scent of summer (nour)

Il s'apprête à rire, en la voyant assise ainsi dans le sable, les vagues qui lui chatouillent encore les cuisses. Mais il se retient, la bienveillance prenant aussitôt le dessus qu'il la voit galérer, les poumons qui tentent de régurgiter toute l'eau avalée. Ouais, il se laisse attendrir un instant Jonah. Quelques secondes, uniques et suffisantes pour que madame ne l'attire vers le sable et le coince entre ses jambes. Le sourire, le rire même, vient directement illuminer son visage, acceptant temporairement la défaite. — T'es fière de toi hein ? Les azurs qui la fixent, accusateurs. Il réfléchit, à ce qu'il peut faire pour se sortir de là, à ce qu'il peut dire pour la déstabiliser. — Tu veux que je te dise un truc ? T'es bien plus jolie sous cet angle... Le regard qui se pose volontairement sur sa poitrine, railleur, juste le temps nécessaire pour la faire rager. — T'es chatouilleuse Nour ? Réponse qu'il n'attend pas avant de se mettre à lui titiller les chances, l'espoir de la faire bouger pour inverser la tendance.
@Nour Sharp

@Jonah Blum -- Prunelles qui fixent les siennes, le sourire toujours au bord des lèvres lorsqu'il demande si tu te sens fière de ce revirement de situation. Jamais tu n'as autant rigolé en compagnie de quelqu'un et il a ce dons Jonah pour finalement toujours te mettre à l'aise. Rare son ceux qui aujourd'hui parviennent à te voir sans ton masque de froideur et de "jm'en-foutisme". Lui pourtant il à le droit à la Nour sans artifice et pour une fois, tu apprécie grandement que ce soit le cas. Plus besoin de barrières, plus besoin de se cacher derrière des faux semblants. La vraie Nour est là, sous les yeux du blond qui cherche la moindre faille pour te faire flancher; pour libérer son corps de l'emprise du sien. Tête que tu secoue lorsqu'il louche sur ta maigre poitrine, tes doigts qui se plaque sur son torse. trop facile, de jouer de ton faible pour lui. « Non » affirme un nouveau mensonge, restant digne lorsque les phalanges de Jonah s'enfoncent dans ta chairs pour provoquer les spasmes de rire. Mords la lèvre inférieur alors que tu te trémousse sur lui pour qu'il arrête, pas prête de bouger pourtant.  « Tu m'aura pas jonnaahhhh » le corps qui bouge dangereusement pourtant lorsque tu tente de saisir ses mains pour empêcher une nouvelle vague.  « trouve autre chose » le souffle court pourtant, à deux doigts de te rouler en boulle sur le côtés pour échapper aux chatouilles.