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I LOVE HARVARD
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    paquet de mouchoirs et compagnie
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    Lien du postJeu 13 Mai - 20:25
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    le rôle qu'elle montrait aux autres êtres humains n'était rien en comparaison de l'image qu'elle ne voulait pas briser pour orson.
    elle avait vu en cet homme quelque chose à creuser, et plus étrange fut-il encore qu'elle appréciait même sa compagnie.
    elle avait toujours imaginé qu'elle pourrait s'enticher d'un homme comme kassim (et l'image mentale lui fit vomir, illusoire.)
    force était de constater qu'orson attisait des atomes en elle qu'elle ne soupçonnait pas,
    qu'elle ne voulait pas contrôler.
    après tout, ce n'était pas comme si elle tombait amoureuse.
    il y avait un jeu de séduction qui s'était installé,
    et même si son côté sapiophile avait tendance à voir en lui un esprit songeur et libéré qu'elle appréciait particulièrement.

    l'excuse avait été vaine et pitoyable.
    pour un paquet de mouchoirs... qui revenait sur ses pas pour le rendre ?
    simplement, dolly se sentait toute émoustillée en sa compagnie,
    et ça la surprenait grandement.
    s'étant quitté le matin même,
    elle n'eut pu s'empêcher de trouver un moyen de le revoir.
    bien vite, d'ailleurs.

    sa tenue différait des autres jours.
    dans un cadre non-protocolaire, elle s'était vêtu alors d'un habillage très différent.
    ses talons claquant au sol, elle se dirigeait vers une salle immense où des cours magistraux étaient donné, mais aucun élève n'était présent.
    elle cherchait alors le bureau du professeur orson morrow,
    et son nom apparut alors sur une petite plaque.

    trois petits coups contre la porte.
    monsieur morrow ? qu'elle demanda poliment.
    chastement.
    quand encore ce matin, sa tête était entre ses cuisses.

    @Orson Morrow
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    Lien du postVen 14 Mai - 19:20
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    Orson se massait la tempe, la nuit avait été courte et agitée, et il aurait donné père et mère pour se substituer de ses obligations ce jour-là. Surveiller les séances d’examens n’avait rien de palpitant, et si en temps normal l’exercice se révélait d’un ennui infini, la fatigue du professeur avait manqué de l’achever quelques fois. Le professeur jeta un œil à l’horloge accrochée à l’un des murs de se son bureau, il avait au moins trois heures à subir avant de pouvoir retourner cher lui. Trois coups sur la porte de son bureau le tirèrent de son ennui. « Entrez ! » dit-il en tournant la tête vers la porte.

    « Ah, Dolly » dit-il simplement, un sourire s’étirant sur le visage du musicien. Dire qu’Orson appréciait Dolly était un euphémisme ; il en était fou. Il se redressa alors, puis s’avança pour saisir délicatement les lèvres de la jeune femme. « Vous êtes magnifique » ajouta l’homme, content de la voir porter autre chose qu’un tailleur. « Vous voulez un café ? Je comptais m’en faire un » , parce que pour contrer la fatigue seul remède : la caféine.
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    Lien du postVen 14 Mai - 20:05
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    dolly venait de quitter au petit matin orson, dans cet hôtel divinement douillet où elle avait pu passer une nuit courte, mais revigorante.
    pas besoin de beaucoup dormir quand les plaisirs de la chair étaient assouvis aussi bonnement qu'avec un homme comme lui.
    la douceur qu'il prit à l'embrasser pour lui signifier un bonjour lui ravit le coeur et l'âme,
    en vérité, c'était parce qu'il avait réussi à saisir un peu des plumes rouges et volantes de dolly.
    par quel miracle ? elle n'en savait rien et pour l'instant, elle se protégeait de le savoir.

    merci bien... professeur. parce qu'il était dans son élément et que l'image même,
    de ce cliché de haute autorité,
    ça la rendait toute chose.
    en fait, avec lui, elle ne s'arrêterait jamais. elle pourrait vivre, orson entre ses cuisses,
    la vie lui paraitrait d'autant plus belle.

    elle prit place sur son bureau, les jambes ballantes dans le vide,
    en attendant que le café coule et qu'elle puisse se délecter du poison noir.

    votre matinée n'a pas été trop longue ?
    vous êtes partis rapidement, ce matin. je me suis rendormie juste après votre départ.


    elle s'était réveillée sans orson à ses côtés et sa chaleur lui avait manqué.
    elle observait tout autour d'elle chaque détail de ce bureau,
    beaucoup plus chaleureux que le sien.
    je n'imagine même pas le nombre d'élève qui doivent être amoureuses de vous.  

    @Orson Morrow
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    Lien du postVen 14 Mai - 21:34
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    Le bourdonnement de la cafetière fit trembler le meuble sur lequel elle se trouvait. Harvard, haut-lieu de l’intelligence mondiale et on était incapable de fournir du matériel silencieux à Orson. Il se tourna vers elle, l’observant quand elle prit place à son bureau. « Ma matinée a été un enfer. J’ai passé trois heures à surveiller les examens des étudiants. J’ai eu l’impression que quelqu’un là-bas aspirait mon âme » , parce que surveiller des élèves se résumait à ne rien faire, à part peut-être lire. Mais Orson avait passé une trop courte nuit pour espérer se perdre entre les lignes d’un bouquin. « Vous quitter ce matin a été un crève-cœur, j’aurai tout donné pour rester à vos côtés » , mais le musicien aimait son métier. L’enseignement était une véritable vocation, un devoir qu’il voulait mener à bien. Il tendit l’une des tasses de cafés vers son amante, avant de s’assoir à sa chaise de bureau. A la remarque de la rousse, il haussa les épaules, « Vous pensez ? vraiment ? » demanda-t-il. La question ne lui avait jamais traversé l’esprit. Orson mettait des barrières entre sa vie personnelle et son métier d’enseignant. Si un ou une élève avait eu des vues sur lui, il ne le savait pas. « Pourquoi ? Seriez-vous jalouse qu’une femme – plus jeune – ne fasse des avances à votre musicien préféré ? » ajouta l’homme un sourire aux coins des lèvres, joueur.
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    Lien du postVen 14 Mai - 21:53
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    l'idée même de devoir transmettre son savoir lui donnait de l'urticaire.
    pire, c'était les jeunes, qui lui donnait des bouffées de chaleur.
    pas d'enfants dans sa vie et jamais elle ne voudrait s'enticher et se condamner à devoir vivre avec un mioche braillant jour et nuit.
    elle avait tant à accomplir pour révolutionner le monde... mais lui, il était un homme bien,
    un homme du peuple, un homme décent qui rêvait de positivisme,
    ça se sentait dans sa façon d'agir, de bouger, de parler, même de respirer.
    il était de ceux qui gêneraient dolly dans sa conquête du monde,
    quand elle roulerait avec ses mécaniques pour tout détruire sur son passage.
    un pincement au coeur, elle l'appréciait plus qu'elle ne l'aurait cru.
    puis elle laissa s'échapper ce sentiment.
    je vous avoue que le lit était froid sans vous.
    glissant lentement sa langue entre ses lèvres,
    il la rendait nymphomane. elle avait déjà envie de lui.
    encore,
    toujours,
    tout le temps.

    bien sûr.
    si j'avais eu dix ans de moins, j'aurais été de ces élèves m'imaginer une histoire d'amour rocambolesque avec vous.
    c'est le fantasme des films et des livres, ça.
    une constatation purement et simplement,
    une réalité.

    elle jouait d'une mèche de ses cheveux en le regardant, la tête penchée sur le côté,
    il était divinement beau, ce garçon.
    puis se penchant en avant, laissant apparaitre son décolleté sous le nez d'orson, elle ajouta :
    c'est de moi qu'elles seront jalouses si elle nous voit ensemble.
    parce qu'on est incroyable beau, main dans la main.

    elle le pensait sincèrement.
    comme le roi et la reine des enfers.
    elle le verrait bien sur un trône à ses côtés.
    mais sa pureté l'empêcherait même de regarder en face ce qu'elle était capable de faire.

    la tasse de café entre les doigts, elle soufflait doucement le liquide marron avant d'y tremper ses lèvres.
    je vais allé à la salle de sport après.
    c'est bien, d'avoir un jour de congé en plein milieu de la semaine.

    elle lui enverrais peut-être une photo d'elle en tenue, histoire de le faire patienter.
    jusqu'à la prochaine fois.

    @Orson Morrow
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    Lien du postVen 14 Mai - 22:13
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    Il leva les yeux vers elle, l’observant. « Vous auriez eu dix ans de moins, nous n’en serions pas là » . Orson ne coucherait jamais avec l’une de ses élèves, c’était la ligne à ne pas franchir. De ce qu’il en savait, ce genre d’histoire finissait toujours avec des emmerdes, qu’elles viennent d’Harvard ou des proches des deux amants. « Mais heureusement que vous êtes vous et que toute cette histoire n’est pas qu’un fantasme … », parce qu’Orson aimait que tout cela soit réel, que cette alchimie entre eux ne sorte pas des neurones d’une étudiante en manque de sensation forte. Dans sa main droite, il fit tourner sa tasse pour tenter de faire refroidir son café. Le regard du professeur de musique se perdit dans le décolleté de la rousse. Si l’anatomie de la jeune femme n’avait plus de secrets pour lui, il restait émerveillé des charmes et atouts qu’elle possédait, des moyens qu’elle mettait en œuvre pour attirer dans ses filets une proie déjà bien acquise. « Vous faites du sport ? Vous êtes pourtant déjà bien sportive et endurante » commenta le professeur avec des sous-entendus dont la subtilité pourrait être saisie par un enfant. Orson n’a jamais été un grand sportif. S’il aimait le basket et les Chicago Bulls, il ne lui serait jamais venu à l’idée de se mettre à l’exercice. « Je vous envie. J’ai encore l’après-midi à tuer ici. J’aurai bien profité de ces heures pour vous emmener quelque part » .
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    Lien du postVen 14 Mai - 22:25
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    c'était une joueuse, dolly. elle amenait des cartes sur la table et c'était à orson de les réceptionner comme il le souhaitait.
    elle avait le don de faire prendre dans ses filets les proies qu'elle souhaitait,
    mais ce qu'il ne soupçonnait pas,
    et qui perturbait bien dolly dans ses réflexions,
    c'était qu'au final,
    c'était orson qui l'avait prise dans sa cage dorée.
    il avait réussi à faire d'elle une dépendante affective de ses sourires,
    de ses caresses,
    de ses traits d'esprits et de ses mains chaleureuses.
    elle qui n'avait juré que par son célibat endurci,
    et ses conquêtes masculines nombreuses, elle se voyait recommencer plusieurs fois le même acte,
    mais tout aussi différent avec le même homme.
    et elle s'était toujours fixé une règle : on ne recouche pas deux fois avec la même personne.
    orson était différent,
    parce qu'il était bien plus spirituel dans sa façon de faire l'amour que tous les hommes jamais connu,
    il y avait de la religion dans ses douceurs.

    elle leva les sourcils rapidement, dans un sourire amusé,
    justement. pour pouvoir être aussi endurante,
    il faut bien entretenir le corps.
    que dit le proverbe ? un esprit sain dans un corps sain.

    la sanité de dolly n'avait d'égal que ce qu'elle voulait bien mettre à pieds similaires ses violences,
    parce qu'au final, tout n'était qu'hémoglobine, quand elle s'endormait seule,
    rêvant d'une rixe joyeuse.
    êtes-vous obligé de rester ?
    ne pouvez-vous pas en profiter pour vous balader non loin,
    histoire d'être proche au cas où ?


    elle laissait le café choir sur ses lèvres avant de le récupérer sur sa langue,
    avidement.

    @Orson Morrow
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    Lien du postSam 15 Mai - 0:21
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    Orson but quelques gorgées de café, non sans quitter la jeune femme des yeux. Il prit le même sourire qu’elle pour lui répondre, « Dans ce cas allez autant de fois à la salle de sport que vous voulez Dolly » , il se rapproche un peu, joueur, « parce que la prochaine, nous mettrons cette endurance durement acquise à l’épreuve ». A ces mots, il s’enfonça dans son fauteuil, venant finir d’une traite sa tasse de caféine. Il se retint de bailler – pour ne pas infliger ce spectacle à son amante. « Si je peux. Et ça serait avec plaisir. J’ai besoin de prendre l’air » dit-il en acquiesçant. « Je suppose que faire visiter Harvard au personnel de la mairie fait de toute façon partie de mes fonctions » ajouta le professeur comme s’il venait d’avoir l’idée de génie, ravie de pouvoir se tirer de cette torpeur qui l’habitait depuis ce matin.

    L’homme se leva alors. Au même niveau que Dolly, il vint l’embrasser en maintenant le menton de la jeune femme avec sa main droite. « Dolly Mayfield, m’accorderez-vous cette balade ? » demanda-t-il amusé, avant de tendre son bras à la rousse, prête à l’emmener au bout du monde s’il le fallait.
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    Lien du postSam 15 Mai - 0:36
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    dans le cadre de son travail, elle aurait pu aller visiter harvard,
    mais elle n'avait pu y mettre un pied depuis longtemps étant donné la quantité de devoirs qui lui était incombé.
    se mettant sur la pointe des pieds, elle rendit alors le baiser à orson, comme un rituel,
    où les lèvres n'arrivaient plus à rester séparer longtemps les unes des autres,
    comme des aimants s'attirant constamment,
    elle glissait une main qu'elle déposa sur sa taille et elle appuyait alors sur la lippe d'orson,
    et en reculant, elle gloussait, et de son pouce, elle vint retirer la trace de rouge à lèvres qu'elle lui avait laissé.
    une marque d'appartenance peut-être ?
    parce que la jalousie de dolly n'avait d'égal que son tempérament.
    avec plaisir, orson.
    j'ai fais deux années à harvard il y a plusieurs années de cela,
    et je n'ai pas eu le temps d'y remettre les pieds depuis.


    en soi, elle avait même oublié une grande partie de son temps là-bas,
    ayant préféré vivre des soirées et des multitudes drogues proposées,
    son cerveau avait souffert d'amnésie.
    elle avait su effacer son parcourir grâce à la persévérance et le soutien des souls,
    et grimper dans l'échelle sociale à coup de coup bas et de coup de pute.

    auprès d'orson, c'était bien différent.
    elle se sentait même dans une sécurité charnière, aussi étrange soit-elle.
    depuis combien de temps êtes-vous professeur ?
    qu'elle s'intéresse réellement.
    et même elle, elle s'étonnait de cet intérêt qu'elle lui vouait,
    d'habitude peu encline à développer plus avec les hommes qu'elle avait entre ses griffes.
    lui, c'était des plumes qu'elle lui offrait.

    parlez-moi de vous.
    j'ai l'impression que nous savons communiquer autrement mais...
    qu'en est-il de votre cerveau ?
    les pieds flânaient à ses côtés dans les différents lieux d'harvard.
    avez-vous des frères et soeurs ?
    oh ! pire même ! êtes-vous marié ?!
    la question l'amusait, on ne sait jamais.


    @Orson Morrow
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    Lien du postSam 15 Mai - 1:01
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    Les couloirs d’Harvard étaient relativement vides en cette période de l’année. Bien sûr, il y avait toujours du passage, des professeurs de permanence, des élèves en pleines révisions, mais rien comparée à l’effervescence qui animait d’ordinaire les lieux. Orson œuvrait aux côtés de Dolly, « qu’avez-vous étudié ? Je suis sûr que nous aurions pu nous croiser … » . Il sourit à l’idée, se demandant ce que leur rencontre aurait pu donner. Auraient-ils vécu la même passion ? Le musicien emmenait sa muse dans divers endroits de l’école, privilégiant les lieux dignes d’intérêts à ceux moins importants. La salle des profs faisait partie des lieux qu’il lui montra. Une immense salle aux meubles ouvragés, haut lieu de savoir où chacun échangeait des anecdotes de prof lorsqu’ils n’étaient pas noyés dans le café. « Je ne suis pas vraiment professeur, je suis assistant professor. C’est globalement pareil, mais avec du salaire et des responsabilités en moins » ajouta l’homme en plaçant une main à la taille de la rousse, la guidant vers leur prochaine destination. Par moments, lorsque personne ne se trouva autour d’eux, en guise de provocation et de jeu, il laissa sa main descendre plus bas que nécessaire, effleurant le postérieur de la jeune femme.

    Aux alentours d’un des parcs de l’école, alors que l’air frais de Boston caressait enfin le visage d’Orson, ce dernier se tourna vers Dolly. « Je ne suis pas marié non, mais … » . Le cadre était parfait. Le soleil couvrait l’espace d’un voile lumineux et quelques oiseaux donnaient un concert à qui voudrait les entendre. C’était le moment idéal. Orson, sans quitter la jeune femme des yeux, se mit à genoux face à elle. Puis il fit son lacet avant de se relever. « Mais j’ai failli me marier. A Las Vegas, on a même réservé un faux Elvis pour l’occasion » . Il se mit à sourire avec nostalgie. Cette période de sa vie était un sacré bordel.
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