Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Mia & Lexie) Under pressure, i'm crushing hard
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le Deal du moment : -20%
    Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
    Voir le deal
    399 €

    (Mia & Lexie) Under pressure, i'm crushing hard
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 23 Mar - 17:16
    taggercitereditionsupprimeradresse
    ★ ─ Under pressure I'm crushing hard
    w/ @Mia Campbell

    Ecrouée dans la tempête, vague tumultuante qui devient sa prison, à mesure que le tic-tac de l’horloge se fait assourdissant, dans le silence glaçant de la salle, Lexie serre dans son poing, dans ses doigts tremblants, le stylo, arme dérisoire face à la feuille de papier qui la fixe, depuis ce qui lui semble être des heures, de son œil menaçant. Elle l’a sentie venir. Elle les sent toujours venir. C’est peut-être ce qu’il y a de plus sinistre là-dedans. Le fait de savoir ce qu’il va se passer, et ne rien pouvoir faire pour l’en empêcher. Elle a beau ramer, nager à contre courant, la lame de fond la balaye toujours.

    Tu as foiré ton examen le plus important ? Tu te fous de moi?!

    Ce sont ses pensées, mais c’est sa voix à lui qu’elle entend, qui appuie sur son crâne pour immerger sa tête dans l’eau glacée de l’angoisse qui grandit, l’inondant presque entièrement. Lexie sait qu’elle sera vite noyée sous les battements de son palpitant qui anesthésient ses sens et surtout son esprit. Focalisée sans réserve sur cette sentence qui sera prononcée si elle échoue. La pression de ne pas réussir l’empêche de tout faire pour éviter le naufrage. C’est complètement surréaliste, illogique. Pourquoi se laisser prendre au piège par quelque chose d’aussi stupide ?

    Avant que la vague ne la submerge, elle demande à sortir, a besoin de retrouver l’air dans ses poumons, qui ont de plus en plus de mal  à suivre le rythme effréné du myocarde fou d’effroi. Et lorsque le surveillant de l’examen l’autorise à quitter la salle quelques instants, Lexie se précipite dehors, loin de l’immense étroitesse de la pièce, qui l’oppresse.
    La respiration haletante, le regard trouble, elle se laisse aller contre le mur, s’assoit sur le sol, la tête entre ses mains. Le souffle de la jeune femme se fait court, comme à la fin d’une course frénétique, sauf que ça fait déjà 1h qu’elle est complètement immobile. Et si tout ceci lui faisait perdre le temps nécessaire à la réussite de l’épreuve ? Putain ! Elle est en train de tout gâcher, de tout foutre en l’air. Il va lui reprocher, elle va se le reprocher. Louper le dernier exam, c’est manquer l’entrée en master, que dira t-il ? Quel avenir sera le sien ? Quel courroux essuiera-t-elle ?
    Toutes ces pensées sournoises et sinueuses, telles des serpents qui sifflent leurs venimeuses paroles dans son esprit, serinent le doute et la peur en son sein. Et elle a l’impression d’étouffer, étranglée par cet effroi qui la glace à la paralyse.

    « Putain, reprends-toi, allez reprends-toi, ça va passer, ça va passer.» Elle répète inlassablement ces mots, sans vraiment s’en rendre compte, sans vraiment s’écouter. C’est une rengaine qui se veut inspirante, mais elle ne l’atteint pas, cette phrase ne fait que franchir ses lèvres, mais ne pénètre pas ses oreilles et encore moins son esprit inondé par la panique. Lexie n'y arrive pas, elle n'y arrivera pas. L'abandon la guète, l'encercle de son pouvoir.  Elle se noie…

    L’océan qui l’emporte alors, la rend insensible à ce qui l’entoure, elle n’entend que la houle qui la submerge, ne sent que son souffle manquant, qui lui brûle la poitrine, ne goûte que l’amertume de son échec à venir.
    Immergée là-dedans, la naufragée ne perçoit pas immédiatement, qu’elle n’est pas seule.


    credits img/gif: pinterest
    code by lumos s.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 23 Mar - 21:45
    taggercitereditionsupprimeradresse



    T'aurais dû te coucher de plus bonne heure, Mia. Les cernes, c'est pas un super look, surtout un jour d'exam. Les bâillements intempestifs non plus, même si t'essaies de les étouffer autant que possible. Il reste encore... quarante-cinq minutes avant la pause déjeuner. Allez, tu peux le faire. Pense à la salade multicolore que tu t'es préparée hier en te disant que ça allait te motiver à manger plus sainement depuis que tu as remarqué les cinq kilos supplémentaires sur la balance - qui n'étaient pas là le mois dernier.

    Mais t'as beau essayer de penser positif, ton esprit reste bloqué sur la raison de ton insomnie : une dispute avec Austin, ton cher et tendre. C'est parti de rien... comme souvent. Il t'a annoncé qu'il avait changé la date de vos vacances prévues pour cet été car ça l'arrangeait avec le boulot. S'est dit que ça ne changerait rien pour toi, de toute façon, puisque « les profs sont tout le temps en vacances ». Donc, qu'est-ce que ça pouvait bien te faire de partir le 21 août plutôt que le 14 ? Il n'a pas compris - toujours pas malgré toutes ces années passées à lui répéter la même chose - que SI, ÇA CHANGE QUELQUE CHOSE. Que ta dernière semaine d'août est généralement destinée à la préparation - ou plutôt, aux détails finaux - de tes prochains cours.

    T'es en train de t'énerver toute seule, Mia. Ça hurle, dans ta tête, ça résonne contre les parois. Les étudiants vont finir par l'entendre, c'est sûr. Allez, va donc te rafraîchir les idées aux toilettes. Un petit mot à ta collègue pour la prévenir, puisque vous êtes deux à surveiller la salle, puis tu t'éclipses dans le couloir. Tu fais quelques mètres, tournes à l'angle, puis manques de t'étaler par terre en trébuchant sur une élève assise par terre contre un mur. Il te suffit de quelques secondes pour te rendre compte que quelque chose ne va pas. Les phrases qu'elle se répète, son visage blême, son souffle saccadé...

    Tu t'accroupis en essayant de capter son regard.

    Hey... hey. Est-ce que ça va ? Tu as besoin de quelque chose ?

    ─ Je… j’ai du mal… à respirer, murmure-t-elle.

    En temps normal, tu aurais prévenu les urgences : une étudiante qui n'arrive pas à respirer, c'est plutôt inquiétant. Mais le contexte, la situation te porte à croire qu'il s'agit probablement d'une crise d'anxiété. Après tout, nous sommes à Harvard, un jour d'examens importants, et beaucoup d'élèves se mettent parfois dans des états pas possibles à cause du stress.

    Je m'appelle Mia, je suis prof ici. Est-ce que je peux te toucher ? Te prendre les mains, je veux dire.

    Elle hoche la tête péniblement, visiblement incapable de prononcer la moindre parole. Tu saisis donc ses mains, froides et légèrement moites, et essaies d'attirer son attention vers toi en lui offrant un sourire avenant.

    Je crois que tu es en train de faire une crise de panique. Ça va passer, d'accord ? Fais-moi confiance. Ça ne dure jamais éternellement, même si tu as l'impression que ce sera le cas. Fais comme moi : on va inspirer et expirer lentement ensemble. On inspire... et on expire par la bouche. On inspire... et on expire.

    Concentrée sur la tache, tu ne te rends pas compte que tu écarquilles les yeux alors que tu mimes une respiration approfondie en même temps qu'elle. D'abord, faire en sorte qu'elle puisse respirer. Ensuite... tu pourras l'interroger sur la cause de sa crise - même si tu as déjà ta petite idée.

    (c) mars.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 26 Mar - 22:24
    taggercitereditionsupprimeradresse
    ★ ─ Under pressure I'm crushing hard
    w/ @Mia Campbell

    ─ Je crois que tu es en train de faire une crise de panique. Ça va passer, d'accord ? Fais-moi confiance. Ça ne dure jamais éternellement, même si tu as l'impression que ce sera le cas. Fais comme moi : on va inspirer et expirer lentement ensemble. On inspire... et on expire par la bouche. On inspire... et on expire.

    Musique qui vient percer la brume opaque de bruits, qui l’a oppressée et envahie jusqu’alors, cette voix lui parvient, semble l’atteindre, sans effort. Elle arrive à la percevoir, alors que rien ne semblait pouvoir l’extirper de ce flot de pensées sournoises. Si Lexie était dans la capacité de réfléchir, elle pourrait saisir l’étrangeté, le caractère incongru de la situation et l’interpréter comme un signe, alors que pourtant, elle n’y croit pas aux signes ! mais encore piégée dans le tourbillon d’angoisses, elle ne peut et ne doit se concentrer que sur une seule chose : cette voix, ces doigts contre les siens. Ses sens semblent s’éveiller d’un sommeil profond, d’un coma douloureux. Et le remède à cette lente agonie c’est cette mélodie qu’elle entend dans ces mots dans cette pointe d’accent britannique, que Lexie arrive à distinguer. Et elle suit les directives du chef d’orchestre. S’accrochant à ce regard, comme s’il était son unique point d’ancrage dans cet océan (et c’est le cas), la jeune femme cale sa respiration sur celle de sa sauveuse.

    Le rythme qu’elles suivent est lent et profond et leurs souffles s’harmonisent naturellement, c’est presque fou à quel point c’est transcendant, et Lexie sent les battements du myocarde capricieux ralentir, hypnotisé par ce regard qui le capture dans son filet, charmé par ces mains qui enlacent les siennes, par ce contact si clément et si bienvenu. L’instant semble durer une éternité, ou l’éternité semble se dérouler dans l’instant, Lexie ne sait plus vraiment, le temps là, n’a plus d’importance. Seuls le rythme de leur souffle, ses yeux dans les siens comptent. Et cela fonctionne ! Petit à petit, pas à pas, inspiration par inspiration, la tempête se calme un peu. L’étudiante entend les murmures de ses doutes et ses peurs là où il y a quelques instants encore ils hurlaient. La panique est toujours là, mais la houle est moins forte. Elle sent sa voix revenir un peu, à mesure que ses poumons retrouvent l’air.

    « Merci. » inspiration « C’est...gentil... de... m’aider. » chaque mot est entrecoupé par sa respiration qu’elle tente de rattraper.

    « C’est normal. Je ne te quitte pas jusqu’à ce que ça aille mieux. ».

    Une héroïne. C’est la première chose qui lui vient là, de but en blanc en la regardant, en l’écoutant, en la sentant effleurer son âme. Lexie ne dit rien, mais hôche la tête de nouveau, acceptant ce secours apporté à sa détresse. Elle serre un peu plus ces doigts contre les siens, comme s’ils étaient le seul rempart à sa chute.

    Son esprit reprend son souffle, et prend le temps de saisir les informations, qu’il a manqué durant cette noyade. Sa sauveuse est une prof, Mia Campbell. Le visage ne lui dit rien, mais Lexie connaît son nom et sait qu’elle est appréciée des étudiants en lettres. Le sauvetage qu’elle vient d’effectuer lui rend justice. L’étudiante, qui calme peu à peu sa panique, lui lance un regard rempli de reconnaissances, tandis qu’elle observe un peu plus celle, qui vient de l’extirper des griffes de l’angoisse. Son regard surtout la captive. C’est dingue comme sensation. Lexie sent qu’elle serait capable y plonger toute entière… peut-être est-ce parce qu'elle a du mal à  contrôler ses sensations et émotions, exacerbées par la panique qu'elle vient de vivre.

    « J’en fais souvent... des crises de panique, je veux dire. » elle avoue un peu honteuse. «  C’est la première fois que ça m’arrive aussi violemment par contre. »  dit-elle lorsque son corps lui permet de s’exprimer de nouveau normalement. Ses membres et sa respiration tremblent encore. Le contrecoup sans doute. Mais cela n’a pas d’importance. Sa sauveuse, puisqu’elle se donne, à présent, le droit de la baptiser ainsi, a ce sourire rassurant, qui souffle sur les nuages de cet orage, les dissipant alors. Et ses mains qui ne lâchent pas les siennes. Lexie pourrait trouver ce contact embarrassant, mais elle a l’impression que si elle le perd, elle plonge de nouveau dans cette houle déchaînée.

    «  Oh… tu sais ce qui a pu la provoquer ? Tu n’es pas obligée de m’en parler, mais… je suis là en cas de besoin. »

    Ok. Cette fois c’est sûr. Cette femme, c’est un ange tombé du ciel.
    Elle est prof en même temps, elle n’allait pas te laisser toute seule en train d’agoniser dans le couloir.
    Sa conscience a beau lui crier l’évidence, sa détresse la rend beaucoup trop sensible à cette marque de gentillesse et son coeur s’ouvre. Il s’ouvre et il l’accueille avec gratitude et peut-être autre chose. Lexie n’a rien à cacher et se sent en sécurité là, enlacée dans ce regard… alors elle parle.

    « L’examen. Je me suis mis un coup de pression débile. J’ai lu le sujet, mon cerveau a refusé de me donner accès à sa capacité d’analyse, à la place j’ai eu droit à une vision cauchemardesque de mon futur échec. C’est stupide, c’est une dissert’ j’en ai fait des centaines… mais là on aurait dit que j’étais aussi utile et efface qu’un Jedi sans la force, ou que Dark Vador comme pneumologue.»

    En roues libres, Lexie laisse ses pensées vagabonder et l’humour rationnaliser ses peurs. C’est son mécanisme d’auto-défense. S’il revient, ça veut dire qu’elle retrouve un semblant de contrôle. Pourtant, elle ne lâche toujours pas ces mains, ni ce regard, qu’elle trouve magnifique.




    credits img/gif: pinterest
    code by lumos s.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMar 28 Mar - 22:35
    taggercitereditionsupprimeradresse



    Tu n'es pas étrangère aux crises de panique : après tout, tu es prof dans la fac la plus réputée du monde, et ça comporte bien évidemment son lot de responsabilités et d'anxiété. À tes débuts, tu ne dormais quasiment pas, obsédée par l'idée d'être parfaite en tout point, tapant des fixettes sur ce qu'un collègue ou un supérieur avait pu te dire en passant, doutant de ta place parmi l'élite... et puis, petit à petit, tu as pris confiance. Tu as commencé à t'amuser avec tes cours. T'es devenue pédagogue, plutôt que "seulement" prof.

    La référence Star Wars te fait sourire intérieurement et pourtant, tu continues d'afficher le visage compatissant et légèrement inquiet de cette enseignante parfaite que tu désires tant incarner.  

    Tu sais... le futur est une énigme. Alors autant se l'imaginer aussi beau et coloré que possible, pas vrai ? Et puis, je sais qu'être élève à Harvard peut causer toutes sortes d'interrogations et de peurs... mais quand je commence à flipper, je me rappelle que personne ici n'est en train de sauver des vies. On écrit des papiers, on fait de la recherche, on lit des bouquins, mais on ne fait pas d'opération à cœur-ouvert, alors... autant prendre la vie avec un peu de légèreté. Et ça, c'est Yoda qui te le dit.

    Tu t'autorises enfin un petit sourire, fière de ta conclusion qui fait écho à son humour. L'étudiante n'a toujours pas lâché tes mains... et tu redoutes de briser ce contact qui semble la rasséréner. Son visage s'illumine légèrement, lèvres détendues sur un soupir.

    ─ Parfois j’aimerais que ce ne soit pas une énigme, que ce soit plus simple. Mais on n’a pas toujours ce qu’on veut, et… c’est vrai que personne ne va mourir si on rate un exam’, enfin mon oncle me tuera peut-être. (Elle grimace.) Mais vous avez raison, maître Yoda, reprend-elle avec un sourire en coin. Je vais essayer d’appliquer cette méthode du plus grand maître Jedi. Mais j’aimerais quand même ne pas foirer ma dissert, hein… dans l’absolu.

    Son oncle ? La famille peut foutre une telle pression sur les jeunes, parfois... le pire, c'est qu'ils ne s'en rendent pas compte, et que les élèves se sentent bons à rien s'ils n'arrivent pas à atteindre les standards imposés par leurs parents. Tu acquiesces, et l'invites à se relever d'une légère traction de tes poignets.

    Absolument ! Tu te sens d'y retourner ? Je peux te chercher un verre d'eau, si tu veux. Quoi qu'il en soit, tu vas écrire cette disserte et tu vas tout déchirer. Et puis si ce n'est pas le cas... tu te rattraperas autrement. Pas une question de vie ou de mort, d'accord ? Répète-le.

    Tu plantes tes prunelles dans les siennes en attendant qu'elle joue le jeu. La jeune fille suit ton mouvement, époussette son jean et hoche la tête, bien que pas entièrement convaincue.

    ─ Je crois que oui, je… ce n’est pas une question de vie de mort. Ce n’est pas une question de vie ou de mort, se serine-t-elle avant de souffler un bon coup. Je crois… je crois que ça peut le faire. Enfin après tout, ça ne peut pas être un échec tant que j’ai pas tout tenté pour réussir. Je… merci. Beaucoup. Vraiment.

    Elle soutient son regard et une sensation étrange te traverse l'estomac. Un soubresaut agréable.

    ─ Vous venez de me sauver la vie, enfin non pas la vie, puisque vous venez de le dire, ce n’est pas une question de vie ou de mort. (Nouveau sourire, accompagné d'une main dans la nuque.) Mais, c’est pour dire que vous êtes super gentille de m’avoir aidée. Je ne sais pas ce que j’aurais fait sans vous.

    Le rose qui lui monte aux joues traduit toute sa gratitude - elle n'a même pas besoin de le dire à voix haute. Et de nouveau, ce saut de trampoline, qui cette fois-ci, atteint ton myocarde. Rien de mieux que de se sentir utile !

    Je t'en prie. Comment tu t'appelles ?

    ─ Lexie, Lexie Frye. Vous êtes Madame Campbell c’est ça ? J’espère que j’aurai sans doute l’occasion de vous redevoir ça. Enfin si je loupe pas mon année, du coup.

    Elle rit et sa paume rejoint encore une fois sa nuque dans un geste nerveux. Elle rit ! Elle rit ! Mission accomplie.

    C'est bien ça. Et j'espère que j'aurai l'honneur de t'avoir dans ma classe, un jour. Si tu te soucies tant de tes notes, je pense que tu dois être une très bonne élève. À bientôt, Lexie.

    Tu lui adresses un petit clin d'œil confiant, avant de pivoter pour reprendre ton chemin. Un jour ordinaire dans la vie d'une Super Prof.

    FIN DU FLASHBACK
     (Mia & Lexie) Under pressure, i'm crushing hard  208576344


    (c) mars.
    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum