les pensées qui s'accordent sur les mêmes paroles malgré un chaos absolu. tu réfléchis trop, toi. et pour une fois ce n'est pas pour savoir comment tu peux réussir une partie bloquée sur super mario 3 de 88. tu penses à toi, elle, vous. elle te devance, jil. elle vient te parler, les mots qui font peur. les mots que t'as trop souvent entendus. un schéma qui se repete encore. incessant, disque rayé. l'amour cassé. je sais. et pour une fois, même, tu es sérieux. on peut pas continuer comme ça, c'est trop compliqué.. t'es la que ce canapé, le regard noyé par le vide, le mode automatique activé.

les mots qui s'approchent, prêts à t'assassiner ses yeux brillants, miroitent l'immensité de ce fiasco que vous avez esparés mener hors de l'eau. la réalité qui ratrappe quand ses mots se heurtent à tes pensées. tu le sais elle a raison. inévitable, peut être. doux bruit d'un rêve qui s'éloigne, d'un nouvel échec qui s'entasse. t'es pas fait pour ça, toi. t'es pas fait pour être aimé. ton père te l'a toujours rappelé. t'étais l'échec cuisant d'une relation déjà ratée. elle part, laisse l'air qui balate ton visage dans son sillon. un soupire qui sort d'entre les lèvres avant de te lever, péniblement. les pas qui s'avancent vers la chambre et le corps qui se colle à bson dos, mes bras tatoués qui l'entourent, visage qui dépasse sur son épaule. cest pas de ta faute. je sais pas vraiment de qui d'ailleurs. toi, c'est évident. les larmes salées qui coulent de ton visage, secese que son épaule. j'ai pas de te demander de rester et te faire du mal parce que je suis incapable de te rendre heureuse.. c'est lâche, mais c'est toi.