20H Fin de journée pour moi, avant cela je passe auprès de mes patients, mes petits et adorables.Je viens les voir un par un. Une caresse pour les encourager dans leurs nouvelle nuit ici parmi les équipes médicale, car certains ont très peur. Dont un qui refuse l'opération malgré après le passage du psychologue et que ses parents lui explique. Il est vrai que c'est difficile qu'en un jour on va bien et ensuite tout bascule et on doit faire une opération. Et voilà que ce dernier, s'accroche à moi et refuse de dormir.

Je regarde autour de moi, puis viens le prendre dans mes bras et commence à chanter une douce mélodie. Le jeune me regarde et mes yeux croise son regard, mais je continue de chanter. Puis je vois qu'il ferme doucement ses  yeux. Puis quand il vient à dormir enfin. Je le pose doucement et le couvre en caressant ses cheveux. Je quitte doucement la chambre puis ferme à moitié la porte et passe au bureau pour donner les instructions aux infirmières de nuit et sors.

Regardant ma montre, je me dépêche prenant ma voiture, puis roule direction le Menton. Je me gare et descend pour ouvrir la porte et salut les employés. Étant un habitué je suis reconnus, puis je vais au bar sans que l'on me demande si j'ai envie d'une table. Je viens me poser. Puis regarde un moment le comptoir toujours dans l'hôpital. Je me redresse au final puis viens à prendre la carte qui trône et qui en fixant la carte je viens à demander.

C'est possible d'avoir quelque chose à manger tout en ayant un verre d'alcool? J'ai pas mangé

tenue hors du travail

Saya a prit son service il y a peu et commence donc à se demander ce qu'elle va bien pouvoir trouver comme clients aujourd'hui. Est-ce qu'ils vont être exécrables ? Est-ce qu'ils vont être adorables ? Tout dépend du client en question. Depuis qu'elle travaillait ici en tant que serveuse elle avait vu de tout. Vraiment de tout. Et quand un homme entra, un habitué, la blonde le reconnue presque directement, elle sourie automatiquement. A chaque entrée de clients elle le faisait, accompagné d'un "bonsoir". Sourire de façade. Sourire qui ne dur que le temps où elle n'est pas seule. Quand elle est derrière son comptoir ou dans les cuisines elle arrête de sourire et soupire. Du moins à l'entrée, là où il y a du passage. Tout simplement parce qu'il y avait du passage et que, du coup, personne ne faisait attention à elle.

Alors que l'homme demande si c'est possible de manger et de boire, Saya sourie et répond : " Bien sûr. Qu'est-ce que je peux vous servir ? ". Après la réponse, souriant toujours, bien qu'un peu déstabilisée puisqu'il était assez charmant, elle alla lui chercher un verre et le posa pour le servir. Lorsqu'elle lui donna, elle manqua de le faire renverser mais...réflexe ! Elle avait réussi à faire tomber plusieurs verres, au début, mais elle avait obtenu, grâce à cela, des réflexes. Ce n'est pas la preuve que l'on apprend de ses erreurs. " Je suis désolée. " S'excusa-t-elle, gênée, même si elle n'avait laissé tomber qu'une infime goûte. Qu'elle essuya aussitôt. Elle était fatiguée, la pauvre. Après tout elle avait ses révisions, son boulot et ses cours. C'était un peu compliqué, donc.

" Quelque chose d'intéressant pour vous sur la carte ? " demanda-t-elle en étant plutôt curieuse, avouons le. Elle se demandait toujours ce qu'allaient prendre les clients. Parce que parfois cela ne correspondait pas du tout à la personne. Je m'explique : une petite fille qui prend une bonne assiette de boeuf bourguignon. Ou un homme un peu baraqué qui prend une salade. Après, bien sûr, elle n'était pas là pour juger. Elle était là pour travailler. Seulement cela la faisait sourire. Pas seulement de façade cette fois-ci.

Je viens à relever les yeux lorsque j'entends la personne, un sourire ce forme sur mes lèvres. Je reconnais la jeune demoiselle puis je viens à fermer la carte pour la remettre là où je l'ai prise. Je regarde le monde qui semble être là. Puis entend le patron appeler la demoiselle . Je viens à faire vite en lui disant ma commande, ne voulant pas la mettre au plus mal. Car il faut dire que l'endroit est réputé pour la notoriété et le type de nourriture. La gastronomie française. Je viens souvent seul en compagnie des collègues également.

J'observe sa rapidité et efficacité,elle me connaît tout de même bien. C'est bien ce que je voulais, un whisky. Quand je vis la goutte à côté je ne dis rien. En effet la restauration est assez actif comme l'hôpital. Il faut être sur les feux en constance. Mais cela ne manqua pas que ce son patron lui fasse la remarque devant tout le monde. Cela me dérangea, je viens à me lever et regarde ce dernier en venant prendre la main de la jeune serveuse qui essuyai.

Veuillez lui faire des excuses, elle travail beaucoup en parallèle de ses études. Je me demande même si elle a eu le droit à sa pause obligatoire.

Après mon intervention, le patron ne sait plus quoi dire et dit qu'elle peut prendre sa pause après m'avoir servie. Je me rassois et regarde la carte puis prend une assiette à partager pour deux. Je la regarde puis ferme la carte que je replace et viens la regarder doucement.

Une planche à partager et vous la partager avec moi.

Après cela, je viens retirer mes lunettes et viens frotter mes yeux. Je ne suis pas fatigué, mais je cherche toujours la solution pour que mon petit patient, veule faire l'opération. Je viens regarder mon portable et appel le bureau des infirmières et demande si tout va bien. Elles sont étonner que je sois si attentionné et dans le travail alors que ma journée est fini, je répond que je suis inquiet pour le patient de la chambre 12. Elles me rassure qu'il dort profondément. Et que je devrais en faire de même.

L'homme en face de la jeune femme est beaucoup trop bon. Trop de bonté en lui. C'est du moins ce qu'elle se dit quand il prend sa défense. Il faut dire qu'elle n'ose pas tenir tête à son patron. En même temps elle n'a pas trop là pour ça. Elle est là pour arrondir les fins de mois, pour servir les clients et...pour prendre une pause. Oh oui, une pause. Mais elle n'ose pas accepter, la jolie blonde. Comment faire pour décliner gentiment ? Elle commence par un : " Je ne sais pas si... " puis il appelle quelqu'un. Elle devine rapidement que c'est de l'hôpital qu'il parle et elle se dit : " Bon, pourquoi pas. " fini-t-elle par accepter. Elle alla déposer la commande en cuisine et demanda à ce que ce soit fait rapidement, sans grande méchanceté, seulement avec un ton un peu trop...laxiste ? Un peu trop gentil peut-être. En même temps la cheffe de cuisine était adorable avec elle. On ne pouvait pas dire qu'elle ne la ménageait pas. Bah...en fait si. Elle ne la ménageait pas du tout. En même temps, où sommes nous ? Dans un restaurant étoilé.

Alors que la planche est en préparation, Saya ne peut s'empêcher de rougir. Elle qui est blanche comme un cachet d'aspirine, cela se voit tout de suite. " Bah alors petite Saya, tu as chaud ? Ca ne va pas ? " se moque un serveur. Déjà, l'appeler "petite" n'était pas approprié mais peu importe. Elle allait manger avec un médecin. Elle allait manger. Elle allait...manger. Alors la jeune femme ne répondit pas à la personne qui l'avait abordé et se contenta de prendre la planche avant de dire, pour information générale : "Je prends ma pause." et de l'apporter à son client. Elle s'assit ensuite à côté de lui pour prendre cette fameuse pause.

Heureusement, la blonde ne rougissait plus. Elle prit une grande inspiration et regarda finalement l'homme qui l'avait, d'une certaine manière, sauvé. Il avait l'air très gentil, finalement. Il n'avait pas un visage commun. Un visage fatigué et doux. Oui, c'est ça. Fatigué, mais doux. " Merci, pour tout à l'heure. Vraiment... " dit-elle. Que lui prenait-elle à être aussi timide ? Peut-être parce qu'un homme, certes plutôt mignon, venait de tenir tête à son patron ? Ou alors...Une pensée vint lui traverser l'esprit. Et si...non. Tu ne le connais pas, Saya. Enfin un peu quand même.

Je viens à la regarder lorsqu'elle commence à répondre qu'elle ne sait pas si c'est correct, enfin sûrement cela la fin de la phrase. Peut-etre à cause de la peur de son patron ou autre. Mais pour moi cela ne me dérange pas de partager une planche avec elle. Surtout que j'ai besoin de me changer les idées et elle a besoin de prendre une pause et manger quelque chose. Alors cela est une pierre de coup.
Tout en étant au téléphone je la regarde partir en cuisine puis souris doucement voyant qu'elle à l'air plus heureuse de pouvoir prendre sa pause.Je continu mon appel téléphonique tout de même inquiet pour le jeune patient de la 12. Bien que mes instruments soit fait pour que l'examen ce déroule dans le plus grand calme, la question de l'opération reste un soucis.

Je viens prendre mon bloc note et écris des informations donner par les infirmières. Puis les remercies et leurs dit bon courage. Je viens à raccrocher quand je la vis revenir puis range ce dernier et souris doucement. En espérant que personne ne vienne m'appeler durant cette nuit. Je la laisse se poser à mes côté. Puis viens prendre une serviette et lui donne puis en prends une pour moi.
Je l'écouta puis sa réaction me fit sourire,elle est si douce et sacrément timide. Mais c'est si agréable que ça donne envie de la protéger.

Il n'y a pas de quoi. Et la loi stipule qu'une pause et obligatoire dans le contrat de travail. Je suis certes pas dans le droit. Mais je connais les droit. Et un employé fatigué ce doit de demander une pause également, pour ne pas que sa santé se dégrade.

Je viens prendre un pique et le pique dans la viande et l'amène vers la bouche de la jeune serveuse. Puis souris doucement encore.

Saya n'avait pas l'habitude d'avoir un homme attentionné à côté d'elle. J'aurais pu dire "à ses côtés", mais la signification n'était pas la même. Disons qu'elle n'avait pas l'habitude d'énormément de bonté sans qu'il y ai quelque chose de caché derrière. Quoi que...elle le connaissait en tant que client, mais personnellement...comment était-il, au juste ? En tout cas c'est certain : il n'a pas l'intention de la maltraiter. Cela se voit rien qu'avec la façon dont il se conduit avec elle. Même ses deuxièmes "parents" adoptifs n'ont pas été comme ça au début, pour la mettre en confiance. Ils l'ont été devant les autres, bien sûr, mais derrière...Du coup, comme ils sont en public, est-ce que ce ne serait pas pour l'amadouer ? Non, bon, stop, on arrête de se poser des questions comme ça. Profites du moment, Saya. Il faut croire qu'elle a des séquelles, la pauvre.

Prenant la serviette, elle remercie son sauveur et peut-être futur ami, qui sait ? " Je suis étudiante en droit et je crois que je ne respecte pas moi-même ce que j'apprends...". Elle ricane, un peu plus à l'aise qu'il y a...deux secondes. Elle se sentirait presque en sécurité, face à cet homme qui vint lui apporter un pique à la bouche. C'était un peu gênant pour elle, mais elle oublie rapidement cette gêne en voyant son sourire. Elle mangea donc et demanda : "Je m'appelle Saya et vous ?...". Ce n'était absolument pas professionnel, mais c'était important de se présenter, non ? Puis elle n'était plus réellement dans sa profession. Enfin..dans son petit boulot. "Je vous vois souvent ici. Et je vous vois souvent au téléphone. Même moi je suis moins dessus." tenta-t-elle de faire une blague en essayant de savoir si cette remarque gentille et taquine allait faire rire le jeune homme. Elle ne savait pas du tout, pour le coup. Et elle avait peur des répercussions. Comme toujours. Pourtant elle souriait. Elle souriait mais ce n'était pas tout à fait un sourire de façade. On pourrait presque dire que c'était un vrai sourire. Repensant au fait que, plus tôt dans l'année, elle passait son temps sur son téléphone. Même parfois pour prendre des notes ennuyant photo parce qu'elle avait loupé un cours. Bien qu'elle détestait cela. Et après elle les recopiait, ayant une mémoire qui s'appuyait sur le fait qu'elle devait écrire plusieurs fois les choses.

Je viens observer la jeune demoiselle, aucun mot juste un regard. Je viens à me demander ce qui se passe. Est-ce que j'ai fais quelque chose de mal. Est-ce que j'ai quelque chose qui cloche sur ma tenue, au niveau de mes cheveux. Est-ce que j'ai oublié de retirer une chose de l'hôpital. Il faut être vraiment stérile avec les enfants. Surtout que j'ai de multiples calots pour la chirurgie et ça les détends quand ils les voies la plus part du temps. Aussi souvent on me demande moi en chirurgien, car avant qu'ils partent je leurs raconte une histoire et après je leurs demande la suite. Et ce sont des guerrier.

Je viens à apprendre qu'elle est étudiante en droit, une matière que j'apprécie aussi. Mais qui me fait sourire et rire un peu, vu que le code du travail fait parti du droit et elle devrait savoir les règles. Mais elle a conscience qu'elle ne respecte pas les règles du code du travail. Après elle est très amoureuse de son travail, donc on ne peut lui en vouloir. Ceux qui sont amoureux de leurs travail ne comptes pas leurs heures supp et ne font pas de pause. Je souris toujours puis viens à lui répondre d'une voix douce.

Tu n'as pas à t'en faire, c'est que tu aimes ton travail. Et le droit est très courageux. Tu as la spécialisation ou le droit en général? Je suis certain que tu réussira à calmer tes heures de travail et tu pourras même faire taire ton patron avec tes propres droit. Qui lui ne semble pas connaître.

Je viens l'accompagner dans son rire, puis la regarde doucement.Je viens à sentir la gêne par mon geste, prêt à retirer mon geste. Je la regarde prendre la nourriture, on pourrait croire un couple. Je viens à sourire doucement, puis l'écoute me dire son prénom, un prénom bien doux et qui lui ressemble énormément. Puis je viens à prendre la serviette, pour lui essuyer le coin de sa bouche puis souris une nouvelle fois.

Joli prénom qui te ressemble bien. Je m'appelle Rui, j'ai aussi le prénom de mon père. Mais je préfère Rui

Un doux sourire vient se dessiner une nouvelle fois, après avoir manger quelque chose de la planche et l'avoir avaler. Je viens l'écouter tranquillement. Puis découvre son coter curieuse. Un coter que je trouve assez adorable, surtout comment elle le présente.Elle vient rapidement ce rattraper de sa curiosité ce que je trouve encore plus mignon. C'est toujours d'une voix douce que je répond.

Je viens souvent ici, parce que c'est le seul lieu ouvert quand j'ai fini mon travail. Et aussi qui propose le coin bar et des tables solo. Je suis chirurgien pédiatrique. De la période fœtale à la fin de l'adolescence, j'ai étudier en Chine spécialisation néonatale un moment. Maintenant je suis en pédiatrie. Alors je dois trouver des solutions pour les enfants. Dont là je dois trouver une solution pour un enfant, pour qu'il accepte l'opération. J'ai appeler pour savoir comment il allait.

Je viens regarder, ma montre pour m'assurer de ne pas manquer les minutes en sa compagnie.Puis comme elle vient de poser deux questions, je viens au passage lui remettre une mèche derrière son oreille. Puis viens lui demander

Alors dit moi, tes passions ce sont quoi?

Saya n'est pas tant amoureuse que ça de son travail. Quoi qu'elle l'adore. Ca lui permet de rencontrer des gens, de voir des personnes disons...différentes d'elle et de servir. Elle aime servir. Avant, c'est sûr que la plonge n'était pas très enrichissante. Par rapport à ce qu'elle fait là, maintenant.

"Oui, enfin...je ne sais pas trop. Peut-être. Le problème c'est que je ne suis pas très...comment dire...très imposante. Et très..." elle cherche ses mots pour ne pas se montrer elle-même négativement. "...très impressionnante. Parfois j'arrive à dire les choses, parfois mon autorité est subjective.". Voilà, c'était ça. Son autorité était plutôt subjective. Tout dépendait avec qui, mais avec un homme comme son patron...ce n'était pas simple de se montrer forte et de lui tenir tête. Comme le bel homme à côté d'elle l'avait fait un peu plus tôt. Si elle était sous le charme de quelqu'un il y a quelques heures encore, plus physiquement qu'autre chose, en apprenant un peu plus sur Rui, ce cher Rui...Elle qui ne connaissait pas son prénom quelques secondes auparavant et qui n'avait aucunement un grand sens du professionnalisme avec l'homme, commençait à être sous son charme.

Encore une fois, c'est difficile à expliquer. Il avait un charme naturel. Plus il parlait, plus il donnait confiance à la belle Saya qui ne prenait garde qu'à peu de choses avec lui. Et lorsqu'il la complimenta sur son prénom, justement, elle rougie légèrement. Qu'est-ce qu'il te prend, au juste ? En tout cas un chirurgien pédiatrique...c'était impressionnant. "Oh, ça ne doit pas être facile tous les jours. Mais...dis moi...je peux te tutoyer n'est-ce pas ?" elle attendit un peu sa réponse avant de continuer. Après tout, lui aussi la tutoyait. "Et si vous cherchiez, à l'hôpital, un enfant qui a déjà été opéré ici de la même chose ? Un adolescent, même ? Il pourrait rassurer ce fameux petit, en lui parlant tranquillement et avec humour de son expérience ? Comme ça tu pourras appuyer ses dires etc...?". C'était une idée qui venait de lui traverser l'esprit.

Et, quand il lui demanda ses passions, elle eu une idée de génie. Ou pas. "J'adore la danse. D'ailleurs...il y a un bal à l'université et...je cherche un cavalier...est-ce que...tu accepterais de venir avec moi ?...". C'était très délicat pour elle. Tout simplement parce que c'était devenue une femme impressionnable. Mais seulement par un seul homme, bizarrement. Il la mettait dans un état...bizarre. Elle n'était pas amoureuse, ça non, mais il avait un charme, encore une fois, qui la déstabilisait.

Je viens à l'écouter, observant en détail son visage, un visage doux, mais pouvait-il être toujours doux? Car je suis de ses personnes qui peuvent avoir un visage doux, mignon et ensuite un visage dur dans la minute qui suit. Je viens à rire quand elle cherche ses mots. Un rire pas de moquerie, mais dans le sens que je trouve mignon voir adorable qu'elle soit ainsi.
Car cela m'arrive parfois et c'est quand je suis très investis dans mon travail.
Ma main un peu plus grande que la sienne, viens se posé sur cette dernière pour la rassurée pour qu'elle souffle doucement et puisse parler. Je viens ensuite lui répondre.

Du moment que tu es celle que tu es aux monde, c'est ce qui compte. Et le monde ne doit pas t'obliger à vouloir la personne qui veule avoir. S'ils veulent que tu changes, c'est qu'ils ne t'acceptent pas avec ta personnalité. Et la personnalité de chacun c'est ce qui séduit les personnes.

Je viens à prendre un pique pour manger du jambon de l'assiette, puis fini doucement le verre. Un regard sur ma montre, certes j'ai un portable, mais je préfère la montre au portable. Car on est tenté pour rester dessus, puis après lire l'heure en numérique je n'aime pas vraiment. Après l'avoir complimenté sur son prénom, je remarque une légère teinte rouge sur son visage. Un petit sourire viens ce dessiner sur mes lèvres. Puis elle vient me dire que ça ne doit pas être facile tout les jours et si on pouvait se tutoyer.

Tu as raison, les organes d'un bébé est différent d'un enfant et d'un adolescent. Et le corps également niveau croissance. Mais sauvé des vies me rends heureux.
Et tu peux me tutoyer ne t'en fais pas.

Je viens à écouter, puis me dit qu'elle était parfaite. J'avais justement un enfant qui avait subit la même opération et elle s'était bien passé. Je viens lui prendre ses mains pour les serrer doucement souriant de bonheur. Bonheur pour lui montrer que son idée était la meilleure. Gardant ses mains, elle me fit la confidence qu'elle aimait danser. Et pose la question pour que je sois son cavalier au Bal de son université. Je viens à sourire et je viens lâcher ses mains, pour venir lui remettre ses cheveux.

Je ferais en sorte d'être libre pour t'accompagner.Maintenant c'est à moi. Tu finis à quelle heure? Il paraît que sur le chemin c'est plus facile de se libérer.

Je viens à voir au fond, un piano. Est-ce le destin qui m'a amener ici? Rencontrer la merveilleuse et magnifique Saya, ce piano libre dont je pourrais jouer. Ai-je le droit pour une nouvelle histoire?

La main de Rui venant se poser sur celle de Saya pour la calmer, d'une certaine manière, lui donnerait certaines idées comme : "Mais c'est pour me tuer ça !". Réplique de jeunes. Même la blonde n'était pas certaine de pouvoir dire cela à son âge pourtant encore jeune lui aussi. En tout cas, sa main sur la sienne lui fait un certain effet. Un effet dont elle ne s'attendait pas vraiment. Il faut dire qu'elle ne s'attendait pas non plus à cette main sur la sienne. Que disait-elle, déjà ? Elle fini et écoute la réponse du jeune homme. Il était...absolument...éblouissant. Dans le sens où il savait parler aux femmes. Ce qu'elle ne manqua pas de lui faire remarquer : "Dis moi, c'est que tu sais parler aux femmes." elle ricane en le regardant droit dans les yeux. Des yeux envoutants. Ne serait-elle pas sous le charme, la belle blonde ?

Quand, par la suite, elle exposa son idée pour aider cet enfant qui ne voulait pas se faire opérer, Rui lui prit les mains. D'abord un air surprit se dessina sur son visage, puis elle fini par sourire tendrement. Il avait l'air d'un enfant, comme ça. Ou d'un adolescent qui venait d'avoir une idée. Ou un cadeau. Un cadeau grandiose. Quelque part c'était le cas. C'était un peu tôt pour le dire, mais peut-être que son idée allait aboutir et que ça allait donner une vraie chance à l'enfant qui semblait si...effrayé. Elle ne connaissait pas la maladie de ce petit, mais elle compatissait énormément, elle qui avait eut une enfance gâchée. Avec un peu de chance, lui n'aura pas totalement la même sensation.. Son regard était tellement...remplit de bonheur. Oui, c'est ça. Elle arrivait à déchiffrer en lui du bonheur.

Finalement, Rui accepte de l'accompagner au bal et mon dieu ce que cela lui fait plaisir ! Alors elle sourie grandement, d'une façon adorable qui ne trompe personne quant à son enthousiasme et à son contentement. Puis elle regarde l'heure avant de répondre : "Et bien je fini dans environ une heure. Un peu plus. Je ne voudrais pas te faire attendre." et c'était vrai. Toujours prête à penser aux autres, la belle Saya. Même si ce n'était pas la meilleure chose à faire. N'est-ce pas ? Après tout, il faut aussi penser à soit. Mais si elle pensait à elle, en ce moment même, elle lui demanderait de rester et de l'attendre. Avait-elle le droit de le faire ? Ou devait-elle penser aux autres ? Elle opta pour la deuxième option. Penser à Rui. Cet homme qui venait de débarquer dans sa vie comme une tornade.