Cela fait quelques jours seulement que tu as emménagé. On peut dire que c'est encore le bordel et que tu vis principalement dans les cartons. T'aurais pu avancer dans le déménagement étant donné que tu n'avais pas les filles mais, tu as préféré déprimer. La maison paraissait tellement vide sans entendre leurs petits pieds contre le parquet ou même leurs cris s'élevaient sous les hauteurs de plafond. Tu finis par douter de ton choix, tu te dis que c'est trop grand, que tu vas te perdre, te noyer dans cet espace. Tu te mets également à imaginer que Nicolas dut rester au Luxembourg pour une durée indéterminée. Alors, tu aurais eu les filles h24. Vous n'auriez pas pu faire garde partagée et tu n'aurais pas eu à faire face à ce silence pesant. Tu te dis que tu pourrais aussi te battre pour obtenir la garde exclusive parce qu'il s'agissait de tes filles après tout ! Tu pourrais aussi proposer à Nicolas de les avoir uniquement durant les vacances scolaires. Mais non, à tes yeux, c'était autant ses filles que les tiennes, bien au delà des gênes. Alors, tu devais faire la part des choses. Tu devais apprendre à vivre avec cette peur de la solitude, avec cette appréhension quant à l'avenir, au tien comme celui des jumelles. Tu penses ensuite au retour de Khaled. Tu hésites à instant à visiter son profil pour t'assurer que les dires de Louve ne soient de simples mensonges. Portable en main, tu fixes le mur un instant et quand tu te décides à agir, quand tes yeux rencontrent l'écran en verre, ce dernier s'illumine sur un texto de Xavi. Large sourire qui se dessine sur tes lèvres, tu fermes les paupières, soulagée d'avoir dorénavant cet ange gardien dans ta vie. Tu t'empresses de répondre, tes doutes disparaissent et quelques secondes plus tard, voilà que tu te décides à te préparer en quatrième vitesse, à ranger un maximum de choses pour être présente à l'accueil, lui et son fils que tu n'as pas encore rencontré mais qui semble te connaître autant que toi. C'est à la fois une pression et un soulagement. Tu es flattée d'avoir été mentionnée. Tu as peur de ce qu'il a pu lui raconter malgré tout. Tu te demandes ce qu'il va bien pouvoir te raconter. Tu as hâte de les voir arriver ! @Xavi Wolford

La fluidité du trafic est une véritable horreur à cette heure de ce début de soirée. Heureusement, tu t'en éloignais pour aller en direction de Carson Beach où vivait désormais Colombe. Un peu plus tôt, tu lui avais demandé si elle voulait que tu passes pour manger un bout ensemble et son enthousiasme sans appel t'avait fait on ne peut plus plaisir. Dès que tu peux passer du temps avec la jeune femme, tu le fais. Tu l'avais averti que cette fois tu serais en compagnie de ton gamin et cela ne l'avait aucunement déranger bien au contraire. En effet, tu avais parlé à Côme que depuis quelques temps tu voyais quelqu'un. Tu ne lui mentais pas sur ce point, d'autant plus si elle avait de l'importance pour toi. Tu ne savais pas réellement où menait votre relation et qu'elle nom lui donner mais tu tenais beaucoup à elle. Une fois garé non loin de la maison de la Perol, tu détaches ta ceinture puis descend du véhicule pour aller ouvrir la porte coté passager où est installé ton fils. Tu détaches également la ceinture du siège auto de ton petit bonhomme avant de le porter pour le poser sur le sol. Tu te penches pour prendre les sacs en papier contenant ta commande chez l'italien ainsi que les gâteaux que vous étiez passés prendre à la boulangerie.  « Papa, tu as oublié Lloyd. ». Bien évidement, tu allais oublié la peluche en forme de tortue, celle qu'il emmène partout – ou presque. De ta main livre tu la lui donnes puis tu fermes la portière puis actionnes le embrouillement à distance. Vous avancez jusqu'à là porte d'entrée et tu appuies sur la sonnette. Côme est soudainement absorbé par la vue qu'offre la grande maison de Colombe et quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre sur son visage rayonnant. Ton petit bonhomme contemple toujours la vue sur la mer, et n'a même pas entendue Colombe ouvrir la porte. Tu esquisses un rire amusé ce qui attire enfin l'attention du petit blond et ce dernier lève enfin les yeux vers la jeune maman. « Coucou ! Je m'appelle Côme. ». tout sourire, le môme tend sa main en direction de Colombe alors que tu échanges un regard tendre avec elle.
@Colombe Perol

Le message de Xavi te fait chaud au coeur. Il te redonne le sourire. Il te permet de ne plus te sentir aussi seule. Tu as hâte qu'il arrive. On ne peut pas mentir sur le fait que tu stresses un peu à l'idée de rencontrer son fils. Tu trouves ça tellement touchant qu'il ait parlé de toi. Tu te demandes ce qu'il a bien pu raconter à un si petit garçon. Tu te dis que dorénavant, tu n'as plus qu'à faire bonne impression à son égard. Il faut donc que tu ranges un minimum la maison pour que ce soit accueillant. Il faut que tu te prépares aussi parce que tu veux être présentable voire, plus encore, si c'est possible. Alors, tu mets les bouchées double pour être à l'heure. Tu passes quelques minutes dans la salle de bain, t'as appris à te préparer rapidement en ayant deux enfants en bas âge. Ensuite, tu t'affaires en cuisine. Tu prépares des petits fours sans savoir qu'ils seront cramés au moment où les garçons arriveront. Ouais, on ne peut pas dire que tu sois très douée en ce qui concerne la cuisine... oups ! Heureusement, hormis ce détail, tu es une hôte plutôt agréable, souriante, sociable et pleine de bonnes intentions. Du coup, tu ne les fais pas trop attendre lorsqu'on sonne à la porte. Sourire aux lèvres, tu ouvres la porte sur un Xavi radieux pour ne pas dire, totalement à ton goût et, un petit garçon subjugué par le paysage. Tu te mords la lèvre en esquivant un petit sourire, son père quand à lui rigole ce qui fait qu'il porte assez rapidement son attention sur toi. Il se présente tout en te tendant la main. T'es à la fois surprise et amusée. Tu lui offres ton plus beau sourire et après avoir jeté un coup d'oeil à son père, tu lui serres la main. Et bien, je suis ravie de te rencontrer Côme. Ton papa m'a beaucoup parlé de toi ! Je m'appelle Colombe. Tu ouvres la porte en leur faisant signe d'entrer. Tu en profites pour déposer un bisou sur la joue de Xavi, lui glissant : Il est trop adorable ! Et puis, tu t'adresses à Côme qui semble beaucoup trop mature pour son âge. Tu as aimé la vue de l'extérieur ? Avoir vue sur la mer, ce n'est pas donné à tout le monde ! @Xavi Wolford

S'il y a un bien un attrait de son caractère que ton fils a hérité de toi, c'est bien la maturité. Tu étais un peu plus vieux que lui lorsqu'on a diagnostiquer le potentiel de ton quotient intellectuel mais surtout une maturité précoce qui l'accompagne. Côme possédait un certain sens de la maturité cela se voit par ses mots ou son sens de l'observation déjà bien accru. Son pédiatre pense que l'abandon de sa mère à favoriser tout cela. Quoi qu'il en soit, tu vous que Colombe est quelque peu surprise mais son coté maman – sans aucun doute – lui permet de rebondir. Ton petit bonhomme sourit et hoche la tête tout en serrant sa peluche contre lui. La jeune Perol vous invite ensuite à entrer à l'intérieur de la maison tandis qu'elle te complimente sur ton gamin et dépose un baiser sur ta joue. Tu en profites pour apprécier son parfum et la considérer d'un petit clin d’œil. « J'espère que tu en penses autant de son père alors. ». Tu la taquines bien évidement alors qu'elle s'adresse de nouveau à ton petit loup. Ce dernier opines du chef avec énergie car l’océan est l'un des lieux préférés de ton gamin après la patinoire. Tu te permets de déposer les paquets que tu as dans les mains pour t'accroupir et enlever le manteau et l'écharpe de son fils. Tu redresses pour enlever le tien et le déposer sur la patère. « On est passé chez l'italien et on s'est permis d'apporter le dessert. ». Il faut dire que vous adoriez les pâtisseries françaises chez vous. Ton fils est on ne peut plus fascinés par la grandeur de la maison, il faut dire en même temps qu'on est bien loin de votre penthouse qui paraît plus vide depuis le départ de Layla. Tu en profites alors pour embrasser rapidement les lèvres de Colombe car oui, la belle t'avait manqué depuis que tu l'avais aidé à déménagé quelques jours plus tôt.
@Colombe Perol

T'es vraiment épatée par la maturité dont fait preuve Côme. Il te tend sa main pour que tu la lui serres tout en se présentant telle une grande personne. T'es étonnée mais, ça te fait sourire en même temps. Tu te baisses légèrement pour lui prendre la main tout en la jouant formelle à ton tour. Et comment s'appelle ton petit copain ? Que tu lui demandes en pointant sa peluche du bout du doigt. Tu les invites ensuite à entrer, déposant un bisou sur la joue de Xavi, lui glissant à quel point son fils est mignon. J'aurais pas utilisé ce genre de qualificatif mais, ça marche aussi. Que tu avoues quand il te demande si tu penses la même chose de lui. Tu hausses les épaules en rigolant avant de les aider avec les sacs de nourriture. Tu déposes le tout sur le buffet, faisant la conversation à Côme qui semble apprécier l'endroit. C'est encore trop grand et trop froid à ton goût mais, avec de la décoration et sans les cartons, tu devrais te faire à cette nouvelle vie. Vous avez même ramenés le dessert ? Vous êtes vraiment géniaux ! Tu les laisses se débarrasser de leurs manteaux en trottinant vers la cuisine parce que... oups, tu viens de penser à l'apéro ! Tu te mets à tousser quand tu ouvres la porte du four. Evidemment, un nuage de fumée s'en échapper et les petits fours sont cramés. Tu prends un gant pour les débarrasser en soupirant. Vous pouvez vous installer dans le salon, j'arrive tout de suite ! Heureusement que tu as fait des verrines et qu'il reste un cake dans le congélateur. Un vrai boulet ! Tu reviens vers tes invités comme si de rien était : Qu'est-ce que je peux vous servir à boire messieurs ? TU prends un air on ne peut plus sérieux avant de sourire. Ouais bon, tu sais pas rester sérieuse trop longtemps non plus, encore moins en présence d'enfants depuis que tu en as ! @Xavi Wolford

Certains sont étonnés par la maturité de Côme surtout alors qui est à l'aube de ses trois années – et d'autre bien au contraire ne le sont pas comme tes proches. C'est un attrait qu'il gère à sa manière, selon la situation et qui s'est décliné depuis le départ de sa mère alors qu'il était un nourrisson. Ton petit bonhomme regarde alors sa peluche et sourit en répondant. « Lloyd. ». Ouais, il le prend partout avec lui à défaut de pouvoir emporter votre tortue de terre partout. En soit c'était un bon compromis à l'époque et cela fonctionne encore. Colombe te murmure combien ton fils est mignon et tu lui confies espérer qu'elle pense pareil au sujet de son paternel. Et sa réponse te fait ravis et tu la considères d'un clin d’œil complice. « Choses promises, choses dues. ». Rapidement, la jeune femme trottine en direction de la cuisine et vous la suivez afin de vous rendre dans le salon. Les paquets de nourriture dans les deux mains, tu murmures à ton gamin de t'asseoir sur le canapé et c'est tout naturellement qu'il va s'y installer. Tu entends quelques petites quintes de toux et tu pars rejoindre Colombe. Dans la cuisine, un petit nuage de fumée s’échappe du four. Tu déposes les paquets sur l’îlot centrale de la cuisine tandis qu'elle sort les petits fours brûlés. « Il y a moyens de les sauver tu sais ? Tu as de la mozzarella ? ». Une astuce que tu tiens de ta figure maternelle, des petits coups de pouce qui t'ont à de nombreuses reprises sauver la mise par le passé. Quelques minutes plus tard, vous retournez dans le salon et la tonalité sérieuse mais amusé de Colombe a le don de faire sourire Côme encore davantage. Il joue le jeu et baisse même la tête telle une petite révérence princière. « Du sirop ? ». Et ouais, la boisson favorite de ton gamin c'est le sirop. Pourquoi ? Parce qu'il adore goutter différent goût. « Ce que tu as à boire sans alcool sera très bien pour moi. ».  
@Colombe Perol

T'es vraiment surprise par la maturité du petit garçon. Il se comporte telle une grande personne et tu as hâte d'en savoir un peu plus autant sur son caractère que sur ses projets futurs. Tu es certaine que Côme est un gamin super intelligent et surtout, très passionnant. Tu le questionnes quant à sa peluche. Son sourire est communicatif, tu ne peux t'empêcher d'en faire de même. Tu leur proposes de gagner le salon le temps que tu t'affaires en cuisine. Enfin ça, c'était sans compter sur la catastrophe ambulante que tu es en ce qui concerne le domaine culinaire. Les petits fours sont... cramés ! Tu te mets à tousser en agitant la main comme si le nuage gris pour disparaitre d'un coup de baguette magique. Malheureusement, il flotte encore dans l'air quand tu poses la plaques sur le comptoir en soufflant. Tu replaces une mèche de cheveux derrière l'oreille tout en contemplant ta misérable réalisation. Xavi te rejoins et tu lui lances un regard désolé tandis qu'il t'annonce pouvoir te sauver la mise. De la mozzarella ? Oui bien sûr ! Tu sors deux paquets du frigo avant de le regarder d'un air dégoûté. Tu veux cacher la misère avec de la mozza ? Je suis vraiment une catastrophe en cuisine. Je devrais me contenter de sortir des chips. T'as pas envie qu'ils repartent d'ici malades !
Quand tu reviens quelques minutes plus tard dans le salon pour demander ce que les garçons souhaitant boire, t'es amusée de voir que Côme rentre dans ton jeu en demandant du sirop. J'ai de la menthe, de la violette, cerise, citron, pêche, hibiscus, orange, barbe à papa et... il me semble qu'il me reste un fond de kiwi. Tu hoches la tête aux paroles de Xavi et rajoute : Sinon oasis, coca et ice-tea. En ce qui concerne le soft. Ouais, on peut dire que toi aussi tu apprécies un peu trop le sucre ! @Xavi Wolford

L'art culinaire n'a rien de compliqué en soit quand bien même tu tends à penser que certaines personnes sont doués pour cela. Depuis que tu es papa, tu n'as pas eu d'autres choix que de te mettre derrière les fourneaux rien que pour les repas les plus basiques et avec le temps, tu as t'améliorer. Là dessus, tu remercies ta figure maternelle qui par le biais de petites astuces t'a permis de récupérer pas mal de plats qui à la base étaient complètement loupés. C'est pourquoi, tu demandes à Colombe si elle n'a pas de la mozzarella et elle en sort deux paquets du frigo. Tu ricanes silencieusement tout en secouant la tête un brin amusé par ses premières paroles. « Disons que c'est un moyen d'améliorer l'état de tes petits fours. ». Lui dis-tu tout en lui lancé un clin d’œil à l'image de cette proximité qui est la vôtre. Habilement, tu vas te laver les mains puis te mets à la tâche afin d'enrouler les petits fours dans des petits rouleaux de mozzarella. Une astuce dont ton gamin raffole. Pas de jugement, s'il vous plaît tout le monde sait que tous les goûts sont dans la nature. À peine quelques minutes plus tard, tu remets ta préparation dans le four pour à peine deux minutes et tu te laves à nouveau les mains. « Moi je suis certain qu'il y a moins de te prouver que tu n'es pas une catastrophe ... ». Lui dis-tu tout en t'approchant doucement d'elle. Tu la regardes avec une certaine profondeur, de la douceur avant de capturer ses lèvres avec une passion tendre. Un baiser court, certes mais tu sais aussi que ton petit bonhomme est dans le salon. Vous le rejoignez et Colombe vous propose quelques choses à boire. Côme libère un peu plus son sourire mutin et jovial lorsqu'il entend la longue liste de choix de sirop que possède Colombe. Tu l'observes, tu sais qu'il est en train de réfléchir à la saveur qu'il n'a pas encore goûter … tu le regardes prêt à l'aider à se souvenir lorsqu'il lève le doigt et regarde à nouveau la jolie blonde. « Barbe à papa ! ». Vos prunelles se croisent et ton petit bonhomme rajoute. « s'il te plaît. ». Un petit air gêné  se dessine sur ses traits poupins alors qu'il observe de nouveau autour de lui. Tu songes aux petits fours que tu avais mis dans le four et tu retournes en cuisine pour les sortir. Le résultat est plutôt pas mal d'ailleurs. Et comme si Côme avait été attiré par la délicieuse odeur, il est là à peine dissimulé dans l'encadrement de la porte de la cuisine. Il s'approche de toi et tu le prends dans tes bras pour le porter. Toujours son doudou dans une main, il regarde les nombreuses photos accrochés sur le réfrigérateur. « C'est qui ? ». Demande-t-il doucement un brun curieux en montrant les deux petites filles blondes sur les photos. Tu te retournes pour mieux voir de quelles photos il s'agit et tu découvres la bouille des jumelles de Colombe. Cependant, tu préfères laisser la belle lui répondre.
@Colombe Perol

Tu es une catastrophe en cuisine si ce n'est pire. Tu pourrais mettre le fu à cette dernière sans même t'en rendre compte. En réalité, ton père t'a appris à gérer une entreprise, voire une famille dans les grandes lignes. En ce qui concerne les affaires, la communication, la manipulation, t'es douée. Tu sais comment organiser une soirée mondaine digne de ce nom. Tu sais faire tourner la tête d'un beau jeune homme pour arriver à tes fins. Tu saurais surement sauver une entreprise de la faillite via diverses combines. En ce qui concerne les tâches ménagères par contre, on ne peut pas dire que tu sois une crème. Tu n'as surement pas passé assez de temps avec ta mère. Hormis vos séances shopping, on ne peut pas dire que vous ayez été proches l'une de l'autre. Depuis que tu as les filles, tu essaies de faire des efforts mais, tu dois reconnaître que la plupart du temps, c'est Nico qui se collait en cuisine parce qu'il appréciait cela et que tu avais d'autres trucs à faire. En tant que busy girl, tu esquivais cette tâche ingrate en commandant traiteur la plupart du temps. Sauf que ce soir, t'avais voulu faire un effort pour recevoir Xavi et Côme et bien entendu, ce qui devait arriver arriva ! Heureusement, le beau blond avait plus d'une corde à son arc. Mon sauveur ! Rajoutes-tu en murmurant avant de lui rendre son baiser, sourire aux lèvres. Encore heureux qu'il ne le prenne pas mal. Enfin, peut-être qu'il se dit Mon dieu, qu'est-ce que je fous là ?! Mais, il a la décence de ne rien dire et, tu l'en remercies. Vous retrouvez bien vite Côme dans le salon pour savoir que tu veux lui servir à boire en attendant que les petits fours dorent tranquillement. Je te sers ça tout de suite ! Sa petite bouille te fait vraiment craquer et tu ne peux t'empêcher de sourire bêtement à chaque fois que ton regard rencontre son visage enfantin. Tu pars donc servir les boissons, suivi de Xavi qui rattrape tes bêtises. Une fois les verres remplis, tu te tournes vers Côme venu admirer les photos présentes sur le frigo. Evidemment, des clichés à l'effigie de tes filles se trouvent aux quatre coins de la maison, ce qui intrigue le petit garçon. Mes filles. Ici, tu as Ella et là, c'est Tessa. Des fois, j'ai du mal à les différencier parce qu'elles sont exactement pareilles ! Que tu lui confies à mi mots en souriant de plus belle. Tu trouves ça trop mignon qu'il se montre aussi curieux. @Xavi Wolford

Tous les deux dans la cuisine, Colombe s'occupe de servir les boissons pendant que tu sors les petits fours à la mozzarella. Cela aurait été dommage de jeter cela surtout quand tu connais un gourmand qui sera le premier à les dévorer. Quelques minutes plus tard, Côme vous rejoint dans la pièce et tu le prends dans tes bras lorsqu'il vers toi. Son attention se perd dans l'observation de la cuisine jusqu'à ce qu'elle se focalise sur les nombreuses photos présentent sur le réfrigérateur. Ton petit bonhomme demande alors qui sont les deux petites filles qui se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Bien que tu détiennes la réponse, tu préfères laisser la jeune maman répondre. Tu observes ton fils qui hoche lentement la tête avant de sourire à Colombe. « Pourquoi elles s'appellent comme ça ? ». Un question toute simple et tu échanges un regard tendre et amusé avec la jolie maman. Néanmoins c'était une interrogation intéressante, un peu curieuse mais intéressante. Tu prends le verre de sirop destiné à ton petit bout pour le lui donner tout en veillant à ce qu'il n'en mette pas partout. Il ne dit mais sa bouille souriante est suffisant pour savoir que la saveur barbe à papa rejoindra bientôt l'un de vos placards dans la cuisine. Côme te donne le verre que tu poses sur le comptoir de la cuisine et regarde avec gourmandise les petits fours. Tu te permets d'en prendre pour lui en donner un et il s'empresse pour le manger. Il lève le pouce pour dire combien c'est bon, puis tu le déposes et il retourne dans le salon toujours en serrant son compagnon en peluche. « Comment on dit déjà, tel père tel fils ? ». Dis-tu en rigolant avant de te rapprocher de la jeune femme et de prendre un petit four à ton tour. Tu croques un morceau et le résultat est divin en bouche. Tu voles un baiser à Colombe que tu prolonges avant de reculer. « Je t'aide à réchauffer tout ça ? ». Lui dis-tu tout en désignant les plats à emportés d'un signe de tête. Oui il valait mieux se mettre à table.  
@Colombe Perol