Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI can't stop thinking of you. (( Bianca ))
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le Deal du moment : -28%
    Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
    Voir le deal
    279.99 €

    I can't stop thinking of you. (( Bianca ))
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 12 Jan 2023 - 23:54
    taggercitereditionsupprimeradresse
    I can't stop thinking of you.TW :: aucun with @Bianca M. Almeida et @Beckett Anderson
    Pensif. C’est l’état dans lequel se trouvait en permanence Beckett. Il ne s’agissait pas en perpétuellement de son travail, mais plutôt d’elle. Celle qu’il a laissée derrière lui durant presque deux ans, sans lui donner la moindre nouvelle. Comment a-t-il pu en arriver là, alors qu’il l’aimait ? Sa mère avait joué dans la balance, l’avait conseillé de ne rien lui faire savoir, mais c’était de sa responsabilité. Donc, oui, bien sûr, il en avait une sacrée bonne excuse, mais méritait-il d’être pardonné ? * Non. * C’est ce qu’il pense et motivé par sa réponse, il sait qu’il ne lui fera pas part de la raison de son absence. Il avait été à l’image d’un mirage, existant pour disparaître et elle méritait évidemment bien mieux. Un homme qui ne soit pas un lâche, comme lui. Un qui ne se faisait pas monter le bourrichon par sa génitrice. Bianca méritait un homme de valeur, sur qui elle pouvait compter et en définitive, ce n’était pas lui. Plus lui. Aujourd’hui, il le sait, Beckett. Son regard perdu au-delà de la vitre arrière du véhicule dans lequel il se trouve, l’anglais soupire. Il a besoin d’un café ainsi que de quelque chose à grignoter afin de faire passer son antidouleur. De ce fait, c’est au Starbucks qu’il se rend, quand enfin son chauffeur arrête la voiture sur le bas-côté pour sortir de ce dernier et lui ouvrir la portière. Ne réagissant pas, il se racle la gorge et Beckett s’en extrait, avant d’épousseter son superbe manteau. Bien sûr, il n’y a rien à retirer, mais c’est une sorte de tic qu’il a, lorsqu’il arrive à un endroit fourmillant de monde.
    - « Merci. » Il se contente de souffler, toujours pensif, quand quelque chose en lui le fait s’arrêter. Il ressent comme une sensation étrange et à la fois familière. Il ne peut s’agir que de Bianca. Alors, tandis qu’il pose son regard par-delà la baie vitrée, il la remarque et son cœur à un arrêt. Que doit-il faire ? Que doit-il prononcer ? Il ne le sait pour le moment, mais déjà, il se remet en marche et passe la porte du célèbre café pour la rejoindre, son cœur battant de plus en plus vite. « Bianca. » Il se contente de prononcer, alors qu’elle est de dos, sans doute avec une boisson, il n’en a aucune idée. Ce qu’il sait, en revanche, c’est qu’il désire la revoir ainsi qu’entendre le timbre de sa voix.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 15 Jan 2023 - 15:17
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Aujourd'hui alors qu'un bon nombre de personne était parti en séjour moi j'avais décidé de rester en ville et étudier, j'étais encore en train de réfléchir à ce que je devais faire entre continuer mes études ou arrêter, j'étais déjà interne en pédiatrie mais j'étais tellement mieux sur le terrain que quand j'allais en cours, d'ailleurs je détestais de plus en plus me rendre en cours surtout avec la nouvelle règle sur l'uniforme et personnellement je ne voulais pas du tout porter cet accoutrement. Au lieu de rester seule au manoir puisque Thomy n'était pas là vu qu'il était parti de la ville et que j'étais seule, je me rendis donc au starbuck en prenant mes cours pour réviser là bas devant une petite boisson chaude et une pâtisserie, Arrivant mes bouquins dans les bras j'allais passer commande avant d'aller m'asseoir à une table, je commençais à me mettre en place avant que ma commande arrive et je sirotais une gorgée de ma boisson chaude avant de sortir mon stylo et de prendre des notes. Cela faisait déjà une bonne demi heure que j'étais sur place, ma pâtisserie englouti et ma boisson bientôt fini je sentis une présence derrière moi qui venait de m'interpeller, ma tête ce redressait assez choquée parce que je connaissais cette voix mais c'était impossible que ce soit lui, je l'avais attendu des années, j'avais espérer l'entendre et jamais rien, peut être que là je rêvais peut être que je l'avais toujours attendu et que je pensais que c'était lui, je me tournais et là je le voyais, c'était bien lui, je fronçais les sourcils sans savoir quoi dire sur le moment, je restais comme ça quelques minutes. Je pinçais mes lèvres pour ravaler la colère et l'émotion que je ressentais sur l'instant avant d'enfin dire. "Qu'est ce que tu fais ici??" Il avait très bien compris, pourquoi il était là après m'avoir abandonné.
    @Beckett Anderson
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 22 Jan 2023 - 17:16
    taggercitereditionsupprimeradresse
    I can't stop thinking of you.
    Ses pieds le dirigent à l’intérieur du café. Il ne sait pas ce qu’il va lui dire, d’ailleurs, Beckett ne pense pas savoir s’expliquer, mais une chose est certaine : il doit voir son visage. Il veut entendre le timbre de sa voix, bien qu’il se doute qu’elle sera troublée et en colère, contre lui. Comment l’en blâmer ? Après tout, il a disparu durant des années et n’a pas souhaité donner de nouvelles, comme sa chère mère lui a indiqué. Mais pourquoi a-t-il décidé de se fier à elle ? Il était bien trop mal, dépressif, oui, mais cela ne justifie en rien son silence. L’aristocrate sait qu’il va payer ses longs mois d’absence et il se doute qu’elle ne l’a pas attendu en se réservant pour lui, en choisissant d’être toujours sa petite amie. Inutile d’avoir de faux espoirs, puisque - lui-même - n’en aurait pas eu. Seulement, tandis qu’il pense, il se trouve derrière elle. Ses mains enfoncées dans ses poches, il ne sait pas quoi prononcer, alors c’est son prénom qui passe la barrière de ses lèvres. Va-t-elle le trouver plus amaigri ? Plus marqué au niveau de son visage, comme si de nombreuses années s’étaient écoulées ? Peut-être. Il n’en sait rien et il ne lui demandera certainement pas comment elle le trouve, car déjà, il faut qu’elle daigne lui parler et non pas le repousser devant tous. Et lorsqu’il prononce son prénom, son cœur s’accélère. Il sait qu’elle l’a entendu, puisqu’elle semble se raidir, et lorsqu’elle se retourne pour enfin le voir, il se passe de nombreuses secondes, voir minutes, sans qu’elle ne prononce quoi que ce soit. *Je t’en prie, dis quelque chose.* Beckett pense, quand enfin, une interrogation passe la barrière de ses lèvres. Se mordant la sienne, pour les pincées, l’anglais regarde autour de lui et répond calmement :
    - « Je suis venu pour le travail. On m’a proposé le poste de directeur du musée des arts, ici, à Boston et j’ai accepté. » Oh ! Il désirait refuser, puis y a réfléchi et finalement, pour Cata et la revoir, elle, Bianca, il a terminé par accepter cette proposition d’emploi. « Est-ce que je peux m’asseoir ? » Il l’interroge, après avoir contourné la table tout en se trouvant face à elle, ses mains positionnées sur le dos de la chaise libre se trouvant devant lui. « J’aimerais… » Il en fronce ses sourcils. « J’aimerais beaucoup que l’on discute, tous les deux, si tu le veux bien. » Puis son regard passe sur la table sur laquelle se trouvent ses notes de cours. « À moins que tu doives réviser. » Y a-t-il des examens en ce moment à Harvard ? Il n’en sait fichtrement rien.
    (C)rédit - sticky little leaf - créé pour I LOVE HARVARD
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 29 Jan 2023 - 21:48
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Il était là devant moi alors que de longue journée, de longue semaine, de long mois j'avais attendu ce moment, qu'il revienne, qu'il ce rende compte qu'il avait lourdement merder et qu'il revienne pour moi mais il ne l'avait jamais fait et j'avais souffert, je m'étais posé des questions, je m'étais demandé pourquoi?? Ce que j'avais pu faire de mal?? Il était parti déjà sans moi et ensuite plus de nouvelles alors oui des questions sans réponses j'en avais eu énormément mais le revoir maintenant après tout ce temps devant moi c'était assez troublant parce que je m'étais dit que je ne le reverrais plus jamais, qu'il avait refait sa vie de son côté et j'avais presque réussi à passer à autre chose, presque parce qu'à l'intérieur j'étais rester brisée et je ne croyais plus en l'amour mais là tout de suite j'avas toute les émotions, j'étais en colère, triste, troublée et bizarrement je ressentais ses papillons dans la ventre que j'avais toujours eu avec lui, je me détestais d'ailleurs qu'il puisse avoir encore ce genre d'importance et je ne lui montrerais pas mais oui il restait l'homme que j'avais le plus aimer. D'un homme avec qui je devais passer une nuit il avait été une de mes plus belles histoires, la plus belle même à coup sûr malgré notre écart d'âge et le fait qu'il vienne d'une famille qui ne verrait pas d'un bon oeil notre histoire parce que je ne venais pas de leur milieu, mes parents avaient de l'argent mais j'étais en froid avec eux et les bonnes manières très peu pour moi. Je réalisais qu'il était là, c'était vraiment réel je ne rêvais pas et je fronçais les sourcils à sa réponse, c'est pas tellement ce que je voulais savoir, je voulais surtout savoir pourquoi il était revenu après ce qui s'était passé. "Après être parti comme tu l'as fait tu reviens pour le travail comme ci de rien était??" Je secouais la tête en soupirant après tout je n'étais personne pour lui interdire de faire sa vie ici même si j'aurais préférée le contraire pour le coup parce que je savais que le revoir ici allait me faire souffrir. Il contournait la table, me demandait s'il pouvait s'asseoir et qu'on devait discuter et je secouais les épaules en refermant les livres qui ce trouvaient devant moi pour faire de la place. "Il me semble que je n'ai pas tellement de chose à dire mais que de ton côté tu as des choses à me dire, enfin je pense mérité un minimum d'explication à ton comportement." Je ne savais pas si je voulais entendre ses explications parce que je savais que j'allais souffrir, j'allais avoir mal parce que le revoir remontait toutes les émotions en moi et c'était difficile parce que je lui en voulais, il m'avait fait souffrir et je le détestais mais je l'aimais aussi aimer, beaucoup trop et c'était douloureux.
    @Beckett Anderson
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 12 Fév 2023 - 19:09
    taggercitereditionsupprimeradresse
    I can't stop thinking of you.
    Starbucks Coffee

    @Bianca M. Almeida ; Beckett Anderson
    TW : RÀS

    Beckett sait ce qui l’a poussé à venir la rejoindre, seulement, il se doute de la façon dont il va être reçu. Bianca, cette jeune femme qui était sienne, va lui démontrer à quel point elle lui en veut, malgré le temps qui s’est écoulé. D'ailleurs, il ne saura quoi lui répondre à cette question qui doit lui brûler les lèvres depuis le jour où il a cessé de lui donner des nouvelles. Malgré tout, même s’il sait qu’il va la blesser et réciproquement, l’aristocrate ne peut s’empêcher de la rejoindre. Il a ce besoin indéniable de revoir son visage, réentendre le timbre de sa voix. Une fois devant elle, il lui offre l’un de ses fameux sourires, éblouissant et empreint de charme, bien qu’il n’en mène pas large. Oui, il est heureux de la revoir, mais il sait qu’il va devoir subir son courroux.
    - « Ce n’est pas tout à fait ça. » Il répond, baissant d’un ton, ses mains pianotant sur le dossier de la chaise qui se trouve devant lui. « Je suis également revenu pour ma meilleure amie qui a eu des problèmes personnels et qui avait besoin de moi. Mais aussi pour le travail et pour… » Il pousse un soupir, se doutant que s’il ajoute « toi », ce sera mal perçu par Bianca, malgré tout. « … J’ai toujours adoré Boston. » Il conclut donc, préférant ne pas la mettre davantage en colère, quand elle rassemble ses affaires et qu’il retient sa respiration. Est-ce qu’elle va s’en aller et le laisser planter là ? Quand il comprend que c’est afin de lui faire comprendre qu’il peut s’asseoir, il tire sur son assise et s’installe face à elle. « Bianca, je t’en prie… » Il commence pour se pincer les lèvres et mettre son cerveau en marche. Car il doit trouver quoi lui répondre, ou plutôt, quelles informations lui fournir, sans pour autant communiquer au sujet de son accident, puisqu’il est incapable d’en parler. Ce n’est ni le moment, ni l’endroit afin de se confier sur un pareil drame. « Je suis navré pour ce qui s’est passé. Ses années de silence. » Le visage grave, Beckett est sincère, seulement, il ne sait quoi ajouter pour la suite. « Il s’est passé pas mal de drames en Angleterre et… » Baissant son regard, il pince ses lèvres et secoue sa tête imperceptiblement. « Je n’ai pas pu quitter le continent durant un moment. » Ce qui est vrai, évidemment, bien qu’il n’aille dans les détails. « Je ne pensais pas que tu voudrais de mes nouvelles pour te dire que j’étais dans l’incapacité de revenir. Je craignais que tu penses que je me moquais de toi. » Il affiche une moue gagnée par un rictus de peine, sans ajouter que sa chère mère l’a convaincu de ne plus donner la moindre nouvelle. Puisqu'elle a toujours haï Bianca et qu’étant majeur, il n’était en aucun cas dans l’obligation de suivre ses conseils, de toute façon. « Quand on m’a appelé pour venir travailler ici, à Boston, je me suis dit qu’ainsi, je pourrais de nouveau te voir. Que ce serait une preuve de mon souhait de m’établir ici, auprès de toi. Comme je désirais le faire il y a deux ans. » Approximativement, à quelques jours près, peut-être. Seulement, quand il songe à ses deux longues années, il se dit que ces propos ne seront en rien suffisant afin qu’elle lui pardonne, il en est certain.  

    formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 12 Fév 2023 - 22:58
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Le voir revenir avait été mon souhait pendant de nombreux mois, j'aurais été heureuse mais le revoir là devant moi aujourd'hui me rendait malheureuse parce qu'il me faisait comprendre qu'il n'était pas revenu pour moi et ça faisait mal de l'entendre, j'aurais peut être aimé entendre que oui il était là pour moi, pour s'excuser même si j'aurais peut être exploser mais au moins j'aurais dans le fond apprécier l'entendre alors à sa remarque je lâchais un rire moqueur totalement blessée par ses paroles. "Ta meilleure amie... Super au moins tu es revenue pour elle ce qui prouve qu'elle a plus d'importance pour toi que moi, au moins tu l'as vraiment aimer elle." Quand il continuait en me disant qu'il adorait Boston je lui offrais un sourire forcer. "Je suis ravie pour toi." J'étais tellement blessée, énervée, triste, toutes ces émotions à la fois et pourtant je lui avais offert une place en face de moi mais je regrettais à cet instant, je voulais partir, m'en aller et le laisser planter là mais quand il commençait ses explications je sentis des larmes monter à mes yeux, j'essayais de me retenir avant de répondre sèchement. "Je ne veux pas en parler." Je savais que j'allais me mettre à pleurer et je ne voulais pas être faible, je ne voulais pas qu'il voit cette femme qui avait pleurer pendant des mois son absence, qui avait morfler parce que l'homme qu'elle aimait était parti sans elle mais la suite de ses explications me faisait craquer, je sentis une larme couler sur ma joue et je répondais presque immédiatement. "Arrête il n'y a aucune excuse, tu ne m'a jamais demander de t'accompagner et tu aurais pu le faire alors tu ne me voulais clairement pas à tes côtés et le fait que tu ne me donne plus aucune nouvelle m'a bien fait comprendre que tu ne voulais plus être avec moi, alors tu veut t'excuser pourquoi?? Pour ne pas m'avoir quitter convenablement??" Je sentis une autre larme couler sur ma joue puis je me mordais la lèvre pour retenir d'autres sanglots en fronçant les sourcils à la suite de ses mots. "A quoi tu joue?? Tu veut me faire du mal c'est ça?? Tu viens de me le dire clairement si tu es là c'est pour ta meilleure amie."
    @Beckett Anderson
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 23 Fév 2023 - 21:21
    taggercitereditionsupprimeradresse

    I can't stop thinking of you.

    Starbucks Coffee
    13 janvier 2023
    @Bianca M. Almeida  
    mention accident de la route dans la partie narrative - énervement, brusquerie - peine

    Son désire de la revoir l’a pris au dépourvu et à présent, il regrette. Car ils souffrent tous deux de la situation, de ses retrouvailles qu’il aurait aimées davantage idyllique. Mais à présent, ils se trouvent assis l’un en face de l’autre, tels des inconnus, s’étant perdu de vue durant deux longues années qui les ont changées à jamais. Du moins, c’est son cas. L’accident de la route dont il a été victime l’a paralysé durant de longs mois et à ce jour, sa vie n’est plus du tout la même. Son insouciance qui faisait partie de son charisme s’est évaporée, contrairement aux douleurs qui l’assaillent toujours et perdureront dans les années. Pinçant ses lèvres aux mots qu’elle prononce, Beckett se rend compte qu’il aurait dû dire à quel point il désirait la revoir, plutôt que de l’occulter, puisqu’elle en souffre atrocement, et c’est toujours de son fait. Il s’était promis que cela n’arriverait plus, mais à l’évidence, il a déjà rompu cette promesse.
    - « Bianca. Évidemment que je suis également revenu ici, pour toi. » Il s’énerve, s’en offusque, mais c’est contre lui-même qu’il l’est. Regardant tout autour d’eux, passant ses mains sur son visage, il reprend, fixant la table : « Je ne voulais pas te faire souffrir, en te disant que j’étais venu ici, sans te mentionner. Mais à l’évidence, je ne sais faire que ça. » Il soupire, souffre de sa stupidité, se sent même idiot d’être ainsi face à elle, impuissant. « Merci. » Il se contente de prononcer en rapport à Boston, qu’il aime et a toujours chéri, notamment parce qu’elle y vit.
    - « Arrête ! » Il termine par prononcer, sortant de ses gongs en frappant du poing la table autour de laquelle ils sont assis. « Tu as mieux fait de ne pas m’accompagner. » Il prononce quelques excuses aux personnes présentes à cause de son comportement, du fait qu’il s’est emporté, mais l’imaginé dans le véhicule à ses côtés, subissant cet affreux accident, il ne peut se l’imaginer sans vriller. « Je veux m’excuser d’être parti sans revenir. De ne pas avoir pu le faire avant… Aujourd’hui. » Ses lippes sont de nouveau pincées. « Ne pleure pas, je t’en supplie. » Il l’implore, des larmes, traitresses, présentes dans son regard, à lui aussi. « Je ne joue pas. Tout ceci est… Je n’aurais pas dû t’ennuyer. Pardonne-moi pour ça. Pour tout. Pour le silence, pour l’absence, pour t’avoir ennuyé aujourd’hui. Pour être entré dans ta vie en y ressortant de cette façon. » Il ne peut plus redresser son visage, car des larmes roulent sur ses joues, silencieuses. Se cachant derrière l’un de ses bras, il pousse un énième soupir et se dit qu’il est temps qu’il s’en aille, afin de ne pas faire davantage de dégâts, auprès d’elle. « Il aurait mieux fallu que tu ne me rencontres jamais. Tu serais heureuse. J’ai gâché ta vie. Je ne me le pardonnerai jamais. » Sa voix se brise à cause de sa peine.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 26 Fév 2023 - 21:50
    taggercitereditionsupprimeradresse
    J'étais là devant lui et j'avais un mélange de sentiment qui ce mélangeait en moi, si cela avait été quelques mois en arrière je lui aurais surement sauter dans les bras, j'aurais été super heureusement parce que j'étais folle amoureuse de lui sauf qu'avec le temps j'avais appris à le détester pour m'avoir fait souffrir, pour son absence et je me rendais compte là maintenant que je n'arrivais pas à le détester, que oui malgré tout des sentiments à son égard était encore là mais je n'en dirais rien, je lui en voulais beaucoup trop pour lui faire savoir ce genre de chose. "Ne commence pas à mentir, si c'était un minimum sincère tu ne serait pas parti en premier lieu ou tu aurais au moins donner des nouvelles." Je ne savais pas pourquoi il était là mais il semblait impossible qu'il soit là pour moi en m'ayant quitter comme il l'avait fait et malgré tout il semblait peiné de la situation mais pas plus que je l'étais. "Ne dit plus rien alors c'est mieux puisque tu n'as pas l'air d'avoir de réels raisons d'avoir fait le mort et d'être parti sans moi." Je lui en voulais énormément mais je pensais avoir des réponses à mes questions maintenant qu'il était là devant moi mais non rien, il me remerciait puis il s'énervait ensuite en me disant ceci, j'avais l'impression de rêver. "Tu ne me l'as jamais demander en même temps." Je le regardais dans les yeux et cette douleur m'était insupportable, je revivais son départ, son absence et les nombreuses nuit que j'ai passé à pleurer sans pouvoir trouver le sommeil. "Pourquoi tu l'as fait, c'est surtout ce dont je veux entendre." J'avais mal parce que j'avais l'impression qu'il ne me donnerait aucune raison, il jouait avec moi et maintenant que j'avais presque guéri de son départ le voilà de retour, je sentais à présent mes larmes coulés sans pouvoir les contenir et encore moins quand il me demandait de ne pas pleurer, il craquait lui aussi et je ne comprenais pas pourquoi il nous avait infligé tout ça. "Arrête de t'excuser ce n'est pas ce que j'ai envie d'entendre." Il ne me disait rien, il s'excusait certes parlait de regret mais ne me donnait aucune explication, je lâchais un soupire entre deux sanglots et c'était à mon tour de m'énerver, je tapais mes deux mains contre la taille en me redressant. "J'en ai marre de tes excuses, j'étais heureuse avec toi, je pensais que tu étais l'homme de ma vie, celui avec qui j'allais me marier et à qui je donnerais des enfants à priori on avait pas les mêmes projets, alors oui peut être que tu t'es rendu compte que tu ne voulais pas tout ça avec moi et que l'avis de ta famille à peser dans la balance mais j'aurais aimer que tu me le dise en face." J'étais debout face à lui et je rangeais mes affaires que je pris en main pour quitter le café, je savais qu'il le ferait avant moi alors autant fuir avant lui et surtout pleurer ailleurs que devant lui.
    @Beckett Anderson
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postSam 11 Mar 2023 - 23:20
    taggercitereditionsupprimeradresse

    I can't stop thinking of you.

    Starbucks Coffee
    13 janvier 2023
    @Bianca M. Almeida  
    mention accident de la route dans la partie narrative avec décès et une personne handicapée - colère - souffrance

    Le directeur du musée est perdu. Il ne sait pas comment s’expliquer sans lui faire part de la vérité, mais il en est tout bonnement incapable. Déjà, est-ce qu’elle le croirait ? Au vu de ses réactions actuelles, il pense que non. Et il ne peut s’imaginer Bianca lui cracher au visage qu’il ment encore, au sujet de son accident, comme s’il n’avait jamais eu lieu. Beckett sait qu’il ne le supporterait pas à cause de tous ses mois de souffrance. Il ne pouvait plus marcher. Il ne pouvait même plus se redresser. De ce fait, il n’en parlerait pas. Il n’est pas prêt et il ne sait pas lorsqu’il le sera.
    - « Je ne fais que te mentir pour te faire souffrir, c’est ça ? » Le British lui demande son flegme ayant totalement disparu. D’ailleurs, une veine de colère bat au niveau de son front. « Ne peux-tu simplement pas imaginer qu’il ait pu m’arriver... » Mais il s’arrête net, son cœur battant de plus belle, ayant peur d’en avoir déjà trop dit. Secouant la tête à la suite de ses propos, se retenant de ne pas frapper de nouveau du poing sur la table ou encore de la renverser, Beckett prend une profonde inspiration et expire, prunelles closent, d’autant plus à ses mots. Non, il n’aurait pas voulu qu’elle vienne, puisqu’ils ne se seraient pas quittés et qu’elle aurait été dans le véhicule dans lequel deux personnes sont décédées, tandis qu’une se retrouve en fauteuil et que lui, a dû mettre une bonne année avant de pouvoir mettre un pas devant l’autre. « Je ne te le dirai pas. » Il se contente de lui répondre, des larmes dans les yeux. « Pourquoi est-ce que tu me croirais si je te disais la vérité sur ce qu’il s’est passé, hm ? » Il en pince ses lèvres si bien qu’elles deviennent un simple trait. « Je ne m’excuserais plus dans ce cas. » Il murmure, davantage pour lui-même que pour Bianca, puisqu’il ne sait pas si elle perçoit ses propos et lorsqu’elle frappe de ses mains la table, l’aristocrate la regarde de nouveau, surpris. « Sais-tu ce que je pense, Bianca ? » Le ton monte et il se lève, délaissant sa chaise. « Je n’aurais jamais dû passer cette maudite porte pour venir te voir. Et je vais te dire ceci en face. » Il pose ses mains sur la table et se penche, afin de se rapprocher, en rogne : « Je ne veux pas de tout ça. De tout ce que tu as dit, là, juste avant. Ma famille a pesé dans la balance. Voilà, c’est dit. Heureuse ? Tu as eu ce que tu voulais. » Écrasant des larmes du revers de sa main droite, il ajoute : « Je m’en vais. » À l’égard de tous, Bianca comprise, avant de passer à ses côtés et de se retirer sans lui jeter le moindre regard. Poings serrés, il regrette d’être venu dans ce Starbucks, mais aussi que leurs retrouvailles se soient déroulées ainsi, car cela semble être la dernière fois qu’ils se soient vus tous les deux.
    - « Nous rentrons. » Il dicte à son chauffeur qui se racle la gorge et répond : « Monsieur, vous deviez aller travailler au musée. » Se stoppant net, il le regarde et décompose ses mots : « J’ai dit nous rentrons. Est-ce clair ? » Ouvrant lui-même la portière de la voiture de luxe, Beckett prend place à l’arrière et attend que le véhicule démarre, sans piper mot.


    FIN
    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum