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Lien du postJeu 13 Mai - 16:30
★ ─ creatures of the night w/ @Horace Dawson |
bientôt la fin de la longue période de repos, t'es quasiment remis et maintenant ton attelle elle sert juste à t'empêcher de vider le lave-vaisselle et la machine à laver de l'appartement. oh bah non, pauvre kwang, il a qu'une patte de valide, on peut pas lui faire subir ça quand même. tu parles ... tu te retrouves quand même à ramasser les cheveux sous la douche, de qui, tu sais toujours pas, mais aussi les ongles qui ont loupé la poubelle par malheur. faut encore que tu vois les formalités, et aussi récupérer le chèque du mois dernier. t'as clairement aucune confiance en la boite aux lettres qui s'ouvre avec le petit doigt de la résidence, alors tu préfères te taper une petite balade nocturne au début de ton service habituel, enfin si t'étais à toi de te le taper, pour aller le chercher en main propre. tu vois déjà les belles voitures garées par loin, les rires qui s'entendent à des kilomètres et surtout le pauvre ted qui semble déjà en avoir marre de cette soirée, ah bah là c'est vip jusqu'au bout des ongles, les pires clients, mais ceux qui rapportent le plus aussi. silhouette qui file par la porte derrière pour éviter la foule et directement aller au bureau où t'attends le saint graal. tu toques, mais ça répond pas encore, juste la petite lumière rouge qui clignote au dessus de la porte pour indiquer que big boss est au téléphone ou que quelqu'un est déjà dedans. tant pis, t'as que ça à faire de toute façon, enfin non, t'as une machine à étendre aussi pour ton date de demain, t'as prévu tes plus beaux vêtements pour l'occasion. rêveur, tête en l'air, tu décides de négocier un petit verre au bar en te cachant dans les coulisses pour faire passer le temps, mais grande carrure et envergure d'épaules oblige, tu rentres de plein fouet dans quelqu'un. du moins un distributeur de paillettes ambulant vu ce que tu te ramasses sur la tronche. j'suis désolé, ça va ? tu t'empresses de demander alors que c'est toi le blessé dans l'histoire. tu crois que t'as avalé des confettis, ou alors c'est la tenue qui provoque ça, ou la chaleur, ou alors peut-être le shampoing aux agrumes qui t'envahit le nez. toi ? ici ? comme ça ? tu pointes du doigt les chaussures, puis les vêtements (si on peut appeler ça comme ça) puis la tête. horace, beau gosse de l'appartement, après toi, ici ?
Horace DawsonFire Starter
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Âge : 27
Lieu de naissance : Bristol
Quartier.s d'habitation & Colocation : nouvellement en coloc avec riley et sienna (little italy)
Situation sentimentale : emmêlé dans les draps.
Études & Métiers : vendeur dans une boutique de robes de mariée, escort au dionysos
Date d'inscription : 09/04/2021
Pseudo & pronom IRL : GLEEK! (Annabelle)
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Avatar utilisé : Timothée Chalamet
Crédits : killing boys (profil), ralhiel (avatar), astra (signa)
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HORACE DAWSON⌜ · character and all · ⌟
anglais de souche, né et élevé à Bristol, bostonien depuis cinq ans ● étudiant raté, en raison d’une dyslexie qui avorte tous ses rêves de longues études, et notamment d’Harvard ● hétérosexuel ● sa mère bosse dans une boutique de vêtements, et est une couturière talentueuse ● sa petite sœur et lui ont toujours servi de mannequins pour ses œuvres, ce qui a développé son sens de la mode, et particulièrement des couleurs ● son père s’est barré à la naissance de sa petite sœur ; musicien médiocre ● élevé dans un appartement miteux, rêve de réussite, et d’aider sa sœur et sa mère restées en angleterre ● ses yeux sont d’un mélange subtile de bleu, vert, marron et or, tout dépend ce qu’on veut y voir ● colore parfois ses ongles, ses paupières, enfile aussi bien des robes que des costards, la vie est un défilé chez les dawson ● danse, courre, gigote constamment ● son rire est contagieux et sonore ● profondément complexé par ses années redoublées, et son intellect qu’il juge limité - à tords ● pas foutu d’écrire sans mélanger les lettres, il est un dessinateur doué, particulièrement en portrait, et en âme ● a enchainé les boulots minables à boston, jusqu’à trouver une place comme homme de ménage dans la clinique rylon ● ses nuits sont occupées par le Sidh, où il fait office de gigolo, particulièrement pour quelques femmes riches plus âgées ● apprécie la compagnie de ces femmes, et se captive de leurs récits de vie – tout en se laissant entretenir ● délicat, et d’une bonté qu’on ne fait plus ● le cœur pur, et le corps abimé des aiguilles plantées, traçant des tatouages toujours plus présents sur la peau ● trop atypique, trop bruyant, trop féministe, trop coloré, trop petit et trop mince ; il se moque des rictus sur son passage, mais les entends encore parfois, la nuit tombée ● éternel optimiste, se mure dans un monde coloré qui n’existe que dans son esprit ● propose ses services gratuitement aux femmes coincées dans un squelette brisé, ou à l’esprit torturé ● solaire, le corps danse et la langue suit, la gorge gueule et le rire se déploie, ses rayons attirent facilement les plus abimés ● son amitié est multiple, généreuse et loyale ● impudique, le corps en œuvre d’art, exposée à ceux qui veulent s’y frotter ● dépense l’excès d’énergie dans tout et n’importe quoi, de la salle aux sports extrêmes ● maladroit, ses prestations sont tarifiées, si bien qu’il se perd quand elles ne le sont pas, et qu’il faut séduire sans billet ; peu doué dans l’art de déclarer ses intentions, et clairement conscient que ses activités ne sont pas compatibles avec une relation durable ● excessif et auto destructeur, sa consommation d’alcool, de drogues, de rêves loupés s’effondre ; s’il aime les autres, son ombre, beaucoup moins.⌜ · the end lala · ⌟
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HORACE DAWSON
anglais de souche, né et élevé à Bristol, bostonien depuis cinq ans ● étudiant raté, en raison d’une dyslexie qui avorte tous ses rêves de longues études, et notamment d’Harvard ● hétérosexuel ● sa mère bosse dans une boutique de vêtements, et est une couturière talentueuse ● sa petite sœur et lui ont toujours servi de mannequins pour ses œuvres, ce qui a développé son sens de la mode, et particulièrement des couleurs ● son père s’est barré à la naissance de sa petite sœur ; musicien médiocre ● élevé dans un appartement miteux, rêve de réussite, et d’aider sa sœur et sa mère restées en angleterre ● ses yeux sont d’un mélange subtile de bleu, vert, marron et or, tout dépend ce qu’on veut y voir ● colore parfois ses ongles, ses paupières, enfile aussi bien des robes que des costards, la vie est un défilé chez les dawson ● danse, courre, gigote constamment ● son rire est contagieux et sonore ● profondément complexé par ses années redoublées, et son intellect qu’il juge limité - à tords ● pas foutu d’écrire sans mélanger les lettres, il est un dessinateur doué, particulièrement en portrait, et en âme ● a enchainé les boulots minables à boston, jusqu’à trouver une place comme homme de ménage dans la clinique rylon ● ses nuits sont occupées par le Sidh, où il fait office de gigolo, particulièrement pour quelques femmes riches plus âgées ● apprécie la compagnie de ces femmes, et se captive de leurs récits de vie – tout en se laissant entretenir ● délicat, et d’une bonté qu’on ne fait plus ● le cœur pur, et le corps abimé des aiguilles plantées, traçant des tatouages toujours plus présents sur la peau ● trop atypique, trop bruyant, trop féministe, trop coloré, trop petit et trop mince ; il se moque des rictus sur son passage, mais les entends encore parfois, la nuit tombée ● éternel optimiste, se mure dans un monde coloré qui n’existe que dans son esprit ● propose ses services gratuitement aux femmes coincées dans un squelette brisé, ou à l’esprit torturé ● solaire, le corps danse et la langue suit, la gorge gueule et le rire se déploie, ses rayons attirent facilement les plus abimés ● son amitié est multiple, généreuse et loyale ● impudique, le corps en œuvre d’art, exposée à ceux qui veulent s’y frotter ● dépense l’excès d’énergie dans tout et n’importe quoi, de la salle aux sports extrêmes ● maladroit, ses prestations sont tarifiées, si bien qu’il se perd quand elles ne le sont pas, et qu’il faut séduire sans billet ; peu doué dans l’art de déclarer ses intentions, et clairement conscient que ses activités ne sont pas compatibles avec une relation durable ● excessif et auto destructeur, sa consommation d’alcool, de drogues, de rêves loupés s’effondre ; s’il aime les autres, son ombre, beaucoup moins.⌜ · the end lala · ⌟
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JUST WORDS...
Warning : prostitution, propos vulgaires, sexe, autodestruction (consommation abusive d'alcools et drogues en tout genre), relation toxique
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Lien du postJeu 13 Mai - 18:33
★ ─ creatures of the night w/ @Kwang Jue |
J’crois que sa vie est écrite pour être un bordel. Comme ce putain de robinet qui pète entre les mains, y a tout qui fuit dans tous les sens, et il faut s’agiter pour maintenir tout correctement. Le truc, c’est qu’il met jamais les mains où il faut, sauf quand c’est pour quelques soupires. Un talent comme un autre. Repéré par Lyra, dont l’amitié s’est construite en quelques conversations. Dresseuse de dragon contre chaton aux cheveux parfum citron/orange. La candeur dans la virgule tracée dans ses joues quand il enchaine les sourires et les rires. Ca marche, les riches clientes adorent. Alors, la tenue s’adapte. De toute façon, la garde-robe est colorée, pailletée, originale, d’ordinaire. C’est juste l’excuse idéale pour faire ressortir la silhouette, et l’ouverture d’esprit. Qu’on le repère au milieu des clients. La nuit tombée, et la peau masculine est déjà reluisante. Une cliente qui attendait dans le coin, qui trouvait que les bretelles, ça lui allait bien. Billets distribués, remis, et encaissés. Le corps réclame un remontant. Tête baissée, et Dawson qui arpent les coulisses, jusqu’à vouloir atteindre le bar. Qui s’prend une épaule à moitié dans la joue. Trainée d’huile pailletée pour le corps, transposée sur le tissu adverse. Faut dire que les cheveux en ont aussi pris pour leur grade. Faut que ça brille, faut que ça attire. Puis, Horace, il aime bien sa gueule quand elle sort du lot. Il aime moins quand c’est un coloc qui s’pointe, qui l’regarde, et qui doit bien noter que ça déconne. Bouche qui s’ouvre puis se ferme. « Ouaaaais.. » vite, une excuse, un truc. « ..j’venais te voir. » Pour justifier le « ici ». Même si, jusqu’à maintenant, j’savais pas que tu venais au Sidh. C’est pour les riches, tu sais ? Si on vit ensemble, dans ce truc, c’est qu’on l’est ni l’un, ni l’autre. « J’t’ai suivi une fois. » Paupières qui se plissent ; esprit bien conscient que l’excuse est catastrophique. Large sourire qui ne convainc personne. « Et pour la tenue, j’avais vraiment plus que ça à me mettre, tu sais.. avec les culottes de Bloom, les tee-shirts de Madi.. compliqué quoi. » Là, j’suis clairement persuasif, non ? Si ce n’est la serveuse qui s’pointe, qui interrompt le malaise d’un « Hor.. » Deux doigts qui se plaquent sur la bouche féminine pour couper le prénom en plein milieu, faire les gros yeux et la laisser continuer son chemin, en pleine incompréhension. « Tu.. tu connais ici ? » Célèbre méthode qui consiste à espérer que l’autre soit sincèrement idiot, ou sous stup, pour gober n’importe quoi. Un truc fort, de préférence.
enfant sauvage ☽ mon drame c'est mon ombre, une ombre profonde comme la nuit, qui gronde et ronronne quand je lui donne ma peur d'être seul, ma peur d'échouer. mon drame c'est mon ombre, qui grimpe et qui pousse le long de mon corps, comme du mauvais lierre ; elle, c'est le diable qui l'a cousue à mes pieds - c.luciani.
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Lien du postDim 16 Mai - 15:32
★ ─ creatures of the night w/ @Horace Dawson |
c'est pas toujours à ton goût ce qu'il porte, les chemises hyper colorées avec des fleurs ou des motifs que t'as pas encore réussi à identifier. ça puis le nombre de douches qu'il prend durant lesquelles on dirait qu'il se décape et la peau, et l'âme aussi. comment tu sais ? parce que t'attends à chaque fois, planté devant la porte à toquer pour savoir si tu peux juste te brosser les dents, ou avoir ta pince à épiler pour enlever l'écharde qui squatte ton doigt depuis que t'as voulu raboter la porte du placard pour éviter qu'elle grince à trois heure du matin quand quelqu'un ose se faire un encas. mais là, ça, l'ensemble, horace quoi, c'est inédit. et tu sais même pas quoi dire, tu veux dire quoi ? tu plisses les yeux à chaque fois qu'il ouvre sa bouche, regard qui passe au scanner le mètre quatre-vingt déguisé devant toi. seul bon point à en tirer actuellement en dépit des piètres qualités de menteur : il sent encore méga bon, et c'est grâce à toi. oua-- ouais.. ? ça se tient pas vraiment mais t'attends la chute, le moment où t'auras des réponses aux questions qui sont juste inscrites au marqueur vert fluo sur ton front. coup de grâce quand lily la serveuse passe et veut lui parler, mais non, elle a pas le temps la pauvrette. salut lily, bye lily. petit signe de la main dans l'attèle quand l'autre est trop occupée à vouloir se débarrasser des paillettes sur la chemise. tu comprends mieux pourquoi tu retrouvais toujours tes affaires avec ça collé dessus, t'avais accusé bloom de t'avoir joué un vilain tour. horace-- paume qui s'abat sur l'épaule avec le ton paternaliste qui va avec. shh. tu l'imites à venir poser ton doigt sur sa bouche en fermant les yeux pour retenir ton rire. respires, ton secret sera le mien. enfin tout le monde le savait que t'étais videur à l'appart, juste il avait du louper le moment où t'avais mentionné le sidh. enchanté, kwang, vingt-trois ans, videur au sidh. tu réitères la présentation des premiers jours en insistant sur la dernière info, on sait jamais si il l'oublie encore.
Horace DawsonFire Starter
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anglais de souche, né et élevé à Bristol, bostonien depuis cinq ans ● étudiant raté, en raison d’une dyslexie qui avorte tous ses rêves de longues études, et notamment d’Harvard ● hétérosexuel ● sa mère bosse dans une boutique de vêtements, et est une couturière talentueuse ● sa petite sœur et lui ont toujours servi de mannequins pour ses œuvres, ce qui a développé son sens de la mode, et particulièrement des couleurs ● son père s’est barré à la naissance de sa petite sœur ; musicien médiocre ● élevé dans un appartement miteux, rêve de réussite, et d’aider sa sœur et sa mère restées en angleterre ● ses yeux sont d’un mélange subtile de bleu, vert, marron et or, tout dépend ce qu’on veut y voir ● colore parfois ses ongles, ses paupières, enfile aussi bien des robes que des costards, la vie est un défilé chez les dawson ● danse, courre, gigote constamment ● son rire est contagieux et sonore ● profondément complexé par ses années redoublées, et son intellect qu’il juge limité - à tords ● pas foutu d’écrire sans mélanger les lettres, il est un dessinateur doué, particulièrement en portrait, et en âme ● a enchainé les boulots minables à boston, jusqu’à trouver une place comme homme de ménage dans la clinique rylon ● ses nuits sont occupées par le Sidh, où il fait office de gigolo, particulièrement pour quelques femmes riches plus âgées ● apprécie la compagnie de ces femmes, et se captive de leurs récits de vie – tout en se laissant entretenir ● délicat, et d’une bonté qu’on ne fait plus ● le cœur pur, et le corps abimé des aiguilles plantées, traçant des tatouages toujours plus présents sur la peau ● trop atypique, trop bruyant, trop féministe, trop coloré, trop petit et trop mince ; il se moque des rictus sur son passage, mais les entends encore parfois, la nuit tombée ● éternel optimiste, se mure dans un monde coloré qui n’existe que dans son esprit ● propose ses services gratuitement aux femmes coincées dans un squelette brisé, ou à l’esprit torturé ● solaire, le corps danse et la langue suit, la gorge gueule et le rire se déploie, ses rayons attirent facilement les plus abimés ● son amitié est multiple, généreuse et loyale ● impudique, le corps en œuvre d’art, exposée à ceux qui veulent s’y frotter ● dépense l’excès d’énergie dans tout et n’importe quoi, de la salle aux sports extrêmes ● maladroit, ses prestations sont tarifiées, si bien qu’il se perd quand elles ne le sont pas, et qu’il faut séduire sans billet ; peu doué dans l’art de déclarer ses intentions, et clairement conscient que ses activités ne sont pas compatibles avec une relation durable ● excessif et auto destructeur, sa consommation d’alcool, de drogues, de rêves loupés s’effondre ; s’il aime les autres, son ombre, beaucoup moins.⌜ · the end lala · ⌟
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HORACE DAWSON
anglais de souche, né et élevé à Bristol, bostonien depuis cinq ans ● étudiant raté, en raison d’une dyslexie qui avorte tous ses rêves de longues études, et notamment d’Harvard ● hétérosexuel ● sa mère bosse dans une boutique de vêtements, et est une couturière talentueuse ● sa petite sœur et lui ont toujours servi de mannequins pour ses œuvres, ce qui a développé son sens de la mode, et particulièrement des couleurs ● son père s’est barré à la naissance de sa petite sœur ; musicien médiocre ● élevé dans un appartement miteux, rêve de réussite, et d’aider sa sœur et sa mère restées en angleterre ● ses yeux sont d’un mélange subtile de bleu, vert, marron et or, tout dépend ce qu’on veut y voir ● colore parfois ses ongles, ses paupières, enfile aussi bien des robes que des costards, la vie est un défilé chez les dawson ● danse, courre, gigote constamment ● son rire est contagieux et sonore ● profondément complexé par ses années redoublées, et son intellect qu’il juge limité - à tords ● pas foutu d’écrire sans mélanger les lettres, il est un dessinateur doué, particulièrement en portrait, et en âme ● a enchainé les boulots minables à boston, jusqu’à trouver une place comme homme de ménage dans la clinique rylon ● ses nuits sont occupées par le Sidh, où il fait office de gigolo, particulièrement pour quelques femmes riches plus âgées ● apprécie la compagnie de ces femmes, et se captive de leurs récits de vie – tout en se laissant entretenir ● délicat, et d’une bonté qu’on ne fait plus ● le cœur pur, et le corps abimé des aiguilles plantées, traçant des tatouages toujours plus présents sur la peau ● trop atypique, trop bruyant, trop féministe, trop coloré, trop petit et trop mince ; il se moque des rictus sur son passage, mais les entends encore parfois, la nuit tombée ● éternel optimiste, se mure dans un monde coloré qui n’existe que dans son esprit ● propose ses services gratuitement aux femmes coincées dans un squelette brisé, ou à l’esprit torturé ● solaire, le corps danse et la langue suit, la gorge gueule et le rire se déploie, ses rayons attirent facilement les plus abimés ● son amitié est multiple, généreuse et loyale ● impudique, le corps en œuvre d’art, exposée à ceux qui veulent s’y frotter ● dépense l’excès d’énergie dans tout et n’importe quoi, de la salle aux sports extrêmes ● maladroit, ses prestations sont tarifiées, si bien qu’il se perd quand elles ne le sont pas, et qu’il faut séduire sans billet ; peu doué dans l’art de déclarer ses intentions, et clairement conscient que ses activités ne sont pas compatibles avec une relation durable ● excessif et auto destructeur, sa consommation d’alcool, de drogues, de rêves loupés s’effondre ; s’il aime les autres, son ombre, beaucoup moins.⌜ · the end lala · ⌟
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Lien du postSam 29 Mai - 18:40
★ ─ creatures of the night w/ @Kwang Jue |
Et, ils se passent le mot. Déjà que l’homme est mauvais menteur, mais en plus, ils en rajoutent une couche. Lily, le destin, le hasard, je sais pas trop quoi, en tout cas ils se tiennent par la main, et libèrent un index pour viser la paillette vivante. Ca clignote de partout, et même si c’est compliqué de regarder sur son propre front, il peut sentir que se gravent certaines lettres. Les répliques ridicules, risibles, qui galèrent à expliquer 1/sa présence, 2/son accoutrement. Une manière de gagner du temps. Freiner à peine, tout en sachant que l’issue est ce joli ravin. Ou, cette main qui se pose sur l’épaule. Père qu’on a jamais eu -ou trop peu, qui prend des traits qu’on aurait pas soupçonné. Regard vers les doigts masculins, puis sur Il. Louche à moitié quand c’est ce doigt solo qui s’avance, voudrait bien reculer, mais à quoi bon ? Hésite à mordre même. Le rire d’en face est mal dissimulé, si bien qu’il arrive presque à se répercuter sur l’idiot à l’air interdit. « Mon secret.. ? » Parle avec l’index encore sur la bouche. C’est spé. « .. quoi comme secret ? » Sait-on jamais, qu’il ait compris de travers. Cette capacité merveilleuse de voir la lumière, même un rayon, dans l’orage le plus noir. Mais, ce rayon-là, se fait rapidement couper la chique quand il s’énonce. Si le secret l’est encore, il ne le sera plus longtemps. Collègue. Le dernier mot s’était barré lors de la première présentation. Il est désormais bien présent. Trop, peut-être. Déglutis. « Horace.. » Raclement de gorge. « vingt six ans et.. » Billes qui roulent dans les orbites. « .. j’en ai pas honte hein, c’est juste que j’évite de le gueuler partout où je vais ». C’est juste pas le premier truc qu’on dit. « Quasi personne n’est au courant, j’aimerais que ça reste comme ça. Surtout à la coloc. » Aucune envie qu’on me regarde plus bizarrement que ça l’est déjà. « Bref, gigolo. » Lèvres qui tracent un sourire. « Sache que ça m’aurait arrangé que t’ai choisis un autre bar où.. faire les gros bras. » Ouais, j’suis bien entrain de te palper le biceps. Pour imager.
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