J'suis déterminée et j'aime faire le sport. Quelques messages échangés entre toi et moi et ça m'a fait doucement sourire. Nous avons des points en communs et cet échange était très intéressant, ça me donnait l'envie de te rencontrer en vrai. Même si on a déjà dû se voir, se croiser à la pfo, mais je fais juste quelques passages rien de plus. Je ne connais pas les autres membres à part ma cousine qui est la vice présidente. Soit, je commençais à m'échauffer en t'attendant. J'avais pris des altères de 15kg pour les soulever, dur mais je sais que je peux y parvenir. Vêtue d'un débardeur beige et d'un legging noir. J'suis déjà bien en sueur.

 

Un échange avec une de ses camarades de maison autour de sa passion numéro un, avait bien plu à Arthur. Mais en même temps, il se rendait compte que sa passion bouffait énormément sa vie sociale eet que la raison principale de tout ce sport, en avait rien à faire qu'Arthur fasse tout ça pour lui. Il avait toujours la lettre horrible dans ses pensées. Celle qui le motivait à en faire trop, à s'épuiser pour lui prouver son succès. Mais il passait à côté de sa vie d'étudiant. Alors pour une fois qu'il pouvait concilier les deux, Arthur n'allait pas dire non. Il arriva à la salle de sport et repéra sa camarade en difficulté. Il s'approcha et il demanda: "Besoin d'aide peut être? C'est probablement pas le meilleur moyen de commencer une séance.."

 

Aucune envie d'perdre mon temps. Plutôt fonceuse, quand j'ai envie de quelque chose, j'fais tout pour l'obtenir. Il en va de même pour le sport. J'aime en pratiquer et ça m'aide à me rebooster surtout en cas de coup de mou. Ce qui m'arrive parfois en repensant à ma jumelle décédée, mais je fais tout pour aller de l'avant. Donc c'est un remède miracle comme on peut le dire. Soudain, ta voix me fait sursauter et réagir instictivement. Non ça ira, merci. Sauf qu'en relevant ma tête vers toi, je te reconnais et je repose mes altères et me mets à rire légèrement. Pardon, j'ai pas vu que c'était toi. J'crois que j'suis déjà chaude là. La phrase parait ambigue et c'est sûrement voulu, va savoir alors que je te regarde en souriant d'un air malicieux. Je t'attendais impatiemment, tu vois.