NAIM WOLFORDliens rapides
perte d'un proche (cancer du sein), confronté à des agressions sexuelles subies par des femmes de son entourage, vécu la maladie d'un proche (immunodéficience et malformation des poumons), consomme de la weed et boit en soirée, vulgaire, violent, jaloux, possessif, trop protecteur, comportement toxique, pratique et mentionne du sexe (violent), passé de connard avec les femmes, peut être blessant volontairement, ex-petite amie ayant fait une fausse couche
le feu aux poings — l’orage dans l’sang — angers issues, colère qui crame, qui monte, qui explose — l'sang chaud from marocco, hot as hell — parle mal, vulgaire — l'robin des bois des quartiers protecteur, trop, t’étouffe en t’aimant — à la vie à la mort toujours là, même quand ça saigne — trop empathique, l’cœur ouvert, tout s’écoule — veut sauver tout l’monde, se perd lui-même — demande jamais rien, il s’effondre seul — sincère, chaque mot arraché des tripes — cœur pur, terni par l’bordel — réputation d’merde, mais l’âme reste intacte — veut trop bien faire, fait d’la merde — jealous as fuck — peur d’voir mourir, peur d’perdre — il colle, il serre, il lâche pas — il aime fort, il aime mal, mais il aime vrai — street cool mood.
l'gamin pas prévu, déni de grossesse, né à londres en 1997 — le géniteur qui ruine son ex femme, divorce merdique, s'est barré avec sa collègue — poor mama, génitrice décide de donner l'enfant qu'elle peut pas élever — welcome chez les wolford, old money modern cool family — parents aimants, frangins adoptés — tornade, cascadeur, l'gamin chiant mais aimé — la mama rencontrée parce qu'il a demandé — découvre l'quartier des minorités, la rue, la vraie — la mama, femme de sa vie, mais l'cancer et dépression gagnent, décède le 15 aout 2014, laisse le vide gravé — oxford university (septembre 2015), études infirmiers pour sauver — fly away direction boston et harvard (septembre 2016) — obtient le diplôme mais, flemme des piqures, l'envie d'social, nouveau cursus en social worker (septembre 2019) — artist boy, l'crayon comme exutoire, dessins sombres, corps féminins, ombres — l'passé du serial zizi revendiqué, trop peur d'souffrir, mais l'canard au fond qui trahit l'cœur — les pieds sur terre — résident attitré des gardes à vues, pas l'pote des policiers — l'bagarre dans l'sang, weed boy pour calmer l'orage — real friend, à la vie à la mort — street outfit, loose clothes, l'gars ghetto en short vuitton et hoodie walmart — l'rêve de travailler en foyer, aider les gamins qu'ont rien demandés — l'cœur plein d'bonne volonté — marocco's son — robinrebeu des bois, à s'foutre dans la merde pour aider — peur viscérale que proches qui meurent, peur d'revivre la perte, alors il surprotège — sert de repère parental à une gamine du foyer, comme sa fille, kim (7 ans) — novembre 2024, problèmes avec la justice, doit suivre une putain de thérapie comportementale pour éviter le casier.
l'gamin pas prévu, déni de grossesse, né à londres en 1997 — le géniteur qui ruine son ex femme, divorce merdique, s'est barré avec sa collègue — poor mama, génitrice décide de donner l'enfant qu'elle peut pas élever — welcome chez les wolford, old money modern cool family — parents aimants, frangins adoptés — tornade, cascadeur, l'gamin chiant mais aimé — la mama rencontrée parce qu'il a demandé — découvre l'quartier des minorités, la rue, la vraie — la mama, femme de sa vie, mais l'cancer et dépression gagnent, décède le 15 aout 2014, laisse le vide gravé — oxford university (septembre 2015), études infirmiers pour sauver — fly away direction boston et harvard (septembre 2016) — obtient le diplôme mais, flemme des piqures, l'envie d'social, nouveau cursus en social worker (septembre 2019) — artist boy, l'crayon comme exutoire, dessins sombres, corps féminins, ombres — l'passé du serial zizi revendiqué, trop peur d'souffrir, mais l'canard au fond qui trahit l'cœur — les pieds sur terre — résident attitré des gardes à vues, pas l'pote des policiers — l'bagarre dans l'sang, weed boy pour calmer l'orage — real friend, à la vie à la mort — street outfit, loose clothes, l'gars ghetto en short vuitton et hoodie walmart — l'rêve de travailler en foyer, aider les gamins qu'ont rien demandés — l'cœur plein d'bonne volonté — marocco's son — robin
explications
hehyyoo, je cherche quelques idées pour diversifier mon jeu, trouver des nouveaux liens, des nouvelles personnes avec qui jouer ou même des anciennes avec qui ça fait moment qu'on a rien fait. j'ai proposés quelques idées mais tout est grandement libre de modifications, de propositions, faut pas hésiter !
recherches
iel est l’ombre qui t’attire, le gouffre qui murmure. iel veut pas ton bien, mais iel te tend la main. pas pour t’sauver, non. pour t’entraîner. loin d’tes conneries d’héros, loin des gosses à sauver, loin des blessures des autres. iel te souffle qu’tu dois penser à toi, qu’t’aider c’est égoïste, mais dans l’mauvais sens. un égoïsme qui détruit, qui avale. iel veut que t’arrêtes d’te saigner pour eux, que tu t’brûles pour toi-même. c’est doux, leur poison. une chanson qui t’enveloppe. tu résistes, t’essaies. mais iel sait. sait où frapper, où gratter. dans tes failles, tes doutes, dans ta fatigue. t’sais qu’ça mène à rien, qu’iel sombre et t’entraîne avec. mais y’a ce feu, cette adrénaline noire. et toi, t’es là. au bord. à hésiter.
iel est là, à tes côtés. un.e allié.e silencieux.se, mais présent.e. vous partagez l’même combat, l’même envie d’réparer c’que le monde a brisé. t’vois dans ses gestes une douceur qu’t’aimes, et dans tes actes, iel trouve une force qu’iel affectionne. y’a pas d’mots superflus entre vous, pas d’tensions inutiles. juste une harmonie discrète, une mécanique qui roule sans accroc. iel est là quand t’as besoin d’souffler, et toi, t’es là quand iel doute. c’est simple, mais puissant. un lien construit dans l’ombre des sourires qu’vous redonnez aux autres.
[naïm, obligé d’suivre une thérapie comportementale depuis novembre 2024 pour éviter un casier après une bagarre de trop. il déteste ça, mais y va, en silence, sans y croire vraiment. la rencontre peut s’faire dans l’silence d’une salle d’attente, d’un atelier d’soutien, ou pendant un weekend organisé spécial zen]
iel est là, assis.e pas loin, l’air paumé ou peut-être juste fatigué.e. ça commence dans une salle d’attente, l’même psy, les mêmes horaires. des regards en coin, des silences partagés. ou bien c’est un atelier, un d’ceux où on s’force à parler, où les mots pèsent. iel dit peu, mais t’captes tout. y’a un truc dans sa voix, son ton. ou pire encore, un séminaire zen, l’truc que tu détestes, mais où iel est étrangement à sa place. peu importe l’contexte, c’est là qu’ça commence. vos regards qui s’croisent, vos galères qui s’parlent sans rien dire. au début, t’tiens ta distance, comme toujours. mais iel revient, encore, dans ton champ de vision. un.e compagnon.ne d’thérapie, d’ce truc qui t’gonfle mais qui t’fait pas fuir. pas encore.
[naïm, l’matin c’est son moment. à courir, à fuir peut-être, ou juste à respirer. tous les jours, à l’aube, ses baskets qui frappent l’asphalte et ses pensées qui s’envolent.]
iel est là, toujours à la même heure. au début, t’l’as pas remarqué, juste une silhouette. mais à force, c’toujours la même trajectoire, les mêmes foulées. un.e compagnon.ne d’route sans l’vouloir. au début, y’a rien. des regards échappés, un rythme qui s’ajuste. et puis, un jour, iel t’lance un mot, un sourire. toi, t’réponds, à moitié gêné, à moitié intrigué. après ça, c’est devenu une habitude. pas des discussions profondes, juste des mots entre deux souffles, des silences qui font du bien. iel court pour fuir, toi pour t’trouver, ou peut-être l’inverse. et sans l’savoir, vous partagez un truc. simple. brut. vos ombres qui s’croisent sous l’soleil naissant.
[naïm, c’est pas qu’il cherche à aider, c’est qu’il sait pas faire autrement. la mamie d’à côté, c’est son rendez-vous. des courses à porter, des silences à remplir, l’habitude d’être là pour qu’elle soit pas seule.]
iel débarque un jour où t’es là, assis sur son canapé, une tasse de thé entre les mains. un.e petit.e-fils.fille, un.e nièce.neveu, ou juste un.e proche. un lien d’sang ou d’cœur avec la vieille dame qu’tu protèges sans y penser. iel t’regarde, intrigué.e, t’écoute discuter avec elle. toi, tu fais pas attention, c’t’un rituel, une routine. mais iel revient, encore. à chaque fois qu’tu passes, iel finit par être là aussi. des regards d’abord, des mots ensuite. c’est léger, mais y’a un truc. une compréhension silencieuse d’ce que c’est, d’pas vouloir qu’les vieux restent seuls. et peu à peu, ça crée un lien, entre vous. simple, vrai. comme le thé tiède qu’vous partagez avec elle.
[naïm vient de londres il est né et a grandit là bas, parti en 2019]
iel vient de là-bas, d’ton passé, de londres. un.e voisin.e qu’t’as fait chier avec ton épée en bois, ou un.e pote d’enfance avec qui t’courais dans les ruelles, à construire des cabanes et des bêtises. ou alors, c’était l’adolescence, les premières conneries, les premières bagarres, à s’tenir chaud quand le monde semblait trop froid. peut-être même qu’iel t’venait pas d’ton quartier, mais qu’iel t’a croisé dans une autre vie. une rencontre au détour d’un chemin.
[naim a un gros passif de fuccck boy, parfois gros con, parfois doux, dépendait des moods, tw sexe violent/hard]
elles sont les nuits du chaos pour remplir ton âme. vide. l'besoin de combler. de respirer, trop fort, trop vite. noyer le néant avec les corps. l'horizontal pour l'évasion. la quelle ? l'connard que t'as été, parfois revient te hanter. jamais de promesses mal formulées ou p't'être que si. black out, parfois. t'en as déçu plus d'une, comblée d'autre. t'en sais rien. tu t'en foutais, avant. et maintenant tu recroises els visages. souvenirs reviennent danser dans els pensées. p't'être même qu'elles veulent s'venger. mérité. p't'être même que d'autre veulent le r'voir, l'naim des abysses.
(Naim Wolford)
do you really think he’s changed ? people’s nature is people’s nature. i’m a bit of a bitch, always will be. he’s a monster, always will be.