le cerveau sur off, tu t'embarques dans quelque chose que tu ne pourras plus effacer une fois fait. pourtant c'est avec détermination que tu t'es lancée en chemin vers l'appartement du frère de ton amie. trahison ? peut-être. envers une promesse que tu as fait. une promesse que tu trouves n'avoir ni queue ni tête, sans intérêt. les mots ont déjà trahis votre engagement. la limite déjà franchie, n'aurait-il pas fallu s'en tenir là ? plus fort que toi, que vous, de continuez de dégringoler cette pente glissante. tant pis. t'y vas, tu fonces, sans réfléchir au lendemain. c'était ça le deal; ne pas réfléchir. tu frappes à la porte. quelques secondes d'attente où ton palpitant s'emballe déjà. l'adrénaline de l'interdit. le sourire qui étire immédiatement tes lèvres en le découvrant, en entendant ses mots. — j'me défile rarement dis-tu en ne te privant pas d'entrer lorsqu'il se décale. — heureusement qu'elle est mieux en vrai ! tu retires la veste qui te couvre, laissant transparaitre entièrement la fameuse robe blanche. moulante, parfaitement ajustée, on pourrait croire qu'elle a été dessiné pour toi, mais il n'en est rien de telle. tu prends pas le temps de le remercier, t'acceptes le compliment et rien de plus. confiance en toi déconcertante, affichée et soutenue par ce sourire qui illumine ton visage et révèle une fossette. — tout dépends ce que tu me proposes.. voix suave. tu te délectes de son physique, agréablement surprise également de voir qu'il ressemble réellement à ce que tu t'étais imaginée.