Alors que la sonnerie se fit entendre sur le campus d’Harvard, Clémentine qui avait les yeux rivés sur son écran de téléphone depuis déjà de longues minutes se lève en trombe pour attraper son sac et attraper son ordinateur portable qu’elle venait de claquer et serrer contre elle en se mettant en marche jusqu’au parking de la medical school où se trouvait sa voiture. Assez souvent, l’américaine désertait son propre logement pour passer la nuit chez quelqu’un quand ce n’était pas cette dite personne qui venait chez elle et il avait été convenu que ce soit Clémentine allait pouvoir squatter les draps de Jaxson ce qui la mettait de suite de bonne humeur. Sourire en coin de lèvres alors qu’elle roule jusque chez elle, elle finit par monter rapidement chez elle pour faire un sac et emporter quelques affaires pour la nuit. Elle n’était pas du genre à laisser ses affaires de toilettes chez les garçons qu’elle fréquentait donc ce n’est pas chez eux qu’on trouvera sa brosse à dents ou alors ses brosses à cheveux. Une fois que le petit sac fut terminé, elle regarde une dernière fois son appartement pour s’assurer de ne rien oublier avant de fermer à clé.

Il ne lui avait pas vraiment fallut pas bien longtemps pour arriver devant l’immeuble du garçon et une fois à son étage, elle se met à tambouriner à sa porte avant de l’entendre lever la voix depuis une pièce lointaine, l’autorisant à entrer. Polie, elle retire ses chaussures à l’entrée avant de se diriger vers la chambre du garçon qui lui, se trouvait à moitié allongé sur ce dernier. Jetant son sac au sol, la petite brune finit par se jeter sur le lit telle une enfant ravie, chevauchant le grand blond, penchant sa tête sur le côté avec une petit sourire adorable en coin. — avoue que je t’ai grave manqué ! Qu’elle lui demande en quelque sorte avant de venir poser un baiser rapidement contre ses lippes. Les deux se voyaient en tant qu’amis mais il est vrai que la friendzone avait été dépassé à de nombreux moment et qu’une alchimie s’était installée entre eux. et la voilà à finalement s’allonger à côté de lui, la tête posée sur son torse, le regard toujours tourné vers lui. — t’as fait quoi aujourd’hui ? T’es resté ici ?