"Tu es peut être mon paradis , mais je suis surement ton enfer . " J’ai vu le jour à Barcelone en Espagne il y a de ça dix-neuf ans, au printemps de l’année 1992. Deuxième et dernier enfant de la famille, je n’ai jamais connu mon père qui a préféré partir en apprenant ma venue au monde. Il ne m’a jamais manqué. Etant donné que je n’avais jamais eu de paternel, je ne pouvais pas ressentir ce manque après un abandon. Et puis, j’étais plutôt bien entourée de ma mère et de ma grande-sœur, Lizzie. Nous ne roulions pas sur l’argent, bien au contraire mais j’avais le nécessaire pour vivre et n’enviait personne. En résumé, j’ai eu une enfance heureuse. Puis, vint le temps du fameux premier amour. Pour ma part, je l’ai connu à l’âge de 14 ans. Avant ça, j’avais eu des petits flirts de collégiens et ça a changeait du tout au tout de découvrir l’amour pour la première fois. Il faut dire que je n’ai jamais été quelqu’un qui aimait s’attacher, par peur de souffrir mais j’ai fini par prendre le risque et à l’heure actuelle, J'aime me vengeais des garçons briser leurs couple , briser leurs cœur .Dieu seul sait à quel point je n’ai aucun regret de ce que je fait .
L’année de mes 15 ans, ma grande sœur Lizzie qui comptait tellement pour moi s’est fait abattre juste devant mes yeux. Une victime de plus de ces rivalités entre gangs de la cité. Mais voilà, là, ce n’était pas n’importe qui. C’était ma sœur, celle que j’avais toujours respecté, admiré et tendrement aimé. Alors se fut l’épreuve de trop, par proposition de ma mère, je quitta mon pays natal pour un internat à Rio , au Brésil, un changement radical. Je suis partie sans dire au revoir à mon petit ami, ce que j’ai regretté bien longtemps.
A Rio, je me fis un petit groupe d’amis et tenta de continuer ma vie du mieux que possible. Ma mère qui avait toujours été mon modèle me manquait affreusement et chaque jours . Au Brésil ma vie à changer je suis devenue populaire en claquement de doigt sans savoir pourquoi , les garçons n'avais vu que sur moi les fille ne m'aimer pas tellement , je manquer d'argent tout de même je décida de faire des petit boulot dans le commerce se fut une grande découvert qui est devenu un passion j'adorai faire ça , Bref .

Vers mes 18 ans , j'avais vraiment avançais dans ma vie .Je ne manquer plus de rien enfin presque juste la présence de famille me manquer , mais à pars sa je ne manquer plus de rien des amis de l'argent tout me souriais , j'avais même était prise pour aller à Harvard . En effet j'étais très content mais j'avais peur , peur de perdre tous que j'avais peur de ce qu'il pouvait se passer et peur de plein d'autre chose ...
Ma rentrer passer à Harvard . Mais ancien amis me manques , j'ai toujours un peu de mal à m'intégrer . Surtout avec les fille , Elles jugent enfin me juger serait qu'une perte de temps car depuis quelque temps on pourrait dire que je roule sur l'argent alors si il me juge c'est surement par ce qu'elle m'envie tous . Avec les garçons sa na pas tellement changer à pars que je ne joue plus avec leurs sentiment , mais au moins je continue à brisée les couple .

Du haut de mes dix-neuf ans, je suis une jeune adulte déterminée, qui sait ce qu’elle veut faire de sa vie. Bosseuse et ambitieuse, je me donne les moyens de réussir tout en respectant les autres. Suite à ces nombreux évènements tragiques dans ma vie, j’ai souvent tendance à me renfermer sur moi-même, refusant de m’attacher. Par conséquent, je suis très méfiante et surtout, distante. N’étant pas à l’aise avec les déclarations d’affections , j’essaye souvent d’esquiver la conversation quand celle-ci me met dans l‘embarras. Cependant, il m’arrive d’être très câline avec mon entourage le plus proche qui est assez restreint. Plutôt franche, je ne pèse pas mes mots et me fiche du regard des autres. Très rancunière, je n’accorde ma confiance qu’une seule fois.