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Lien du postVen 11 Fév 2022 - 18:53
★ ─ All roads lead to Codrian w/ @Adrian Goldberg |
Revoir Adrian ne faisait pas partie de mes plans dans un but premier. Il faut se le dire, je croyais que je n’allais pas le revoir ce fil de pute, mais j’avais tort. Je ne peux pas dire non plus que je ne suis pas content, loin de là. Même si vraiment, j’ai la haine d’avoir ressenti ces sentiments contradictoires lorsque j’ai su qu’il était de retour à Boston. Cinq ans sans le voir, c’est long, mais se l’est encore plus sans lui parler, sans pouvoir lui dire ce que j’ai sur le coeur. Sans pouvoir lui donner les explications que je dois et que je mérite de lui donner. Ce n’est donc pas étonnement que j’ai sauté sur l’occasion de te voir après les cours. Même si l’endroit où tu m’as donné rendez-vous reste suspect en lui-même, je me dis qu’on allait l’avoir cette conversation et que j’en ai besoin plus que jamais. C’est dangereux, très dangereux même. Dans le sens où je ne sais pas comment je pourrais réagir face à toi.
Mais comme nous en avons parlé, lors de la fin de mon dernier cours de la journée, je me suis rendu au point de rendez-vous, dans le vestiaire masculin. Assis sur un banc, je repense à tout ce que l’on a vécu, toutes les chicanes, les moments heureux, tous les moments marquants. Oui, la nostalgie s’attaque à moi directement et de plein fouet. Tout pour me mettre dans tous mes états. J’étais tellement perdu dans mes pensées, que je n’ai même pas aperçu que tu venais d’entrer à ton tour. J’ai finalement relevé la tête et j’ai eu l’impression que tout se passe au ralenti. Ça fait cinq ans qu’on ne s'est pas vu, dois-je le rappeler ? On s’est parlé via un écran, sans rien de plus. Alors, j’ai des raisons d’avoir un léger mouvement de recul en t’apercevant. « Fuck! » Dis-je simplement, en guise de réponse. « Euh, salut! » Je me reprends rapidement. Hors de question que je te laisse t’apercevoir tout l’effet que tu as pu me faire à cet instant précis. T’as changé, t’as mûri lors de ces années. Petit sourire en coin, je passe inconsciemment ma langue sur mes lèvres. Geste très significatif venant de moi, du moins lorsqu’on était encore ensemble. « T’avais raison l’autre fois, on ne se connaît plus. Je te reconnais plus. Et bordel, t'es encore mieux que dans mes souvenirs. » J’ai toujours eu la réputation de dire ce que je pensais, mais te complimenter sur ton physique, ne faisait pas non plus parti de mon plan aujourd’hui. Tout ce que je veux, c'est avoir cette putain de discussion. Je dois me le rappeler pour ne pas m’égarer. « Tu souhaites procéder comment ? » Peut-être que tu aimerais avoir cette discussion assis sur le banc, en faisant du sport ? Je te laisse choisir, parce qu’après je ne garantis pas que ça serait nécessairement tranquille.
Mais comme nous en avons parlé, lors de la fin de mon dernier cours de la journée, je me suis rendu au point de rendez-vous, dans le vestiaire masculin. Assis sur un banc, je repense à tout ce que l’on a vécu, toutes les chicanes, les moments heureux, tous les moments marquants. Oui, la nostalgie s’attaque à moi directement et de plein fouet. Tout pour me mettre dans tous mes états. J’étais tellement perdu dans mes pensées, que je n’ai même pas aperçu que tu venais d’entrer à ton tour. J’ai finalement relevé la tête et j’ai eu l’impression que tout se passe au ralenti. Ça fait cinq ans qu’on ne s'est pas vu, dois-je le rappeler ? On s’est parlé via un écran, sans rien de plus. Alors, j’ai des raisons d’avoir un léger mouvement de recul en t’apercevant. « Fuck! » Dis-je simplement, en guise de réponse. « Euh, salut! » Je me reprends rapidement. Hors de question que je te laisse t’apercevoir tout l’effet que tu as pu me faire à cet instant précis. T’as changé, t’as mûri lors de ces années. Petit sourire en coin, je passe inconsciemment ma langue sur mes lèvres. Geste très significatif venant de moi, du moins lorsqu’on était encore ensemble. « T’avais raison l’autre fois, on ne se connaît plus. Je te reconnais plus. Et bordel, t'es encore mieux que dans mes souvenirs. » J’ai toujours eu la réputation de dire ce que je pensais, mais te complimenter sur ton physique, ne faisait pas non plus parti de mon plan aujourd’hui. Tout ce que je veux, c'est avoir cette putain de discussion. Je dois me le rappeler pour ne pas m’égarer. « Tu souhaites procéder comment ? » Peut-être que tu aimerais avoir cette discussion assis sur le banc, en faisant du sport ? Je te laisse choisir, parce qu’après je ne garantis pas que ça serait nécessairement tranquille.
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Adrian GoldbergMembre de la Dudley House
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Informations
Âge : 26
Lieu de naissance : Boston, né ici et ayant vécu la plupart de ma vie ici.
Quartier.s d'habitation & Colocation : proximité du centre.
Situation sentimentale : l’égo reboosté et le coeur enterré, le pantalon baissé comme seule preuve d’affection.
Études & Métiers : étudiant en cinéma, photographe évènementiel et dealeur en dehors
Date d'inscription : 25/11/2021
Pseudo & pronom IRL : GOLD ANTHEM (he/they).
Icon :
Avatar utilisé : jacob rott.
Crédits : GOLD ANTHEM (avatar), nehemis (signature), gold anthem (icon gif), salvìa (profil).
Multicomptes : Eben Wolford (Moritz Hau).
Description un :
Le diable aux ailes d'ange est une bonne manière de le décrire. Adrian est né et a grandi ici, auprès de sa soeur Hera et son frère Noah avec qui il forme des triplets. Enfant de deux mères tentant de joindre les deux bouts, il s'est montré débrouillard très tôt afin de construire un avenir plus glorieux à ses yeux. Il rencontre sa première vraie relation, avec un homme, où l'agressivité est autant de mise que la passion. Avec un amour du cinéma, il étudie un an après le lycée pour rentrer à Harvard mais une belle proposition et un quiproquo avec son copain de l'époque font de lui un célibataire en route vers Los Angeles. Il y passe plusieurs années au cours desquelles il se fait dealeur avec une riche clientèle, gagne en confiance auprès de certains patrons avant que la situation ne dégénère et ne l'amène à retourner cet été 2021 à Boston, direction Harvard. Il est évident que Adrian plaît avec son sourire à toute épreuve malgré une impulsivité saisissante quand elle débarque, mais cela ne l'empêche pas d'être un excellent charmeur en forte popularité. Il assume pleinement sa bisexualité, et il s'en sert en soirée pour vendre ses substances illicites.
RPS en cours :
d a t e s / irl
« décès de sa jeune soeur le 10/12/2013.
« rupture avec son ex et départ pour l.a. le 13/08/2016.
« retour à boston et début à harvard le 01/08/2021.
« décès de sa jeune soeur le 10/12/2013.
« rupture avec son ex et départ pour l.a. le 13/08/2016.
« retour à boston et début à harvard le 01/08/2021.
- team pecorino:
- dudley 2021-2022:
- adriels:
Warning : (mentionnées) ;; manipulation émotionnelle, agression sexuelle, abus de pouvoir et leucémie mortelle.
(joués) ;; deal de drogues, consommation de drogues, relations toxiques et sexualité exacerbée.
(joués) ;; deal de drogues, consommation de drogues, relations toxiques et sexualité exacerbée.
RPS : 123
Messages : 10689
Lien du postMar 15 Fév 2022 - 18:48
@Corey Deauclaire — Putain de bordel de sa race. Rien ne va dans cette décision de se revoir. Tu as repris contact après mon absence que je t'ai imposé salement, tu étais à l'écoute et taquin, et j'étais curieux et ouvert à l'échange. Tout nous dit que ça va pour nous la foutre à l'envers ensuite. C'est ce que j'ai appris avec toi, c'est qu'on est foutu maudit ensemble. Et pourtant, je ne sais pas pourquoi mais ton deuil est toujours impossible. Alors impossible de passer à côté d'un face à face, cachés l'un l'autre dans un endroit où nos cris seront étouffés. Pourquoi est-ce que ça m'excite ? Je suis devenu une machine qui enterre son coeur sous des couches de matelas pour ensuite me faire prendre dessus - ou prendre aussi. L'odeur de la sueur post coït camoufle la senteur des émotions qui bourgeonnent dans mon coeur. ❝ Hé ❞ est le premier mot que je dis quand j'ouvre la porte et te vois. Putain, j'ai déjà des sales idées. Je suis pourri de l'intérieur et j'ai tellement envie que tu y goutes. Ton recul me surprend et en même temps non. J'écarquille les yeux presque surpris et regarde ailleurs, c'en est presque humoristique. ❝ Euh okay, merci ❞ dis-je en éclatant de rire à ta remarque. Ne me chauffe pas, Corey, c'est pas cool. ❝ Toi aussi. Enfin, t'es toujours canon, quoi. ❞ J'essaie d'être calme et détendu comme je le suis tout le temps mais là, ça se sent qu'on a des choses à régler, que c'est pas net entre nous, qu'on a envie de se déchirer dans tous les sens du terme. Je ne pensais pas que tu m'aurais fait cet effet, croiser ton regard et voir ton visage, ton corps se mouvoir comme ça. Tu es vivant, tu n'es plus que des photos et une reconstruction de mon imagination à partir de nos échanges. Tu es là, vibrant, bougeant, respirant et en vrai, j'ai la trouille de ce que je peux faire. ❝ Euh... j'sais pas en vrai. ❞ Encore un rire, la main qui gratte ma nuque comme un geste stéréotypé de gêne. Quelques mèches tombent sur mon front alors que j'incline la tête en regardant le sol, cherchant inspiration. Puis, je me pose sur le banc derrière moi, à une certaine distance de toi. Pas de contact, c'est dangereux. Je pourrais avoir envie de t'étrangler. Ou l'inverse, dans un tout autre contexte. Je suis foutu, massacré dans mon train de vie. Je ne suis qu'un corps qui bouge, la tête aussi mais l'âme endolorie. ❝ J'pense que comme toi, j'suis encore vénère. J'ai eu putain d'mal avant de partir avec... Enfin, tu sais. Tu sais que j't'aimais à en crever, j't'aurai tout donné, abso-lu-ment tout, et c'est parti en vrille. ❞ Au moins, j'arrive à être calme, à poser les choses sans lever le ton. Mais te regarder droit dans les yeux est dur. Je ne sais pas comment expliquer mais je ne te fais pas confiance. Ou plutôt, je ne me fais pas confiance en ta présence. De là où je suis, je peux sentir ton odeur corporelle envahir mes narines, raviver des souvenirs. Et comme toi un peu plus tôt, j'humidifie brièvement les lèvres. Ne relève pas ça, comme je ne l'ai pas relevé chez toi. On a pas le droit de se faire davantage mal, Corey. Je passe mes doigts dans mes cheveux, les plaquant en arrière, faisant revenir des mèches encore sur les côtés de mon front. Est-ce que je t'allume ? Si oui, ce n'est pas fait exprès. J'ai bien envie que tu vrilles complet, mais pas moi. Je suis toxique à ce point, peut-être. Je ne sais pas ce que je veux mis à part qu'on pose cartes sur table et que l'on range le deck dans sa boîte. Plus de jeu, plus rien, juste deux personnes qui se croisent et s'entendent bien en dehors de tout ça. Putain que je veux y croire à ça, sinon, ça veut dire que je suis perdu avant même de m'être cherché.
Now listen to me baby before I love and leave you, they call me heart breaker, i don't wanna deceive you. If you fall for me, i'm not easy to please, i might tear you apart. Told you from the start, i'm only gonna BREAK YOUR HEART - ” |
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