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I LOVE HARVARD
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    A welcome or a very nice meeting or something else (Pv) Lisbeth Larsson = !
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    Lien du postDim 2 Avr - 19:04
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    Maverick HorvathfeatLisbeth Larsson
    J'aime bien faire venir des personnes chez nous comme mes coéquipiers, on s'amusait vraiment beaucoup. Mais je n'avais jamais invité d'autres personnes qu'eux vraiment, à part les amis de mon frère qui invitaient lui-même, il n'avait jamais personne d'autre qui venait ici. Parfois je m'ennuyais bien seul le temps était parfois très long, mais j'allais avoir de la compagnie, car je devais m'occuper de Lisebeth. Je me demande vraiment comme cela va se passer. Je me demandais si j'allais réussir à l'aider mais j'allais faire le mieux que je pouvais pour elle, tout en m'occupant de moi aussi et des tâches de la maison.

    Je continue à me rendre vers chez nous au travers la congestion du soir, après quelques longues minutes j'arrive alors en face de ma maison. Je stationne alors ma voiture dans l'entrée, pour ensuite sortir de celle-ci. Je pris ensuite mon sac de sport qui était en n'arrière, je le mis alors sur mon épaule je me rends alors du côté passagers pour enfin ouvrir la porte de celle-ci. Je referme alors la porte pour ensuite barrer à distance le véhicule. Je me rends vers la porte de la maison, pour ensuite monté les marches, je regarde celle-ci si elle était correcte. J'ouvre à clef la porte pour ensuite rentré, j'enlève alors mes chaussures pour ensuite aller porter mon sac de sport contre la grande fenêtre du salon qui a donne sûr le centre-ville de Boston au loin. Je regarde un moment celui-ci en silence pour ensuite aller voir la jeune fille si elle fait besoin de qu'elle que chose. Elle pouvait bien faire comme chez elle maintenant, elle ne devait pas se gêner non plus si elle avait besoin de quoique ce soit. Je l'invite alors à s'assoir dans le salon pour ensuite m'assoir à mon tour, je regarde autour de moi.

    Ma maison était vraiment grande pour que je reste seul maintenant, mais je voulais garder cette maison elle était à air ouverte à quelques endroits cela donnait vraiment l'impression que toutes les pièces étaient vraiment proches l'une d'elles. Je me demandais si celle-ci avait faim, si elle le voulait je pouvais bien lui préparer quelque chose. Mais en ce moment je profitais de ce silence ne savant quoi dire en ce moment. Tout d'un coup je me demandais vraiment où qu'elle allait coucher dans la chambre d'amis ou avec moi dans ma chambre, je deviens légèrement rouge tout d'un coup et je regarde celle-ci de mais yeux bleu. Ont n'étais enfin seul nous deux sans vraiment personnes, je soupire d'aise, cela était vraiment bien. Je m'approche légèrement de celle-ci et je regarde un moment son épaule blessée, j'espérais au moins qu'elle était heureuse que je sois disponible pour l'aider. Je me demandais vraiment ce que nous réservait le reste de la soirée, je ne sais pas pourquoi mais bizarrement j'étais vraiment nerveux tout d'un coup. Enfin mon regard se pose sûr une photo accrocher au mur représentant mon frère, je détourne alors le regard et des larmes coulèrent tout d'un coup, c'était la seule chose qui me reste de lui.


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    Lien du postDim 2 Avr - 19:34
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    @Maverick Horvath

    Maverick & LisbethA welcome or a very nice meeting or something else
    Le trajet en voiture ne fut pas trop long : la circulation était fluide et les conducteurs alertes. Lisbeth regardait le paysage par la fenêtre, silencieuse. Son épaule la lançait de temps à autre mais elle ne disait rien, se contentant de se concentrer sur la vue qui s’offrait à elle. Elle rappela au dernier moment à Maverick de faire un crochet par la pharmacie pour aller chercher ses antidouleurs et le matériel pour refaire le pansement de sa blessure. L’arrêt fut de courte durée, la pharmacie pratiquement vide de clients. Les deux personnes reprirent ensuite la route, direction l’appartement de Maverick. Lisbeth était un peu tendue et garda le silence presque tout le trajet. Lorsque le jeune homme coupa le moteur, la jeune femme constata qu’ils n’étaient pas tout à fait dans Boston mais quand même loin de son quartier. ELle se dit que sa vue sur l’océan allait lui manquer. Mais ce n’était pas pour toujours qu’elle allait vivre chez Maverick, non ? Elle chassa rapidement cette pensée de son esprit puis suivit Maverick.

    L’appartement était grand, tout comme le sien. Quoi de mieux de vivre dans un endroit spacieux pour ne pas se sentir étouffé, surtout si on ne sortait pas souvent ? La première chose que Lisbeth fit, c’est enlever ses baskets et se diriger vers la baie vitrée pour observer le paysage. L’océan était à peine visible au loin et elle posa son front contre la vitre froide du salon. Elle ferma les yeux quelques instants avant de se reprendre et de venir s’asseoir sur le sofa. Maverick ne tarda pas à la rejoindre et elle plongea son regard dans le sien pour s’y perdre. La pression s’évapora d’un seul coup et la jeune suédoise se détendit. Elle devait bien se l’avouer : elle adorait se perdre dans l’océan bleu et un peu agité du jeune homme assis près d’elle. Son cœur manqua même quelques battements, chose totalement nouvelle pour elle. Elle ne put s’empêcher de s’approcher à son tour de lui pour ensuite suivre son regard sur une photographie. Lisbeth fut frappée par la ressemble du jeune homme immortalisé sur ce papier glacé. Elle se leva et se dirigea lentement vers l’emplacement de la photo. Elle s’arrêta en face du portrait et pencha légèrement la tête sur le côté.

    « Est-ce que… »


    Lisbeth se tut d’un coup et se tendit à nouveau. Si elle voulait des informations sur des personnes, elle avait pour habitude de hacker tout ce qu’elle pouvait pour trouver ce qu’elle voulait. Mais avoir une conversation pour en apprendre plus sur quelqu’un, c’était nouveau pour elle. Elle devait faire attention à ce qu’elle dirait.

    « Est-ce que c’est ton frère ? Il te ressemble beaucoup… »

    Elle resta un instant dos à Maverick avant de se retourner pour lui faire face. Elle voyait toute la peine que la vue de ce portrait et surtout sa question pouvaient avoir sur lui. Alors elle revint vers lui pour ne pas le laisser seul avec sa douleur (mais peut-être le voulait-il… Elle verrait bien). Lisbeth reprit place à ses côtés et passa son bras valide autour de ses épaules pour le prendre contre elle. C’était la première fois qu’un tel geste de tendresse venait d’elle.

    « Désolée, je suis indiscrète… Ce n’est pas dans mes habitudes. Tu n’es pas obligé de répondre. »

    Elle passa sa main valide dans les cheveux du jeune homme et se mordit la lèvre. Bravo, Lisbeth ! Première tentative sûrement bien échouée !

    « D’où est-ce que tu viens ? »

    Elle essaya de changer de sujet. Quoi que, ses deux questions étaient quand même un peu liées. Quant à savoir d’où il venait, elle était curieuse. Maverick avec un petit accent, tout comme elle. Et comme ils ne savaient pas grand-chose l’un de l’autre, l’heure était peut-être aux confidences.
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    Lien du postMar 4 Avr - 1:25
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    Maverick HorvathfeatLisbeth Larsson
    J'aime bien faire venir des personnes chez nous comme mes coéquipiers, on s'amusait vraiment beaucoup. Mais je n'avais jamais invité d'autres personnes qu'eux vraiment, à part les amis de mon frère qui invitaient lui-même, il n'avait jamais personne d'autre qui venait ici. Parfois je m'ennuyais bien seul le temps était parfois très long, mais j'allais avoir de la compagnie, car je devais m'occuper de Lisebeth. Je me demande vraiment comme cela va se passer. Je me demandais si j'allais réussir à l'aider mais j'allais faire le mieux que je pouvais pour elle, tout en m'occupant de moi aussi et des tâches de la maison.

    Je regarde de nouveau celle-ci et je la regarde se lever et allé vers la photo, je la regarde en silence et de nouvelles larmes coulent alors. Oui c'était bien mon frère oui il me ressemblait tellement, je me demandais encore pourquoi que je l'avais perdu pourquoi lui était la cible et pas une autre personne, enfin il en n'avait bien d'autres mais, bon je ne voulais pas qu'il meurt de cette façon. Surtout que celui-ci me manquait terriblement encore. Je la regarde venir vers moi, je voulais rester seul en ce moment pour vivre cela mais un peu de compagnie ne me ferais pas de mal non plus. Je laisse faire sont geste mais je frissonne tout d'un coup, je viens conte elle mais je fis attention à sa blessure. Je me sentis rougir de nouveau et je lui souris légèrement et je soupire tout d'un coup. Pour ensuite m'approcher plus d'elle et je plonge mon regard bleu dans celui de la jeune fille de nouveau. Je sentis mon cœur battre rapidement tout d'un coup, je me mords la lèvre. Pour enfin lui répondre d'un voix assez triste.

    Oui c'est mon frère il est mort ont se ressemblait vraiment beaucoup, je dois répondre non cela va sûrement m'aider à moins penser à lui à la longue...

    Je me mords la lèvre tout d'un coup quand tout d'un coup je pleure, mais aussitôt là mains de celle si dans mes cheveux me fis bizarrement arrêter. Je la regarde tout en essuyant mes larmes et je rougis de honte tout d'un coup. J'approche alors ma main pour ensuite la passer dans les cheveux de celle-ci, je la regarde avec envie bizarrement, quand tout d'un coup mon visage devenais légèrement froid quand qu'elle me demande d'où que je venais.

    Je suis slovaque je viens d'une gagne de rue et hum toi ?

    Voilà tout était dit il ne restait plus qu'à attendre sa réaction mais j'avais vraiment peur de celle-ci. Car j'avais déjà assez entendue d'histoire dû à ma provenance autant que je venais de gagne de rue et de ce pays, parler de cela m'avait mis en quelque sorte en garde à cause des réponses que j'avais reçus dans le passé et autres trucs pas trop beau parfois. Je restais toujours contre elle j'étais si bien dans ses bras bizarrement moi qui n'aimais pas tant la proximité. Après quelques minutes je me recule légèrement d'elle j'avais vraiment chaud soudainement, je ne savais pas ce qu'il m'arrivait. Je regarde devant moi pour aussitôt revenir près d'elle et je la regarde d'un regard vraiment pas sûr de moi tout d'un coup.

    Tu voudrais quelque chose à manger ou à boire ? Tu as besoin de quelque chose ?

    Je me lève aussitôt, pour ensuite aller prendre mon sac de sport et j'allais laver celui-ci et le contenu, pour après revenir près d'elle. Je me couche alors sur le devant et je fixe alors celle-ci, elle m'avait toujours pas répondu je me demandais pourquoi. Mais bon elle voulait sûrement resté en silence, cela est vrai que parfois ses moments étaient vraiment reposant. Je soupire je devais vraiment poser une question tout de suite car disons que celle-ci me perturbait assez. J'allonge alors mon bras de façon que j'aille prendre l'une de ses mains dans la mienne.

    Pour ce soir dit tu préférerais dormir dans la chambre d'amis ou a... Avec moi ?

    Cela n'était pas encore le temps de dormir mais je ne sais pas j'aimais mieux me préparer à l'avance à ce qui pouvait arriver. Je ne sais vraiment pas de qu'elle allait dire sur cette question la mais j'avais tendances à dire qu'elle allait dire dans la chambre d'amis. En même temps je la comprendrais très bien, car bon je ne saurais pas vraiment alaise moi non plus. D'autant plus que je n'avais jamais couché avec d'autres depuis ma séparation avec Jupiter.


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    Lien du postMar 4 Avr - 15:11
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    Maverick & LisbethA welcome or a very nice meeting or something else
    Une peine et une tristesse sans nom auréolaient soudainement le salon. Lisbeth fut même frappée de plein fouet par toutes ces émotions alors qu’elle ne connaissait même pas le défunt frère de Maverick. Était-ce donc ça, l’empathie ? Ses yeux se voilèrent de tristesse et elle les ferma pour ne pas que le jeune homme voit son trouble. Heureusement pour elle, il était dans ses bras et elle lui caressait doucement les cheveux. Elle se concentra sur son geste et prit plusieurs longues inspirations pour chasser l’émotion qui était monté en elle. Personne ne méritait de mourir, à part peut-être son père qu’elle avait poignardé à trois reprises alors qu’elle avait à peine 12 ans. Mais quand une fillette voyait toute son enfance sa mère subir de mauvais traitements de la part de son père, il y avait de quoi devenir dingue. A chaque fois, elle devait s’enfermer dans sa chambre quand son père revenait au domicile, ordre de sa mère, alors elle avait trouvé le seul moyen possible pour défendre sa maman : faire du mal à son père. Cela lui avait valu cinq années d’enfermement dans un hôpital psychiatrique et personne ne l’avait jamais crue quand elle avait raconté le calvaire de sa mère, qui était pourtant hospitalisée.

    Le silence devenait pesant d’autant plus que Lisbeth se remémorait des parties pas très joyeuses de son enfance. Finalement, la voix de Maverick brisa le silence et Lisbeth ouvrit les yeux. Son regard se posa à nouveau sur le portrait et elle raffermit autant qu’elle put son étreinte sur le jeune homme.

    « C’est à toi de trouver ta thérapie pour aller mieux. Si tu penses que parler va t’aider, alors laisse-toi aller. »

    Elle savoura la caresse du jeune homme dans ses cheveux et elle soupira de bien-être.

    « Comment s’appelait-il ? »

    Son teint pâle fut bientôt animé par une légère rougeur qui lui teinta joliment les joues. La Suédoise continuait sur sa lancée, curieuse d’en apprendre plus sur la personne dont elle était tombée amoureuse. Ça lui faisait toujours aussi bizarre de penser à lui en ces termes et elle fut un instant gênée. Mais il fallait qu’elle se reprenne. La réponse de Maverick ne tarda pas à venir, accompagnée d’un regard froid. Le même genre de regard qu’elle assénait quand elle parlait de quelque chose de privé. Ainsi donc, il venait de Slovaquie et avait vécu dans un gang des rues. Est-ce que cette appartenance était liée au décès de son frère ? Elle savait que ce genre de vie n’était pas de tout repos, bien au contraire. Mais ce n’était pas une raison suffisante pour qu’elle prenne ses jambes à son cou.

    « Tu as donc vécu dans un environnement dangereux et inhospitalier. Ça te fait quoi de vivre ici maintenant ? »

    Lisbeth ne pouvait s’empêcher d’enchaîner sur des questions, avide d’en apprendre plus. Elle se rappela alors la cicatrice dans son dos qu’elle avait aperçue lors de leur première rencontre. Elle était pratiquement sûre qu’elle était liée d’une façon ou d’une autre à ce gang. Mais ses questions se retournèrent contre elle et ce fut à son tour de lui répondre.

    « Je suis Suédoise. Je suis née à Stockholm, j’ai grandi et vécu là-bas jusqu’à l’année passée. J’ai vécu chez ma mère jusqu’à mes 12 ans. Ensuite, j’ai… J’ai été internée dans un hôpital psychiatrique jusqu’à mes 18 ans. »

    La dernière partie, elle la lui avait déjà racontée lors de leur première rencontre. Ce qui restait dans le flou, c’était la raison de cet internement de force. Lisbeth le regarda revenir vers elle : elle avait également pris ce ton froid qu’on lui connaissait si bien, comme si elle avait besoin de se protéger contre quelque chose d’invisible. Et c’était bien le cas : elle devait se protéger contre son passé. Elle éprouvait la même crainte que Maverick : qu’il ne veuille plus la voir en apprenant qui elle est vraiment. Peut-être allait-il la prendre pour une femme complètement folle et perturbée. Peut-être allait-il la mettre à la porte. Peut-être ne voudrait-il plus jamais la revoir. Une pointe de tristesse l’envahit à cette pensée : si Maverick devait la rejeter… Elle préférait ne pas penser à la loque qu’elle serait alors. Un peu perturbée, elle posa à nouveau son regard sur le jeune slovaque. On voyait bien qu’elle revenait de loin et qu’elle avait été perdue dans ses pensées.

    « Je… Euh… Je boirais bien quelque chose… »


    La faim était bien loin. Lisbeth ne s’était pas beaucoup nourrie à l’hôpital et ce n’était nullement à cause de la qualité de la nourriture mais parce que tous les médicaments qu’elle prenait lui coupaient l’appétit. Surtout les antibiotiques et les antidouleurs relativement forts. Maverick avait rangé ses affaires et la jeune femme s’était à peine rendue compte qu’il avait quitté le canapé tellement elle avait été absorbée par ses pensées. A présent, il était couché et avait avancé sa main vers elle. Lisbeth la prit et toute la froideur dont elle avait fait preuve plus tôt avait disparu.

    « Euh… »

    Elle n’avait absolument pas pensé à ce petit détail. Où allait-elle dormir ? Elle avait pris l’habitude, malgré elle, de dormir avec Maverick (il dormait bien avec elle à l’hôpital, certes pas dans le même lit, mais elle n’était pas seule non plus). En sa présence, elle avait plus ou moins trouvé le sommeil tous les soirs, même si plusieurs fois dans la nuit elle se réveillait. Elle ouvrit la bouche pour lui répondre qu’elle prendrait la chambre d’amis mais elle se ravisa. Son regard dévia sur la baie vitrée. Et si… Et si elle n’était pas en sécurité ? Après tout, un malade lui avait sauté dessus pour avoir sa peau et elle s’en était sortie in extremis. Une balle dans l’épaule, c’est mieux qu’une balle dans la tête ou en plein cœur. Et si on la surveillait ? Un long frisson la parcourut et elle lâcha la main de Maverick pour allait droit vers la baie vitrée. Son regard ambré et un peu paniqué parcourut le paysage mais elle ne vit rien d’inquiétant. Allait-elle devoir à nouveau enquêter seule, de son côté, pour démasquer son assaillant ? Ou allait-elle faire appel à la police ? Ou les deux ? Elle n’était pas très amie avec ce Clay et elle préférait recevoir une autre balle que de lui demander de l’aide mais peut-être n’aurait-elle pas le choix.

    Maverick devait la prendre pour une folle et il devait peut-être se demander pourquoi elle n’était pas restée enfermée. Finalement, Lisbeth s’écarta de la baie vitrée à reculons. Elle revint alors lentement s’asseoir sur le canapé et détacha finalement son regard de la vitre pour regarder l’homme qu’elle aimait.

    « Ça te gêne si… Si je dors avec toi ? »

    Quelque chose lui faisait peur. Mais peut-être que personne ne soupçonnerait qu’elle soit ailleurs que chez elle. Lisbeth n’était pas du genre à découcher et son assaillant ne s’en doutait certainement pas. Cette pensée la réconforta et elle se détendit un peu.

    « Si tu ne veux pas, je comprendrai. »

    Elle retrouva une nouvelle fois ses joues rouges et elle reprit la main de Maverick dans la sienne. Il fallait qu’elle chasse ses craintes, et vite.

    « Tu veux bien me parler de toi ? De ton enfance, de ce que t’as amené ici ? Et qu’est-ce que tu fais dans la vie ? »


    Lisbeth s’allongea alors près de lui et trouva facilement une bonne position qui ne lui faisait pas mal. Son regard apaisé était plongé dans le sien.

    « Normalement, je ne pose pas autant de questions mais… J’ai envie d’en apprendre le plus possible sur… Sur l’homme que j’aime… Même si tu n’as pas eu une vie de rêve… Mais je ne te force pas à y répondre… »

    Elle ne voulait surtout pas qu’il se sente obligé à quoi que ce soit. Elle posa une main sur sa joue et la caressa doucement tout en le regardant.

    « Et tu peux faire comme moi : m’agresser de questions. »
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    Lien du postMer 5 Avr - 3:17
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    Maverick HorvathfeatLisbeth Larsson
    J'aime bien faire venir des personnes chez nous comme mes coéquipiers, on s'amusait vraiment beaucoup. Mais je n'avais jamais invité d'autres personnes qu'eux vraiment, à part les amis de mon frère qui invitaient lui-même, il n'avait jamais personne d'autre qui venait ici. Parfois je m'ennuyais bien seul le temps était parfois très long, mais j'allais avoir de la compagnie, car je devais m'occuper de Lisebeth. Je me demande vraiment comme cela va se passer. Je me demandais si j'allais réussir à l'aider mais j'allais faire le mieux que je pouvais pour elle, tout en m'occupant de moi aussi et des tâches de la maison.

    Oui je devais vraiment parler cela était ma meilleure solution mais parfois j'en n'était incapable, car cela ne sortait pas. Mon frère s'appelait kenji il était si gentil et ont s'aimait vraiment nous deux. Je m'en rappelais à jamais de celui-ci, je regarde la jeune fille rougir et je souris. J'étais vraiment bien près d'elle une chose es sur je ne voudrais jamais là quitté maintenant elle était à moi je le sentais vraiment bizarrement. Mais en même temps une crainte m'envahissait c'était sûrement que je n'avais pas aimé vraiment une personne depuis Jupiter et je ne sais plus comment vraiment réagir, aussi non c'était autre chose mais je ne voulais pas trop pensée à cela.

    Il s'appelait Kenji...

    J'écoute ses autres paroles, oui c'était vraiment un environnement dangereux cela il fallait vraiment le dire. Cela me faisait quoi de vivre ici maintenant et bien cela me fais encore vraiment bizarre, je me sentais chez nous et en même temps non. Mais j'étais tout de même heureux d'avoir quitté touts ses problèmes que pouvait causer ce que j'étais dans le passé, car je ne pouvais pas respirer et j'étais toujours sur mes gardes à surveiller autour de moi pour quoi je ne sais pas me faire arrêter ou autres. Mais ici tout avait bien changé la vie était tranquille tout de même et je vivais ma vie " normalement". Mais maintenant j'étais rendu seul avec mes quelques amis et celle que j'avais devant moi.

    C'est vraiment bizarre et effrayant parfois encore mais, je m'habitue c'est vraiment plus tranquille j'aime vraiment cela, mais malgré cela sa fait vraiment un énorme choc aussi...

    Je répondais facilement à ses questions mais à l'intérieur de moi j'en sentais que cela était vraiment difficile, mais je devais me rendre à l'évidence que je devais en parler par choix mais aussi cela allait me faire le plus grand bien même si j'avais de la difficulté à me confier parfois auprès des autres, mais avec elle je ne sais pas cela semblais facile peut-être parce que notre passé se ressemblais beaucoup et que je me rapprochais en quelque sorte d'elle de cette façon aussi. Je l'écoute toujours quand qu'elle me dit enfin d'où qu'elle venait. Elle était Suédoise je souris pour ensuite la regarder d'un regard légèrement froid elle a été internée là-bas hé bien en je me demandais vraiment pourquoi, mais je la trouvais légèrement bizarre tout d'un coup. Mais cela m'empêchera jamais de l'aimer autant que je l'aimais actuellement. J'allais le lui demander plus tard la raison, mais pour le moment bizarrement je n'étais pas trop sur de lui en parlé.

    C'est bien Stockholm ?

    J'allais lui chercher un verre d'eau et je lui apporte ensuite dans ses mains. Je tenais toujours la main de celle-ci quand que l'aperçoit se lever et aller vers la baie vitrée, je la regarde longuement en silence. Je me demandais vraiment ce qu'elle pensait ou autre en ce moment, elle semblait vraiment troublé ou autre elle revient et elle me regarde alors je fis de même. Je rougis fortement pour tout dire cela me gênais oui et non, mais si elle le voulait, elle le pouvait très bien. Non je voulais vraiment c'était juste que j'étais incertain de moi mais cela allait bien aller.

    Oui cela me gêne un peu pour tout dire mais cela n'est pas grave tu viendras dans mon lit, je te veux bien près de moi.

    Je regarde sa main qui était dans la mienne et je me mords la lèvre tout d'un coup, Oui je voulais bien parler de tout cela. Je le devais maintenant cela va sûrement me libérer pour au moins le reste de la soirée. Je la regarde s'allonger près de moi je détourne légèrement le regard pour ensuite la regarder droit dans les yeux. J'étais légèrement mal à l'aise par la position de celle-ci, mais je devais m'y faire. Elle avait raison d'en prendre plus sur moi et elle le faisait bien d'en apprendre plus. Effectivement j'avais eu une vie que personne ne voudrait jamais vive. Je devais vraiment y répondre même si je ne voulais pas en ce moment. Je sentis une main sur ma joue, je frémis alors à se contacte et je la regarde pour faire de même.

    Bien je suis né en Slovaquie comme tu le sais déjà, auprès de mes parents et de mon frère qui était plus jeune que moi. Je n'avais vraiment pas eu une enfance facile et cela à empirer quand que j'avais rejoint la gagne de rue avec mon père qui était déjà dans celle-ci. Ma mère voulait que j'aille une bonne éducation alors elle ne voulait pas que j'aille là-bas, mais je ne sais pourquoi. J'avais apporté mon frère un jour avec mon père et moi et ma mère elle était arrivé et a tiré sur mon père, c'est et là suite qui était vraiment difficile. Je m... Me suis alors enfuit avec mon frère après avoir tuée ma mère. Ma mère avant de mourir ma mère elle avait dit que mon père le lui avait caché cet gang. Je quitte alors à 20 ans mon pays pour venir m'installer ici avec mon frère et nous deux nous avions faite nos études ici. Moi j'étais en arts visuels, une chance que j'avais quittée car le climat de la ville augmentais de plus en plus en n'étant dans ma ville natale. Mais depuis que je suis ici c'est cela mon frère et mort et je continue ma vie. Il est mort alors que j'allais le chercher dans l'établissement... Pour ce qui est de cette cicatrice sur mon dos et bien c'est dû au tremblement de terre qu'il y a eu et j'étais alors au Purpol Republik en tant que DJ, je suis DJ en temps partiel l'été. Mais pour le reste je suis gardien de but dans l'équipe de hockey à Boston. Voilà en gros je crois...

    Je ferme alors les yeux en silence pour ensuite venir encore plus contre celle-ci tout en faisant attention à sa blessure.

    Non cela ne me dérange pas pour les questions il faut bien que tu me connais ou peut-être que cela est mieux pas... Dis-tu travailles où toi et qu'elle est la raison de ton internat là-bas ?

    J'avais froid tout d'un coup alors me tenir comme cela près d'elle me réchauffais tout de même assez bien. Je me demandais vraiment ce qu'elle allait dire pour tout cela, j'allais bien le voir bientôt.


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    Lien du postMer 5 Avr - 15:59
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    Maverick & LisbethA welcome or a very nice meeting or something else
    La curiosité n’était pas le fort de Lisbeth et pourtant elle se lâchait à présent. Elle était avide d’en apprendre plus sur Maverick tout en espérant ne pas lui faire trop de mal en lui faisant ressasser le passé. Kenji était donc le prénom de son défunt frère. Elle hocha doucement la tête et lui adressa un petit sourire. Elle aurait bien voulu le connaître. Mais si le passé avait été différent, peut-être que leurs chemins ne se seraient jamais croisés. Ne surtout rien regretter. Ce sont les évènements de la vie qui nous forgent et c’est pour une bonne raison que certaines choses arrivent. Même si ça peut sembler incompréhensible au premier abord.

    « Je comprends : ce n’est pas facile de quitter sa vie d’avant pour recommencer à zéro ailleurs. »

    Elle en connaissait un rayon : combien de fois a-t-elle dû repartir à zéro ? La dernière fois qu’elle avait tout plaqué, c’était pour venir à Harvard. Bon, d’accord, c’était son boss Andréi qui l’avait inscrite à son insu dans cette prestigieuse université. Il en avait raz le bol de la voir gâcher son talent dans sa boîte de surveillance alors il avait pris les devants. Lisbeth lui avait bien ri au nez mais elle avait fini par accepter de tenter l’expérience. Et regardez où ça l’a amené ! Elle ne regrettait pas d’avoir tenté l’aventure.

    « Oui, Stockholm, c’est merveilleux. L’été, les lumières sont majestueuses au coucher du soleil, surtout. Et l’hiver, et bien il fait froid mais on l’oublie vite quand on observe la beauté des paysages. »

    Malgré toutes les mésaventures qu’elle avait vécues, notre Suédoise adorait sa ville natale. Elle n’y était pas retournée depuis son arrivée à Boston et elle se demanda un court instant quand elle reverrait sa Suède. Son appartement de Stockholm l’attendait toujours pour un jour ou l’autre. Savoir qu’elle avait un pied à terre, au cas où, la rassurait énormément. Il ne manquait plus qu’à passer par-dessus le regard des passants qui la reconnaissaient. Après tout, elle avait fait la une des journaux suédois il y a un peu plus d’une année. Elle avait été injustement accusée d’un triple homicide et elle avait dû se débrouiller en grande partie seule pour démasquer les coupables. D’où les trois balles reçues au bras, à la hanche et à la tête. Mais peut-être que d’ici là, les gens l’auraient oubliée.

    Lisbeth remercia Maverick quand il lui apporta son verre d’eau. Elle en but une grande gorgée avant de le poser sur la table basse. Après s’être assurée que personne ne les épiait, la jeune femme avait quand même demandé à Maverick si elle pouvait dormir avec lui plutôt que dans la chambre d’amis. Elle était tout aussi gênée et rouge que lui mais elle se sentirait en sécurité de le savoir près d’elle. Elle lui adressa un petit sourire toujours aussi gêné et hocha la tête avant de s’allonger près de lui. Elle l’écouta attentivement, les sourcils légèrement froncés. Et bien dis donc, ils n’ont pas eu des vies toute rose ! Par contre, elle s’était trompée quant à l’origine de cette cicatrice et cela lui permit d’apprendre ce qu’il faisait dans la vie. Tiens donc, il était DJ l’été ? C’était intéressant, ça. Et il pratiquait le hockey. Ça ne devait pas rigoler avec les entraînements, surtout s’il jouait professionnellement de ce sport.

    « Pourquoi tu ne travailles pas dans le domaine des arts visuels ? C’est toi qui as voulu changer pour voir autre chose ? Ça fait longtemps que tu joues au hockey ? Tu y jouais en Slovaquie ? »

    Freine un peu, Lisbeth ! Elle se mordit légèrement la lèvre avant de l’obliger à la regarder dans les yeux.

    « Arrête, on a chacun notre passé et j’ai envie de te connaître, quoi qu’a été ta vie, quoi que tu aies fait. »

    A nouveau ce regard un peu froid mais qui se radoucit rapidement. Elle s’en foutait royalement que Maverick soit un tueur : de toute façon, elle en était une également. Et puis elle était certaine qu’il n’avait pas un mauvais fond, bien au contraire.

    « Pour le moment, je termine mon doctorat en informatique, maths appliquées et chimie. Je serai diplômée au mois de juin. »

    Ça y’est, elle était démasquée : Lisbeth est une surdouée, capable d’entreprendre un doctorat non pas dans une, ni dans deux mais dans trois branches. Ok, elle avait fait en sorte qu’elles soient étroitement intriquées (elle n’était rien sans ses ordinateurs) mais quand même, elle en avait dans la caboche, celle qu’on voulait interner à vie !

    « A côté de ça, et bien… Je fais des petits jobs par-ci, par-là. »


    Peut-être en avait-elle trop dit. Le hacking était interdit et punissable, elle le savait bien. Ces petits jobs se résumaient à récolter des informations sur des tiers pour ses clients. Quand elle devait remettre les dossiers généralement épais, elle revêtait les traits de Irene Nasser la blonde ou de Veronika Kula la brune. Mais personne ne savait qui se cachait derrière son pseudo « Wasp ». Sauf Clay, ce flic de la DEA, l’avait démasquée alors qu’elle avait hacké le système informatique de la police de Boston pour y trouver son dossier judiciaire et l’effacer. Lisbeth ne voulait pas que son passé lui coure après aux Etats-Unis, même si elle avait été innocentée de tout ce dont on l’accusait en Suède. Clay lui avait alors imposé un ultimatum : soit elle coopérait avec la police et mettait ses talents à leur profit, soit il la dénonçait. Là, elle risquait bien de passer un bon bout de temps en prison… Elle lui avait demandé un délai pour rendre sa réponse : la fin de son doctorat. Le délai approchait dangereusement et, encore une fois, la jeune hackeuse préfèrerait recevoir une nouvelle balle plutôt que de travailler avec les forces de l’ordre. Elle devra trouver une solution.

    « Pourquoi j’ai été internée ? »

    Un long frisson remonta son échine et elle détourna un instant le regard des beaux yeux bleus de Maverick, même si c’était assez difficile. A son tour de se jeter à l’eau.

    « Je… Je ne sais pas par où commencer… Mon enfance n’a pas été super non plus. Je vivais avec ma mère et… Mon père ne vivait pas avec nous. Ça ne l’empêchait pas de venir nous voir. A chaque fois, il… »

    Elle dut s’interrompre un instant pour se reprendre. Elle souffla un peu avant de capter à nouveau le regard du jeune homme.

    « Il battait ma mère et je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher. Mais un jour, j’en ai eu assez et… J’avais 12 ans… Encore une fois, il s’était acharné sur elle et cette fois, elle n’était pas bien du tout. Alors j’ai pris un couteau de cuisine, tu sais celui avec lequel on coupe la viande et qui est bien pointu… J’ai rattrapé mon père. Il était dans sa voiture et… »

    Son regard brillait de rage, de haine et il lançait des éclairs. Mais il était également triste et une immense douleur en émanait.

    « Je l’ai poignardé trois fois. A l’oreille gauche, à l’œil gauche et à la poitrine. »

    Elle se rappelait encore le sang qui l’avait éclaboussée, un véritable film d’horreur. Mais au moins, son père ne ferait plus de mal à sa mère. Un long silence suivit les révélations macabres de Lisbeth. Elle ferma les yeux et déglutit avec peine.

    « Voilà pourquoi j’ai été internée. Lors de mes séances de « thérapies » avec ce psy à la con, je n’ai pas arrêté de répéter que ma mère était battue et violée par mon père. Personne ne m’a jamais crue. Pourtant, ma mère était hospitalisée, elle gardait les marques de ses coups. D’ailleurs, elle n’est jamais ressortie de l’hôpital : elle est décédée il y a quelques années. Apparemment, mon père était haut placé, donc intouchable. Et qu’est-ce qu’une gamine de 12 ans pouvait faire ? Rien ! Alors je suis restée cinq longues années enfermée comme un animal. Je ne compte plus les injections de calmant que j’ai reçues pour rien ni même le nombre de jours que je suis restée attachée à mon lit en fer. »

    D’ailleurs, ses cauchemars reprenaient souvent son long séjour en internement. A chaque fois, elle était attachée à son lit et elle suppliait qu’on la détache. Elle pleurait et elle criait en même temps, à la fois énervée et apeurée. Quand elle se réveillait, elle était en sueur et parfois des larmes coulaient inconsciemment sur ses joues.

    Lisbeth se massa le poignet comme si elle sentait encore les sangles de cuir la serrer. Elle avait froid et tremblait un peu. Toute cette histoire lui glaçait le sang et jamais elle n’avait eu besoin de la raconter à voix haute. Alors elle était chamboulée.

    « J’ai tué mon père parce qu’il faisait du mal à ma mère… »

    Elle sentit une larme échapper à son contrôle et elle déglutit avec peine. Elle regardait Maverick et se dit un instant qu’il formait un couple de personnes brisées par leur passé. Ils étaient tous deux des meurtriers. Mais Lisbeth n’avait pas tout raconté : comment avait été sa vie à sa sortie et la manière dont son tuteur l’avait traitée, jusqu’à cette accusation de ce triple meurtre.

    « Tu es la première personne à qui je dis tout ça. »
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    J'aime bien faire venir des personnes chez nous comme mes coéquipiers, on s'amusait vraiment beaucoup. Mais je n'avais jamais invité d'autres personnes qu'eux vraiment, à part les amis de mon frère qui invitaient lui-même, il n'avait jamais personne d'autre qui venait ici. Parfois je m'ennuyais bien seul le temps était parfois très long, mais j'allais avoir de la compagnie, car je devais m'occuper de Lisebeth. Je me demande vraiment comme cela va se passer. Je me demandais si j'allais réussir à l'aider mais j'allais faire le mieux que je pouvais pour elle, tout en m'occupant de moi aussi et des tâches de la maison.

    Non cela n'était aucunement facile de quitté notre vie d'avant et recommencer, elle avait vraiment raison. Je souris tour d'un coup en m'imaginent le paysage et tout ce qu'elle racontait cela devrais être plus que magnifique, nous aussi parfois nous avions ce genre de paysage chez nous. Oui cela était vrai j'aurais vraiment pue travailler dans le domaine des arts visuels mais oui effectivement je voulais changer pour autre chose, oui cela fait vraiment longtemps que je jouais au hockey professionnellement tout de même. Si J'y jouais dans mon pays natal oui certainement j'y jouais même avec mon frère parfois, nous allions souvent nous deux dans les arénas le soir et nous jouions les deux ensemble, cela était vraiment l'un des plus beaux souvenir que j'avais de lui aussi. J'étais toujours contre elle, je la regarde de mes yeux bleus pour ensuite venir me mordes la lèvre et je viens passer une main sur son visage ensuite.

    Oui, je voulais voir autre chose et oui j'y jouais là-bas et mon frère et moi ont s'amusait souvent ensemble à jouer au hockey nous deux...

    Je soupire à ses autres paroles oui elle avait raison, je devais arrêter de me rabaisser comme cela. Je passe une main dans mon visage, pour ensuite me redresser légèrement. Je lui souris alors pour ou mentionner qu'elle avait parfaitement raison qu'ont n'avait chacun notre passé et qu'elle avait le droit de me connaître tout de même. Elle me parle ensuite de ses études, elle en n'avait vraiment beaucoup, je me demandais vraiment pourquoi mais disons qu'elle avait sûrement beaucoup de travaux à faire et tout à comparer à moi. Je me souviens quand que j'étais étudiant j'avais aussi beaucoup de travaux comme cela aussi. Mais bon déjà avec un doctorat en informatique il fallait être vraiment être vraiment bon elle devait connaître vraiment tout, voire je ne sais pas comment hacker. Je la regarde d'un regard froid tout d'un coup, mais bon cela prenais tout de même des personnes doué dans l'informatique mais bon à ce point je ne savais pas vraiment, cela pouvais avoir de mauvais côté aussi.

    Hum tu es vraiment douée alors, cela n'est pas trop tu trouves toi ? À quoi te sers à faire tout cela aussi ?

    Bon au moins elle avait d'autres petits emplois au moins, c'était bien cela, ou peut-être pas finalement. Je reste en silence et je tentais à mettre tout cela en place ce qu'elle m'avait rencontré. Je m'assis alors sur le divan pour ensuite me lever de celui-ci, alors j'avais aimé une hackeuse en gros. J'allais alors devant la bai vitrée et je soupire, j'espérais juste qu'elle n'allait rien lui arrivé de ce côté. Car moi non plus je ne voulais pas être je ne sais pas être pris pour un complice ou je ne sais quoi d'autre.

    Tu es alors hakeuse, même si c'est illégale et bon tout le reste, cela ne me permettra pas de te quitter pour autant...

    J'écoutais en silence tout son histoire, je respire rapidement tout d'un coup. J'en revenais tout simplement pas. Je me sentis vraiment pas bien cela se voyais très bien quand que je retourne alors mon visage vers elle. Elle avait vraiment vécue un passé horrible, je ne savais vraiment pas quoi dire en ce moment. Je la regarde difficilement pour ensuite aller ranger rapidement mon équipement qui était rendue propre. Je décide alors de rester un moment seul dans ma chambre, j'en n'avais vraiment de besoin. Je ne savais vraiment pas ce qui me prenais tout d'un coup, j'étais comme tout désolé pour elle, je pouvais en même temps la comprendre car j'avais vécu un passé difficile aussi. Au moins j'avais été la première personne à qui qu'elle avait dit cela, elle me faisait sûrement confiance alors. Je m'allonge alors dans mon lit un moment, pour enfin me lever et j'allais de nouveau la rejoindre sur le canapé.

    D... Désolé j'avais besoin d'être un moment seul, je ne sais que dire de ton passé je suis vraiment désolé pour toi.

    Je la regarde et des larmes coulèrent de mes yeux tout d'un coup, je m'approche alors d'elle et je la regarde droit dans les yeux. J'allais prendre une douche car j'avais toujours froid, j'espérais que cela n'allait pas la déranger. Je regarde autour de moi pour enfin venir l'embrasser et je la pris contre moi, je voulais qu'elle passe au travers tout cela enfin essayer tout comme moi. Enfin je me recule d'elle et je baisse mon regard et je rougis tout d'un coup.

    Je vais aller prendre une douche si cela ne te dérange pas...

    Je me lève alors et j'allais alors en direction de la salle de bain, mais avant j'allais me chercher de nouveaux vêtements. Après quelques minutes je ferme la porte de la salle de bain et j'allais dans celle-ci après quelques minutes. Je profite alors de l'eau chaude qui coulait sur moi. Je me demandais vraiment ce que fit tout d'un coup celle-ci.



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    Lien du postJeu 6 Avr - 15:01
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    A mesure que Maverick répondait à ses questions, Lisbeth en trouvait d’autres. Comme elle s’en doutait, il jouait au hockey depuis pas mal d’années. Il avait même pratiqué ce sport avec son frère. Lisbeth n’était pas du genre à se rendre à des matchs de hockey ou à d’autres matchs mais elle était prête à changer ses habitudes pour voir jouer l’homme qu’elle aimait. Elle savoura la caresse sur son visage et un soupir de bien-être lui échappa. Quand il se redressa, elle suivit son mouvement un peu à contrecœur. A présent assise sur le divan, elle replia ses jambes pour s’asseoir en tailleur. Elle se laissa aller en arrière pour s’adosser contre le dossier. Elle ne put s’empêcher de rire à la remarque du jeune homme. Un rire qu’elle offrait à celui qu’elle aimait comme le plus beau des cadeaux car jamais elle n’avait ri devant quelqu’un.

    « Oui, c’est beaucoup. Mais ne t’inquiète pas, je m’en sors plutôt bien. En fait, ce n’est pas moi qui ai décidé de faire des études. Mon boss m’a inscrite à mon insu à Harvard et je n’ai pas trop eu le choix. Enfin, si… Je voulais changer de vie alors j’ai fini par accepter. »

    Lisbeth perdit rapidement son sourire et elle pâlit un peu plus sous les paroles de Maverick. Mais comment soupçonnait-il qu’elle était hackeuse ? Elle resta pétrifiée sur place et elle regretta un instant de lui avoir raconté autant de choses sur elle. S’il avait vite fait le rapprochement avec le hacking, il n’était pas le seul à pouvoir le faire. D’un autre côté, quand on parlait de doctorat en informatique, la première pensée des gens était de se dire que l’étudiant était un hackeur. Pas nécessairement. Lisbeth est d’abord devenue une hackeuse avant d’être étudiante.

    « Je… Je suis une hackeuse, oui, mais j’ai commencé bien avant mon arrivée ici. J’ai commencé à m’y intéresser après ma sortie de cet asile de fous. Et mon talent m’a permis de… De me sauver plusieurs fois. Ne t’en fais pas, tu ne risques rien. »

    L’étudiante était très prudente et il était impossible de tracer son signal quand elle s’adonnait à ses activités illégales. Vint le moment où elle parla de son enfance et du calvaire de son internement. Elle resta un long moment silencieuse, prostrée dans ce canapé beaucoup trop grand pour elle. Maverick avait quitté le salon et s’était enfermé dans une pièce qui semblait être sa chambre. Lisbeth ferma alors les yeux et replia ses jambes contre sa poitrine. Elle les entoura de ses bras tout en faisant attention à ne pas se faire trop mal à l’épaule. Une larme coula le long de sa joue redevenue pâle, bientôt suivie par bien d’autres. Maintenant qu’elle était seule, elle pouvait se laisser un peu plus aller. Son front toucha bientôt ses genoux et elle pleura toutes les larmes de son corps. Trop de pression accumulée ces derniers temps. Elle resta un long moment dans cette position avant de relever la tête et d’essuyer rapidement ses joues du revers de sa main. Quand Maverick la rejoignit, elle avait les yeux rouges et les joues dans le même état.

    « Pas grave… J’avais aussi besoin d’être seule… »

    Elle était consciente que ça n’avait pas dû être facile à entendre. Les larmes coulèrent alors sur les joues du jeune homme et elle s’approcha un peu de lui. Il raccourcit la distance qui les séparait encore et elle déplia ses jambes pour qu’il puisse la prendre ses bras. Lisbeth vint tout contre lui et répondit à son baiser. Un petit goût salé se posa sur ses lèvres et elle pressa un peu plus sa bouche contre la sienne. Elle frissonna à nouveau : avait-elle froid ? Ou était-ce autre chose ? Sûrement un peu des deux.

    « D’accord… »

    Elle le lâcha à contrecœur et le regarda se rendre dans la salle de bain. La jeune suédoise finit par se lever et alla chercher son sac resté au sol. Elle en sortit son ordinateur, qu’elle posa sur la table du salon avant de se diriger dans la chambre à coucher de Maverick. Une nouvelle fois, elle batailla avec son pull qu’elle finit par ôter. Elle ne portait rien dessous et, comme elle était dos à la porte entrebâillée, la seule chose qu’un indiscret aurait pu apercevoir c’est le dragon ornant presque tout son dos et une partie de son pansement. Lisbeth se débarrassa également de son pantalon pour enfiler un training beaucoup plus confortable. Il ne lui restait plus qu’à mettre un haut plus léger. Elle opta pour un T-shirt gris. Lisbeth n’avait pas remarqué que l’eau ne coulait plus dans la salle de bain. Elle quitta la chambre du jeune homme et alla à la cuisine pour se resservir de l’eau et prendre ses médicaments. Quand elle se retourna, elle vit que Maverick l’observait. La jeune suédoise sursauta, ne s’attendant pas à le voir là, en face d’elle. Depuis quand était-il là ?

    « Ça va mieux ? »


    Elle avait l’air toute frêle dans son T-shirt. Elle s’approcha de Maverick et lui adressa un petit sourire.

    « Tu dois avoir faim… Mais hors de question que tu cuisines. Pas après tout ce que tu fais pour moi. Je te propose de commander quelque chose. »

    La jeune femme s’adossa contre le comptoir et, une nouvelle fois, elle plongea son regard dans le sien. Elle se perdit dans le bleu de ses yeux et, soudainement, une bouffée de chaleur l’envahit. Malgré le T-shirt qu’elle portait, elle avait chaud. Alors elle quitta sa place et s’avança lentement vers lui. Quelques centimètres les séparaient alors et ce fut elle qui brisa la distance pour venir poser ses lèvres contre les siennes.

    « Je… Je t’aime… »
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    Lien du postVen 7 Avr - 3:50
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    J'aime bien faire venir des personnes chez nous comme mes coéquipiers, on s'amusait vraiment beaucoup. Mais je n'avais jamais invité d'autres personnes qu'eux vraiment, à part les amis de mon frère qui invitaient lui-même, il n'avait jamais personne d'autre qui venait ici. Parfois je m'ennuyais bien seul le temps était parfois très long, mais j'allais avoir de la compagnie, car je devais m'occuper de Lisebeth. Je me demande vraiment comme cela va se passer. Je me demandais si j'allais réussir à l'aider mais j'allais faire le mieux que je pouvais pour elle, tout en m'occupant de moi aussi et des tâches de la maison.

    J'étais encore dans la douche et je repense aux paroles de celle-ci, au moins elle s'en sortait cela était le principal. Tien sont bosse l'avais inscrit cela était tout de même bizarre alors elle ne voulait pas vraiment faire des études alors. Mais au moins elle voulait changer de vie alors elle avait accepté, c'était ce qu'il fallait faire. Elle était une hackeuse j'avais alors raison pour cela, au moins si elle le disait je ne risquerais rien, une chance car cela me tente pas d'être dans ses histoires, en n'avais déjà aussi avec ses journalistes et tout parfois. Elle avait aussi besoin d'être seul je la comprenais vraiment bien et là elle avait la chance elle était seul en ce moment. Après quelques minutes j'arrête l'eau de la douche pour ensuite sortir de celle-ci je me sèche alors, pour enfin regarder un moment m'a cicatrice dans mon dos et mon tatouage qu'on voyait très bien. Ensuite je mis mes vraiment et je sèche ensuite rapidement ma chevelure, je laissais cette fois-ci ma mèche de cheveux sur mon visage. J'allais en direction de la cuisine quand celle-ci me dit ci cela allait mieux, je lui souris et je la regarde de mon regard bleu.

    Oui je vais... Vraiment mieux

    Je la regarde et je me mords la lèvre, oui j'avais vraiment faim, c'était vraiment gentil qu'elle m'offre de commencer quelque chose. Je le voulais bien tout ce que je fais pour elle cela était bien un grand mot pour moi, mais pour elle sûrement pas. J'étais vraiment heureux d'être là pour elle cela était normale. Je me demandais vraiment ce qu'ont n'allais commander j'avais vraiment aucune idée, car tout me tentait en ce moment. Le seul problème c'est que je pouvais manger beaucoup. Alors je ne voudrais pas que cela coûte cher à celle-ci, au pire des cas je pourrais payer le reste. Je lui dis d'un ton vraiment heureux tout d'un coup mais très calme bizarrement.

    Oui j'ai vraiment faim mais je ne veux pas te coûter cher, parfais on va commander alors mais tu voudrais quoi et je suis heureux de t'aider tu sais ...

    Je la regarde à nouveau droit dans les yeux et je la regarde de haut en bas tout d'un coup. Je la laisse s'avancer vers moi je me demandais ce qu'elle allait faire, elle pose alors ses lèvres contre les miennes, je l'embrasse alors pour ensuite venir la mettre contre moi. Je deviens rouge tout d'un coup et je sentis la chaleur montée en moi soudainement. Moi aussi je l'aimais vraiment, je la regarde droit dans les yeux tout en la laissant contre moi. Je viens alors mette mes mains derrière son dos et je me mords ensuite les lève, je sentis ma respiration augmenter tout d'un coup. Je viens de nouveau l'embrasser pour ensuite laisser une légère espace entre nous. Je reste en silence tout en restant devant elle, pour ensuite détourné le regard.

    Je hum... M... Moi aussi !

    Enfin je m'assis alors sur une chaise et j'essaie de reprendre mon calme et d'avoir moins chaud. Je regarde devant moi pour ensuite la regarder, d'un regard dragueur tout d'un coup. Je me lève alors et j'allais de nouveau contre elle, je ne sais ce qui me prenais tout d'un coup. Soudainement sans le vouloir je mis mes mains sur son haut, je me recule tout d'un coup et je détourne alors le regard vraiment mal alaise tout d'un coup. Non mais j'avais fait quoi, j'en revenais juste pas je n'osais même plus la regarder en ce moment. Je lui fis alors dos et j'étais plus que rouge tomate en ce moment. J'allais m'assoir alors sur une chaise tout de même assez haute, mais je ne sais pourquoi je tombe alors de celle-ci.

    M...rde !

    Je reste alors au sol en douleur mais je finis tranquillement par me relever tout de même mais je reste plier en deux. Non mais il m'arrivait quoi tout d'un coup, en ce moment je passais vraiment pour un con ou je ne sais trop quoi. Un gas qui était trop amoureux peut-être mais qu'il ne le savait pas vraiment en ce moment. J'en savais rien, j'avais les yeux dans l'eau tellement que j'avais toujours mal en ce moment. Mais je savais très bien que cela allait passer. J'allais enfin rejoindre tranquillement celle-ci en boitant légèrement et je grimaçais de douleur. Pour enfin la regarder d'un regard froid, il n'avait pas juste elle de blessée en ce moment. J'allais alors prendre la glace dans le congélateur et j'allais contre le comptoir parla suite. Je me demandais vraiment ce qu'elle allait me dire celle-ci.


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    Lien du postVen 7 Avr - 14:57
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    Le sourire de Maverick la rassura. Si cette douche lui avait fait du bien alors tant mieux. Pour sa part, elle avait eu besoin de ce moment passé seule avec ses pensées. Elle s’était calmée et allait un peu mieux. Extérioriser ainsi son passé et sa peine lui avait procuré une force toute nouvelle. Le chemin de la guérison était encore loin mais elle avançait petit à petit. A bien y penser, tout ceci, c’était grâce à Maverick. Depuis qu’elle le connaissait, sa vie prenait gentiment un nouveau tournant. Il y a quelques mois de cela, la jeune femme aurait été incapable de se confier comme elle l’avait fait plus tôt. Plus encore, elle aurait refusé tout net son aide. D’ailleurs, elle se demandait toujours pourquoi elle acceptait qu’il prenne soin d’elle. Mais quelque chose d’irrésistible la retenait et la poussait à dire oui au moindre moment passé avec l’homme qu’elle aimait.

    « Ne t’en fais pas pour ça. Je ne sais pas trop… Je mange de tout alors n’hésite pas. »

    Le ton léger du jeune slovaque lui fit plaisir. Ainsi donc, Monsieur était un glouton. Pour elle, ça dépendait des périodes. Elle pouvait passer des semaines à grignoter sans vraiment avoir un vrai repas et d’autres fois elle mangeait pour deux. Malgré ces grands écarts, Lisbeth gardait toujours son apparence frêle et mince. Elle lui sourit quand il lui assura être ravi de l’aider. Ses joues étaient un peu rouges (ça devenait une habitude !) et elle détourna un instant le regard. Le silence s’installa entre les deux jeunes gens et l’atmosphère de la pièce devint oppressante tout à coup. Ce fut la jeune suédoise qui brisa la distance les séparant pour venir l’embrasser et lui susurrer qu’elle l’aimait. Avant qu’elle ne puisse ajouter quoi que ce soit d’autre, elle sentit les mains de Maverick se poser sur son dos. Ce fut comme un coup de tonnerre dans sa tête et un éclair lui traversant le corps. Depuis quand un contact physique lui faisait cet effet ? D’habitude, elle avait tendance à se crisper et à fuir. A peine cette sensation l’envahit-elle qu’il l’embrassa. Une nouvelle sensation d’un même genre la submergea et quand Maverick se recula, elle se rendit compte qu’elle avait retenu son souffle. Elle passa une main dans ses cheveux et fit un pas en arrière comme étourdie. Mais ce n’était pas la douleur ou une quelconque fatigue qui la fit reculer mais plutôt toutes ces nouvelles émotions qui l’envahissaient.

    Vous pensez bien que Lisbeth n’eut pas le temps de s’en remettre. Le regard que lui jeta Maverick la fit encore plus rougir et quand il se leva pour revenir vers elle, elle le laissa faire sans broncher. Cette fois, ses mains se posèrent sur son haut et la jeune femme eut le réflexe de s’approcher un peu plus de lui. Mais Maverick brisa rapidement ce contact intempestif et se recula, visiblement gêné. Lisbeth en fit de même et se cogna contre le comptoir. Un pic de douleur la ramena violemment à la réalité et elle grimaça. Et puis un « boom » retentit et le jeune homme fut au sol. Décidément, ils faisaient la paire ce soir. La jeune suédoise s’empressa de venir vers lui pour l’aider du mieux qu’elle pouvait.

    « Ça va ? Tu t’es fait mal où ? »


    Oui, Lisbeth était inquiète et espérait qu’il ne se soit rien cassé. Elle posa sa main sur son avant-bras et attendit sa réponse.

    « Je pense que ces chaises sont dangereuses. »

    Maverick, maladroit ? Non, jamais de la vie ! Tout est de la faute de ces satanées chaises. Elle alla ensuite relever la pauvre chaise avec sa main et son bras valide.

    « Je pense qu’on devrait commander… »

    Lisbeth alla chercher son téléphone portable resté dans son sac qui était dans la chambre de Maverick. Une fois dans la pièce, elle poussa un léger soupir et secoua la tête pour se reprendre. Elle passa une main sur son visage et chercha ensuite son téléphone. Une fois en main, elle revint dans la cuisine.

    « Ça te dirait de manger suédois ? »
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