Une soirée au bar, ce n'est pas nouveau pour moi et levi, on aime bien prendre une bière entre mec. Cette fois c'est People's Republik le bar, près du campus, il y a un moment que je n'y suis pas allé, alors je lui dis oui. Je l'attend, il es en retard, ce n'est pas dans ses habitudes, alors je m'occupe et je discute avec de jolie femme. Une Femme qui semble seul, je ne flirt pas vraiment, simple discution pour passer le temps, mais un homme visiblement pas content s'aproche de nous. Il ne veut pas que je lui parle, je lui dis qu'elle peux prendre ces propres décision, elle me fait un regard de lâcher l'affaire, mais non je ne suis pas d'accord. Je sans une tension dans la pièce, je remarque que la plupart des gens présent son habillé semblable, surment une gangs de rue. Je décide de caller la moitier de mon verre de bière, sans voir que quelqu'un avait mis un truc dedant. L'homme décide finalement de prendre de force le bras de sa blonde, je suppose et l'éloigner. Je réplique de la lâcher, ce n'est pas une façon de traiter une femme, on s'envois des insultes, on se pousse quand d'un coup, une bouteille de vitre me fracasse l'arrière de la tête. Je me touche pour voir si je saigne, oui, la rage au ventre je frappe celui qui ma lancé le coup , un autre s'accroche à mon cou, je me débat pour me libérer.

Jeudi soir, t’as donné rendez-vous à Blaine au People’s Republik. Ta meilleure amie t’a formellement interdit ce bar, mais comme t’es pas du genre obéissant, tu n’en fais qu’à ta tête. Qui plus est, t’as ce besoin viscéral de le revoir et tu sais qu’il s’agit du meilleur endroit où le trouver. Pourtant, t’as passé la soirée avec Kate et si t’es en retard, c’est uniquement parce que tu ne voulais plus la quitter. Une heure et demie passée à ta montre, ce n’est pas dans tes habitudes, encore moins lorsqu’il s’agit d’un rendez-vous amical. Tu entres dans ce bar et la première chose qui te frappe c’est  l’ambiance déjà bien installée. Ça sent la baston à plein nez, à croire qu’ils n'attendent plus que toi pour lancer les hostilités. Tu fais craquer tes jointures, prêt à aller à la guerre. Tu vis pour ce genre de délire, l’adrénaline que ça provoque chez toi, c’est tout bonnement indescriptible et il n’y a rien pour égaler ce feeling. Avant toute chose, tu cherches ton ami du regard pour voir dans quelle team il se trouve… mais le film qui défile sous tes yeux te glace le sang. Ton cœur s’arrête de battre, ta vision s’embrouille. Le sang pulse dans tes veines, tu vois rouge. La fureur martèle tes tempes, tu ne réponds plus de rien. Des éclats de verre partent dans tous les sens. Respiration haletante, mâchoire serrée, tu te précipites sans réfléchir. Visage de ta proie cadenassé dans ton esprit détraqué, tu attrapes le premier tabouret que tu trouves, traverse la foule tel un félin libéré de ses chaînes et vient lui asséner un coup violent par surprise. Tu ne ménage pas tes forces, la haine dans le tapis tu te jettes sur lui pour le ruer de coups. L’homme est dans les vapes, mais tu t’acharnes pour donner une chance à Blaine de se défaire de son agresseur. Ces mecs ne sont pas normaux. Pas de ceux que tu croises dans les bars en temps normal, mais il est trop tard pour reculer. Machine de guerre en marche, tu finis par abandonner l’épave pour venir aider ton ami, non sans te coltiner d’autres assaillants qui eux, ne ménagent pas pour te rendre tes coups.

Cette soirée qui semblais être comme d'habitude, ne ce passe pas comme prévue. Si l'homme n'aurait pas fait son jaloux inutilement, en plus de forcer une femme à le suivre sans qu'elle est un mot à dire, rien de tout ça serais arrivé. Ma mère ma bien élevé, on respect la femme, on la traite bien, pas de controle, pas de violence, mais là c'étais trop à mes yeux. Le voir lui aggriper le bras avec force ma sorti de mes gonds, ce n'étais pas de mes affaires mais ces une femme sans défance et je serais quoi moi si je resterais la à rien faire ? Pas mieu que lui, un faible pas de couille. Je lui hurle de lui làcher le bras, sinon ça va mal aller, ce qui arrive. On ce pousse, ce cris dessu, mais avant de lancer mon premier coup, une bouteille viens me cogner de plein fouet. Ma main en sang, je me retourne contre mon aggresseur et le frappe. Me dirigent encore plus vers lui, on m'aggripe par le cou il veut m'étrangler, mais je me défend comme je peux. Je vois levi débarquer comme une bête et défoncer le mec à la bouteille de verre. Ça me redonne un regain de force, je décide de m'accroupir, le lancer par devant et me gâroche pour le frapper de toute mes forces. Je vois noir, on touche pas une femme, encore moin sans prendre à moi ! J'ai la main en feu, les jointures en sang, il se débat, coup sur la yeule, dans les côtes, mais je le tiens, un bon coup sur le nez il semble être dans les vapes. J'allais continuer sur ma lancer quand un autre aggripe mon t-shirt, une vrai scène de bataile comme dans les films. Les points fusents de partout, le sang qui coule, verre qui se brise, tout tourne si vite.

Les petites bagarres de bar ça te connaît, mais cette fois, il ne s’agit pas d’un simple règlement de compte entre deux mecs trop saoul qui s’obstinent pour la prochaine bière. Il y deux clans bien distincts. Tu le devines grâce à leurs vêtements, aux emblèmes qu’ils portent, leurs tatouages. Dans quel merdier Blaine s’est encore mis les pieds? Tout va trop vite, tu parviens à te débarrasser d’un adversaire, deux autres prennent la relève. Tout ce que tu veux, c’est rejoindre ton pote qui semble être en très mauvais état. Tu ne comptes plus le nombre de coups que t’as donné, ni ceux que tu as reçus. Y’a ce petit goût de rouille qui empoisonne tes papilles, ce liquide couleur passion qui glisse le long de tes phalanges éclatées. T’as l’impression d’être un acteur dans un remake de Braveheart. T’as pas l’avantage d’être ivre pour engourdir le mal. Cette fois, tu subis à froid et ressent chaque coup gracieusement offert. Sommes toute, tu finis par rejoindre l’anglais, tes deux assaillants toujours collés au cul. ‘’ Bridgerton? ‘’ Tu observes ton ami s’échouer sur le sol, corps aussi désarticulé qu’une poupée de chiffon. Il a de l’écume à la bouche, signe qui ne trahit pas. Tu hurles son prénom, sans toutefois pouvoir t’agenouiller à son chevet, car on t’empoigne au niveau de la trachée. T’as du mal à respirer. T’es en état de panique parce que ton ami à besoin d’aide et qui a personne ici pour lui porter secours. Même la sécurité de ce bar semble défaillante. Si personne ne fait rien il risque de mourir. Tu cries à plein poumons une fois de plus, mais ton appel reste suspendu dans l’air lorsqu’une lame s’enfonce dans ton abdomen. Lippes ouvertes, l’air ne circule plus. La douleur est vive, le sang qui émane de la blessure se déverse abondamment. T’as toujours été trop naïf sur le sujet. À t’imaginer que tout le monde se bat à armes égales dans un petit bar de quartier… mais t’as tout faux. Cette même lame s’immisce entre tes côtes, puis t’entaille au niveau de la poitrine . Le gaillard qui te maintient est beaucoup trop fort pour que tu puisses te libérer de son emprise, mais une de tes mains finit par glisser hors de son contrôle pour stopper l’arme à temps. C’est l’intérieur de ta main qui se fait charcuter cette fois. Y’a rien que tu puisses faire. La douleur est indescriptible, et tu perds abondamment de sang. T’as l’impression que c’est la fin. Ton monde entier s’écroule, mais par je ne sais quel miracle, on fini par te lâcher. Les membres de gang désertent le bar à une vitesse folle, il ne reste plus que les curieux dispersés autour. T’as pas la force de voir ce qui se passe, que Jewell est là, qu’il fonce droit sur toi, tout ce qui te préoccupe, c’est ton ami. Tu te laisses tomber à son chevet. secouant son corps du peu de force qu’il te reste. ‘’ Appelez les secours putain ! ‘’ (si ce n'est pas déjà fait) Tu entames un massage cardiaque, parce que c’est la chose à faire et rapidement ton regard trouve celui du barman. ‘’ Envoie du naloxone espèce d'enfoiré ! ‘’ S’il n’a pas l’intention de bouger son cul, qu’il le lance au moins. Ce vaporisateur nasal est essentiel et chaque établissement qui se respecte se doit d’en posséder au cas où ce genre de situation devait se produire. C'est la panique et l'adrénaline qui te maintiennent debout, mais c'qui a, c’est que t'a plus de force, t'as atteint tes limites. Tu blêmis à vue d'œil, tu perds le nord et malheureusement, tu crains de ne pas pouvoir tenir jusqu’à l’arrivée des ambulanciers.

Tout vas si vite, je m'attendais à quelque pousse, coup de poing et ensuite on allait nous séparé mais non. Une bataille pointe le bout de son nez, vent orageux qui ne fais que s'accentuer, plus le temps passe. Je me libère d'un pour qu'un autre continue le boulot, l'adrénaline au plafond je tien le coup, il sera aussi amoché que moi je peux le garantir ! Mon sourcil en sang, ma lèvre inférieur éclaté, coupure au jointure, douleur ou non, je ne lâcherais pas, il ne gagnera pas ! Je suis dans un état ou je ne me reconnais plus, rage au ventre, j'ai envie de lui faire mal, très mal, qu'il souffre cette merde ! J'ai peur de moi même, peur de ce que je pourrais faire mais à ce moment précis quand je frappe de toute mes forces mon agresseur, je veux l'achever mais on m'en éloigne. Mon t-shirt qui deviens soudainement comme une deuxième peau, je l'attrape pour qu'il me lâche, je réussi avec un bruit de déchirure. Main à mon col, douleur poignante à la poitrine qui m'envahit, j'ai du mal à respirer, ma tête tourne, tout semble maintenant se passer au ralenti mais j'essais quand même de m'élancer pour le frapper au visage. Je le rate, venant m'échouer sur l'homme, il me pousse violement, mon crâne fracassant le côter d'une table pas encore démolie et le reste n'est plus que souvenir lointain comme mon nom dis à des kilomètres.  Mon corps ne vas pas bien, il y a quelque chose qui cloche, mon coeur ralentie je me sans comme si j'allais mourire. Je rentre en convulsion, écume au bord des lèvres, douleur qui me parcour, image qui me vienne à l'espris, dove, levi,  meleya, ma famille, tous ceux à qui je tiens, mais quesqui ma pris. Je dois rester fort, i need too fight, too survive ! I wont die tonight !  Ce n'est pas mon heure, je dois me réveiller de ce cauchemard noir, attaché, emprisonné d'une chaine de fer, j'ai besoin d'une clé pour m'en libérer.