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Heart to heart // (Mixie 12)

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Les deux dernières semaines ont été corsées. Douloureuses. Après votre dispute, Aaron et toi avez décidé de "faire une pause" ou du moins, il a décidé de réfléchir de son côté. Et bizarrement, malgré ta honte et ta culpabilité, ça t'a fait du bien de te retrouver seule quelques jours. Et puis... quand il est revenu, une révélation a bousculé tout ce que tu croyais savoir de votre couple. Tu sais déjà que rien ne sera plus jamais pareil, et la nostalgie se mêle à une douleur sourde, mais un autre sentiment remonte doucement à la surface, petit à petit. Le soulagement.

Postée devant l'entrée de Lexie, tu attends qu'elle t'ouvre, emmitouflée dans une veste rembourrée. La pluie tombe dru derrière toi et bien évidemment, tu n'as pas pensé à prendre un parapluie. Lexie apparaît en T-shirt blanc et salopette en jean tachée de peinture.

— Mais t’es trempée ! s'exclame-t-elle en t'ouvrant. Entre, tu vas attraper la mort !

Tu lui emboîtes le pas à l'intérieur, découvrant des boîtes de carton un peu partout, et retires ton manteau sans trop savoir où le poser. Lexie t'en débarrasse avec un "donne" avant que tu ne te rende chèvre en essayant de trouver une surface libre.

Qu'est-ce qui se passe... tu déménages ?

— Ouais… je t’expliquerai… c’est pas important tout de suite. (Elle pose sa main sur ton épaule droite.) Tu dois avoir froid, tu veux boire un truc chaud ? J’ai encore la bouilloire de branchée dans la cuisine, si tu veux… ou si tu veux juste un câlin… 

Comment résister à une telle offre ? Tes yeux parcourent rapidement son visage, cherchant à déterminer son humeur. Est-ce qu'elle t'en veut...? Est-ce qu'elle... te déteste ? Tu en étais persuadée et pourtant, ses SMS et son attitude semblent indiquer le contraire. Alors tu t'élances vers elle pour la prendre dans tes bras, tes mains s'agrippant à sa nuque.

— Je suis là. Je te lâche pas, souffle-t-elle en serrant ta taille contre elle.

Tu souffles enfin - métaphoriquement et littéralement -, rassurée de la sentir, de la savoir , à tes côtés. Les larmes te montent aux yeux, et tu te demandes bêtement comment c'est possible qu'il t'en reste encore.

T'as pas du chocolat chaud, par hasard ? marmonnes-tu.

Elle rit doucement contre ton épaule.

— J’ai ce qu’il faut. Mais va falloir que je te lâche pour aller te préparer ça… (Elle se recule légèrement, t'observe avec tendresse, dépose un baiser sur ton front, puis sur tes lèvres.) Je reviens. Installe-toi sur le canapé…

***

Paumes serrées autour de ton mug, tu lèves un regard prudent vers la blonde.

Je sais pas par où commencer... mais tout va bien ? Où est-ce que tu t'en vas ?

Elle soupire, boit une gorgée puis grimace.

— Le père d'une pote va m'héberger le temps de trouver un autre logement, plus petit et moins cher. (Elle reprend avec un sourire en coin.) J'ai... dit à mon oncle d'aller se faire foutre. Ça fait un bien fou, mais du coup j'suis obligée de quitter l'appartement. J'ai pas les moyens de me payer ce palace. J'ai trouvé un job étudiant, j'entraîne des ados au basket non loin d'ici... ça fait toujours une rentrée d'argent.

Tu encaisses la nouvelle qui te rend muette pendant quelques secondes. Elle l'a envoyé paître...? Une lueur de fierté allume ton regard, très vite remplacée par un froncement de sourcils inquiet.

Oh, Lexie... mais... et Harvard ? Tu vas pouvoir finir tes études ?

— Je t’avoue que j’ai pas encore réfléchi à la question… admet-elle sur un haussement d'épaules désinvolte. J’ai un peu agi sur un coup de tête... (Une pause.) J’crois que j’arriverai à jongler entre les deux, bon, ça va considérablement réduire mes heures de sommeil mais… j’ai pas trop le choix. Il me reste juste cette année à finir… c’est pas si long à tenir. Et… toi ? ajoute-t-elle, un éclat incertain dans le regard. Comment tu te sens ?

Bien sûr que tu vas y arriver. Si t'as réussi à supporter ton oncle pendant tout ce temps, ça devrait être du gâteau maintenant que tu en es débarrassée ! renchéris-tu avec une pointe d'humour avant de détourner les yeux. Moi, je me sens... étrangement légère. Même si j'ai mal en même temps. C'est étrange.

Un long silence s'installe, pourtant dépourvu de malaise. Elle finit par s'éclaircir la gorge avant de te demander avec un faible sourire :

— Tu devrais peut-être commencer par le début plutôt que la fin… (Son sourire s’efface et elle murmure en baissant les yeux, ses doigts tripotant maladroitement sa tasse.) C’est lui qui te fait du mal ? Ou… c’est moi ?

Non... c'est... moi qui m'en suis fait toute seule, je crois. (Ton regard se balade dans la pièce pendant que tu rassembles tes idées et alignes tes mots dans ta tête avant de les formuler à voix haute.) À force de nier l'évidence. De blesser les gens que j'aime sans m'en rendre compte. De faire ce que je croyais être juste. Mais tout ça... c'était pour me protéger, au final. Et j'en ai marre de vivre comme ça. Je ne veux plus de mensonge ou de vie cachée. Je ne veux plus être dans l'illégalité. (Tu plantes un regard résolu dans le sien.) Je veux être avec toi. Et c'est pour ça que... je vais demander ma démission.

(c) mars.
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★ ─ Heart to Heart
w/ @Mia Campbell


Elle va quoi ?!
Le temps s’est arrêté, la tasse qui était en train de faire son chemin jusqu’à ses lèvres n’atteint pas sa destination, et reste figée dans son mouvement, à quelques centimètres du visage de Lexie. Les yeux grands ouverts, cette dernière fixe son amante, ébaubie parce que Mia vient d’annoncer.

Tous les scénarii de cette discussion se sont joués dans son esprit durant ces deux dernières semaines. Même la nuit, son inconscient a passé et repassé la scène, dans ses songes qui se transformaient parfois en cauchemars. Elle pensait s’être préparée à toutes les éventualités. Mais pas à celle-ci. Comme quoi… ça servait à rien de t’empêcher de dormir avec des « et si... ».

Durant ces quinze jours, Lex’ a douté. Douté d’elle-même surtout. De ce qu’elle pouvait offrir à Mia comme vie, des sentiments de Mia à son égard également, parce qu’au fond, elles n’en avaient jamais parlé. Lexie savait qu’elle n’en voudrait pas à son amante de choisir son époux, après tout, s’ils s’étaient mariés c’est bien qu’ils s’aimaient, et qui était-elle pour oser s’interposer dans leur couple ? Et en même temps, elle avait tellement à donner à Mia, pas matériellement, non ici, on parle d’amour. Ses sentiments étaient si présents, si étouffants, là enfermés à l’intérieur d’elle-même qu’elle avait besoin de les partager, de les laisser sortir, s’exprimer. Voilà toutes les pensées contradictoires qui se sont bousculées en son sein jusqu’à ce soir…
Alors elle a imaginé que Mia la repousse, lui dise que tout était fini, elle l’aurait entendu… douloureusement, mais… si c’était ce que son amante voulait, alors ok. Elle a imaginé que Mia la choisisse, mais qu’elles restent cachées le temps que Lex’ finisse ses études et se barre de chez son oncle qui l’a obligée à aller à ce foutu dîner avec l’autre con là.
Elle n’a même pas attendu que le plat soit servi d'ailleurs, gonflée par les remarques lourdes de Dean. Lex’ a quitté le restaurant, s’est rendue directement chez Niels Frye, lui a dit d’aller se faire foutre. Evidemment il ne l’a pas très bien pris, lui a promis qu’elle n’aurait rien, pas un sous. Elle s’en est fichu car jamais elle ne s’est sentie aussi libre. Puis la réalisation que cette nouvelle situation allait peut-être planter un nouveau clou dans le cercueil dans leur relation, à elle et Mia, l'a frappée, pas plus tard que ce matin.
Bref, elle devenait dingue, à tout appréhender… et là ça y est. Mia lui annonce… bordel…

Après quelques secondes sans rien dire, là, ses yeux captifs du regard de son amante, Lex’ murmure un…

« Putain de merde. » puis elle pose sa tasse qu’elle tenait en l’air durant cette dizaine de secondes, joint les mains devant sa bouche et ajoute… « Mais Mia, l’enseignement c’est… c’est ta passion, tu vas… tu vas sacrifier tout ça ? Et Aaron ? Qu’a-t-il dit ? La maison ?… c’est… complètement fou... » Mais un sourire incontrôlé se dessine aux commissures de ses lèvres et vient trahir l’euphorie qui bout dans sa poitrine, menaçant de faire exploser son coeur.

Mia pose alors une main sur son poignet. Le frisson qui parcourt sa peau à ce contact n’a rien à voir avec le froid, mais plutôt avec l’excitation du moment. Son coeur continue sa course effrénée, totalement dépassé par les sentiments qui le submergent et peut-être un peu incrédule également.

— Je n'ai pas dit que je quittais l'enseignement. Juste... Harvard. C'était mon rêve, oui. Mais je l'ai réalisé. Et je me suis rendu compte que je suis prête à vivre autre chose, autre part. Enseigner dans un endroit où ma créativité est appréciée et non réfrénée. Quant à Aaron... (Elle baisse les yeux.) C'est fini. Après avoir compris ce qui se tramait avec toi, on a pris nos distances. Puis, il m'a avoué qu'il m'avait trompée il y a quelques années. Plusieurs fois, avec la même nana. Donc... autant te dire que ça a largement diminué ma culpabilité.

Encore une fois Lexie reste stupéfaite. Et elle se retient de faire une mauvaise blague sur la situation, ne souhaitant pas accroître la culpabilité de son amante et se contente d’un mouvement de la main en disant : « Tant pis pour lui, il sait pas ce qu’il perd. »  Mais Lex’ ne peut s’empêcher de vouloir s’assurer que ces décisions sont réfléchies et souhaitées, et surtout que Mia les prend pour elle-même et non en fonction de Lexie… «T’es sûre de ton choix ? Si vraiment Harvard compte pour toi, je peux abandonner aussi hein, c’était surtout important pour mon oncle, moi, la réussite tu sais c’est pas un objectif.»

— Je ne veux pas que tu penses que je fais ça pour toi, Lexie. Je le fais... pour moi. Et parce que j'ai envie d'une vie plus simple. J'ai besoin de respirer après être restée cloîtrée toutes ces années dans cet ancien schéma que je croyais vouloir pour ma vie. Tu m'as ouvert les yeux, en réalité. Tu m'as fait découvrir une partie de moi que j'avais voulu enterrer. (Un sourire.) Et pour ça... je t'en suis reconnaissante.

Lex’ hoche la tête se gratte le haut du crâne embarrassée par le compliment  «En vrai, ça me rassure, et ça me ravit de voir que tu… te redécouvres toi-même. » elle ajoute avec un petit sourire faussement prétentieux en coin et un clin d’oeil. « Et j’me sens quand même fière d’apprendre que c’est un peu grâce à moi. ».

Et c’est reparti… ça va les chevilles ?

Mia ricane.
— Que ça ne te monte pas trop à la tête…

Lex’ prend un air outré, posant sa main sur sa poitrine, et renchérit : « Pour qui tu m’prends ! J’suis quelqu’un de parfaitement humble ! »

— Mais oui, mais oui... (Un éclat passe dans le regard de son amante et Lexie retient son souffle, elle n’est plus à une surprise près, mais quand même.)  Et si... si on faisait quelque chose de complètement insensé ? Si on se prenait un appart' ensemble ? Qu'on recommence à zéro... juste toi, Lexie, et moi, Mia. Pas l'étudiante et la prof. Juste... deux filles qui ont envie d'être ensemble. Du moins... si tu as encore envie d'être avec moi.

Elle la fixe quelques secondes, ahurie, puis éclate de rire.

« Lexie sort de ce corps ! » elle reprend ensuite son sérieux en voyant que Mia ne plaisante pas et ajoute « Attends, tu rigoles pas ?… Je veux être sûre de bien comprendre, tu me choisis vraiment, moi ? Et tu veux qu’on emménage ensemble ? Toutes les deux ? »

Mia hausse les épaules avec un sourire.

— Oui...? Mais ça va peut-être trop vite. On peut y aller doucement, si tu préfères. J'sais pas, j'ai envie de faire quelque chose que j'aurais jamais fait avant !

Lex’ ne peut plus retenir son euphorie. Elle se jette au cou de Mia pour l’embrasser avec toute la passion dont elle est capable et qu’elle ressent, ne trouvant pas d’autre moyen d’exprimer son enthousiasme autrement. Puis elle se détache quand même, par manque de souffle et plante son regard dans celui de son amante.

« Rien n’est jamais « trop » pour moi, tu devrais le savoir. »

Le sourire de Mia s’élargit et elle lance un

— Alors est-ce que tu veux m'épous... non, je plaisante !

Lex ricane : « Fais gaffe à ce que tu souhaites, j’serais capable de dire oui ! » Puis elle reprend son sérieux et fronce les sourcils, Mia toujours dans ses bras. « Mais… comment on va faire pour payer cet appart, j’veux dire, j’ai à peine de quoi me payer une chambre étudiante, enfin si j’ai de quoi me payer une chambre étudiante, mais si j’fais ça, j’ai pas de quoi manger actuellement et si tu démissionnes… »

Certes c’est un détail, mais un détail auquel il faut penser, parce qu’elle refuse de lui offrir ce genre d’avenir, plein d’incertitudes, pas concernant leurs sentiments, mais tout le reste…





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C'est rafraîchissant d'être en présence de quelqu'un de si... démonstratif. Aaron n'était pas du genre à... Et puis vous savez quoi ? Oublions Aaron ! Il n'est pas là, il n'est plus là, et même si tu sais qu'il te faudra du temps pour digérer tout ça, qu'on n'oublie pas près de douze ans de relation en un claquement de doigts, cela ne sert à rien de comparer le passé au présent. Et ce présent qui apparaît à l'horizon fait décoller une nuée de papillons dans ton ventre et remplit ta tête d'hélium. L'appréhension se mêle à l'excitation. Oui, tu as hâte de nouveauté, de changement, de plus d'authenticité. D'un geste rassurant, tu écartes une mèche blonde du visage de Lexie avant de la coincer derrière son oreille.

C'est vraiment ça qui t'inquiète ? J'ai des économies. On pourra s'en sortir tranquillement avant de devoir songer à une solution. Une chose après l'autre. On peut se concentrer sur l'emménagement et ensuite, je chercherai du boulot. Des profs, il y en a toujours besoin. Et puis, à deux, on partagera le loyer et les factures, ce sera plus abordable. Je peux prendre ça en charge jusqu'à ce que tu sois en mesure de payer ta part. Alors, qu'est-ce que t'en dis ?

— J’ai vraiment une mauvaise influence sur toi je crois, hein… enfin j’en dis que ça peut le faire ! (Elle soupire, une moue s'incrustant sur ses traits.) Mais j’voulais t’offrir un beau truc moi, être capable de t’emmener à Rome, à Venise, à Paris, là j’ai juste les moyens de t’emmener au stand à nouilles du bas de la rue… c’est un peu frustrant…

Tu ne peux t'empêcher d'éclater de rire à cette idée. Allons... tu n'as rien contre les nouilles. Mais elle est mignonne, à vouloir t'impressionner et te gâter.

Qu'est-ce que je viens de dire ? (Tu encadres son visage de tes paumes et attends qu'elle te regarde pour répéter lentement.) Une chose à la fois. J'ai pas besoin de Rome ou de Venise. Là tout de suite, rien ne me ferait plus plaisir que de nous imaginer avachies sur notre canapé, à regarder une série Netflix. Simplicité, ok ?

— Mouais… grogne-t-elle. N’empêche que j’ai le droit de trouver ça frustrant ! (Un soupir.) Mais bon ok, j’imagine que va falloir se contenter du stand à nouilles et de Netlix, sur… notre canapé…

Un sourire se dessine sur ses lèvres alors qu'elle semble projeter l'image dans son esprit, le regard dans le vague.

Alors... par quoi est-ce qu'on commence ? Non, parce que... tu ne connais pas Mia l'organisatrice !

Sautant sur tes pieds, tu promènes ton regard un peu partout, déjà en train de faire des listes, des cartons imaginaires et des calculs mentaux.

Ou tu préfères que je m'occupe de chercher un appart' ? Il est possible que j'aie pris la liberté de regarder en ligne, hier soir... sans savoir si tu allais accepter, bien sûr, j'imaginais qu'ils feraient l'affaire juste pour moi... et j'ai trouvé quelques endroits qui pourraient convenir. Tu veux que j'te montre ?

Lexie pose sa tête sur sa main les genoux repliée contre elle-même, s'installant plus confortablement sur le sofa.

— Mia l'organisatrice, Mia la maniaque de contrôle ouais... chassez le naturel il revient au galop ! Ben depuis quelques jours ma seule perspective était de loger chez une pote, avec elle, dans sa piaule chez ses darons, le temps de trouver une chambre étudiante de 9m2 et toi tu me proposes un appart à deux, alors comment te dire que je suis déjà conquise, hein. Mais vas-y, fais voir ce que t'as trouvé...

Ravie de cette réponse, tu te précipites à ses côtés en brandissant ton portable, où les liens sont toujours ouverts dans ton navigateur. Trois annonces. Trois appartements modernes, charmants et surtout, abordables. Mais avant de te lancer dans ton exposé, tu tournes le menton vers la blonde et déposes un tendre baiser sur sa bouche.

Hey... tu es prête à imaginer notre canapé... notre cuisine... notre salle de bains... notre chambre ? Notre lit, ajoutes-tu, espiègle.

— C'est pas que je suis prête à l'imaginer... c'est carrément que ça fait 5 min que c'est déjà imaginé et aménagé dans mon esprit, sache-le, annonce-t-elle avec la même malice. J'nous vois déjà avec un chien ou un chat, un poisson rouge nommé Dory...

Il faudra discuter de ce poisson rouge... t'aurais du mal à mettre un animal en cage (ou bocal) après avoir enfin quitté la tienne. Mais pour le moment, tu es prête à imaginer n'importe quoi, du moment que ça peut lui faire plaisir. Aussi, tu fermes les paupières un instant, transportée par cette joie insolite, inattendue, avant de reposer tes lèvres sur les siennes, cette fois-ci pour lui offrir un baiser plus long et plus langoureux.

Une chose à la fois. Un jour après l'autre.

À ses côtés, tu sais que ça en vaudra le coup.

Et il te tarde de découvrir ce que l'avenir vous réserve.

FIN


(c) mars.
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