nouveau chapitre (esteban)

( tw ; ràs)
pas habituée à lire les infos qui passaient sur cette page, elles étaient souvent fausse, pourtant voir le nom d'esteban relié à cette nana, t'avais fait grincé des dents. logique, après c'qui s'était passé. finalement, la conversation avait su t'apaiser, aucune raison de n'pas y croire, c'était pas en t'méfiant de tout que tu pouvais lui laisser la fameuse chance. filant alors vers son appartement, tu toquais un coup dans la porte avant d'l'ouvrir, au moins pour t'annoncer. – salut, sourire accroché devant cette image qui donnait envie d's'y blottir. tu t'asseyais finalement à côté d'lui, déposant un baiser chaste sur ses lèvres. -- @Esteban Morales

L'impression d'faire que de la blesser, de pas forcément être à la hauteur pour elle. Pour autant, Esteban avait décidé de jouer la carte de l'honnêteté et de ne pas mentir sur ce qu'il s'était passé. Rien. Il ne s'était rien passé à part qu'il s'était un peu cherché avec cette fille, le latino avait préféré tout dire à la Bennett et qu'elle ne soit pas dans l'ignorance. Bref, toujours allongé dans son lit, Esteban attendit la venue de sa dulcinée. Elle ne tarda pas, pénétrant dans sa chambre et venant s'asseoir à ses côtés. Le Morales se redressa. Je suis content d'te voir, lui dit-il avant d'attraper son bras et l'amener contre lui. Viens là, toi..

( tw ; ràs)
t'as chassé toutes tes mauvaises pensées et t'es venue, parce qu'c'est votre chance à vous. jamais eu peur des remords, bien plus des regrets. l'genre à vouloir vivre tout c'qu'on voulait bien t'donner. t'as même pas l'temps de répondre que tu te retrouves rapidement entraîner près de lui, dans son lit, t'loges immédiatement contre son torse. la main y est posée à plat alors que la tête repose sur son épaule. remonte un peu l'visage, l'sourire accroché au minois. – moi aussi, j'le suis, qu'tu lâches doucement avant de venir déposer un baiser juste en dessous de sa mâchoire, à la limite de son cou. -- @Esteban Morales

Il s'demandait alors si c'était ça le bonheur ? Avoir le sourire constamment quand on voyait la personne avec qui on voulait toujours être, tout ça. Trop longtemps qu'il n'avait pas vécu ça. Bisha venait s'blottir dans ses bras, Esteban lui disait qu'il était content qu'elle soit là, c'était réciproque. Bisha... Il laissait un silence s'installé, tournant sa tête vers la blonde pour lever son visage et ancrait son regard dans l'sien. Toi et moi, c'est... Il ne savait pas trop comment l'demander. Juste l'besoin de savoir, de mettre un mot sur ce qu'il se passait entre eux. Qu'est-ce qu'on est exactement ?

( tw ; ràs)
le regard qui se relève alors qu'il t'interpelle, prunelles brunes qui se rejoignent, t'attends sagement la suite. il a l'air d'avoir des choses à dire, pourtant à sa question, t'sais à peu près où il veut en venir, alors, tu souris doucement. te redressant un peu, gardant l'contact, toujours allongée contre lui, désormais de face. – hm, déjà, j'dirais que maintenant t'es à moi.. non ?, et que par conséquent, t'pouvais être sienne aussi. c'était peut-être pas la réponse qu'il attendait, pourtant difficile d'prononcer l'fameux mot. ça voulait dire pareil. -- @Esteban Morales

Esteban avait besoin de mettre des mots sur ce qu'il vivait avec Bisha, mais tout seul, c'était plutôt difficile. Il ne doutait pas que ça l'était également pour sa petite blonde préférée, néanmoins, c'était une discussion sérieuse qu'il devait avoir. A ce qu'il demandait, elle répondait qu'il était à elle, décochant un sourire jusqu'aux oreilles chez le latino. Bien sûr qu'j'suis à toi, et qu't'es à moi aussi.. Il souriait, embrassant passionnément sa belle. On forme plus qu'un maintenant, t'sais ça ? L'courage pris entre ses deux mains, annonçant fièrement l'couple qu'il formait désormais avec Bisha.

( tw ; ràs)
l'coeur qui bat un peu plus vite, parce qu'ses mots tu les attends depuis quelques temps maintenant. depuis qu'entre vous, c'plus qu'un simple flirt, depuis qu'vous avez commencé à vous ouvrir réellement l'un à l'autre. l'sourire s'étire alors que vos lèvres s'agrippent, alors que tes bras l'entourent, chamboulement d'émotions à l'intérieur de l'estomac. hôche la tête à ses paroles, te détache pas de ton étreinte, reste bien accrochée. – oui... j'te lâcherais pas, j'te l'promets. paroles soufflées dans son cou. promesse que tu comptais bien tenir, pas comme celle qu'il avait connu.-- @Esteban Morales

Promesse d'faire qu'un, d'pas se lâcher. Des mots que le latino ne pensait plus entendre dans l'cours de sa vie, mais Bisha avait clairement tout chamboulé. Elle était là, il ne comptait pas la lâcher. Prêt à tout pour elle, cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti c'genre de sentiments. Il attrapa la blonde par la taille, la faisant basculer pour la mettre assise sur lui. T'as promis, t'peux plus faire marche arrière, maintenant, t'sais ? lui dit-il en souriant. L'abandonner ne faisait clairement pas parti de ses plans, il approcha le visage de Bisha du sien pour l'embrasser tendrement.

( tw ; ràs)
décidemment, il faisait c'qu'il voulait d'toi, en même temps vu le poids plume, vu les muscles, ça n'pouvait étonner personne. dans un éclat de rire tu t'retrouvais sur lui. – je sais, j'compte pas changer d'avis. qu'tu lâchais toute fière, parce que tu n't'étais pas battue pour rien. tu l'voulais, tu l'savais, c'était plus fort que toi. l'attirance qui s'opérait, l'besoin d'sentir toujours son contact. désormais, il était à toi. les bras toujours autour de son cou, les lèvres se retrouvaient et cette fois, tu n'avais absolument pas envie d'les lâcher. le serrant un peu plus contre toi. -- @Esteban Morales

Soulever comme un petit poids sans difficulté, position changée, elle était désormais sur lui et c'était une vue qu'il appréciait. Il découvrait, à nouveau, chaque détails de son visage et il adorait ça, Esteban. Satisfait de sa réponse, le colombien attrapait les lèvres de sa petite amie, ne pouvant s'en défaire désormais. Capable de passer des heures et des heures à l'embrasser, la toucher. Il l'amena plus contre elle, la pressa un peu contre son corps, ses mains se positionnaient au bas de son dos, passant sous son tee shirt pour entrer en contact avec sa peau sans que toutefois ses lèvres ne viennent à quitter les siennes.