleurs, puis en arrivant sur les lieux s'était l'horreur, comme dans les films d'horreurs limite. Des gens qui souffre des blessures infliger de la bombe, des corps sans vie. J'ai trouver mon père vivant heureusement sans rien, puis après ma mère s'était plus fort, j'ai essayer de stopper l'hémorragie, je lui ai parler , pour qu'elle reste avec moi, j'ai entendu les secours et crier que j'étais ici. Mais quand ils sont arrivés ma mère à lâcher. Ensuite le lendemain j'ai affronter le regard des étudiants et ils parlaient dans mon dos. Mon père n'a rien dis pour mon absence à la cérémonie, car il a été au courant que ma mère est morte dans mes bras et j'étais proche d'elle.

D'où le fait reprendre l'entreprise plus tard, est un hommage pour elle, je sais que tout le monde vas frapper dans ses main, quand je vais arriver pour me soutenir même si cela sera loin. Ma mère étais une femme exceptionnelle, belle,souriante,elle n'avait peur de rien."

Je te regarde et ris, même si je parle de ma mère, ce que tu me dis me fais rire et oublier un peux le passé. En effet je fois aller dans le présent et futur. Je n'ai pas de médicament encore heureux, je suis sain et puis je fais du sport, donc si cela ne va pas le sport pourrais m'aider.

"Tu sais cela dépend si j'ai envie ou pas, parfois le matin, le soir, à minuit quand je dors pas. Ma grand-mère serait ravis de me voir quand même, cela fait un moment que je n'ai pas mis les pieds au Japon. Elle est sympa quand même et accueillante, mais c'est au respect. Tu dois mettre les genre de kimono dans sa maison et franchement je ne suis pas à l'aise, mais je le fais."

Je souris, puis te regarde dans les yeux un long moment, limite j'ai le temps de faire les détails de ton visage. Puis je fais une tête comme si il n'y avait que toi et que le temps s'était figé.

" Kirei dane"

Tu me raconte la mort de ta mère et l'ambiance change tout à coup parce que tu as vécu l'horreur et je n'ose même pas imaginer tout ça surtout que moi à la vue du sang sois je m'evanouis sois ça me donne envie de vomir je n'ai pas le coeur assez accroché. « c'est vraiment horrible ce qu'il s'est passé, tu as eu beaucoup de courage en tout cas. tu peux être fière de toi pour lui rendre hommage comme ça et tu l'a aider jusqu'au bout sans abandonner. peut importe ce que les gens disent derrière ton dos tu es un gars bien. » j'essaye de te réconforter en espérant que ça marche même si je sais que c'est quelque chose que jamais tu ne pourras oublier c'est ta mère pas n'importe qui et les cicatrices seront toujours au fond de toi. « le principal c'est d'avancer et elle sera fière de toi là-haut. » tu me parles ensuite de ta grand-mère et des traditions de chez elle, je trouve ça plutôt sympa mais c'est parce que je n'ai jamais vécu ça encore. « oh bah peut-être que tu pourras la revoir lors des prochaines vacances. » puis tu me sors un mot en japonais et je te regarde en essayant de déchiffrer ce que tu viens de me dire. « ça veut dire quoi déjà? » je ris je suis vraiment nulle en japonais pour le moment ça craint.

Je te regarde et vois que tu change complètement, je me rapproche pour regarder ton visage et je fouille mon sac et sors un sucre et te tends rapidement par sécurité, évidemment tout le monde n'est pas fort devant le sang. Je t'écoute et souris doucement pour la première fois en trois mois, je souris et il a fallut, que ce soit toi qui me fasse sourire.

"Carter, merci pour ce que tu me dis, ne t'en fais pas en fait ils disaient, le pauvre il a perdu sa mère, il vient en cours après ce qu'il a vécu?. J'étais comme Will Simth dans le film "je suis une légende" et je pensais depuis longtemps être dans le parfum, mais sa disparition brutal à fait changer mes plans. Mais mon père est présent et maintenant toi non? Tu es une femme agréable avec qui l'on peut parler pour sans crainte."

Oh je fais quoi là, elle va me prendre pour un fou, mon visage passe du blanc à la couleur normal avec une légère teinte rosé aux joues. Je retire ma veste simple pour laisser un tee shirt blanc simple également, mais qui est classe. Je relève ma tête et je la fixe comme avant et me dit que c'est bien la première fois.

"Oui pendant les vacances, tu voudrais venir avec moi? Et cela veut dire...euh.... je vais bien"

Je vais pas dire la vérité non plus sinon je vais être mal, je me lève pour aller chercher un autre livre sans savoir que sur la table, traîne un dictionnaire et que la traduction est possible.

Tu sors un sucre de ta poche voyant ma tête quand je pense à tout le sang que tu as pus apercevoir lors de la mort de ta mère et je te remercie en le mettant dans ma bouche pour le croquer. Je chasse très vite tout ça de mes pensées histoire d'aller mieux et d'essayer de te consoler ce n'est pas le but que tu va mal mais je comprends le fait que tu as besoin de te confier à moi ça ne peut que te faire du bien surtout si tu n'as personne à qui le faire habituellement. « oui je peux être la pour toi sans soucis, ça ne me dérange pas je te laisse même mon numéro si après ce cours de japonais tu as envie de parler un jour où ça ne va pas. » j'écris mon numéro de téléphone sur un bout de papier et je te le donne. Tu me propose de venir avec toi au japon pendant les vacances et je suis étonnée de cette invitation. « sérieux? tu es sûr parce que tu ne me connais même pas, mais je veux bien voir le japon. » tu me sors ensuite une phrase en japonais et j'ai vraiment du mal à la déchiffrer je ne suis pas encore une experte dans cette langue mais tu me dis que ça veut dire "je vais bien" et à mon avis c'est un mytho parce que d'habitude ce n'est pas ce que le professeur me dit. Tu te lève pour aller un autre livre et je me permets de regarder sur un autre livre la traduction de ce que tu m'as dit, ça me fais sourire quand je vois que tu m'as sortis un compliment, tu me trouves belle. Quand tu reviens t'asseoir je te regarde le sourire aux lèvres. « arigato pour le compliment. » je connais un mot par ci par la mais je ne peux pas te faire une phrase complète en japonais.

"Je peux aussi parler même si tout vas bien? Ou bien pour t'inviter à prendre un verre ou voir une exposition de peinture, de tableaux ou autre chose ou une expo japonais ou un repas typique japonais ou bien coréen à toi de voir. Je ne veux pas t'imposer quoi que ce soit tu sais."

Je prends ton numéro et l'enregistre rapidement dans mon portable, je t'envoie un message avec un smiley japonais et je souris et je t'écoute parler sur ma proposition des grandes vacances. Je ris et instinctivement je pose une main sur la sienne.

"Carter, tu n'es pas folle, tu n'es pas une tueuse en série rechercher. Et puis je sens bien que tu es une personne avec qui ont ne peux pas s'ennuyer et aussi je peux partager mon deuxième pays préféré parmi les trois. Et si tu es d'accord pour rendre service à ma grand-mère aussi, ce sera super. Car à chaque fois je lui rends service, je vais chercher l'eau, les légumes, je fais le repas, je mets la table."

Alors que pensant que tu ne pourrais déchiffrer la phrase que j'ai dit en japonais, lorsque je reviens m'assoir à la table tu me sort un merci en japonais et merci du compliment en anglais, quelque étudiants nous regarde un peu et je vois et je me mets à rire une trois seconde en me cachant la bouche et le nez. Puis je souris ensuite. Puis je vois le dictionnaire et je passe ma main dans les cheveux.

"Je l'avoue je ne suis pas fino sur ce coup là. Désolé de l'avoir dis comme ça Carter, mais ne me vois pas comme tout ses mecs pervers ou les autres de cette catégorie. Je le pense sincèrement. Bon je vais arrêter de dire des choses gênantes et ont vas se remettre au travail."

« oh bah oui si tout va bien tu peux aussi me parler je serais la pour t'écouter sans soucis. j'accepte de prendre un verre c'est gentil, pour les expos je les côtoie bien assez quand je fais des ventes de peinture. » je te souris, je trouve ça bien d'avoir trouver un bon prof de japonais tu es gentil et puis tu prends ton temps pour m'expliquer les choses tu es patient c'est un bon point. Je te donne mon numéro et tu m'envois directement un sms pour que je puisse avoir le tien que j'enregistre aussi. « merci de penser ça de moi, ensuite pour ta grand-mère ça serais cool de la voir mais on viens de se rencontré tous les deux donc il faudrait plus se connaître pour ça. » je ne veux pas débarquer chez une personne de ta famille comme ça, sans te connaître suffisamment je trouverais ça plutôt malpolis. Tu me dis ensuite des mots en japonais que je traduis en regardant sur le dictionnaire devant moi, un compliment c'est adorable et je te remercie en japonais et puis dans notre langue parce que je ne connais pas assez de mots pour faire une phrase complète. « je ne te trouve pas pervers c'est un joli compliment et encore une fois je te remercie. tu peux m'apprendre quoi pour la suite? » n'oublions pas pourquoi nous sommes à la bibliothèque en ce moment.

"Des ventes de peintures? Tu m'as dis que tu dessines il me semble, mais pas que tu vends tes propres chef d’œuvres. La prochaine exposition, je veux y être, ou bien alors la signature C, sur les tableaux qui se trouve chez mon père, c'est les tiens. Attends, j'ai pris en photos les tableaux, au cas où si ont viens à les volés. Et le verre je retiens, je me sens un peu mieux, je dois continuer comme ça."

Je prends ma tablette, puis je te montre les tableaux qui sans savoir sont les tiens. Je fais glisser doucement pour montrer le nombre de tableaux que nous possédons dans la maison et je te regarde de profil, je te détail même et de profil comme de face tu es jolie. Puis poliment tu décline mon invitation pour ma grand-mère, voulant venir après que l'on est échanger assez suffisamment. Sur ce coup là tu n'as pas tord, je souris de nouveau.

"Bien-sûr, je ne t'en veux pas de vouloir cela, mais sache que je ne pourrais pas communiquer une fois au Japon. Je n'aurais que internet et encore, c'est rare, car je serais tout le temps entrain de travailler peut-être. Si je ne tombe pas pendant une fête du pays."

Je te regarde de nouveau puis je te dis en japonais.

"Anata wa nani o shiritaidesu? Yōfuku? Bangō?"
Tu veux savoir quoi? Les vêtements? Nombre?

D'un coup mon portable sonne, enfin pas que le miens, mais aussi celui des autres étudiants présent dans la bibliothèque, je regarde et ferme rapidement mon portable. Je me lève et m'excuse auprès de Carter

"Je reviens rapidement"

Quand je te dis que je fais de la peinture tu sembles étonné et puis tu commence à me dire que tu dois en avoir chez ton père et tu commence à me montrer les photos des tableaux qui sont effectivement les miens, ça me fait sourire de savoir ça je trouve ça génial. « oui ce sont les miens, je trouve ça adorable de les avoir acheter et puis ça me fait super plaisir de savoir ça, c'est toujours une petite fierté que je ressens en moi lorsque je vois mes tableaux chez quelqu'un. » ça prouve que je suis douée en peinture lorsque l'on achète mes tableaux et je ne pourrais pas m'arrêter de toute façon vu que je fais ça depuis petite c'est ma plus grande passion avec le dessin ce qui en sois équivaut à la même chose sauf qu'on ne se sert pas des mêmes outils pour représenter les jolies choses. « oui je comprends tout à fait, mais les vacances ce n'est pas pour tout de suite d'ici la tu m'auras encore sur le dos pour m'apprendre d'autres choses en japonais! » je ris tu ne va pas te débarrasser de moi comme ça, tu dois relever mon niveau en japonais j'en ai grandement besoin. Ensuite aller au japon je me suis toujours dit que ça arrivera un jour et j'y crois fort. « Bangō » apprendre les nombres ça me semble un bon début, ce sont les bases que l'on apprend dans toutes les langues. Ton portable sonne ainsi que celui de plusieurs étudiants et je te regarde te lever en me demandant ce qu'il se passe.

"Mon père aime beaucoup ton travail et moi aussi. Pour tout dire nous somme venu à une exposition ou tu exposer quelques tableaux à toi, a une exposition de jeune talents et ont a tout suite accrocher pour les couleurs, ce qu'ils font ressentir."

Te regarde et me demande comment elle pourrait réagir si sont tableau le plus important était accroché dans ma chambre au dessus de mon lit, celui qui avait beaucoup de chiffre.

"Ah bon? Je t'aurais encore sur le dos? Oh non....Je rigole c'est un plaisir d'être professeur particulier de Japonais. Je pourrais très bien me faire, payer, mais je rigole ne le prends pas au premier degré. Je ne veux pas être payer. Rendre service j'aime beaucoup. Je rends même service la paroisse au Japon."

Je t'écoute et tu me dit que tu veux apprendre les nombre, mais lorsque la sonnerie de tout le monde retentit y compris moi, je regarde et vois un article sur mon père, qui pourrait compromettre sa carrière de sénateur. Je choisi d'aller dans les toilettes pour lire et me réfugier . Car là j'ai honte, déjà les regards arrive sur moi quand je sors.

« merci c'est gentil, je ne me souviens pas vous avoir vu lors d'une exposition mais c'est cool que mes tableaux vous plaisent. » je souris ça fait toujours plaisir d'être complimentée sur son travail surtout que ça me prends toujours des heures voir des jours pour peaufiner un tableau. « en compensation je suis la pour t'écouter c'est bien non comme somme? c'est bien de rendre service comme ça c'est gentil. » ça se voit que tu es un bon garçon, que tu aimes prendre soin des autres et c'est touchant. Puis ton téléphone sonne ainsi que celui de plusieurs étudiants dans la bibliothèque je ne comprends pas trop, mais je te vois t'enfuir loin de moi et je me demande ce que je devrais faire à présent. Tu as peut-être une urgence familiale, mais tu aurais pus me prévenir. Je décide donc de rassembler mes affaires pour les ranger et je me dis que le cours est terminé.