( rockhart ) so much pain for someone so young

regard qui se lève vers ses doigts entrain de t'montrer la mesure des points que t'as perdu. écarquilles les yeux en relevant la tête vers elle ― tout ça ? t'es super sévè... bon ok ok, j'mérite. puis j'suis sur que je suis capable de les récupérer easy. j'vais même les doubler. hausses les sourcils, léger sourire au coin des lèvres. ouais, tu vas faire de ton mieux pour lui faire oublier à quel point t'as pu être un ami horrible sur c'coup. parce que sans parler du reste, en mettant tout c'que tu peux ressentir pour elle, c'est l'ami qui a aussi mal agit la dernière fois. puis lorsqu'elle vient s'poser sur le rebord du canapé, tu la suis du regard, et grimaces légèrement lorsqu'elle dit ne pas t'en vouloir d'avoir été un ... con en gros. ouais c'est c'que tu penses ― mh. t'es trop gentille toi. tu diras jamais que j'suis un enfoiré t'manière. le pire, c'est que tu l'dis pas parce que tu le penses pas non plus. d'autres meufs auraient créée une poupée vaudou à mon effigie. d'vraies sorcières. mais elle, elle est unique. c'est la douceur incarnée. elle représente tout ce que t'aimes chez une femme. ouais, vraiment. et ça, c'est pas d'aujourd'hui. c'est ton style de fille. mentalement, physiquement. elle remplie tous les critères et se démarquent de toutes les autres par cette âme si pure. et ce regard qu'elle a toujours eue sur toi. et tu sais qu'elle est plus que sincère. nico c'est pas le genre à dire des choses pour faire plaisir aux gens, sans les penser réellement. tu te décolles du mur, puis t'avances vers elle, venant te planter juste devant elle. t'es pas des plus sereins, mais tu comptes pas rester collé au mur comme un pecnot en la regardant dans les yeux. et plus tu t'approches, plus tes mains deviennent moites, plus le palpitant s'accélère. wow, ça tambourine comme jamais. une main qui se pose sur le dossier du canapé et l'autre qui vient doucement caresser son bras, ton regard essayant de capter le sien. sourire qui se dessine timidement sur tes lippes, alors que tes mains viennent se poser de part et d'autre de son visage. tes lèvres se posent doucement sur une de ses pommettes et ton coeur s'emballe de plus en plus. puis, tu viens la regarder de nouveau ― j'préfère l'entendre ta bouche. ça m'rassure. puis tu te racles la gorge ― vraiment nico, ya qu'toi pour me mettre dans des états comme ça... qu'tu lâches, venant porter une main à ta poitrine, en ricanant légèrement.

Rire qui sort d’entre tes lippes, avant de te mordre la lèvre inférieure. Ok, c’est peut-être pas faux tout ce qu’il dit. Est-ce qu’il a une sorte d’emprise sur toi ? Oui totalement, mais pas dans le sens à te faire faire tout et n’importe quoi contre ta volonté initiale. Il sait juste marquer plus rapidement que d’autres des points. Trop facilement peut-être, mais tu n’es pas aveugle pour autant. ❝ Ok, je demande à voir. Attention, t’as dit que tu allais les doubler. Petit clin d’œil, on peut sentir cette confiance qui reprend le dessus. La nervosité qui s’évapore pour retrouver cette légèreté qui te connaît si bien. Lui aussi, il te connaît, cette gentillesse qui ne pense de mal de personne, n’en veut pas. Une seule personne ne connaîtra jamais ton pardon, mais elle ne viendra pas une seule fois s’excuser. Tu en es parfaitement consciente. ❝ Une poupée vaudoue ? Mais c’est affreux de faire ça ? Par contre, j’ai pensé que tu étais un con. Pincement de tes pulpeuse, tu viens révéler la pire pensée que tu ais pu avoir de lui. Mais tu es passée à autre chose, chacun réagit à sa manière et ça aurait pu être pire non ? C’était loin d’être agréable, mais avec une douceur comme la tienne, c’est tout à fait différent. Et c’est reparti, la tachycardie s’empare de toi, la distance qui vous écarte de rétrécissant à grand pas. Une main qui vient caresser ton bras et c’est le frisson qui te gagne tout entier, dressant ton duvet comme si un courant d’air frais venait le balayer. Le regard rempli de sentiments, sourire solaire, t’es en train de te décomposer de l’intérieur. Tu te demandes si tu n’es pas en train de rêver, si t’es pas en plein délire, lui parti et toi plantée, là, toute seule. Pourtant, tu sens réellement ses mains qui viennent encadrer ton visage, la douceur qu’il a sur toi, lui qui peut être si dur, tu sens tout ça, et ton cœur qui s’emballe de plus en plus, être au bord d’un arrêt cardiaque. Tu as bu te dire, je passerais à autre chose, la preuve que non, un rien et tu replonges. Enfin un rien, c’est faux. Les langues se sont déliées plus que jamais et la vérité dévoile ce que tu n’aurais pu soupçonner. Il cache bien mieux que toi ses émotions. Il n’y a qu’à te voir rougir, lorsqu’il dépose un baiser sur l’une de tes pommettes, la chaleur sous ses lèvres, et ce nez qui se retrousse sous ce sourire qui succombe à cette approche si irréaliste. Plus il parle et plus on te perd, t’es comme ces personnages qui s’effondrent, plongeant dans un malaise, sauf que toi tu restes là à sourire, rouge comme une pivoine, à remettre une boucle derrière l’oreille. Il n’y a que regarder tes yeux pour lire tous ces sentiments qui débordent à cet instant pour lui. Et t’aimes plus encore cette douceur et cette tendresse en cet instant, te perdant dans son regard. Lèvre que tu viens de nouveau mordiller avant de sourire, tu regardes furtivement cette main qu’il porte à son cœur. ❝ Tant mieux, je me sens moins seule. Et promis j’ai pas fait de sorcellerie ou autre pour que ça arrive. Petit rire, tu viens humidifier tes lèvres pour de nouveau plonger ce regard noisette dans le sien. ❝ Ok, alors, il n’est pas trop tard. Comment dire le contraire après que les langues se soient autant déliées ? Qu’il t’ai montré de nouveau cette facette que tu aimes tant. Iwan c’est Iwan, on pourra te dire bien des horreurs, te rappeler tout le mal, toi ce n’est pas ce que tu enregistres. Tu te redresses pour mieux lui faire face, glissant une main derrière sa nuque, pour venir caresser l’extrémité de sa mâchoire avec ton pouce. ❝ Tu me crois totalement comme ça ? Ok là on te perd davantage t’as envie d’embrasser tout son être, mais tu vas seulement te contenter d’un simple baiser déposé sur ses lèvres. ❝ T'es obligé là. dis-tu alors que tu souris.

votre relation est sur le point de changer. tu ne pourras plus revenir en arrière. et franchement, c'est de loin ce que tu veux. revenir en arrière, voir votre relation se dégrader, la sentir s'éloigner. parce que oui, tout ça, c'est de sa faute. si tu t'ouvres enfin, c'est parce qu'elle t'as donné l'impression de ne plus tenir autant à toi qu'avant. tu la sentais t'abandonner. de plus en plus. t'aimais ce que tu reflétais dans ses yeux. et tu sentais que ça s'estompais au fur et à mesure. et ça, c'est de ta faute. t'en prends l'entière responsabilité de tout ça. il était temps de te ressaisir et de faire en sorte de la garder près de toi. même si ça en venait à lui montrer qu'elle pouvait avoir une sorte d'emprise sur toi. t'es vulnérable à ses côtés. c'est une des pires choses pour toi. qu'on se rende compte que oui, tu peux être vulnérable. seulement, pour l'coup, peu nombreuses sont les personnes qui peuvent se venter de ça. mais tu sais qu'au fond, ce n'est pas une mauvaise chose tout ça. c'est d'elle dont il s'agit. pas de n'importe qui. mine outrée quand elle te dit avoir pensé qu'effectivement, t'étais un con ― je.. bon, ok, ok, encore une fois. j'mérite. que tu dis en levant légèrement les mains en l'air. elle peut vraiment être la seule à avoir le droit de te traiter de con sans s'attirer tes foudres. réduisant l'espace qui vous séparait, ton palpitant quant à lui, s'accélère de plus en plus. plus tu te rapproches d'elle, plus tu te dis que tu ne regrettes pas de te livrer. plus t'as envie de te sentir proche d'elle. encore plus proche. lèvres déposées sur sa joue, aussi délicatement que tes mains s'posent sur son visage. tu pensais pas que ça te ferais autant de bien de lui parler. de cette manière. main qui vient s'porter à ton coeur tellement ça tambourine là dedans. ça faisait des années que ça t'étais pas arrivé pour le coup. pas de sorcellerie apparemment. c'est à en douter vu la manière dont ton corps réagis là maintenant. mais tu te contentes de sourire légèrement, en arquant un sourcil lorsqu'elle vient à se redresser, main qui se pose à l'arrière de ta nuque, ses lèvres qui se rapprochent des tiennes pour se poser délicatement mais rapidement alors que son pouce caressait ta joue. l'épiderme qui frissonne sous ses caresses. puis lorsqu'elle se décale, venant te regarder ― j'te.. crois ouais. donc, il n'est pas trop tard. pas trop tard pour lui rendre la pareille ? tu te mordilles la lèvre, regard pétillant posé sur elle ― viens par là. tu viens poser ta main sur sa taille, pressant tes doigts contre sa peau pour la rapprocher de toi, un peu plus. ton corps qui s'presse contre le sien, et l'autre main qui vient ramener une mèche de ses cheveux bouclés, flottant devant ses yeux, en arrière. vraiment, qu'elle est belle. encore plus lorsqu'elle te regardes comme ça. vraiment cette fille a le don de te regarder comme jamais personne ne t'as regardé. tu te sens encore plus.. unique dans son regard. ça a toujours été. c'est surement ça qui la rend aussi unique pour toi. du bout des doigts, tu viens caresser le creux de ses reins, remontant doucement le long de son dos pour venir poser ta main derrière sa nuque. et tes lèvres viennent s'poser sur les siennes. baiser plus sensuel ― ce parfum.. que tu viens souffler contre ses lèvres, le regard qui lui fait comprendre que t'es limite en extase dès que tu le sens.  tu l'connais par coeur son parfum. c'est juste que tu peux enfin lui dire à quel point tu l'kiffes.

Papillons au creux  de ton ventre, sensation d’une grande légèreté qui s’empare de toi alors que paradoxalement tu sens ton cœur raisonner contres tes os. Sensation d’une existence plus puissante encore, tu as cette impression de mieux ressentir les choses, d’être plus vivante que jamais auparavant. Et quand bien même il y ait déjà eu des rapprochements plus importants par le passé, ça n’a en rien de comparable avec ce qui est en train de se passer dans ce salon. Des révélations qui n’ont aucun prix, donnant tant de sens à ce qui se passe en ce moment même. Et cette place, tu ne la donnerais pour rien au monde, d’autant plus lorsque tu viens à te rapprocher de lui, guidée par ses mains qui viennent de part et d’autre de ta taille, te remmenant contre lui. Caresses que tu poursuis, les étoiles dans les yeux, tu contemples son doux visage, cette douceur plus intense que jamais auparavant. T’as l’impression de tout connaître de lui, de pouvoir lire ses pensées, celles qui semblent te rendre si spéciale. Ses mains qui caressent tes lombaires pour en laisser une remonter jusqu’à ta nuque, peau qui frissonne sous ta robe à ce contact si pur, avant que ses lèvres entrent de nouveau en contact avec les tiennes. Extase, moment presque indescriptible, sensualité au rendez-vous de ce baiser, alors qu’un souffle rieur s’échappe d’entre tes pulpeuses, un parfum alléchant qui définit ta présence. Huile vanillée, routine d’un désir de prendre soin de cette peau qui brille de mille feux au soleil. Main libre, tu viens la poser sur l’un de ses pectoraux, sentant davantage sa respiration silencieuse tandis que tu viens l’embrasser de nouveau. Sensations plus intenses qu’auparavant. C’est si bon, trop bon, plus que tu ne l’aurais vraiment pensé, réveillant quelque chose de fort. ❝ Je crois que j’ai trouvé un remède contre ton mal de ventre. dis-tu alors que tu viens stopper ce baiser. ❝ Je suis peut-être une sorcière après tout. Balancement de tes sourcils, moment taquin, tu souris innocemment, hissant une main dans ses cheveux pour jouer avec.

tu sais que ce n'est que le début. mais rien que là, tu te dis que tu regrettes pas. tu sais que la place où tu es à cet instant, c'est la bonne. t'es avec elle. et ce depuis des mois, tu sais que tu te sens bien que t'es à ses côtés. que ce soit en tant que pote, qu'en tant que plus. dès qu'elle est près de toi, tu te sens bien. rien de plus, rien de moins. ça te libères iwan. depuis tout ce temps où t'osais pas dévoiler ce que tu ressentais. parce qu'évidemment, tu savais toi, ce que tu voulais. tu voulais d'elle dans ta vie. comme ça, avec autant de tendresse, autant de complicité. vos mains qui prennent possession de l'autre. il n'y a que les siennes que tu voulais. ses doigts effleurant ton épiderme. ces frissons sous ses caresses. son parfum. la vanille. cette odeur, tu l'as souvent identifié à elle d'ailleurs. t'es bien content d'pas te prendre un vent sur ce coup. outre le fait de t'être senti con, t'aurais peut-être eut le seum. les boules de l'avoir perdue. qu'elle se soit éloignée. qu'elle ne te regardes plus d'la même façon. que ce qu'elle ressentait pour toi, elle le ressente pour quelqu'un d'autre. et même s'il n'y avait rien eu, tu te serais senti abandonné. tu l'aurais mérité. tu t'en serais remis aussi évidemment, à la longue. mais, ça aurait été plus long et compliqué que tu l'aurais cru, sans aucun doute. vos regards qui s'fondent dans l'un et l'autre, tu viens sourire légèrement ― j'en ai oublié d'mal au ventre ouais. t'es ma guérisseuse. ta sorcière blanche. et franchement, là, t'as plus aucune envie d'la laisser. tu sais que tu vas devoir, parce que ya le gros qui t'attend à la maison et qui a plus rien à bouffer ― j'veux plus... partir... que tu dis en grimaçant, tes lèvres venant déposer un baiser tendre sur son épaule dénudée. ok, retiens toi iwan. t'as juste envie de l'avoir contre toi, profiter de la chaleur de son corps, de la danse de ses doigts sur ta peau. mieux vaut éviter d'y penser, ça t'donnes même un peu chaud ― suffirait d'pas grand chose pour que je squatte chez toi. l'regard enjôleur, main qui vient caresser son épaule, dénudant légèrement cette dernière.

Il était loin ce soupçon d’avoir autant d’effets sur lui. Et ça même avant tous les événements précédents, jamais tu n’aurais soupçonné avoir cette sorte d’emprise. Impossible de nier cette ambiguïté que vous pouviez avoir, mais ça aurait pu être qu’une simple attirance, celle que l’on peut avoir pour n’importe qui. Savoir désormais qu’il s’agit d’un sentiment bien plus fort fait tambouriner ton cœur, le myocarde plus puissant que jamais auparavant. Doigts qui s’entortillent dans ses cheveux, tu rougis à la confirmation de ce pouvoir qui semble pouvoir guérir son mal. Allez savoir ce qui a eu plus d’impact, mais t’es certaine d’une chose, tu n’as pas envie de le voir partir. Pas maintenant alors qu’il vient de se déclarer, que tu retrouves cette proximité et complicité qui t’avaient tant manqué, et encore moins lorsqu’il vient déposer un doux baiser sur ton épaule. Nop, y a pas moyen. ❝ Reste, ne pars pas. T’espères bien être son petit diable, celui qui l’empêchera de franchir la porte d’entrée et de te laisser seule à rêvasser toute la nuit. Impossible que tu trouves le sommeil après ça, ça tournera en boucle, sans fin, dans ta tête. Tu crains de le laisser partir et de nouveau revenir à la case départ, que finalement à ses yeux il ne soit rien passé, te faisant douter. Oui, tu crains de perdre à nouveau ça, qu’il fasse machine arrière. Enfin, tu le crains qu’un court instant, oubliant tout plongé dans ses opales, dans vos caresses, baisers. Il suffirait de pas grand-chose pour qu’il reste, ok ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde, alors que le frisson s’amplifie à son doigté, une bretelle de ta robe au bord de la chute à l’extrémité de ton épaule. ❝ Et qu’est-ce qu’il suffirait pour que tu restes toute la nuit ? Complicité dans vos regards, tu t’écartes légèrement pour venir baisser la fermeture éclair de ton vêtement. Bretelle qui tombe l’une à après l’autre, laissant le tissu glisser le long de tes jambes jusqu’au sol, dévoilant cette presque nudité complète, un linge couvrant uniquement ton intimité. Un sourire en coin, l’assurance à son maximum, tu ne recules pas, tentant le tout pour le tout désir qu’il reste, de sentir à nouveau son épiderme contre le tien. ❝ C’est le pas grand chose qu’il manquait ? Les pieds nus, tu viens reprendre cette place contre lui, poitrine contre son torse, t’attrapes délicatement son visage entre tes mains, pour plonger son regard dans le sien. ❝ Je n’ai pas envie que tu me laisses seule. S’il n’avait pas compris, tu viens appuyer tes gestes par des propos

t'appréhendais le moment. depuis des mois, t'as du mal à te lancer. tu savais pas vraiment ce que tu voulais, ce qui était pour toi, la priorité pour toi. t'avais toujours l'impression que ta vie personnelle, sexuelle ou même amoureuse allait empiéter sur tes passions, tes projets, ta vie professionnelle et t'avais pas envie de ça. même si franchement, tu savais qu'une fille ne pourrait prendre le dessus sur le reste. à part peut-être elle. c'est pas nouveau pour toi, tu sais qu'elle a une grosse longueur d'avance sur toutes les autres. mais t'étais prêt à la laisser de côté aussi. te laisser de côté un peu aussi. du moins, sur ce point là, pour prioriser le reste. sauf qu'elle te manquait. ce que vous étiez te manquait. t'avas été horrible avec elle, et tu la sentais s'éloigner. normal d'un côté. et si t'es pas le genre à courir après les gens, à ne retenir personne, t'aurais souffert du fait qu'elle s'éloigne. parce qu'elle t'as toujours apporté beaucoup. beaucoup plus qu'elle ne le croit. et tu ne regrettes pas d'en être là. là où tu es à cet instant. et il n'en faudrait pas beaucoup pour que tu restes. toi qui était prêt à partir. cette fois, t'as pas le lâche iwan. tes doigts qui effleurent sa peau, baisers échangés, souffles qui se mélangent et ton regard qui ne la quitte pas. palpitant qui s'emballe quand elle retire sa robe. se retrouvant presque nue devant toi. ok, elle est juste parfaite. aussi parfaite que dans tes souvenirs ― ouh, oook. invitation acceptée. j'vais rester encore un peu... sourire au coin des lèvres, le regard pétillant, tu t'avances de nouveau vers elle. sur un nuage à cet instant, et tu sais que ce n'est que le début. mordilles ta lèvre inférieure, puis poses tes mains de nouveau sur sa taille, te pressant un peu plus contre elle. mains qui glissent au creux de ses reins pour venir caresser la seule dentelle qui reste sur elle, puis viennent se poser sur chacune de ses fesses, les pressant entre tes doigts. tes lèvres glissant le long de sa mâchoire pour venir prendre possession, sensuellement, des siennes. la saisissant par la taille, tu viens l'asseoir sur le dossier du canapé et viens te nicher entre ses jambes, torse de nouveau collé contre sa poitrine, mains venant caresser ses cuisses ― j'vais te montrer à quel point j'regrette pas d'être là. et elle imagine pas à quel point, encore une fois.

Courage entre tes mains, tu dévoiles ta presque nudité, certaine à moitié qu’il ne viendra pas fermer les yeux et te prier de te rhabiller. Confirmation dans son regard, ses paroles qui viennent souffler un petit rire entre tes lèvres, cette attitude. Sécurité dans cette planitude qui t’envahi depuis quelques minutes maintenant, atteignant son apogée à cet instant. Tu n’aurais jamais osé tout ça, si la certitude de ne pas être dérangés par Zed n’était pas cent pour cent là. L’absence totale de crainte, te moquant éperdument d’être presque nu au milieu du salon, prenant tes aises. Mains qui encerclent son visage, tes prunelles plongée dans les siennes, ce petit nez qui se retrousse sous ce sourire qui ne faiblit pas. ❝ Parfait. Coeur qui s’emballe davantage, proximité totale entre vous, corps l’un contre l’autre, son doigté parcourant ta peau, la pressant pour mieux la sentir, le souffle s’accélérant. A chacun de ses baiser qui remontent le long de ta mâchoire, ta peau se met à frissonner, le duvet qui se dresse, avant que vos lèvres se lient à nouveau. Les mains qui glissent de son visage pour entourer sa nuque de ses bras, les souvenirs d’un passé se mêlant à cet instant plus que réconfortant. Les pieds qui se soulèvent du sol, il vient t’asseoir sur le dossier du canapé, emprisonnant le brun entre tes jambes pour mieux le garder contre toi. Lèvre inférieure que tu mordilles, tu déglutis, aimant trop ce contact de ses mains sur ta peau. S’il voudrait s’enfuir, tu t’accrocherait à lui comme un koala, devenant ce petit démon sur son épaule. Et peut-être que tu le deviendras plus tard, ne voulant pas que ces retrouvailles toutes fraiches se terminent. ❝ Montre-moi. Tes noisettes plongées dans son regard vert, t’embrasses sa nuque, remontant jusqu’à son oreille pour venir embrasser son lobe. ❝ Enlève-moi ça, t’es trop couvert à côté de moi. lui dis-tu alors que tu viens glisser tes mains sous son haut, sachant parfaitement qu’il aime les caresses à cet endroit. Des caresses parfaites.