C'est le 19/03/1990 à Londres, que les membres de la famille Akintunde m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Yvick Marlowe. Je suis célibataire mais j'invite les filles célib' à me contacter au (456)... .... et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel jusqu'à preuve du contraire et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée, c'est le moins que l'on puisse dire. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de design de mode et d'arts plastiques depuis quatre ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Eliot.

J'aime tout ce qui touche à la mode▲ Je passe des heures à soigner mon apparence▲ J'ai un bonzai mort en guise de cheveux ▲ Je déteste fêter mon anniversaire ▲ J'aime lancer et relever des défis ▲Il ne se passe pas une journée sans que je ris. Le rire, c'est la santé!▲ Je souris tout le temps même quand je ne suis pas supposé le faire.▲ J'aime pas les macarons.▲ J'ai un iguane, il s'appelle Douané. ▲ Je ne coiffe jamais mes cheveux▲ Je suis très à l'aise avec mon corps.▲ Les gens superficielles m'insupportent ▲ Je peux être très méprisant quand je le veux ▲ Je déteste quand ma mère m'appelle "mon petit fripon" ▲ J'aime mettre mal à l'aise les gens. C'est drôle je trouve. ▲L'art représente beaucoup pour moi. C'est l'occasion de s'exprimer, de se dévoiler. Quand je fais de l'art, je me met à nu. ▲ Je lis jamais ▲ Même si je descend d'une famille riche, je veux rester simple ▲ Je pars du principe que j'aime tout le monde. Par contre, si on me fait un coup dans le dos, on peut toujours courir pour que je pardonne ▲ Je ne manque pas à mes paroles ▲ Je suis un libertin et il n'y a rien de mal à ça ▲ j'aime faire la fête jusqu'à pas d'heures ▲ Je me suis promis d'être là pour mes amis, pour les conforter, leur venir en aide. Mes amis sont ma seconde famille ▲ Je reste ouvert d'esprit ▲ Mon optimisme étonne mon entourage ▲ Je suis jamais stressé et encore moins par les études ▲ J'aime profiter de la vie et des gens que j'aime ▲ J'ai des délires bizarres...je ne ferai pas de commentaire là-dessus, mon silence en dit déjà assez. ▲ Je drague subtilement. Le "wesh t'es bonne" je l'évite autant que possible ▲ On me prend pour un détraqué ▲ Je suis super excentrique ▲ La discrétion n'est pas mon fort. Si tu veux rester discret, un conseil, évite d'être en ma compagnie. ▲ Je bouge constamment, je n'arrive pas à rester immobile ▲ Je suis franc. Je dis ce que je pense que ça plaise ou pas. ▲ Je suis archi nul en matières scientifiques ▲ je me débrouille en danse ▲ je suis protecteur envers mes proches. ▲ je fais régulièrement du body-painting et ça m'amuse je dirais ▲ n'y prêtez pas attention mais je suis très tactile.

▲ Une VDM, une VDM, une VDM! La foule m'acclame muhahaha..désolé on est en fait plusieurs dans ma tête. Attendez, laissez-moi me mettre d'accord avec mes autres personnages et après je raconterai.

Dix ans plus tard.

Euh, bon j'ai une VDM mais je ne suis pas sûr que ce soit la pire. Il y'a tellement eu de fois où je me suis humilié, ou j'ai rougi de honte que je ne les compte même plus. Une fois, j'étais à la piscine municipale et en arrivant au portail, le maître nageur me demande de mettre mon bonnet avant de plonger. Je l'ai regardé d'un air de dire "Sérieux mec, t'as vu ma coupe? Tu penses vraiment qu'un bonnet va cacher TOUT ça?". Il m'a refusé l'entrée. Gros bad. Aucune négociation n'était possible. Je suis parti comme j'étais venu. Depuis, fini les piscines municipales.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Vous êtes sérieux là?! C'est quoi cette question à deux dollars? Une soirée avec boisson à volonté, fumette garantie et jolies filles en bikinis et vous croyez que je vais hésiter? Je fonce ouais. Et me défonce aussi si l'occasion se présente.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Bah carrément, je suis de la party! Ah mince, c'est pas les Mathers là, c'est sérieux. Je vais donner une réponse sérieuse alors. Je dis oui. Si mon aide peut apporter quelque chose aux nécessiteux alors ça me rend heureux. Je ne me pose pas de questions sur l'investissement que ça va me demander. Quand on a vraiment un coeur, on ne compte pas.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

En tant qu'amoureux de l'art sous n'importe quelle forme, sans réfléchir je dis oui. Je n'auditionne pas parce que j'ai la prétention de me considérer comme un artiste. J'auditionne pour m'amuser, pour profiter. Je n'attend pas de récompense à la clé. Si je pouvais, j'aurais participé à un concours de dessin ou de peinture. Je suis à l'aise avec un crayon ou un pinceau dans les mains. Les idées viennent toutes seules.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Bah ça dépend qu'est-ce que vous appelez belle? /sbaff/ Hum, fille belle okay mais je ne veux pas de fille trop sucrée, toute gentille. J'aime les filles compliquées, un peu fofolle et qui ont du caractère. Beaucoup. J'aime les femmes qui s'affirment. T'associe une beauté fatale avec un fort caractère et je valide.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Loin de moi cette idée-là. Suis pas une bête de foire ni un chimpanzé à qui on jette des cacahuètes.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je m'en contrefiche. J'ai une étagère entière de lunettes de soleil, je porte toujours de la marque et quant à ma voiture bah moi j'ai la batmobile et ça, ça n'a pas de prix.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Alors d'une, je déteste aller aux conférences. C'est d'un ennui et j'aime pas faire semblant de m'intéresser à quelque chose que je n'aime pas. Alors, si en plus de ça je dois m'y rendre pendant une semaine....

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Jayce et j'ai 105 bougies. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à quelques mois où je m'étais inscrit mais j'ai ensuite quitté le forum.. La bonne ambiance, le beau design, les personnes aussi chaleureuses les unes que les autres alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Thiago Santos comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par nelliel et silently passionate. Je fais environ 150-200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ J'avais décidé de plus me consacrer à mes études mais il y'avait un manque. Et mon manque à combler c'était Harvard. J'avais fait de très belles rencontres sur ce forum et je sais qu'il ne cessera jamais de me surprendre. Je vous aime <3

« Yvick, mais où étais-tu? Ton père et moi nous étions fait un sang d'encre!» demande ma mère inquiète alors que je venais à peine de franchir le seuil de la porte d'entrée de notre maison.

«Laisse-le respirer Regina, tu veux! » répond mon père d'un air complètement détaché.

« Oui, maman, laisse-moi respirer un peu, tu veux? » dis-je esquissant un sourire goguenard.

Chaque fois que je sortais et que je rentrais tard, ma mère me remontait les bretelles prétendant ne pas avoir fermé l'oeil de la nuit parce que je n'étais toujours pas rentré. Mon père était beaucoup plus souple pour les règles. Je pouvais toujours compter sur son soutien dans ce genre de situation. Je savais qu'il m'aiderait et qu'il dirait à ma mère qu'elle en faisait un peu trop. Ma mère était une femme douce et élégante. Elle était aussi très droite et tenait à faire respecter certaines règles. Mon père était moins oppressant. En revanche, si on venait à ternir sa réputation, les choses se passaient différemment. Mon père n'est pas n'importe qui. Il est Chikezie Otieno Akintunde, le patron d'une société de voitures de luxe du nom éponyme "Akintunde" et installée en Afrique du Sud. Ma mère était quant à elle avocate. Ils s'étaient dit oui sur les plages du Cap de Bonne Espérance en Afrique du Sud. Ma mère était une anglaise d'origine Zimbabwéenne et Irlandaise et avait rencontré mon père lors d'un voyage humanitaire en Afrique du Sud. Ils étaient aussitôt tombés fous amoureux l'un de l'autre et eurent de magnifiques enfants: moi (a) , Joanie et Keita. J'étais l'aîné de la famille. Mon père avait suivi ma mère jusqu'à Londres. C'est là que tous les trois étions nés. C'est là que tout a commencé pour moi.

Depuis toujours, je faisais le fanfaron. Je n'étais pas discret , je me faisais sans cesse remarquer. Difficile avec une coiffure pareille de passer inaperçue. Mais mon comportement y était pour beaucoup. Je bavardais sans cesse et divertissais mes amis. J'étais toujours souriant et ça en venait même à vexer certains professeurs qui croyaient que je me moquais d'eux. Bon, je n'étais pas non plus rebelle et arrogant. Mes parents ne s'étaient jamais fait convoqués. Ce n'était pas si dérangeant que cela. Parfois même, ça amusait certains professeurs. Je vais jouer la carte de l'honnêteté, je n'étais pas le plus brillant de tous les élèves. Je détestais les sciences et j'étais archi nul en mathématiques. Je suis toujours incapable d'effectuer une division par exemple. Bref. Les maths c'est pas la vie non plus. En plus, je me rattrapais en arts plastiques. Dès que j'avais un crayon ou un pinceau entre mes mains, je laissais libre cours à mon génie, à mon imagination. On me donnait enfin l'occasion de me dévoiler, de m'exprimer sans retenue. Comme je disais, je laissais en quelque sorte une partie de moi dans mes oeuvres. La professeur d'arts restait bouche bée et m'avait fortement encouragé à m'orienter vers une école d'art de Londres mais j'avais décliné son offre. Depuis que je suis petit, j'avais qu'une idée en tête: partir étudier à l'étranger.

Grâce au travail de mon père, nous avions visité de nombreux pays. La liste est longue mais je peux vous en citer quelques uns: France, Italie, Autriche, Grèce, Turquie, Egypte, Afrique du Sud, Nigéria, Zimbabwe, Chine, Malaisie et j'en passe. Mes parents étaient des passionnés de voyage, avides de mieux connaître les cultures du monde. Sans son costard et ses chaussures parfaitement cirées, mon père devenait un autre homme. Ils étaient très riches mais humbles et ils tenaient à ce que nous en fassions de même. On avait peut-être tout servi sur un plateau mais il fallait partager ce qu'on avait. Quoi de plus normal. Avec tous ces voyages, j'avais pu me faire une idée d'où je voulais étudier et mon choix s'était sans hésiter porté sur les Etats-Unis. Qui ne rêve pas d'y étudier? Tout semble tellement disproportionné là-bas. La nourriture, les fringues, les parcs d'attractions, les campus...Mes parents m'avaient laissé le choix alors j'avais exposé ma décision: je voulais intégrer Harvard. Ils étaient tellement fiers de moi quand ils ont appris que j'étais accepté là-bas. Malgré mon petit côté fripon, j'avais pu entrer dans la plus célèbre des universités du monde. La nouvelle avait fait le tour de la famille. A mon avis, si j'avais été accepté, c'était bien grâce à mes notes élevées en arts plastiques. Le reste de mes notes était acceptable excepté dans les matières scientifiques.

Hop, comme d'un coup de baguette magique je me retrouve à Harvard. Je n'arrivais pas à y croire. J'avais genre une chance sur un million d'être accepté. C'était sans doute le plus beau des cadeaux que j'avais pu avoir outre mon dernier bijou, ma voiture. Pour me récompenser, mes parents m'avaient offert une superbe voiture de sport. Une des dernières. Très sophistiquée. Je me suis très vite fait à la vie à Cambridge. Je me suis installé dans un appartement situé dans un quartier uppé de la ville. Je vis actuellement seul. Enfin, je suis pas si seul que je prétend l'être. Y'a mon iguane, Duané. On est inséparable tous les deux. Je l'emmène avec moi à chaque voyage. En ce qui concerne mes études, rien de très surprenant, j'étudie les arts plastiques. Je ne le redirai jamais assez mais la relation qui m'unit à l'art est incomparable et fusionnelle. Quand j'avais du temps libre, je dessinais. Ma mère m'avait aussi inscrit à un club de peinture. J'aimais aussi les visites au musée. J'ai une sensibilité artistique. Outre les arts, j'étudie le design de mode. Qu'est-ce que cela a voir avec les arts? rien. Mais j'ai voulu conjuguer deux de mes passions car en plus d'être intéressé par l'art, j'étais intéressé par la mode. Je dévorais les magazines de mode et j'avais même proposé ma candidature en tant que mannequin amateur mais je n'avais pas été retenu. L'année suivante, j'avais remporté la première place du concours Mister Black UK. Un mal qui se compense par un bien. Je ne sais pas exactement ce que je veux faire. J'hésite entre styliste et model. Mais j'ai encore de nombreuses années pour me pencher sur la question.