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I LOVE HARVARD
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    A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel
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    Ayanna Pleasance Wilder-Smith
    fiche; en cours - terminée

    C'est le 21 Juin 1989 à Bangalore en Inde, que la famille Wilder-Smith m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ayanna Pleasance. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que mannequin & modèle photo depuis 3 ans en comptant l'année de recherche de contrat. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Citizen.

    Études
    Après son accident où elle a subit des séquelles qui se refléteront tout au long de sa vie, Pleasance fut contrainte de changer sa vision de carrière. En effet, auparavant, la jeune femme désirait être avocate en droit pénal, mais suite à un traumatisme qui lui fait défaut dans sa vie quotidienne, la blondinette entrepris une carrière dans le mannequinat. Loin d'être une femme superficielle, Pleasance pris ce job comme un fardeau, puis finalement quand sa carrière a décollée, de jour en jour, elle pris du plaisir à poser et à défiler.


    Caractère
    « Pleasance ? Cette blondinette ? Cette femme est déroutante, une amorce de sourires et de malices. Spontanée, on ne peut pas déceler à l’avance ce qu’elle manigance dans son crâne. Constamment la première à suivre le mouvement au dépit de foncer droit la tête dans le mur. Pleasance, elle est entière et cette femme là, fait toujours preuve de franchise. Ouverte d’esprit comme pas deux, l’excentricité ne lui fait pas peur, elle acquiesce de nombreuses pratiques qui demeurent inacceptables pour certains. La jeune femme détient entre ses mains un air ingénu qui lui va à ravir, naturel, je dirais même qu’elle peut se montrer candide. Charmante et captivante, ce sont bien deux traits de caractères qui font d'elle ce qu'elle est.
    Cette blonde ou cette brune ou mais encore cette rousse possède de multiples facettes synonyme du jour et de la nuit. C’est une femme au aspect enfantine qui peut arborer un côté femme fatale. Désarmante, même touchante ce qui rend impossible toute attaque, toute critique envers elle. Passionnée et amoureuse, elle se donne à corps perdu dans chacune de ses histoires. Garçon manqué évidemment. Joueuse, à jouer avec le feu sans aucun doute. »



    Everyone Has Their Own Story

    « Good Morning America ». Le son provenait de son réveille. Chaque matin à la même heure la radio retentissait. Une jeune femme, où à vrai dire à l’époque, une enfant, émergeait subtilement de son sommeil ; un sommeil visiblement lourd. Comme à son habitude, la jeune fille ressassait le passé à travers des portraits photos de son entourage. Des clichés qui remontaient sur une trentaine d’années, voire un peu plus d’ailleurs. Ses parents tout comme ses tantes et ses oncles y figuraient. Certains visages lui étaient familiers d’autres moins, voire de parfaits inconnus à ses yeux. Son père s’exprimait très rarement sur son vécu. Probablement parce que la Mistinguett n’avait que 5 ans et n’était pas en âge de comprendre ou alors, elle était trop jeune pour être confrontée à la vie telle quelle était.

    Mais qui est cette petite blonde désarmante ? Mais d’où vient-elle ? La blondinette se nommait Ayanna Pleasance. Ayanna, parce que sa mère vouait un culte sans faille aux tribus indiennes et, parce qu’elle désirait faire perpétuer cette culture qui lui était devenue familière avec le temps. D’autant plus que le prénom Ayanna signifiait « innocente », ce qui ferait d’elle par la suite une femme respectable, selon ses parents. Puis le prénom Pleasance lui a été désigné par son père. Pourquoi ce second prénom ? Pleasance équivaut à Plaisir, oui, le plaisir de l’admirer constamment, le plaisir qu’auront ses futurs copains à poser leurs yeux sur sa progéniture. Avec le temps, en grandissant, peu à peu son premier prénom s’éteignait ou du moins, son entourage ne l’appelait plus que Pleasance, ce qui ne lui déplaisait pas, au contraire.
    Si vous avez trouvez ses prénoms originaux, sa naissance l’est tout autant. Non loin d’une réserve indienne en Inde, part une journée ensoleillée du mois de juin, le 21 juin 1989, pour des raisons humanitaires, Madame Wilder-Smith résidait dans ce pays avec son mari. Enceinte jusqu’aux dents, la jeune femme s’afférait à ses tâches quotidiennes, entre vaccins et fondation d’un puits, en somme la brunette ne lésinait pas sur ses efforts. Tandis que son conjoint lui, chirurgien, mais à la fois militaire, soignait des citoyens victimes de la guerre civile et n’hésitait pas à mettre sa vie en péril au dépend de celle des autres. En bref, monsieur et madame Wilder-Smith ne se voyait que très rarement, mais surtout lorsqu’il se voyait ce n’était qu’en coup de vent. Tout ça pour dire que Pleasance eut l’idée de pointer le bout de son nez ce jour-là. Un accouchement durement mené par monsieur Wilder-Smith, qui, avait pris l’initiative de la faire procréer en plein milieu de la brousse où il n’y avait aucune hygiène. La jeune fille eut la chance de rejoindre l’hôpital le plus proche en véhicule militaire. C’est déjà un beau bébé au regard innocent, à croire que l’innocence berça son existence.
    Pleasance avait huit ans. Ca faisait quatre ans que ses parents et la petite fille ont été rapatriés aux États-Unis, Miami. Et sa vie allait prendre un tout autre tournant, puisque la famille allait s’agrandir d’une nouvelle venue. Enfin, un petit bout de chou allait naître dans peu de temps. La jeune fille n’était guère ravie. Elle ne portait pas dans son cœur l’arrivée de sa petite sœur. La blondinette injuriait ses parents, voire les menaçaient de catapulter sa sœur dans une poubelle. Selon la gamine, il n’y avait aucun intérêt d’avoir une sœur. Puisque elle-même, était à l’antipode du stéréotype même de la fillette, fille à maman. Trop peu pour elle, Pleasance appréciait trop son ballon de football pour le troquer contre une poupée Barbie. La venue de sa sœur serait sujette à tout chambouler son quotidien, du moins elle le percevait de cette manière. Alors que si la jeune fille aurait eut un frère, elle aurait pu partager de nombreux moments de complicités. Peut-être qu’elle se trompait, elle ne pouvait pas prévoir à l’avance le caractère de sa frangine avant de l’avoir vu grandir, après tout. Son père tentait en vin de la raisonner, de lui faire comprendre qu’elle aura la responsabilité de la surveiller et de la protéger du monde environnant. Néanmoins, Pleasance faisait la sourde d’oreille face à ses propos. En effet, seul et seulement elle pourra en juger de ce qu’il en sera.
    Comment à-t-elle vécue la naissance de cette dernière ? Son visage s’est illuminé ensuite ses yeux ce sont écarquillés, un feeling sans faille naissait entre elle. Foutaise. Une mine décrépie c’était installée sur sa tronche, un regarde insipide pris place et la blondinette ne daignait pas s’approcher du berceau de sa frangine. Primo elle la percevait comme une concurrente et secundo elle allait traîner dans ses pattes. Pas la joie tout ça. A vrai dire pour en revenir à l’histoire de la poubelle, si y en aurait eut une sous sa main, sans doute qu’elle l’aurait mise dedans. La blondinette avait tout de même fait l’effort de prendre le temps de la toiser des pieds à la tête et de finalement se rendre compte que fillette lui ressemblait physiquement. Cela dit, ça ne l’empêchera pas de lui rendre la vie dure, de temps à autre. Sournoise, elle lui fera porter le chapeau sur toutes les sottises dont elle sera l’auteur, voire lui arracher toutes les têtes de ses Barbie pour pousser le vice. Néanmoins, elle veillera sur elle, digne d’une grande sœur.

    Heaven et Pleasance ont grandis en totale opposition, l’une disait noir, l’autre disait blanc. L’une avait quinze ans l’autre avait sept ans, autant dire qu’entre elles ce n’était pas le grand amour. Autant avouer que la différence d’âge n’arrangeait pas la situation. Ce n’était pas rose tous les jours. Néanmoins, sa petite sœur lui vouait un certain culte. Oui, elle voulait à tout prix ressembler à sa grande sœur, il lui arrivait même de lui emprunter sans son avis ses affaires, ce qui avait le don d’agacer la blondinette. L’une autant que l’autre, grâce à leurs tumultueux affronts, ce sont forgées de vigoureux caractères.
    Bien que les jeunes filles ne partagent pas autant de moments de complicités comme l’aurait souhaité leur parent, ce n’était pas pour autant que la blondinette ne gardait pas un œil sur sa sœur. Quoi qu’elle fasse, Pleasance était constamment derrière son dos à s’assurer que tout allait bien. Protectrice ? Certes, il y avait quelques querelles entre elles, néanmoins c’était tout de même sa sœur. Autrement dit, sa chaire et son sang. Cela dit, toute les deux ont en commun un caractère sanguin, par conséquent Heaven était à même à l’époque de se défendre seule, mais la blondinette se devait de veiller sur elle tout de même. Probablement, une question de conscience. Encore à l’heure actuelle, bien que leur relation à profondément évoluée depuis.

    L’adolescence, une période qui révolu l’enfance et qui vous transporte dans une époque d’insouciance. De nombreux changements s’opèrent dans cette phase. Nous pouvons constatez que le physique dît « enfant » se métamorphose en un corps de jeune femme ; des formes généreuses ainsi que des rondeurs apparaissent ici et là. Nous nous rendons compte que nous possédons entre nos main, un charme à faire pâlir plus d’un. Excès ou conscience de son potentiel, il n’y a qu’un pas entre cette étroite frontière. Et autant vous dire que Pleasance s’en est très vite rendu compte de ce charme qu’elle émanait. Et sa sœur dans tout ça ? Le rôle de grande sœur lui tenait de plus en plus à cœur, en quelque sorte. Certes elles étaient toujours autant à l’antipode de l’une et de l’autre, mais elle se devait de l’épauler, de prendre soin d’elle, en somme d’être là pour celle-ci.
    L’adolescence. Aucun fait très important ne l'a vraiment marqué, à vrai dire. Pleasance n’était ni plus ni moins une adolescente comme les autres. Une jeune fille relativement studieuse dans certaines matières, un peu moins dans d’autres. Ses bulletins reflétaient son intérêt de s’instruire.
    En parallèle, le sport à très largement bercé son adolescence. La jeune femme était attaquante et capitaine de son équipe de football au lycée. Comme on peut le remarquer, la blondinette n’avait toujours pas troquée son ballon contre une paire de talon. Et, la blondinette excellait dans ce domaine. Par ailleurs, son père en était très fier, tout comme sa mère. Ses parents assistaient à tous ses tournois pour l’encourager. Sa sœur, elle, n’étant pas une fanatique du football, participait seulement aux grandes rencontres, mais elle était bien là pour la soutenir.
    Au lycée, Pleasance était en quelque sorte populaire, de part parce qu’elle était capitaine, d’autre part pour son physique avantageux. Ouais le sport ça aide à avoir un corps athlétique. Les hommes n’avaient yeux que pour elle, la blondinette ne laissait personne indifférent. Son regard bleu azur, ainsi que ses longues et fines jambes interminables attisaient les regards. Son côté candide, je dirais même ingénue troublait les jeunes hommes. Mais surtout le sport permet de faire de formidable rencontre. En effet, Pleasance, lors d’un tournoi de football en salle, elle avait fait la rencontre d’un joli garçon. De nature fonceuse, la blondinette à œuvrée pour le séduire. Aventureuse, la midinette à montée un stratagème sans faille pour le draguer. Comme sur le terrain, la jeune fille avait élaborée une tactique. Là, ce n’était pas un 4-4-2, non là, elle l’avait abordée avec beaucoup de finesse. L’excuse qu’elle avait besoin d’affiner son tire, foutaise. Il n’était pas dupe, lui-même avait remarqué qu’elle n’en avait pas besoin, mais il avait accepté. Un jeu de séduction c’était mis en place entre eux, et de fil en aiguille, ils ont commencés à se fréquenter.
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    Cependant, peu avant sa majorité, autrement dit ses vingt et un an, ce fut la dégringolade … La chute du mur de Berlin ! Disons, que la roue avait tournée. Ce n’était pas leur faute, la malchance ne touche pas que les autres, elle peut s’aventurer derrière votre porte et frapper du jour au lendemain. Monsieur Wilder-Smith ? Il exerçait toujours son travail de médecin sans frontière, de temps à autre, il faisait de petites escales dans les pays défavorisés afin d’apporter son aider. Et à côté de ça, à Miami, récemment il avait ouvert son cabinet de proximité. Et madame Wilder-Smith dans tout ça ? Tantôt elle était à la maison pour s’occuper de Heaven, qui n’avait que treize ans à l’époque, et tantôt à son job. Elle partageait son temps entre sa vie de famille et son travail qui lui tenait à cœur. Elle était une superbe maman, mais aussi une superbe pédiatre. Le cocon familial pouvait se reposer sur les épaules de madame Wilder-Smith, car au fond on pouvait toujours compter sur elle. Sa sœur, elle, filait le droit chemin. Elle réussissait tout ce qu’elle entreprenait. C’était une élève assidue, qui brillait dans toutes les matières pour le plus grand plaisir de toute sa famille qui en était tous très fier. Et Pleasance, tandis qu’elle filait le parfait amour avec son bel étalon. Elle était la coqueluche de son lycée, elle était constamment conviée aux soirées organisées par des élèves de son bahut. De plus, la blondinette avait décrochée une bourse pour aller dans la plus prestigieuse université de Miami dans le but devenir par la suite, une brillante avocate en droit pénale. Sauf que le destin en avait décidé autrement …
    2008, autrement dit l’année où de nombreux événements basculèrent la famille Wilder-Smith. Pleasance venait tout juste d’avoir ses 21 ans. Ce soir là, comme de nombreux week-end, la jeune femme était de sortie avec son petit ami pour fêter son anniversaire. Son copain possédait une très belle et puissante moto. Il y a eut un accident, un dramatique accident. Leur moto fut fauchée pour un automobiliste, probablement ivre. Le choc fut tellement brutal que la moto a été propulsée dans un ravin de plusieurs mètres de hauts. Le conducteur du véhicule, lui, était mort sur le coup. Pour ce qui en est du jeune homme et de Pleasance, ils étaient tous deux gravement blessés voire dans un état critique pour le cas de son copain. Le jeune homme mourut quelques heures plus tard suite à ses blessures. Les pompiers avaient tout leur possible pour le garder conscient et animé.
    Quand Pleasance reprit conscience, soit une semaine après l’accident, elle fut choquée voire traumatisée d’apprendre ce qui lui était passée. Oui, parce que la jeune femme avait comme perdue la mémoire. Sa mémoire à court terme était devenue quelque peu défaillante, il ne lui restait plus que ses souvenirs d’enfances et le présent quant à lui, c’était évaporée avec l’accident. La jambe dans le plâtre et le coup dans une minerve, elle avait ordre de minimiser ses mouvements afin de ne pas faire pâtir sa colonne vertébrale gravement touchée. Le médecin l’avait prévenu qu’elle aurait des séquelles par la suite, comme une mémoire qui portera préjudice, des douleurs qui l’empêcheront de pratiquer du sport à haut niveau. Fort heureusement, elle ne comptait pas faire carrière dans le football, mais son rêve de devenir avocate, serait dorénavant, terminé. Son cerveau ne sera plus une éponge comme par le passé, il lui sera donc, difficile de mémoriser tant d’informations à la fois. Ses beaux rêves de carrière dans le pénal ce sont envolés en un clin d’œil. Et pour son petit copain alors ? Décédé et elle n’avait plus souvenance de lui. Certes, elle ressentait un vide, un manque d’un être chair, mais elle ne savait pas pourquoi tant de chagrin en elle. Elle surmonterait cet événement, d’une manière ou d’une autre, elle y arrivera. Durant son mois d’hospitalisation, ses parents ainsi que sa petite sœur, venait lui rendre visite tous les jours pour lui remonter le moral et lui changer les idées. Parce que eux et seulement, détenaient la clef de son passé oublié. Oui, et parce que eux et seulement eux, figuraient dans ses souvenirs.

    Une citation dit qu’un malheur ne survint jamais seul. En effet, puisqu’à peine trois mois après la sortie d’hôpital de Pleasance, voici qu’un autre malheur pointait le bout de son nez, mettant à mal, une nouvelle fois les Wilder-Smith. Cette fois-ci ce n’était pas Pleasance qui fut touchée, mais une autre femme de la famille. Est-ce la si douce et innocente Heaven où la parfaite et tendre mère de famille ? Pour répondre à votre question, il s’agissait de Madame Wilder-Smith qui fut rattrapée par la maladie. On lui avait décelé un cancer général en phase terminale. Sa mère c’était rendue au médecin pour une visite de routine. Seulement, lors de la consultation, le docteur lui annonçait donc la mauvaise nouvelle et la mère semblait accuser le coup. Seulement, en sortant de chez son médecin, la femme se rendit près d’une voie ferrée. Qu’allait-elle faire là-bas ? Elle attendit … Oui, la tête posée sur une raille, elle attendit qu’un train vienne lui mettre fin à sa vie. Lorsqu’un passant passa par-là, il était trop tard. La mère de famille venait de décéder suite à ses blessures et à une perte trop abondante de sang.
    La personne qui fut, sans doute, la plus attristée, voire effondrée par cette tragique perte était Heaven qui venait de perdre son mentor. Pas évident pour un enfant de perdre l’un des piliers principal d’une famille. Il n’était également pas facile pour Pleasance d’accuser le coup, qui, pour garder la tête haute face à sœur, accumulait toutes les émotions en elle. La jeune femme, quelques mois en arrières avait perdu la mémoire, aujourd’hui, elle venait de perdre un être chair sur qui elle pouvait se reposer. Quant à son père, c’était la descente aux enfers. Ce n’était plus pareil sans femme. Dans sa vie professionnelle ça n’allait plus, il commençait à siphonner des bouteilles de Whisky en fraude. Bien heureusement que Pleasance était là, constamment derrière les fesses de son père à le tirer vers le haut afin d’éviter qu’il ne sombre. Si la jeune femme n’aurait pas été présente dans cette période pour épauler son père, il serait sans doute six pieds sous terre, tandis que sa sœur serait … ? Très bonne question.
    Heaven ne parvenait pas à surmonter cet événement tragique. Et ça se reflétait dans ses notes qui avaient quelques peu chutés et par ses mauvaises fréquentations qui l’influençaient à commettre des sottises. En tant que grande sœur qui se respecte, Pleasance c’était permis de la recadrer à de nombreuses reprises, afin qu’elle ne franchisse pas plus les limites qu’elle avait franchis. Mais bon, heureusement, sa petite sœur avait de nombreuses réserves en elle qui lui ont permis de remonter la pente, de tendre la main pour attraper la perche que sa sœur lui avait tendue. Ce fut émotionnellement une année difficile, mais ils surmontèrent ça, tous les trois, main dans la main.

    Juin 2009. Pleasance obtint son diplôme de fin d’année. A l’heure actuelle, elle pouvait s’asseoir sur son rêve d’embrasser une carrière d’avocate en droit pénal. La blondinette se ravisa sur son deuxième choix. Faire ce qui est à sa porter ; devenir mannequin. Une décision relativement difficile pour la jeune femme, qui était à l’antipode du monde des paillettes et du superficielle. Sa sœur approuva, son père moins. Il n’ait guère envie de voir sa fille se pavaner sur un podium et de se dénuder sur des photos. Son père la fit douter sur son choix de carrière. Mais finalement, elle s’y abandonna à cœur perdu dans cette nouvelle vision de carrière. Si un jour l’occasion de quitter Miami se présente, sans doute elle partira. Mais elle reviendrait aussi souvent que possible, et elle tenterait de les appeler dès que possible. Toujours elle reviendrait.
    Seulement, la très chère Pleasance ne voulait pas être un simple mannequin de pacotille, une simple potiche. Elle désirait représenter les plus grands couturiers, voire être une égérie d’une marque. Parce qu’elle voulait relever un défi. Parce qu’elle voulait voir si elle pouvait y parvenir dans ce monde de requin où il était difficile de se faire une place. Un premier casting chez Victoria Secret pour décrocher une place de mannequin en lingerie. Un second chez Elite Model Management pour obtenir des contrats avec les plus grands du métier. Il lui a fallut 365 jours, à trimer, à en baver jour après jour, pour signer son premier contrat. La blondinette pouvait compter sur le soutient de sa famille, qui lui remontait le moral dans les pires moments. Mais, elle avait le mérite de vouloir réussir à tout prix, quitte à perdre du poids ou en prendre, selon les agences.
    Quoi qu'il en soit, ce n'était pas parce qu'elle avait réussi qu'elle allait s'endormir sur ses lauriers. Au total, donc, 2 années à sillonner le monde entier à poser pour les meilleurs photographes, à défiler pour les meilleurs couturiers, en somme que des étoiles dans les yeux. Un milieu strict qui lui avait forgé le caractère. Et du haut de ses 23 à peine, Pleasance avait son destin tout tracé dans le mannequinat.
    La jeune femme avait donc passé deux ans de sa vie dans le mannequinat avant de passer la main à plus jeune. Elle avait commencée à 20 ans, elle en avait actuellement 23. La jeune femme avait connue des hauts et des bas, des pleures et rires, du succès et des rencontres. Il était grand temps pour elle de faire autre chose. Elle en avait besoin d’ailleurs. Elle avait besoin de se ressourcer, de se redécouvrir.
    C’est avec un pincement au cœur, que la blondinette s’envolait. Non pas pour Miami, mais pour le Massachusetts. Pourquoi donc le Massachusetts ? Parce qu’elle avait décidée d'élargir son horizon pour développer sa carrière. Elle n’était pas certaine de s'acclimater avec celle nouvelle ville, peur que sa carrière stagne en restant ici. Puis si elle avait choisie cette ville ce n’était pas rien, il y avait un certain intérêt derrière. Oui, parce que sa petite sœur poursuis actuellement des études de journalisme à Harvard. Elle était tellement studieuse, que la Mistinguett avait réussie à décrocher une bourse dans cette prestigieuse université. Donc, Pleasance, faisait en quelque sorte, d’une pierre deux coups. Et son père dans cette histoire ? Toujours à Miami, il va beaucoup mieux cela dit, tellement mieux qu’à l’heure actuelle il fréquente une charmante jeune femme que les deux sœurs ont très bien acceptées la situation.
    Arrivée au Massachusetts, Pleasance occupa un vieille appartement miteux non loin de l'institut de sa sœur. A côté de son métier de mannequin, modèle photo, elle décrocha un job comme serveuse dans un bar pour compléter ses fins de mois en attendant de trouver une agence de mannequinat dans le coin. En somme, une nouvelle ville, un nouveau job, une nouvelle vie s’offre à elle. De quoi faire de nouvelles connaissances.
    Et les hommes alors ? Depuis l’épisode de son petit copain décédés, Pleasance avait eu deux voire trois aventures, ici et là, quelques relations d’un soir. Jamais de quelque chose vraiment sérieux, elle ne l’a jamais désirée jusqu’à présent. Il faut avouer qu’elle c’était consacrée à sa carrière de mannequinat. Mais maintenant qu’elle reprenait une vie tout à fait normale, elle pouvait explorer de nouvelles terres inconnues, de faires de nouvelles rencontres. Reste plus qu’à trouver l’homme qui lui convient, bien que l’amour lui fait peur depuis qu’elle avait perdu son prince charmant.

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    Lien du postMer 27 Juin - 10:16:52
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    Bienvenue A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 1153642411
    Perso, je trouve Candice très bien :D
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      Caleb A. Rockefeller a écrit:Bienvenue A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 1153642411
      Perso, je trouve Candice très bien :D

      Merci A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 1001568715
      C'est sûr qu'elle n'est pas vilaine :P
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    Lien du postMer 27 Juin - 10:33:57
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    Bienvenue :D
    Pour moi aussi Candice passe très bien ^^
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      Calliope-Hemera Delenikas a écrit:Bienvenue :D
      Pour moi aussi Candice passe très bien ^^

      Thank's A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 1001568715
      Bon bah je crois que je vais partir sur Candice, elle m'a l'air être appréciée sur les forums RPG'S :D
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    Lien du postMer 27 Juin - 10:58:11
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    Doux jésus Candice A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 4205929361

    A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 2157042859
    Bienvenue A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 3850463188
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      Andy McDougall a écrit:Doux jésus Candice A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 4205929361

      A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 2157042859
      Bienvenue A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 3850463188

      Robbie A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 2931463659
      Merci A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 3850463188
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    Lien du postMer 27 Juin - 11:02:49
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    De rien A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 3850463188
    A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 2931463659

    *sort vite avant qu'Apple ne l'étripe pour adultère*
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    Bienv'nue! hanwii
    Garde Candice, elle est géniale! A. Pleasance Wilder-Smith ► #Candice Swanepoel 3850463188
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