feat. jay alvarrez
- 18 AVRIL 1998
- TLEMCEN
- 20 ANS
- ALGÉRIEN
- HÉTÉROSEXUEL
- CÉLIBATAIRE
- RELATIVEMENT AISÉ
- CHIMIE
- LATIN
- BIBLIOTHÉCAIRE À L'ATHENAEUM
- BOURSIER
Malgré avoir grandi dans un environnement qui encourage la tenue et la politesse, ainsi qu'avoir été pendant une grande partie de sa vie encouragé à rester loin des pêchés qu'étaient l'alcool et l'adultère, Riyaaz fus loin d'être le plus idéal des fils. Aujourd'hui, il reste un individu très équilibré lorsque l'on note les côtés académique et social à, mais lorsqu'elle est lancée, sa personnalité de fêtard est dûre à arrêter. Buveur assidu, n'importe qui vous garantira que Riyaaz sera l'un des plus bruyants lors du prochain évènement auquel il assistera. En revanche, il sait quand se retenir et quand s'arrêter, qui s'avère être un de ses principaux atouts.
Malgré sa nature assez fêtard (apparemment, le mot fêtard est un adjectif unisexe, va savoir), Riyaaz reste un garçon très ambitieux en général. Bien que ses buts et objectifs pour le futur soit de plus en plus flous et qu'il commence à s'éloigner de la route de médecine, une pratique qu'il cherchait à poursuivre d'ici la fin de ses études universitaires, il a toujours été un garçon déterminé qui ne semblait s'arrêter à rien jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il voulait. L'exemple le plus simple fus cette admission à Harvard, qu'il ne réussit pas à obtenir à travers le cycle d'admissions régulier, ce qui fus la raison pour laquelle il arrivera à Cambridge en tant que « transfer student » en septembre prochain. Néanmoins, malgré tout ça, n'importe qui pourrait catégoriser Riyaaz comme un Mather des plus naturels; en revanche, disons qu'il est un Mather plus ou moins équilibré, ce qui devrait expliquer certaines des qualités typiquement Dunster qu'il exhibe.
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8440]☆[/url] ☆ <span class="pris">JAY ALVARREZ</span> • “ Riyaaz Abed ”[/size]
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Malgré leur expérience, diplômes, réputations et, il fallait le dire, argent, la transition vers la France ne fut pas des plus faciles. Évidemment, Riyaaz et sa famille ne faisaient tout de même pas partie de la classe moyenne et vivait toujours dans des quartiers huppés de la capitale française, mais force était de constater que le succès semblait subitement infiniment plus dur à atteindre. La mère de Riyaaz fus forcée à changer d'emploi et se convertit en traductrice, elle qui était une polyglotte pentalingue de par son passé dans le secteur immobilier. Son père garda son emploi d'opticien, mais eus une chute de clients et fus forcé de quitter sa vie de clinique, afin de travailler comme médecin généraliste dans les banlieues parisiennes. Peu importe le statut social et le salaire annuel de ses parents, leurs enfants semblaient toujours être la priorité numéro un, malgré les disputes qui semblaient créer une certaine rupture sentimentale entre le couple. En effet, aux yeux de Riyaaz, ce changement qui avait chamboulé la vie de toute la famille avait produit une certaine aura nauséabonde, toute inverse à celle qui était attendue à un fils que l'on avait dénommé Yimlul. Alas, à l'âge de douze ans, Riyaaz appris la nouvelle de séparation entre ses deux parents de par son père, en larmes à l'idée d'avoir à faire face tant de problèmes seul; car en effet, madame Abed avait, elle, décidé de mener sa propre vie sans avoir à se préoccuper d'un quelconque problème liée à ses enfants, qu'elle portait pourtant toujours dans son coeur.
Son enfance et adolescence, en dépit de ses nombreux tourments et péripéties (qui n'équivalent en rien à la misère que certains de ses amis d'enfance eut à rencontrer) fus conclue par une lettre, qui elle détaillait les conditions à maintenir afin de préserver son acceptation au sein de l'Université Pierre-et-Marie-Curie, l'un des établissements les plus prestigieux de l'Hexagone. Il y étudia la chimie, un domaine qui le passionnait de par son intérêt envers la composition de chaque chose avec laquelle il interagissait sur une base quotidienne. Bien sûr, cette courte description aide un peu à romancer la chimie, qui semblait désintéresser une majorité des étudiants d'autres concentrations, mais l'intérêt de Riyaaz y résidait. En revanche, la nouvelle de la fusion imminente des différentes universités de la Sorbonne, de Paris et de Pierre-et-Marie-Curie créèrent un certain désintérêt et désarroi chez Yimlul, qui décida de tenter sa chance vers les États-Unis, avec des encouragements évidents de son père vieillissant. « Sois-pas stupide, t'as rien à perdre », lui avait-il dit, d'une façon à la fois plus convenable mais dans un français évidemment moins aiguisé et « naturel ». Sans surprise, il fut rejeté par son premier choix aux États-Unis, le Massachussetts Institute of Technology, ainsi que de nombreux autres collèges du pays, à l'exception de Harvard (où ironiquement, deux de ses frères et soeurs étudiaient et où sa mère avait obtenue son doctorat) et de Johns Hopkins. Après une longue période de débat avec son père, qui était convaincu que JHU allait être un meilleur choix et pouvait ouvrir plus de portes, Yimlul décida finalement de transférer à Harvard, où il étudiera la chimie et le latin quelques semaines après le Summer Camp.
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