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I LOVE HARVARD
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    Holes in my butterfly wings •• Billie
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    Holes in my butterfly wings
    Nuit du 22 au 23 janvier 2023

    23:02. 00:37. 01:14. Les heures défilent lentement. 01:55. Les minutes aussi. 02:22. Mes yeux se ferment une fois de plus. À nouveau, j’ai l’espoir de sentir la fatigue l’emporter, mais bien vite (trop vite), les images de l’année dernière réapparaissent dans mon esprit. Elles se succèdent, se bousculent, me donnent mal à la tête. Il y a un brouhaha douloureux, aussi. Incompréhensible, au début. Maintenant, je discerne certaines choses un peu mieux (trop, si vous voulez mon avis). Nous avons trouvé la cause de vos maux de ventre. Je revois la pénombre du chalet enseveli sous la neige, l’inquiétude dans le regard de mes amis, les lumières colorées des voitures de secours. Je revois le visage soulagé d’Analie et Salomé, les lumières aveuglantes de l’hôpital, l’agitation des médecins. Je me souviens du froid mordant du Wyoming. Des maux qui tordent le ventre. Madame, vous êtes en train d’accoucher. Les yeux qui s’ouvrent, et je me relève d’un coup sec dans mon lit. Ma nuque et le bas de mon dos sont trempés. Mes joues aussi. Presque comme cette nuit-là, j’ai le ventre qui se tord. Le cœur qui se coince dans la gorge, qui étouffe. La main qui cache ce sanglot étranglé, l’un des rares qui arrivent à se frayer un chemin jusque-là. Il y avait longtemps que ça ne m’était pas arrivé – mais cela fait bien plusieurs nuits que c’est comme ça. En réalité, depuis le soir où j’ai vu ma fille faire quelques pas, sans aucune aide, juste devant moi. Ma fille. L’amour de ma vie. Mon Anaé. Ma petite princesse. Mon bonheur à l’état pur. Et, malheureusement… mon plus grand traumatisme. Un haut-le-cœur me force à quitter la chaleur de mes couvertures. Tu es à vomir quand ce genre de pensée te hante, ma chère Céleste. Ma tenue de motarde enfilée tant bien que mal, je débarque dans le garage, toute tremblante. Il me faut quelques minutes pour me calmer avant de pouvoir filer hors de la ville. Il faut que je prenne l’air, que je m’éloigne… que je m’éloigne de cette maison achetée quelques mois en arrière. Cette maison que j’aime de tout mon cœur. Cette maison qui a marqué le début de ma nouvelle vie – celle à laquelle rien ne m’avait préparée. Cette maison que je déteste depuis plusieurs nuits. Malgré le bruit de ma bécane, ce sont mes pensées qui ne font que m’assourdir. Quelques secondes de lucidité me persuadent de m’arrêter et de mettre un pied à terre, le temps de souffler. De me calmer, encore une fois. Lucidité qui m’évitera certainement de me planter cette nuit, quatre jours avant le premier anniversaire de mon petit bout. Un an. Mes jambes sont faibles, et j’ai l’impression que marcher dans le sable n’arrange rien. Je serre un peu plus ma veste en cuir contre moi, regrette de ne pas avoir pris d’écharpe ou de bonnet. Il caille, au bord de cette eau obscurcie. Quelle idée d’être venue là. Mais ma tête en a besoin. Les larmes tracent des lignes tièdes sur ma peau, et je finis par m’effondrer pour de vrai. Les genoux qui heurtent le sable, les mains qui recouvrent ce visage ravagé par les larmes. Ça va faire un an. Un an que je suis devenue maman, alors qu’au départ, j’avais été prête à l’abandonner. Mais comment est-ce que tu as pu faire ça ? L’esprit pourri par une multitude de pensées, j’entends tout de même cette bécane arriver. Et quand je t’aperçois et te reconnais, j’espère silencieusement m’être trompée. Il suffit que tu t’approches pour que ma respiration se bloque le temps d’une ou deux secondes. Quand je reprends le contrôle dessus, je retrouve aussi ma voix, différente de d’habitude : « Mais que fais-tu là, à cette heure-ci ? » Et c’est moi qui parle.
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    Billie O'MalleyMembre de la Adams House
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    Billie O'Malley
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    Âge : 26
    Lieu de naissance : Glencolmcille, cherche pas sur Google, c'est en Irlande.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : entre Manchester-by-the-Sea, dans une maison beaucoup trop grande et beaucoup trop vide, et une chambre de la adams
    Situation sentimentale : célibataire, experte en désillusions, amoureuse d'une rousse qui s'est barrée
    Études & Métiers : étudiante en sciences environnementales et barmaid au Drink.
    Date d'inscription : 18/06/2017
    Pseudo & pronom IRL : GLEEK! (Annabelle)
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    Avatar utilisé : Florence Pugh
    Crédits : cheekeyfire(avatar) alcara (signature) lovebug la talentueuse (code profil)
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    Me, Myself and I · · · · ·
    irlandaise, puis new-yorkaise ● ses parents tiennent une librairie à NY, qui périclite ● a obtenu une bourse pour rentrer à Harvard ● son petit frère Zach a disparu alors qu’elle avait quinze ans, et n’a jamais été retrouvé ● vit avec son fantôme depuis, qui lui est apparu plusieurs semaines après sa disparition ● ses parents n’ont jamais accepté l’idée de sa mort ● apprentie passeuse d’âmes, elle développe une capacité à communiquer avec les morts ● ses parents lui ont collé le mot « folie », si bien qu’elle n’a plus jamais parlé à personne de son don ● galère à s’accrocher aux autres, à accorder sa confiance, ne voyant que le temporaire de la vie ● son corps est jonché de cicatrices causées par ses escapades nocturnes avec son frère ● des cachets sous le lit, bien dissimulés sous une latte de parquet ● fervente défenseure de la cause animale et de l’écologie, elle donne régulièrement de la voix dans les manifestations ● Maverick lui a légué une maison, et les droits sur son dernier livre, la catapultant d’un niveau de vie très modeste, à aisée.

    · · · · · · · · · · · · · · ·
    maladroite, obstinée, imprudente, accro à l’adrénaline - sans aucun instinct de survie, lunaire, effrontée, provocatrice, ambitieuse, misanthrope, impudique, mélancolique, soumise à ses pulsions, décomplexée, maline, menteuse, solitaire, fragile

    fun facts : se coupe les cheveux elle-même, les teint de manière aléatoire - tantôt négligée, tantôt apprêtée, elle se moque de son apparence et s'amuse de son reflet - fait la collection des peluches O’Malley - cuisine beaucoup et expérimente les plus étranges des alliances - roule la moto ayant causée la mort de Maverick, et participe à des courses illégales, le tout sans permis - préfère les livres aux séries - possède un vieux téléphone - dépassée par la technologie - ne fait jamais de sport -

    · · · · · · · · · · · · · · ·
    Family · Mr&Mrs O'Malley (pnj) parents - relation compliquée, conflictuelle, silencieuse Zach (pnj - décédé) frère qu'on pourrait croire jumeau, disparu, puis réapparu juste pour elle - la perte qui bousille tout, les souvenirs gravés dans les cicatrices -

    Love andm friends · Eowyn (pnj - ancien personnage) ex petite-amie, ex amoureuse, ex espoir, le premier et unique essai d'une relation sérieuse Wade amitié forte, attraction forte, le passionnel et le conflictuel emmêlés, saupoudrés de quelques sentiments parasites Loyd petite description du lien Quentin petite description du lien Nicola petite description du lien Anders petite description du lien Jinx petite description du lien Auréa petite description du lien

    Other · Andréa & Gustin méfiance, défiance, colère contre leur mauvaise influence, menaces pour l'une, voiture flinguée pour l'autre en représailles à leur défaillance.
    Warning : prise occasionnelle d'anxiolytiques et somnifères en lien avec des périodes d'état dépressif, disparition d’un proche (frère), surnaturel, perception de fantômes et communication avec les esprits, propos parfois vulgaires et impudiques
    RPS : 104
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    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t119990-billie-o-malley-saoirse-ronan
    Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t120243-billie-o-malley-456-824-7330#4489947
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155801-billie-o-malley-fiche-de-liens
    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t121158-meetsachussets-billiethekid#4556395
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    Lien du postVen 10 Fév - 13:02
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    Holes in my butterfly wings
    Nuit du 22 au 23 janvier 2023

    J’ai le sens du timing, tu sais. J’ai ce truc qui fait que la terre pourrait cramer, je me battrais pour certains. Probablement que je ne sourcillerais qu’à peine pour le reste. J’ai ce truc au creux du ventre qu’on appelle instinct. J’ai ces nuits mouvementées, ces insomnies qui m’annoncent que les jours suivants seront compliqués. On me souffle depuis l’ailleurs quelques antisèches. J’sais pas pourquoi, ni pour qui, par qui, j’ai ce réveil qui me sort des bras difficiles de Morphée. L’instinct porte souvent le prénom de mon frère. Les pieds au sol, pas suffisamment bien endormie pour vraiment souffrir de ces paupières ouvertes. J’erre à la recherche d’un second sommeil qui n’semble pas venir. Un bouquin entamé, qui m’agace sans que je sache vraiment pourquoi. Les lignes semblaient plus harmonieuses hier. Alors, l’échappement. Quand les pièces paraissent trop étroites, les murs trop proches, la solution porte souvent deux roues et du métal au milieu. Un vrombissement caractéristique qui prend les tripes. Là-dessus, j’me casse. De la maison, de ma vie, de ma tête. Je rejoins un peu Maverick et son esprit frappeur. J’me sens moins seule alors que personne ne se tient à mes côtés. Pas ce soir en tout cas. Comme une anticipation de la suite. J’parcoure plusieurs kilomètres, croisant feux rouges et intersections, aveugle des autres et du bruit de la ville. Jusqu’à ta moto, qui passe devant moi alors que j’ai décidé de marquer un stop pour la première fois depuis le début de cette escapade. Ligne respectée, juste pour que ta présence me frappe. Trop vite, ou pas assez, je ne sais pas ce qui m’a fait tiquer, mais tout ce que je sais c’est que cette ligne stop ne m’a pas retenue suffisamment longtemps. A ta suite, sur une distance que je ne saurais quantifier. De longues minutes, peut-être la moitié d’une heure. Je suis au lieu de dépasser. J’crois qu’il ne sert à rien d’empêcher les gens de sauter ; il faut être là à la chute, pour les relever. Alors, à quelques mètres, j’te laisse marquer le sable de tes genoux. Visage masqué d’un casque -pour une fois, je laisse ta silhouette dégringoler. Je suppose que je pourrais deviner, faire le calcul, mais plantée dans l’instant, mon urgence est ton secours, qu’importe le motif. Redémarre la bécane pour m’avancer de quelques mètres nécessaires, et surtout te laisser me percevoir. Tu n’auras même pas besoin que je me découvre ; j’le fais quand même, que t’y vois un fin sourire doux. “J’ai le sens du timing.” Comme si c’était une réponse. “Tu partages ta plage ?” Pas besoin d'acquiescement, j’ai déjà mes genoux qui copient les tiens, mon épaule collée à sa semblable. “J’étais un peu vexée en te voyant passer, que tu ne m’ai pas invité pour ce tour.” Légère moue ; tes billes salées sur les joues, t’inquiète pas, on va y venir. On va les virer, on va leur dire de ne plus revenir.
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    used to be young ☽ take onе, pour it out, it's not worth cryin' 'bout, the things you can't erase like tattoos and regrets, words I never meant and ones that got away, left my livin' fast somewhere in the past and took another road, turns out crowded rooms empty out as soon there's somewhere else to go, oh – miley cyrus
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    Lien du postSam 25 Fév - 12:44
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    Holes in my butterfly wings
    Nuit du 22 au 23 janvier 2023

    J’ai le cœur qui s’arrête à la vue de ta bécane. Qui se serre quand tu retires ton casque. Qui chute et fait diablement mal quand j’ai la confirmation que, oui, tu es bien là. Toi, la jolie mais tout aussi effrontée blonde de la bande des coureurs illégaux. Toi, la sympathique motarde à la langue bien pendue. Mais, surtout, toi, celle que je n’attends pas à mes côtés dans mes moments les moins glorieux. Et pourtant, tu étais là, l’année dernière. Est-ce que tu te souviens ? De ce coup de tête ? Cet instant où tu as enjambé ta moto pour rouler jusqu’à cet hôtel du Wyoming qui m’accueillait malgré moi ? Du jour où tu as découvert mon secret un tantinet bruyant ? Et te voilà, encore une fois. Contre toute attente. À mes côtés. Dans ma bulle, même. Tu es surprenante, mademoiselle O’Malley. Et j’espère que tu m’excuseras de penser que c’est étrange, de t’avoir ici. Toi, l’intrépide qui ne devais être destinée qu’à croiser ma route lors de courses illégales. Les seuls moments où nous flirtons avec la vitesse, l’adrénaline – et peut-être avec une touche de danger, aussi –, et les seuls moments qui se devaient de nous rassembler. Il n’était pas du tout prévu que des moments plus sombres t’attirent jusqu’à moi. En tout cas, ce n’était pas prévu de mon côté. Je ne l’ai même jamais voulu. Qui a envie de montrer sa face imparfaite, son côté vulnérable, faible ? Pas moi. À Gaspard, oui, car c’est mon meilleur ami depuis l’enfance. À Katalia, oui, car qui d’autre que celle que j’ai toujours cru être mon âme jumelle ? À Elias également, lui qui m’a vue et m’a prise en charge après le coma. Mais toi, cette fille à laquelle je ne devais être liée que dans l’ombre ? Non. Tu n’aurais jamais dû voir ça. J’étais déjà à moitié préparée quand tu es venue dans le Wyoming ; j’avais pu cacher des choses. Mais là, comme ça, prise au dépourvu ? Quand je suis en position de faiblesse ? Quand je suis en proie à et à la merci de mes émotions, de mes pensées les plus orageuses ? J’étouffe un pauvre rire affaibli à tes premières réponses. Nous sommes au beau milieu de la nuit, et je suis on ne peut plus fatiguée. Tu ne peux pas ne pas le voir. Je ne suis pas à mon avantage, après tout. Pas reposée. Pas maquillée. Défigurée par les larmes, par le traumatisme. Tu pourras noter ça quelque part : avoir côtoyé l’imparfaite Céleste Courtin-Clarins. Parce que je compte bien faire en sorte que ça ne se reproduise pas. Que ça ne se reproduise plus. « Viens. Je suppose qu’il y a assez de place pour nous deux. » L’imperfection de A à Z. De la voix éraillée, gorgée de tout ce qui est négatif et qu’elle contient du mieux qu’elle peut, jusqu’au bout des ongles. Je n’ai même pas pris le temps de les faire le weekend dernier, quand Anaé était avec moi. J’ai l’impression que ça la fascine depuis toujours, ce moment où elle voit sa maman se concentrer pour appliquer cette couleur liquide que l’on appelle vernis. Ce qu’elle aime le plus, c’est souffler pour que ça sèche plus vite puis faire glisser son petit pouce sur mes ongles une fois que le tout est sec. Ah, j’ai le cœur qui se sert à nouveau quand j’y repense. Il se serre tellement qu’il est au bord de l’implosion. Ton épaule contre la mienne n’aide pas, d’ailleurs. Je passe mes mains sous mes yeux, sur mes joues. Les essuie sur mes vêtements, frôlant les tiens. Il ne manquerait plus que je te salisse au passage. « D’accord, je ferai une exception la prochaine fois et je t’appellerai au beau milieu de la nuit pour que tu viennes avec moi. Deal ? » Sourire cabossé par le poids de ce qui me ronge à l’intérieur, et je bouscule gentiment ton épaule avec la mienne. Sans vraiment la chasser. Même si c’est étrange de t’avoir auprès de moi, je n’ai pas envie que tu partes. Peut-être que j’en ai besoin, de ta présence. « Mais ça, ce n’est que pour la prochaine fois. Je toussote, comme pour m’éclaircir la voix. Comment est-ce que je peux me faire pardonner, là, maintenant ? » Puisque tu sembles si vexée que ça.
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