Tenue de bal de Julia:

dream stripper Boston

@Julia Steiner

il y a un petit moment que tu n'avais pas reçu une inconnue chez toi, alors il t'a fallu une bonne soirée pour remettre un peu d'ordre dans l'appart, surtout la cuisine. mon dieu, que penserait-elle de toi si elle voyait la vaisselle entassée dans l'évier et le plan de travail pas propre ? tu t'en fous de son opinion au fond, mais tu voulais l'accueillir dans un environnement plutôt décent et une fois satisfait, t'es parti effectuer ta garde à la caserne. aucune inquiétude quant à ton fils, ayant proposé à une amie qu'elle le garde ce soir. revenant de la caserne, tu t'es changé pour une tenue plus propre, t’habillant pour l’occasion comme prévu, après tout c’est pour ça qu’elle venait, pour ton petit spectacle. mais l’élément de surprise restait secret et tu ressens cette même excitation que celle jadis qui t'habitait, avant de monter sur scène. tu t’échauffes un peu avant d’entendre un coup sur la porte, sans réfléchir tu fonces l’ouvrir et l’accueilles d’un grand sourire. — c’est toi, julia la psychopathe qui va me tuer ce soir ? entre, mets-toi à l’aise et attends un peu pour le faire, d’accord ? un rire t’échappe alors que tu te dégages pour la laisser passer. tu as choisi l’humour pour détendre l’atmosphère, cette première rencontre allait être déterminante et tu comptais marquer la jeune femme.

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@Julia Steiner

tu savais plus ou moins à quoi elle ressemblait en l’invitant chez toi et ton sourire ne mentait pas après lui avoir ouvert la porte. rapidement tu lances le ton de la soirée, en plaisantant à son sujet. serait-elle autant inspirée que pendant vos échanges, autant réceptive à ce charme que tu n’hésites pas à jouer chaque fois qu’une belle femme t’intéressait ? elle n’a pas menti à propos de son physique, peut-être plus belle que sur les photos mais sûrement parce que tu pouvais à présent voir ses expressions, et elle semblait particulièrement enchantée de se trouver chez toi. nullement surpris qu’elle réplique et tes yeux s’accrochent alors à son regard. — pour voler mon âme, tu as choisi le mauvais soir julia. sourire flottant sur tes lèvres, s'agrandissant alors qu’elle s’avance dans le salon, soudainement curieuse de découvrir l’endroit où tu vis. à deux doigts de lui indiquer la direction du lit, tu t’arrêtes brusquement, nullement gêné par sa présence. — je suis content aussi de te rencontrer, t'es plus belle en vrai. bordel cesse de faire ton charmeur, après tout elle t'a bien prévenu qu'elle n'est pas du genre à coucher le premier soir. un autre rire te saisit, conscient d'être parfois indélicat mais tu tournes rarement autour du pot horus, les futilités ne font pas partie de ton vocabulaire. — c'est mieux que ta colocation, tu veux dire ? rien ne t'empêche de venir t'installer ici. proposition pas si banale, évidemment ironique, sauf que tu ne cherches pas à l'imiter lorsqu'elle part réchauffer l'un de tes fauteuils. te plaçant soudainement derrière elle, tes doigts la frôlent presque, tu es partout horus, si bien que tu n'as pas l'intention de la laisser partir rapidement. — quel est ton choix là ? café ou moi ? tu t'amuses ouvertement, hors de question pour toi de la laisser te choisir comme prochaine victime. en tout cas, les paris sont ouverts.

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@Julia Steiner

tu hausses un sourcil, légèrement étonné qu’elle ait autant de répartie qu’en messages, et commençant à comprendre que la soirée pourrait plus intéressante que tu le pensais. — il suffit d’un peu d’illusion pour vivre un bon soir, des mauvais soirs ça n’existe pas si tu obtiens ce que tu veux. toi aussi tu n’hésites pas à lui faire comprendre que tu aimes jouer tout comme elle, il semblerait après tout qu’elle adore être la reine de la nuit. loin d’être idiot, tu sais à quoi ressemble son univers, pour avoir été dedans après ton accident. — sincère et mignonne, tu pourrais presque me duper avec ton beau visage et me faire croire que tu as une belle âme. aucun doute que tu cherches à la titiller, éveiller ses instincts pour vivre le moment plus intensément avec toi. alors tu t’avances vers elle, croisant ses iris alors que t’affiches un air moqueur en lui proposant de vivre avec toi plutôt que de rester avec ses colocs. — c’est beau de rêver, non ? ou d’essayer de savoir s’il y a une once de vérité dans mes propos, qui sait tu pourrais avoir ressenti l’envie de partager l’appart avec moi, de se lancer dans une nouvelle aventure les yeux fermés, j’ignore ce qu’il se passe dans ta tête. tu ricanes aussitôt, t’as tant à lui montrer si elle le souhaite, de la faire divertir, et d’entendre aussi qu’elle te choisit toi plutôt que le café. la patience semble pas être son fort donc tu ne te fais pas prier, te replaçant à bonne distance d’elle après avoir lancé une musique sur ton cellulaire. le regard presque sombre et concentré, tu attends la bonne note pour te lancer dans quelques pas de danse, à droite ainsi qu’à gauche, ondulant ton bassin avant d’esquisser des mouvements de bras. semblant tenir de chaque côté un bâton, tu finis par mimer une corde que tu tires vers toi, puis tu te retournes dans un sursaut pour attraper tes fesses et te déhancher sous la musique entraînante. le visage tourné vers la brune, tu souris avant de relever tes bras sur la nuque, le corps tout en mouvement, en symbiose, se dévoilant doucement. une fois les épaules dénudées, tu lâches la combi qui descend jusqu’à ta ceinture, révélant ta musculature du dos. tu pivotes enfin pour offrir une belle vision à 360 degrés de ton buste, et sans plus résister, tu avances vers le fauteuil avec un sourire énigmatique. — pour voir la suite, j’ai droit à quoi ? que tu lui demandes sans aucune honte, tu n’attends pas nécessairement quelque chose en échange, seulement tu aimes déstabiliser, marquer les personnes dont elle, soudain curieux de connaître sa réaction.

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@Julia Steiner

— ok si tu le dis. la jeune femme sembla vouloir rester de marbre, se donnant la peine de se montrer insensible à ses démons intérieurs. alors tu n'insistas pas, tu n'étais pas dans sa tête horus et ce n'était pas l'objectif ce soir, mais de la divertir plutôt. comptais-tu y arriver, retrouver cette aisance en dansant pour une inconnue ? tu l'avais fait maintes fois à ton ancien club, pourquoi cela te freinerait pour cette exception faite à elle ? tu te fichas vraiment de savoir si ses colocs faisaient les meilleures tartines au monde, ta tâche restait inchangée, celle d'attirer toute ton attention, de faire en sorte que ses mirettes ne te quittent plus, ne se décollent plus de ton corps subliment travaillé. tes atouts, tu les connaissais comme ta poche et tu n'allais pas hésiter à les sortir ce soir. pour lui en mettre plein la vue mais pas trop, mieux valait garder les meilleures cartes pour plus tard si vous comptiez vous revoir. quittant cette pensée, à présent entraîné dans tes mouvements qui firent briller ses lunes braquées sur toi. danse lascive du bassin pour toute réponse, léchant l'air dans la pièce, tu te donnas dans cette chorégraphie, réglé comme du papier à la lettre pour l'avoir réalisée des centaines de fois. tout te revenait pratiquement, le sourire aux lèvres, littéralement habité par cette flamme qu'elle allumait inconsciemment en toi, te sentant comme un phénix qui renaissait, ce soleil éblouissant et éclairant les terres d'égypte, seulement réduit là à ce simple mortel qui cherchait simplement à illuminer sa soirée, ou bien d'apaiser son âme, tous les maux qui l'accaparaient. raison première pour laquelle on venait t'admirer jadis, et tu jouais clairement avec ses sens pour réclamer un petit cadeau. tu t'étonnas presque de son assurance, qu'elle joua le jeu. — si tu trouves un endroit approprié pour... être marqué. je veux bien l'être à condition que tu te surpasses, que tu... me montres de quoi t'es capable. tu te soumettais presque à ses volontés et étrangement, cela t'amusa, sentant ta peau frémir à son contact. main qui te toucha pour te tirer doucement vers elle, devenant pantin l'espace de quelques secondes. le genre de contact normalement interdit en club mais tu te laissas guider, pris au jeu, au piège aussi en attendant de recevoir le dessin de ses charnues sur ta peau. relevant ta nuque, tu contins ta respiration en comprenant que cela t'échauffa. si tout contrôle t'échappait, tu serais parfaitement en mesure de baisser ton faciès pour lui arracher un baiser. tu souris alors, reculant pour savourer cette petite victoire, la marque écarlate au torse qui s'anima aussitôt, pecs en mouvement et les mains qui descendirent le long de ton corps, caressant tes muscles du ventre, se dirigeant vers ton entrejambe. avant de terminer sur tes cuisses. envoûtement qui sembla faire son effet puisque tu décidas d'un seul geste d'arracher la combi qui dévoila l'entièreté de ta silhouette aux yeux pétillants de la brune. un petit slip moulant dévoilait à sa vue tes belles fesses. si tu ne t'étais pas figé lorsque la musique s'arrêta, tu aurais sûrement applaudi mais tu restas stoïque, devenant cette statue de cire qui s'exhibait devant une inconnue, te transformant en divin apollon. le souffle court, tu possédais mille questions à son sujet mais tu te gardas de les sortir, toutes sauf une. — le spectacle t'a-t-il plu, princesse ? ça valait le déplacement ou pas ? cash, entrant dans le vif du sujet malgré ta presque nudité. tu devenais naturellement curieux, lui lançant un clin d'oeil, là tu désirais savoir ce qu'il se passait dans sa tête.

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