Doria CesariniMembre de la Dudley House


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Âge : 27
Lieu de naissance : düsseldorf.
Quartier.s d'habitation & Colocation : avec lili.
Situation sentimentale : célibataire.
Études & Métiers : étudiante en archéologie.
Date d'inscription : 01/05/2023
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Warning : décès, relation extra-conjuguale.
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Lien du postDim 14 Mai 2023 - 8:30
Tu en as des plans culs, mais celui qui t'as sûrement le plus manqué c'est Davy. Tu apprécies sa compagnie. Vous vous chamaillez, mais tu aimes ça. Il te fait rire. Mais surtout, il n'y a pas de dramas entre vous. C'est plutôt bon enfant. Vous êtes des amis qui prenez du plaisir ensembles quand vous le souhaitez. Alors tu avais pris un peu de temps pour le contacter, préférant prioriser ta famille, ton meilleur ami ou encore ta colocataire. Mais il était enfin temps que tu le vois et que tu redecouvres son corps.
Après avoir discuté par messages, tu te retrouvais dans le lit de Lilia. C'était dégoûtant ce que vous alliez faire et pourtant ça avait son petit côté excitant. Évidemment, tu aurais préféré baiser Lilia dans ce lit, mais elle n'était pas apte à te donner ce que tu voulais alors c'était Davy qui allait s'occuper de toi, ici. En l'attendant, tu avais déjà commencé l'affaire, en pensant sûrement plus à Lilia qu'à Davy, mais une fois qu'il était là, face à toi, tu en avais oublié ta colocataire. Tu l'avais embrassé avant de l'amener à te rejoindre sous la couette et vous retrouver comme vous le souhaitez.
La couette par terre, nue à ses côtés, tu le regardais."Je rêve où tu es plus endurant qu'avant ?" Tu ne faisais que l'embêter. C'était ta façon de passer du sexe à votre amitié. Tu déposais un rapide baiser sur son torse, avant de te lever."Tu veux boire quelque chose chéri ?"
@Davy Kellerman
Davy KellermanMembre de la Kirkland House


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( player one ) mesure 1m93 - signe astrologique solaire cancer, tu ne t'es pas penché sur l'ascendant et le lunaire, tu sais qu'on le fera pour toi - tatoué - grand fan des Giants - allergique aux fruits à coque - boit essentiellement du jack daniel's - aime fumer des cigares cubains pour flex - organise des soirées poker - grand consommateur de nuggets - possède toutes les consoles existantes, de l'Atari à la PS5 en état de fonctionnement - fan inconditionnel de south park - joue du piano depuis l'âge de 7 ans - tu as créé ton propre programme de pénétration de systèmes pour prouver que rien n'était impénétrable du moment qu'on est bien protégés, la preuve, aucune autorité ne sait que tu es entré dans le système d'informations de la maison blanche pendant quelques secondes - tu conduis une impala de 1968 que tu bichonnes comme ton bébé - tu ne manques aucune fashion week, ta mère te traine là-bas depuis ton enfance, c'est votre moment privilégié depuis toujours. tes troubles TDAH sont : difficulté à se détendre liée à une hyperactivité physique et mentale, insomnies, phobie du retard liée à une mauvaise gestion temporelle, auto-stimulation pour canaliser ton énergie et se concentrer, consommation parfois excessive d'alcool pour gérer une anxiété sociale, peur du rejet, surcompensation, oubli de s'alimenter.


( player one ) mesure 1m93 - signe astrologique solaire cancer, tu ne t'es pas penché sur l'ascendant et le lunaire, tu sais qu'on le fera pour toi - tatoué - grand fan des Giants - allergique aux fruits à coque - boit essentiellement du jack daniel's - aime fumer des cigares cubains pour flex - organise des soirées poker - grand consommateur de nuggets - possède toutes les consoles existantes, de l'Atari à la PS5 en état de fonctionnement - fan inconditionnel de south park - joue du piano depuis l'âge de 7 ans - tu as créé ton propre programme de pénétration de systèmes pour prouver que rien n'était impénétrable du moment qu'on est bien protégés, la preuve, aucune autorité ne sait que tu es entré dans le système d'informations de la maison blanche pendant quelques secondes - tu conduis une impala de 1968 que tu bichonnes comme ton bébé - tu ne manques aucune fashion week, ta mère te traine là-bas depuis ton enfance, c'est votre moment privilégié depuis toujours. tes troubles TDAH sont : difficulté à se détendre liée à une hyperactivité physique et mentale, insomnies, phobie du retard liée à une mauvaise gestion temporelle, auto-stimulation pour canaliser ton énergie et se concentrer, consommation parfois excessive d'alcool pour gérer une anxiété sociale, peur du rejet, surcompensation, oubli de s'alimenter.

Description deux : l'âme REBELLE, tu te fous de l'étiquette, de ce qu'elle implique au quotidien, on dit même que tu es IRRÉVÉRENCIEUX, presque trop arrogant pour ton statut. FÊTARD, tu sors tous les week-ends, à boire comme un trou, comme si demain n'existait pas. fêtard pour combler une solitude et combattre les démons intérieurs. IMPRÉVISIBLE, tu peux être le mec le plus doux qui soit et la minute d'après devenir un monstre, encore marqué des évènements du passé. un simple mot peut devenir déclencheur de ta fureur. joutes verbales plutôt que d'user des poings, jusqu'au point de non retour. GEEK, passionné d'informatique, de technologies, tu fais toujours en sorte d'être à la pointe des dernières informations, des dernières avancées sur l'IA, des langages de programmation. STUDIEUX, tu peux passer des nuits entières sans dormir pour pousser un devoir vers l'excellence. le strict minimum ne te convient pas. un véritable acharné de travail, somme toute, on peut dire que tu es perfectionniste. tu as un côté FACÉTIEUX, jamais le dernier pour déconner, jamais le dernier pour monter des plans foireux. MANICHÉEN, pour toi le juste milieu n'existe pas. le bien et le mal. le noir et le blanc. pas de nuances. tu aimes ou tu détestes. SÉDUCTEUR, tu aimes la compagnie des femmes, montrer que tu peux plaire, parce que tu manques de confiance en toi. ACTIF, tu as toujours besoin de t'occuper l'esprit et le corps, incapable de rester en place. INDIFFÉRENT, tu peux parfois paraître hautain, vantard, parfois AFFECTUEUX, mais pas avec tout le monde. tu as ton cercle dédié. sociable, artiste.


Description trois :
( amsterdam, pays-bas ) enfant unique du couple Kellerman. père néerlandais qui bosse dans l'industrie à l'internationale, mère française, mannequin. tes premières années de vie sont marquées par l'absence fréquente de l'un, toujours en voyage d'affaire, et les shootings de l'autre. enfant élevé par une nounou, qui t'apprend tes premiers mots, voit tes premiers pas. enfant dans un foyer où l'amour parental n'est qu'une façade publique, où dans le privé, tu es largement délaissé. parents qui ne s'aiment plus, qui divorcent sous les flashs des paparazzi, une garde qui n'est même pas disputée. tu iras vivre avec ta mère, dans les hautes sphères de la mode. deux ans et déjà le premier déracinement. premier déménagement. ( bruxelles, belgique ) une ville cosmopolite, où tu as tes premiers souvenirs. déjà polyglote dès le plus jeune âge, entre le français, le flammand et le néerlandais. tu es déjà un gosse qui a du mal à tenir en place, toujours curieux de découvrir de nouvelles choses. maman a un nouvel amant. papa est aux abonnés absents, signe le chèque de pension chaque mois mais n'a pas de temps pour toi. l'amant de maman est un gros con qui ne supporte pas ton existence, te traite comme un moins que rien, te traite de petit con, a la main leste quand maman travaille et pas lui. ça finit par se voir et se savoir, elle le quitte, nouveau déménagement. tu as quatre ans. ( berne, suisse ) une aventure de courte durée, une fois encore. une petite année, le temps de se retourner, que maman sorte de sa dépression, qu'elle oublie le mal qui t'a été fait sans qu'elle ne le remarque. papa revient un peu dans ta vie, t'accorde quelques week-ends, te présente sa nouvelle famille, celle où tu n'as pas ta place. des demi frères et soeurs qui se moquent de toi parce que t'as été diagnostiqué avec un trouble de l'attention hyperactif et que par conséquent tu es différent d'eux. les enfants sont horribles entre eux, tu t'en rends compte bien jeune. ( paris, france ) la capitale française, ville de l'amour, adulée du monde entier. ton premier lieu fixe. ce sont dix années de ta vie que tu passeras ici. paris la magnifique est en vérité bien mal famée quand on y vit au quotidien. le rêve, tu ne l'as pas vécu. tu as vu les quartiers les plus pourris de la petite couronne, tu y trainais avec les potes que tu as enfin pu te faire, les premières amitiés qui durent. dix ans de ta vie, dix années d'amitiés avant de partir pour les USA, donner des nouvelles grâce aux réseaux sociaux, promettre de se revoir. certaines promesses ne sont pas faites pour être tenues, d'autres font exception à la règle. c'est comme ça. les jeux vidéos et les appareils connectés te passionnent déjà. tu veux comprendre leur fonctionnement, les algoritmes, les langages de programmation, les possibles évolutions à venir. ( new york, etats-unis ) un géant dans les rues de la grosse pomme. seize ans, un mètre quatre-vingt dix, on te propose de rentrer dans l'équipe de basketball vue ton envergure, mais ce n'est pas ce sport qui obtient tes faveurs. c'est vers le baseball que tu te tournes, en parallèle du club informatique. on dit que tu es bon, mais pas assez pour devenir professionnel en ligue. tant mieux, ce n'est pas l'avenir que tu veux. mais tout ceci te permet d'avoir un meilleur dossier pour ton avenir universitaire, et là encore, tu vises haut. le prestige. une université comme Harvard ou rien. ( boston, etats-unis ) dernier lieu de vie, havre de paix enfin trouvé. un avenir à tracer. les liens avec ton père ne sont que cordiaux et l'évitement est maximal. ta mère a trouvé son équilibre depuis paris, t'a offert une merveilleuse petite soeur, la prunelle de tes yeux. elles vivent aussi en ville, avec le père de la gosse, un homme bien qui rend la matriarche heureuse et comblée. qui te considère comme son fils, malgré des débuts compliqués. les hommes de ta mère n'avaient été que déception jusqu'alors, alors tu voulais la protéger d'un énième enfoiré. harvard t'a ouvert ses portes dans le cursus que tu voulais. la vie sourit enfin aux audacieux. [color=darkslateblue]( bills bills bills ) un appel vient te tirer de ton sommeil. un numéro étranger. le mexique. à cette heure tardive, tu préfères décrocher, au pire débouter ce faux numéro. la police. un guet-apen. plusieurs morts. ton père, sa femme, ses gosses, tous décimés. au mauvais endroit au mauvais moment. silence pesant que tu imposes, ne sachant comment réagir. peu préparé aux évènements traumatiques. demander la marche à suivre pour l'enquête, le rapatriment de ton père. le reste de sa famille t'importe peu, tu n'es pas concerné par ces gens. unique héritier de la fortune paternelle selon l'acte notarial du testament. passer l'été à Amsterdam pour régler la paperasse et les funérailles. trainer dans les coffee shops, fumer plus que de raison pour oublier la raison de ta présence, car malgré tout, tu te retrouves orphelin d'un père, aussi absent fut-il de son vivant. [i]( toxic ) l'argent attire les rapaces. tu étais trop naïf pour le remarquer. elle pensait avoir touché le jackpot en te mettant le grappin dessus, cette fille. loin d'être pingre, tu lui offrais ce qu'elle voulait tant qu'elle était raisonnable. elle disait t'aimer. les actes étaient contradictoires, avec le recul. elle te prenait et te jetait à son bon vouloir, selon son humeur, selon la disponibilité de son amant. ou peut-être était-ce toi, l'amant. le pigeon. tu l'as aimée. tu t'es perdu pour elle. tu t'es plié en quatre pour la garder et elle en jouissait. elle te manipulait. elle te foutait plus bas que terre et tu rampais, cafard qui n'avait plus aucun amour propre. aveuglé. trompé, bafoué, l'honneur piétiné, l'égo enterré. elle t'a volé au sens propre comme figuré, détroussé de ta confiance en toi. femme perverse et perfide. une sirène. enchanteresse et pourtant bien fourbe, elle se jouait de ton âme, criant à qui voulait bien l'entendre que si tu partais, elle allait se foutre en l'air. tu ne voulais pas avoir sa mort sur la conscience alors tu restais, malgré tout. malgré toi. géant incapable de se sortir de sa merde. impuissant. finir par lui mentir pour te libérer de tes chaînes, lui dire que tu n'avais plus rien, plus d'argent. la voir fuir. devoir te reconstruire. ( car crash ) l'alcool qui empoisonne les sens. la bouteille de jack daniel's qui trône sur le siège passager. seul au volant, tu noies tes démons à exorciser, auxquels tu n'as pas la force de faire face. appuyer sur l'accélérateur, ne plus penser à rien, ne plus voir les panneaux, les feux tricolores. sombrer dans le flou de la vitesse. le corps et l'esprit trop anesthésiés pour capter quoi que ce soit. idiot qui s'endort au volant de son bolide allemand. seul fautif de ton destin tragique. par chance, unique victime de celui-ci aussi. fracas bruyant dans la nuit. tout un dispositif de secours autour de toi. pompiers, policiers, c'est en urgence critique que tu es transporté à l'hôpital, aux vues de la violence du choc et du fait que tu sois inconscient lorsqu'on t'emmène. scanner cérébral qui montre une légère lésion, une chance à la vitesse où tu allais. ton corps, lui, a subi plus de dégats. les côtes cassées, les jambes présentant de nombreuses fractures. des mois passés dans un fauteuil roulant et en rééducation, tout en suivant tes cours. t'as pas abandonné. t'as compris que la vie était précieuse.
( amsterdam, pays-bas ) enfant unique du couple Kellerman. père néerlandais qui bosse dans l'industrie à l'internationale, mère française, mannequin. tes premières années de vie sont marquées par l'absence fréquente de l'un, toujours en voyage d'affaire, et les shootings de l'autre. enfant élevé par une nounou, qui t'apprend tes premiers mots, voit tes premiers pas. enfant dans un foyer où l'amour parental n'est qu'une façade publique, où dans le privé, tu es largement délaissé. parents qui ne s'aiment plus, qui divorcent sous les flashs des paparazzi, une garde qui n'est même pas disputée. tu iras vivre avec ta mère, dans les hautes sphères de la mode. deux ans et déjà le premier déracinement. premier déménagement. ( bruxelles, belgique ) une ville cosmopolite, où tu as tes premiers souvenirs. déjà polyglote dès le plus jeune âge, entre le français, le flammand et le néerlandais. tu es déjà un gosse qui a du mal à tenir en place, toujours curieux de découvrir de nouvelles choses. maman a un nouvel amant. papa est aux abonnés absents, signe le chèque de pension chaque mois mais n'a pas de temps pour toi. l'amant de maman est un gros con qui ne supporte pas ton existence, te traite comme un moins que rien, te traite de petit con, a la main leste quand maman travaille et pas lui. ça finit par se voir et se savoir, elle le quitte, nouveau déménagement. tu as quatre ans. ( berne, suisse ) une aventure de courte durée, une fois encore. une petite année, le temps de se retourner, que maman sorte de sa dépression, qu'elle oublie le mal qui t'a été fait sans qu'elle ne le remarque. papa revient un peu dans ta vie, t'accorde quelques week-ends, te présente sa nouvelle famille, celle où tu n'as pas ta place. des demi frères et soeurs qui se moquent de toi parce que t'as été diagnostiqué avec un trouble de l'attention hyperactif et que par conséquent tu es différent d'eux. les enfants sont horribles entre eux, tu t'en rends compte bien jeune. ( paris, france ) la capitale française, ville de l'amour, adulée du monde entier. ton premier lieu fixe. ce sont dix années de ta vie que tu passeras ici. paris la magnifique est en vérité bien mal famée quand on y vit au quotidien. le rêve, tu ne l'as pas vécu. tu as vu les quartiers les plus pourris de la petite couronne, tu y trainais avec les potes que tu as enfin pu te faire, les premières amitiés qui durent. dix ans de ta vie, dix années d'amitiés avant de partir pour les USA, donner des nouvelles grâce aux réseaux sociaux, promettre de se revoir. certaines promesses ne sont pas faites pour être tenues, d'autres font exception à la règle. c'est comme ça. les jeux vidéos et les appareils connectés te passionnent déjà. tu veux comprendre leur fonctionnement, les algoritmes, les langages de programmation, les possibles évolutions à venir. ( new york, etats-unis ) un géant dans les rues de la grosse pomme. seize ans, un mètre quatre-vingt dix, on te propose de rentrer dans l'équipe de basketball vue ton envergure, mais ce n'est pas ce sport qui obtient tes faveurs. c'est vers le baseball que tu te tournes, en parallèle du club informatique. on dit que tu es bon, mais pas assez pour devenir professionnel en ligue. tant mieux, ce n'est pas l'avenir que tu veux. mais tout ceci te permet d'avoir un meilleur dossier pour ton avenir universitaire, et là encore, tu vises haut. le prestige. une université comme Harvard ou rien. ( boston, etats-unis ) dernier lieu de vie, havre de paix enfin trouvé. un avenir à tracer. les liens avec ton père ne sont que cordiaux et l'évitement est maximal. ta mère a trouvé son équilibre depuis paris, t'a offert une merveilleuse petite soeur, la prunelle de tes yeux. elles vivent aussi en ville, avec le père de la gosse, un homme bien qui rend la matriarche heureuse et comblée. qui te considère comme son fils, malgré des débuts compliqués. les hommes de ta mère n'avaient été que déception jusqu'alors, alors tu voulais la protéger d'un énième enfoiré. harvard t'a ouvert ses portes dans le cursus que tu voulais. la vie sourit enfin aux audacieux. [color=darkslateblue]( bills bills bills ) un appel vient te tirer de ton sommeil. un numéro étranger. le mexique. à cette heure tardive, tu préfères décrocher, au pire débouter ce faux numéro. la police. un guet-apen. plusieurs morts. ton père, sa femme, ses gosses, tous décimés. au mauvais endroit au mauvais moment. silence pesant que tu imposes, ne sachant comment réagir. peu préparé aux évènements traumatiques. demander la marche à suivre pour l'enquête, le rapatriment de ton père. le reste de sa famille t'importe peu, tu n'es pas concerné par ces gens. unique héritier de la fortune paternelle selon l'acte notarial du testament. passer l'été à Amsterdam pour régler la paperasse et les funérailles. trainer dans les coffee shops, fumer plus que de raison pour oublier la raison de ta présence, car malgré tout, tu te retrouves orphelin d'un père, aussi absent fut-il de son vivant. [i]( toxic ) l'argent attire les rapaces. tu étais trop naïf pour le remarquer. elle pensait avoir touché le jackpot en te mettant le grappin dessus, cette fille. loin d'être pingre, tu lui offrais ce qu'elle voulait tant qu'elle était raisonnable. elle disait t'aimer. les actes étaient contradictoires, avec le recul. elle te prenait et te jetait à son bon vouloir, selon son humeur, selon la disponibilité de son amant. ou peut-être était-ce toi, l'amant. le pigeon. tu l'as aimée. tu t'es perdu pour elle. tu t'es plié en quatre pour la garder et elle en jouissait. elle te manipulait. elle te foutait plus bas que terre et tu rampais, cafard qui n'avait plus aucun amour propre. aveuglé. trompé, bafoué, l'honneur piétiné, l'égo enterré. elle t'a volé au sens propre comme figuré, détroussé de ta confiance en toi. femme perverse et perfide. une sirène. enchanteresse et pourtant bien fourbe, elle se jouait de ton âme, criant à qui voulait bien l'entendre que si tu partais, elle allait se foutre en l'air. tu ne voulais pas avoir sa mort sur la conscience alors tu restais, malgré tout. malgré toi. géant incapable de se sortir de sa merde. impuissant. finir par lui mentir pour te libérer de tes chaînes, lui dire que tu n'avais plus rien, plus d'argent. la voir fuir. devoir te reconstruire. ( car crash ) l'alcool qui empoisonne les sens. la bouteille de jack daniel's qui trône sur le siège passager. seul au volant, tu noies tes démons à exorciser, auxquels tu n'as pas la force de faire face. appuyer sur l'accélérateur, ne plus penser à rien, ne plus voir les panneaux, les feux tricolores. sombrer dans le flou de la vitesse. le corps et l'esprit trop anesthésiés pour capter quoi que ce soit. idiot qui s'endort au volant de son bolide allemand. seul fautif de ton destin tragique. par chance, unique victime de celui-ci aussi. fracas bruyant dans la nuit. tout un dispositif de secours autour de toi. pompiers, policiers, c'est en urgence critique que tu es transporté à l'hôpital, aux vues de la violence du choc et du fait que tu sois inconscient lorsqu'on t'emmène. scanner cérébral qui montre une légère lésion, une chance à la vitesse où tu allais. ton corps, lui, a subi plus de dégats. les côtes cassées, les jambes présentant de nombreuses fractures. des mois passés dans un fauteuil roulant et en rééducation, tout en suivant tes cours. t'as pas abandonné. t'as compris que la vie était précieuse.
Warning : violence physique, verbale, relation abusive, accident de voiture, fusillade, décès familial, TDAH
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Lien du postDim 14 Mai 2023 - 15:55
plus de six mois, c'est le temps qui s'est écoulé depuis la dernière fois où t'as eu de ses nouvelles. tu savais qu'elle devait partir en Egypte, tu te doutais que les conversations allaient être fastidieuses, même pour la tenter. mais au final, il n'y en a pas eu. tu as continué ta vie sans savoir si elle allait te recontacter un jour ou l'autre. elle l'a finalement fait ce soir. au bon moment, finalement, alors que la veille au soir, le rapprochement avec Sage sous les effets de l'alcool s'était terminé parce qu'elle n'était pas en état correct pour ne pas regretter. une certaine frustration corporelle que Doria savait si bien annihiler. ton meilleur plan cul jusqu'à maintenant, tu ne peux pas le nier.
un plan foireux que d'avoir proposé de vous retrouver dans la chambre de Lilia, une amie de longue date pour toi, sa colocataire absente. pourtant, c'est l'excitation qui a pris le pas sur la raison, c'est bien dans cette pièce que la jolie blonde t'attend, étendue et jouant seule à ton entrée en ces lieux où la luxure s'annonce torride.
étendu à ses côtés, une cigarette encore éteinte entre les doigts, tu ris de ce commentaire qu'elle te fait. « j'ai eu six mois de pratique intensive pour améliorer mon endurance, visiblement. » t'es pas du genre à te vexer pour ce genre de taquineries, c'était un peu de cette façon que vous passiez d'amants à amis. « la même chose que toi, ça m'ira très bien ma belle. » pas si chiant que ça de ce côté-là. tu viens embrasser sa joue en souriant en guise de remerciement pour le déplacement pour te servir.


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Lien du postMar 23 Mai 2023 - 12:07
Plus de six mois après et tu le retrouvais. Ca te faisait du bien. Il t'avait manqué autrement que Scott. Lui, c'était sa compagnie mais plus son corps, et tout ce qu'il pouvait faire au tien. Ses doigts, sa langue, sa bouche. Tu savais que le premier round était terminé mais que vous alliez très certainement remettre ca dans quelques minutes. Évidemment, tu lui lançais une petite pique sur son endurance."Je vois ça .. t'as pas eu l'air de t'ennuyer apparemment." Étrangement ça te faisait un petit quelque chose de savoir qu'il avait voir et revoir d'autres femmes que toi. Non pas que ça te dérange qu'il en voit d'autres. Le problème étant que toi, tu avais été absente pendant six mois."C'est partit pour un petit smoothie alors. Et tout en disant cela, c'est nue que tu t'avances vers le frigo pour sortir fruits et légumes afin de faire un super smoothie. De quoi vous redonner des forces."Dis moi, je pensais. Tu vas aller au bal ?" Tu en avais parlé avec ta famille et c'est maintenant que tu y repensais.
Davy KellermanMembre de la Kirkland House


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( player one ) mesure 1m93 - signe astrologique solaire cancer, tu ne t'es pas penché sur l'ascendant et le lunaire, tu sais qu'on le fera pour toi - tatoué - grand fan des Giants - allergique aux fruits à coque - boit essentiellement du jack daniel's - aime fumer des cigares cubains pour flex - organise des soirées poker - grand consommateur de nuggets - possède toutes les consoles existantes, de l'Atari à la PS5 en état de fonctionnement - fan inconditionnel de south park - joue du piano depuis l'âge de 7 ans - tu as créé ton propre programme de pénétration de systèmes pour prouver que rien n'était impénétrable du moment qu'on est bien protégés, la preuve, aucune autorité ne sait que tu es entré dans le système d'informations de la maison blanche pendant quelques secondes - tu conduis une impala de 1968 que tu bichonnes comme ton bébé - tu ne manques aucune fashion week, ta mère te traine là-bas depuis ton enfance, c'est votre moment privilégié depuis toujours. tes troubles TDAH sont : difficulté à se détendre liée à une hyperactivité physique et mentale, insomnies, phobie du retard liée à une mauvaise gestion temporelle, auto-stimulation pour canaliser ton énergie et se concentrer, consommation parfois excessive d'alcool pour gérer une anxiété sociale, peur du rejet, surcompensation, oubli de s'alimenter.


( player one ) mesure 1m93 - signe astrologique solaire cancer, tu ne t'es pas penché sur l'ascendant et le lunaire, tu sais qu'on le fera pour toi - tatoué - grand fan des Giants - allergique aux fruits à coque - boit essentiellement du jack daniel's - aime fumer des cigares cubains pour flex - organise des soirées poker - grand consommateur de nuggets - possède toutes les consoles existantes, de l'Atari à la PS5 en état de fonctionnement - fan inconditionnel de south park - joue du piano depuis l'âge de 7 ans - tu as créé ton propre programme de pénétration de systèmes pour prouver que rien n'était impénétrable du moment qu'on est bien protégés, la preuve, aucune autorité ne sait que tu es entré dans le système d'informations de la maison blanche pendant quelques secondes - tu conduis une impala de 1968 que tu bichonnes comme ton bébé - tu ne manques aucune fashion week, ta mère te traine là-bas depuis ton enfance, c'est votre moment privilégié depuis toujours. tes troubles TDAH sont : difficulté à se détendre liée à une hyperactivité physique et mentale, insomnies, phobie du retard liée à une mauvaise gestion temporelle, auto-stimulation pour canaliser ton énergie et se concentrer, consommation parfois excessive d'alcool pour gérer une anxiété sociale, peur du rejet, surcompensation, oubli de s'alimenter.

Description deux : l'âme REBELLE, tu te fous de l'étiquette, de ce qu'elle implique au quotidien, on dit même que tu es IRRÉVÉRENCIEUX, presque trop arrogant pour ton statut. FÊTARD, tu sors tous les week-ends, à boire comme un trou, comme si demain n'existait pas. fêtard pour combler une solitude et combattre les démons intérieurs. IMPRÉVISIBLE, tu peux être le mec le plus doux qui soit et la minute d'après devenir un monstre, encore marqué des évènements du passé. un simple mot peut devenir déclencheur de ta fureur. joutes verbales plutôt que d'user des poings, jusqu'au point de non retour. GEEK, passionné d'informatique, de technologies, tu fais toujours en sorte d'être à la pointe des dernières informations, des dernières avancées sur l'IA, des langages de programmation. STUDIEUX, tu peux passer des nuits entières sans dormir pour pousser un devoir vers l'excellence. le strict minimum ne te convient pas. un véritable acharné de travail, somme toute, on peut dire que tu es perfectionniste. tu as un côté FACÉTIEUX, jamais le dernier pour déconner, jamais le dernier pour monter des plans foireux. MANICHÉEN, pour toi le juste milieu n'existe pas. le bien et le mal. le noir et le blanc. pas de nuances. tu aimes ou tu détestes. SÉDUCTEUR, tu aimes la compagnie des femmes, montrer que tu peux plaire, parce que tu manques de confiance en toi. ACTIF, tu as toujours besoin de t'occuper l'esprit et le corps, incapable de rester en place. INDIFFÉRENT, tu peux parfois paraître hautain, vantard, parfois AFFECTUEUX, mais pas avec tout le monde. tu as ton cercle dédié. sociable, artiste.


Description trois :
( amsterdam, pays-bas ) enfant unique du couple Kellerman. père néerlandais qui bosse dans l'industrie à l'internationale, mère française, mannequin. tes premières années de vie sont marquées par l'absence fréquente de l'un, toujours en voyage d'affaire, et les shootings de l'autre. enfant élevé par une nounou, qui t'apprend tes premiers mots, voit tes premiers pas. enfant dans un foyer où l'amour parental n'est qu'une façade publique, où dans le privé, tu es largement délaissé. parents qui ne s'aiment plus, qui divorcent sous les flashs des paparazzi, une garde qui n'est même pas disputée. tu iras vivre avec ta mère, dans les hautes sphères de la mode. deux ans et déjà le premier déracinement. premier déménagement. ( bruxelles, belgique ) une ville cosmopolite, où tu as tes premiers souvenirs. déjà polyglote dès le plus jeune âge, entre le français, le flammand et le néerlandais. tu es déjà un gosse qui a du mal à tenir en place, toujours curieux de découvrir de nouvelles choses. maman a un nouvel amant. papa est aux abonnés absents, signe le chèque de pension chaque mois mais n'a pas de temps pour toi. l'amant de maman est un gros con qui ne supporte pas ton existence, te traite comme un moins que rien, te traite de petit con, a la main leste quand maman travaille et pas lui. ça finit par se voir et se savoir, elle le quitte, nouveau déménagement. tu as quatre ans. ( berne, suisse ) une aventure de courte durée, une fois encore. une petite année, le temps de se retourner, que maman sorte de sa dépression, qu'elle oublie le mal qui t'a été fait sans qu'elle ne le remarque. papa revient un peu dans ta vie, t'accorde quelques week-ends, te présente sa nouvelle famille, celle où tu n'as pas ta place. des demi frères et soeurs qui se moquent de toi parce que t'as été diagnostiqué avec un trouble de l'attention hyperactif et que par conséquent tu es différent d'eux. les enfants sont horribles entre eux, tu t'en rends compte bien jeune. ( paris, france ) la capitale française, ville de l'amour, adulée du monde entier. ton premier lieu fixe. ce sont dix années de ta vie que tu passeras ici. paris la magnifique est en vérité bien mal famée quand on y vit au quotidien. le rêve, tu ne l'as pas vécu. tu as vu les quartiers les plus pourris de la petite couronne, tu y trainais avec les potes que tu as enfin pu te faire, les premières amitiés qui durent. dix ans de ta vie, dix années d'amitiés avant de partir pour les USA, donner des nouvelles grâce aux réseaux sociaux, promettre de se revoir. certaines promesses ne sont pas faites pour être tenues, d'autres font exception à la règle. c'est comme ça. les jeux vidéos et les appareils connectés te passionnent déjà. tu veux comprendre leur fonctionnement, les algoritmes, les langages de programmation, les possibles évolutions à venir. ( new york, etats-unis ) un géant dans les rues de la grosse pomme. seize ans, un mètre quatre-vingt dix, on te propose de rentrer dans l'équipe de basketball vue ton envergure, mais ce n'est pas ce sport qui obtient tes faveurs. c'est vers le baseball que tu te tournes, en parallèle du club informatique. on dit que tu es bon, mais pas assez pour devenir professionnel en ligue. tant mieux, ce n'est pas l'avenir que tu veux. mais tout ceci te permet d'avoir un meilleur dossier pour ton avenir universitaire, et là encore, tu vises haut. le prestige. une université comme Harvard ou rien. ( boston, etats-unis ) dernier lieu de vie, havre de paix enfin trouvé. un avenir à tracer. les liens avec ton père ne sont que cordiaux et l'évitement est maximal. ta mère a trouvé son équilibre depuis paris, t'a offert une merveilleuse petite soeur, la prunelle de tes yeux. elles vivent aussi en ville, avec le père de la gosse, un homme bien qui rend la matriarche heureuse et comblée. qui te considère comme son fils, malgré des débuts compliqués. les hommes de ta mère n'avaient été que déception jusqu'alors, alors tu voulais la protéger d'un énième enfoiré. harvard t'a ouvert ses portes dans le cursus que tu voulais. la vie sourit enfin aux audacieux. [color=darkslateblue]( bills bills bills ) un appel vient te tirer de ton sommeil. un numéro étranger. le mexique. à cette heure tardive, tu préfères décrocher, au pire débouter ce faux numéro. la police. un guet-apen. plusieurs morts. ton père, sa femme, ses gosses, tous décimés. au mauvais endroit au mauvais moment. silence pesant que tu imposes, ne sachant comment réagir. peu préparé aux évènements traumatiques. demander la marche à suivre pour l'enquête, le rapatriment de ton père. le reste de sa famille t'importe peu, tu n'es pas concerné par ces gens. unique héritier de la fortune paternelle selon l'acte notarial du testament. passer l'été à Amsterdam pour régler la paperasse et les funérailles. trainer dans les coffee shops, fumer plus que de raison pour oublier la raison de ta présence, car malgré tout, tu te retrouves orphelin d'un père, aussi absent fut-il de son vivant. [i]( toxic ) l'argent attire les rapaces. tu étais trop naïf pour le remarquer. elle pensait avoir touché le jackpot en te mettant le grappin dessus, cette fille. loin d'être pingre, tu lui offrais ce qu'elle voulait tant qu'elle était raisonnable. elle disait t'aimer. les actes étaient contradictoires, avec le recul. elle te prenait et te jetait à son bon vouloir, selon son humeur, selon la disponibilité de son amant. ou peut-être était-ce toi, l'amant. le pigeon. tu l'as aimée. tu t'es perdu pour elle. tu t'es plié en quatre pour la garder et elle en jouissait. elle te manipulait. elle te foutait plus bas que terre et tu rampais, cafard qui n'avait plus aucun amour propre. aveuglé. trompé, bafoué, l'honneur piétiné, l'égo enterré. elle t'a volé au sens propre comme figuré, détroussé de ta confiance en toi. femme perverse et perfide. une sirène. enchanteresse et pourtant bien fourbe, elle se jouait de ton âme, criant à qui voulait bien l'entendre que si tu partais, elle allait se foutre en l'air. tu ne voulais pas avoir sa mort sur la conscience alors tu restais, malgré tout. malgré toi. géant incapable de se sortir de sa merde. impuissant. finir par lui mentir pour te libérer de tes chaînes, lui dire que tu n'avais plus rien, plus d'argent. la voir fuir. devoir te reconstruire. ( car crash ) l'alcool qui empoisonne les sens. la bouteille de jack daniel's qui trône sur le siège passager. seul au volant, tu noies tes démons à exorciser, auxquels tu n'as pas la force de faire face. appuyer sur l'accélérateur, ne plus penser à rien, ne plus voir les panneaux, les feux tricolores. sombrer dans le flou de la vitesse. le corps et l'esprit trop anesthésiés pour capter quoi que ce soit. idiot qui s'endort au volant de son bolide allemand. seul fautif de ton destin tragique. par chance, unique victime de celui-ci aussi. fracas bruyant dans la nuit. tout un dispositif de secours autour de toi. pompiers, policiers, c'est en urgence critique que tu es transporté à l'hôpital, aux vues de la violence du choc et du fait que tu sois inconscient lorsqu'on t'emmène. scanner cérébral qui montre une légère lésion, une chance à la vitesse où tu allais. ton corps, lui, a subi plus de dégats. les côtes cassées, les jambes présentant de nombreuses fractures. des mois passés dans un fauteuil roulant et en rééducation, tout en suivant tes cours. t'as pas abandonné. t'as compris que la vie était précieuse.
( amsterdam, pays-bas ) enfant unique du couple Kellerman. père néerlandais qui bosse dans l'industrie à l'internationale, mère française, mannequin. tes premières années de vie sont marquées par l'absence fréquente de l'un, toujours en voyage d'affaire, et les shootings de l'autre. enfant élevé par une nounou, qui t'apprend tes premiers mots, voit tes premiers pas. enfant dans un foyer où l'amour parental n'est qu'une façade publique, où dans le privé, tu es largement délaissé. parents qui ne s'aiment plus, qui divorcent sous les flashs des paparazzi, une garde qui n'est même pas disputée. tu iras vivre avec ta mère, dans les hautes sphères de la mode. deux ans et déjà le premier déracinement. premier déménagement. ( bruxelles, belgique ) une ville cosmopolite, où tu as tes premiers souvenirs. déjà polyglote dès le plus jeune âge, entre le français, le flammand et le néerlandais. tu es déjà un gosse qui a du mal à tenir en place, toujours curieux de découvrir de nouvelles choses. maman a un nouvel amant. papa est aux abonnés absents, signe le chèque de pension chaque mois mais n'a pas de temps pour toi. l'amant de maman est un gros con qui ne supporte pas ton existence, te traite comme un moins que rien, te traite de petit con, a la main leste quand maman travaille et pas lui. ça finit par se voir et se savoir, elle le quitte, nouveau déménagement. tu as quatre ans. ( berne, suisse ) une aventure de courte durée, une fois encore. une petite année, le temps de se retourner, que maman sorte de sa dépression, qu'elle oublie le mal qui t'a été fait sans qu'elle ne le remarque. papa revient un peu dans ta vie, t'accorde quelques week-ends, te présente sa nouvelle famille, celle où tu n'as pas ta place. des demi frères et soeurs qui se moquent de toi parce que t'as été diagnostiqué avec un trouble de l'attention hyperactif et que par conséquent tu es différent d'eux. les enfants sont horribles entre eux, tu t'en rends compte bien jeune. ( paris, france ) la capitale française, ville de l'amour, adulée du monde entier. ton premier lieu fixe. ce sont dix années de ta vie que tu passeras ici. paris la magnifique est en vérité bien mal famée quand on y vit au quotidien. le rêve, tu ne l'as pas vécu. tu as vu les quartiers les plus pourris de la petite couronne, tu y trainais avec les potes que tu as enfin pu te faire, les premières amitiés qui durent. dix ans de ta vie, dix années d'amitiés avant de partir pour les USA, donner des nouvelles grâce aux réseaux sociaux, promettre de se revoir. certaines promesses ne sont pas faites pour être tenues, d'autres font exception à la règle. c'est comme ça. les jeux vidéos et les appareils connectés te passionnent déjà. tu veux comprendre leur fonctionnement, les algoritmes, les langages de programmation, les possibles évolutions à venir. ( new york, etats-unis ) un géant dans les rues de la grosse pomme. seize ans, un mètre quatre-vingt dix, on te propose de rentrer dans l'équipe de basketball vue ton envergure, mais ce n'est pas ce sport qui obtient tes faveurs. c'est vers le baseball que tu te tournes, en parallèle du club informatique. on dit que tu es bon, mais pas assez pour devenir professionnel en ligue. tant mieux, ce n'est pas l'avenir que tu veux. mais tout ceci te permet d'avoir un meilleur dossier pour ton avenir universitaire, et là encore, tu vises haut. le prestige. une université comme Harvard ou rien. ( boston, etats-unis ) dernier lieu de vie, havre de paix enfin trouvé. un avenir à tracer. les liens avec ton père ne sont que cordiaux et l'évitement est maximal. ta mère a trouvé son équilibre depuis paris, t'a offert une merveilleuse petite soeur, la prunelle de tes yeux. elles vivent aussi en ville, avec le père de la gosse, un homme bien qui rend la matriarche heureuse et comblée. qui te considère comme son fils, malgré des débuts compliqués. les hommes de ta mère n'avaient été que déception jusqu'alors, alors tu voulais la protéger d'un énième enfoiré. harvard t'a ouvert ses portes dans le cursus que tu voulais. la vie sourit enfin aux audacieux. [color=darkslateblue]( bills bills bills ) un appel vient te tirer de ton sommeil. un numéro étranger. le mexique. à cette heure tardive, tu préfères décrocher, au pire débouter ce faux numéro. la police. un guet-apen. plusieurs morts. ton père, sa femme, ses gosses, tous décimés. au mauvais endroit au mauvais moment. silence pesant que tu imposes, ne sachant comment réagir. peu préparé aux évènements traumatiques. demander la marche à suivre pour l'enquête, le rapatriment de ton père. le reste de sa famille t'importe peu, tu n'es pas concerné par ces gens. unique héritier de la fortune paternelle selon l'acte notarial du testament. passer l'été à Amsterdam pour régler la paperasse et les funérailles. trainer dans les coffee shops, fumer plus que de raison pour oublier la raison de ta présence, car malgré tout, tu te retrouves orphelin d'un père, aussi absent fut-il de son vivant. [i]( toxic ) l'argent attire les rapaces. tu étais trop naïf pour le remarquer. elle pensait avoir touché le jackpot en te mettant le grappin dessus, cette fille. loin d'être pingre, tu lui offrais ce qu'elle voulait tant qu'elle était raisonnable. elle disait t'aimer. les actes étaient contradictoires, avec le recul. elle te prenait et te jetait à son bon vouloir, selon son humeur, selon la disponibilité de son amant. ou peut-être était-ce toi, l'amant. le pigeon. tu l'as aimée. tu t'es perdu pour elle. tu t'es plié en quatre pour la garder et elle en jouissait. elle te manipulait. elle te foutait plus bas que terre et tu rampais, cafard qui n'avait plus aucun amour propre. aveuglé. trompé, bafoué, l'honneur piétiné, l'égo enterré. elle t'a volé au sens propre comme figuré, détroussé de ta confiance en toi. femme perverse et perfide. une sirène. enchanteresse et pourtant bien fourbe, elle se jouait de ton âme, criant à qui voulait bien l'entendre que si tu partais, elle allait se foutre en l'air. tu ne voulais pas avoir sa mort sur la conscience alors tu restais, malgré tout. malgré toi. géant incapable de se sortir de sa merde. impuissant. finir par lui mentir pour te libérer de tes chaînes, lui dire que tu n'avais plus rien, plus d'argent. la voir fuir. devoir te reconstruire. ( car crash ) l'alcool qui empoisonne les sens. la bouteille de jack daniel's qui trône sur le siège passager. seul au volant, tu noies tes démons à exorciser, auxquels tu n'as pas la force de faire face. appuyer sur l'accélérateur, ne plus penser à rien, ne plus voir les panneaux, les feux tricolores. sombrer dans le flou de la vitesse. le corps et l'esprit trop anesthésiés pour capter quoi que ce soit. idiot qui s'endort au volant de son bolide allemand. seul fautif de ton destin tragique. par chance, unique victime de celui-ci aussi. fracas bruyant dans la nuit. tout un dispositif de secours autour de toi. pompiers, policiers, c'est en urgence critique que tu es transporté à l'hôpital, aux vues de la violence du choc et du fait que tu sois inconscient lorsqu'on t'emmène. scanner cérébral qui montre une légère lésion, une chance à la vitesse où tu allais. ton corps, lui, a subi plus de dégats. les côtes cassées, les jambes présentant de nombreuses fractures. des mois passés dans un fauteuil roulant et en rééducation, tout en suivant tes cours. t'as pas abandonné. t'as compris que la vie était précieuse.
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Lien du postHier à 14:31
tu l'entends à son intonation que ta réponse à sa petite pique sur ton endurance ne lui convient pas spécialement, mais tu ne comprends pas pourquoi. la liberté était toujours de mise entre vous et tu ne lui as jamais caché quand tu avais des aventures à côté. « fallait bien que je tue l'ennui laissé par ton absence et que je t'offre un florilège à ton retour, non ? » essayer de faire comme si de rien n'était, comme si tu n'avais pas remarqué son léger agacement. tu souris même, la provoquant peut-être un peu quelque part. « tu veux me redonner un max de force pour t'occuper toute la nuit ? » t'as jamais eu besoin de ça pour endurer la danse entre deux corps, mais un rafraîchissement de ce genre n'est jamais de refus. tu te redresses pour aller à la fenêtre pour fumer ta cigarette. « j'ai promis à des potes d'y passer pour boire des verres. pourquoi ? » t'es pas sûr de comprendre où elle veut en venir en parlant du bal mais après tout, pourquoi pas.


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Lien du postAujourd'hui à 2:31
Tu ne voulais pas mal le prendre parce que votre relation a toujours été ainsi. Et jusque là tu ne l'avais jamais mal pris d'ailleurs. Tu savais que tous les deux vous voyiez du monde à côté. Seulement tu étais peut être jalouse par le fait que lui se soit amusé et pas toi. Oui, ça, ca te faisait clairement chier. Et contrairement à lui tu n'avais pas travaillé ton endurance, si ce n'est avec tes séances de sport habituels.Bon si tu t'es ennuyé... Ça te rassurait un peu et il s'agissait d'une bonne excuse pour lui. Alors tu tentais de laisser passer et d'oublier. Tu comptais bien rattraper ces six mois perdus loin de lui.Quoi ? T'es déjà fatigué ? Mais oui c'était peut être un peu le cas. Un bon smoothie pleins de vitamines et tu comptais bien l'avoir pour toi toute la nuit.Juste d'y passer ? Tu veux pas m'accompagner par hasard? C'était pas trop ton genre d'aller à ce genre d'événements seule. Tu préférais être accompagnée, et avoir la meilleure des compagnies même. Davy semblait être un bon choix. Un choix que tu venais de faire à l'instant mais tu ne regrettais pas. A moins qu'il t'envoie chier. La, tu risquerais de mal le prendre.
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