Enervée contre Jessie ? Peut-être un peu. Pourtant pacifiste en général, faut croire qu'elle prenait la mouche trop facilement en ce moment. Mais depuis qu'elle avait annoncée à Jessie qu'elle ne venait pas à Coachella avec lui, elle avait l'impression qu'une ambiance plutôt tendu s'instaurait entre eux. Il lui avait bien fait comprendre qu'il aurait apprécié qu'elle soit là tout comme il lui a fait comprendre qu'elle se plantait totalement en étant toujours avec Gustin. Evidemment, elle avait contre-dit chacun de ses mots, mais elle avait écoutée et réfléchis. Elle était surtout rentrée dans une bulle sombre d'indécision, incapable de faire le bon choix. Elle préférait maintenant voir les choses au jour le jour, c'était mieux pour son morale. Dernière soirée ou même dernières heures avant que Jessie ne rentre, Orphéa profitait de la tranquillité de la maison pour se faire couler un bain moussant. Depuis qu'elle avait la salle de bain seule, elle en profitait et c'était un bon moyen de voyager sur son petit nuage loin des problèmes. Laissant les portes déverrouillés, ses AirPods dans les oreilles et les yeux fermés, elle profitait simplement de ce moment apaisant. @Jessie Grimaldi

Long séjour qui n'en finissait plus. Qu'une hâte : rentrer à la maison. Avion qui atterri, taxi qui m'emmène jusqu'au restaurant choisi par Nathaniel. Repas pris, conversation engagée. Parler de tout mais surtout de rien. Mais une seule pensée dans la tête : te retrouver. Alors repas écourté, prétextant de la fatigue, prétextant des révisions tôt demain matin, tout ça pour te rejoindre la tête pleine d'histoire, le nez dans les bouquins, demain matin. Alors taxi repris, direction la maison. Je dépose mes affaires dans ma chambre, sortant uniquement le nécessaire pour me doucher. Pas de bruit, la maison dort. Il est tard. Cataleya bosse probablement encore. Mingi rentre demain. Cleo doit travailler et Eva est avec Roméo. Tu es probablement la seule dans la maison, probablement assoupie pour être en forme demain. Le silence règne, presque glacial alors j'attrape la serviette et ouvre la porte de la salle de bain. Lumière qui aveugle mais yeux capturés par ta peau nue dans la baignoire. Corps crispé, tu ne m'avais pas entendu rentrer. Je fais quoi là ? Alors je me retourne, les yeux fuyant le miroir, totalement paralysé. Je devrais partir de la salle de bain mais mes jambes refusent d'obéir. Je voulais éviter cette conversation Orphéa. Celle où tu me demanderais d'expier mes secrets. Celui que je refusais de te dévoiler pour ne pas t'inquiéter. Parce que depuis Coachella, depuis le Spring Break avant ça, quelque chose avait changé... Peut-être parce que je ne supportais pas de te voir souffrir silencieusement, inconsciemment. Parce que je t'avais retrouvé et que je refusais de te lâcher... @Orphéa Wertheimer

Cette semaine a bizarrement était longue pour blondie. Peut-être qu'elle a passée trop de temps face à ses bouquins en regrettant de ne pas être à Coachella. Elle essayait de ne pas avoir de regrets, mais ce n'est pas simple lorsque ça vous tient à coeur. Elle avait décidée de vivre en colocation pour ne pas ressentir la solitude et toujours bien être entourée. Cette semaine est aussi longue parce que c'est bien la première fois qu'elle voit cette colocation aussi vide. D'habitude elle fait partie de ceux qui voyagent et qui s'amusent, mais cette semaine, elle faisait partie de ceux qui sont restés à la maison. Bizarrement encore réveillée à cette heure, faut croire qu'elle était bien trop embrumée par ses inquiétudes pour réussir à dormir. Un bain moussant n'était peut-être pas la solution à tout, mais ça allait lui permettre de se détendre. Elle savait que tôt ou tard Jessie finirait par rentrer et qu'il le veuille ou non, elle avait besoin d'explications. Elle pouvait comprendre qu'il ne lui dise pas tout et qu'il puisse avoir son propre jardin secret, mais elle avait l'impression de rater quelque chose de gros. Mais tout ça arrivera demain, pour l'instant, elle se détend. Ouvrant un instant un oeil, elle sursautait en découvrant son meilleur ami planté face à elle, se redressant elle ramenait de la mousse vers elle pour cacher sa poitrine apparente. Situation gênante ? Totalement. Qu'est c'que tu fais ici ?! Wertheimer n'avait clairement pas vu l'heure et elle devait être là depuis un moment, ne se doutant sûrement pas qu'il était aussi tard. Me regarde pas comme ça, tournes toi ! Dit-elle alors qu'elle posait ses mains sur son visage rosées envahie par la honte. Elle était hyper pudique la miss et elle ne s'attendait pas qu'il découvre un jour son corps. @Jessie Grimaldi

J'étais enfin à la maison. Et je peux vous dire que ça fait du bien d'être chez soi. Le bruit, la foule, je ne pouvais plus y rester, et encore moins quand tout les films que je m'étais tourné te comprenaient dans le paysage. Les plans avaient changés, radicalement, passant du tout au tout, d'un voyage entre amis à un voyage en solo. Tant pis, pour une prochaine fois je l'espère. Mais je suis rentré. Baskets lancées près du mur du hall, je monte ma valise, trop pressé de prendre un douche tiède et d'aller dormir pour me réveiller tôt demain. Pour toi et pour mes révisions. Valise éventrée, serviette sortie et ajustée à la taille, boxer comme unique habit sous le tissus éponge, j'étais prêt et paré pour la salle de bain. Pas un bruit, porte déverrouillée, j'entre sans frapper, pensant que t'étais en train de dormir, étudiante trop studieuse. Sauf que t'étais là, dans la baignoire, nue. M'attendais-tu ? je sais pas ! je sais pas ! la porte était pas fermée je pensais que tu dormais je voulais prendre une douche après le vol et le restau bondé moi ! te lançais en me retournant. Olala, la honte. Si y avait bien une chose que je ne voulais pas qu'il m'arrive dans cette coloc, c'était bien ça ... J'en avais toujours eu peur et j'espérais que cela ne m'arrive jamais. Mais ne jamais dire jamais ! Putain, je suis à poil en plus Enfin, tu es un poil moins à poil qu'Orphéa tout de même mon cher Jessie mais bon, tout est relatif. Qu'est-ce que tu fous à une heure pareil encore dans la baignoire et les portes grandes ouvertes ? te lançais-je dos contre toi, ne voyant ni tes gestes ni la beauté de ton visage cristallin, angélique.

Cela faisait bien trop longtemps qu'elle chauffait sous les bulles et la mousse, elle s'était tellement détendue qu'elle avait certainement manquée de s'endormir plusieurs fois. C'est pas bon pour toi de te coucher aussi tard Orphéa, t'as pas l'habitude. Ses yeux ouvert, un Jessie apeuré face à elle et son coeur battant par la panique et la honte. Elle lui demandait ce qu'il faisait là, mais c'était elle qui n'avait rien à faire ici. Quelle idiote, il lui avait bien dit qu'il rentrait le soir. Elle avait imaginée une seule fois se retrouver dans une pièce en pleine nudité avec Jessie, lorsqu'elle s'était retrouvée dans ses bras ivre au cimetière. Mais depuis, elle avait essayée d'effacer cette sombre image de ses pensées. Elle n'imaginait pas que cela arriverait sans inadvertance. Lorsqu'il se retournait, elle était toujours rouge de honte, maintenant l'image de son corps était ancré dans ses pensées. C'est pas de sa faute à blondie, c'est seulement le deuxième corps masculin qu'elle découvre dans sa vie. Ok, bouges pas, j'vais sortir. Dit-elle alors se redressa pour sortir du bain et passer une serviette sur son corps. Elle était tellement dans la panique qu'elle manquait de glisser avec ses pieds encore mouillées. Je suis désolée..J'arrivais pas à dormir du coup j'ai voulu me détendre avec un bain, je pensais pas qu'il était si tard. Dit-elle en passant sa main sur son front, bravo Orphéa. Tu peux te retourner.. Dit-elle alors qu'elle mordait le coin de sa lèvre, il fallait bien qu'elle voit le visage de son meilleur ami qui lui avait manqué non ? @Jessie Grimaldi

Depuis combien de temps étais-tu là ? Venais-tu de rentrer dans l'eau ou cela faisait-il déjà un moment ? Je m'étais vite retourné et si j'avais bien observé, j'aurais pu avoir la réponse à cette deuxième question, en voyant le peu de mousse, comme évaporée par les minutes. Mais la question La plus importante fut la dernière. Que faisais-tu debout à une heure aussi tardive. Surtout toi Orphéa. Toi tu es le papillon du matin, celui qui se lève avec le soleil et moi, je suis l'oiseau de nuit qui fini le travail à 2h du matin, après avoir nettoyé chaque table et chaise du SunRock. Mais il n'était pas si tard. 23h tout au plus. Je t'avais vu nue. Et je n'aurais jamais penser, à ce jour en tout cas, te voir ainsi. C'était le risque je suppose. Tu es belle Orphéa, et même si j'aimerais oublier instantanément cette mésaventure, je sais que cela prendra du temps parce que je te côtoie, chaque jour de ma vie -ou presque. Mais nous voilà, tout deux, sensiblement dans la même tenu. Les quelques cicatrices sur mon corps avait été mon secret. A ton avis, pourquoi je ne porte que rarement certains habits qui laisse trop entrevoir ma peau blessé ? T'en sais rien. Parce que tu l'as peut-être jamais remarqué. Alors, à ce moment, tu pouvais observer mon dos, muscles qui s'étaient doucement dessinés au cours des années et du foot. Et j'attendais ton signal pour me retourner. J'entendais alors l'eau du bain prendre vie. J'entends ton inspiration. "Tombes pas ! Fais attention orphéa ..." Tu me donnas une explication, répondant alors à l'une de mes questions. Il était tard Orphéa ... Pour toi en tout cas, il était tard. A cette heure, tu t'endors si tu n'es pas déjà endormie. "Tu es sûre ? Je peux me retourner ?" demandais-je avant de m'exécuter. Mes yeux vers le sol, je les remontais progressivement. Et je vis le corps de ma meilleure amie, enroulé dans une serviette. Tu es belle Orphéa. Le temps, celui du sablier, t'avais donné la grâce, l'éclat et la douceur des anges. Tu es belle Orphéa. Mais surtout, tu m'a manqué. Et les yeux humidifiés par une raison inconnue, je t'observais en silence, attendant de savoir ce que tu voulais de moi, les mains cachant les fins éclats de cicatrice sur mon torse.

Pourquoi le destin est-il si doué pour inventer ce genre de situation gênante ? Leur relation battant de l'aile en ce moment, ils avaient besoin de se parler et non de découvrir un peu plus d'intimité chez chacun. Elle avait beau fermer les yeux, la seule image qui y restait était la carrure de son torse et maintenant celle de ses omoplates marqués par le sport et les entrainements qu'il avait dû faire. Elle découvrait aujourd'hui que Jessie n'était pas celui qu'elle côtoyait lorsqu'elle était jeune, il était maintenant un homme. Le genre d'homme qui l'a faisait sourire ou rougir. Mais surtout le genre d'homme qui pouvait la mettre mal à l'aise dans ce genre de situation. Ils étaient les meilleurs amis du monde et si une ambiguïté plus qu'étrange s'instaurait entre eux, ça allait tout simplement tout détruire et elle ne voulait pas ça. Sortant du bain et se couvrant rapidement d'une serviette, un petit cris de surprise s'échappa lorsqu'elle manquait de glisser. Gardes ton calme et te casses pas la tête contre la baignoire Wertheimer. Désolée.. Dit-elle d'un soupire alors qu'elle lui indiquait qu'il pouvait se retourner. Un sourire sincère arbora ses lèvres lorsqu'elle voyait son visage et ses yeux bleus se mêlés au sien. Il suffisait qu'elle le retrouve après cette absence pour sourire. Elle essayait de garder ses yeux dans les siens et ne pas regarder ailleurs. Mais elle était intriguée de voir des cicatrices se révéler. Fronçant ses sourcils, elle comprenait que cela faisait certainement partie des choses qu'il lui cachait. Remarquant ses yeux humidifiés, cela confirmait qu'ils avaient réellement besoin de parler tous les deux. Comme un besoin de sincérité et de remettre les choses à plat. Tu sais quoi ? Je te laisse prendre ta douche et tu me rejoins dans ma chambre après ? Dit-elle d'un simple de sourire alors qu'elle déposait un baiser contre sa joue pour finalement rejoindre sa chambre et fermer la porte de la salle de bain derrière elle. Un souffle s'échappant d'entre ses lèvres, elle aimerait que son coeur se calme et retrouve un rythme normal. Rapidement elle s'essuyait et enfilait son haut et bas de pyjama, s'installant dans son lit et laissant pour seul lumière celle posée sur la table de chevet. Elle l'attendait, son sommeil ne l'atteignant pas tant qu'elle n'aura pas pris le temps de parler avec lui. @Jessie Grimaldi

Pourquoi le destin est-il si doué pour inventer ce genre de situation gênante ? Pourquoi cela n'arrivait que maintenant, alors que nous nous étions disputés ? Pourquoi , pourquoi, pourquoi ... Encore des questions, encore des interrogations, trop nombreuses dans ma tête. Mais je savais qu'il n'y en avait qu'une dans la tienne. Etait-ce une question ou un ordre que de me demander mon secret ? Mais pas maintenant, je dois vraiment me doucher. J'avais redouté ce moment, l'avais repoussé autant que possible et avais espéré avoir encore quelques heures, une nuit de plus pour réfléchir à comment te l'avouer. Mais Dieu en avait voulu autrement, parce que Dieu ne supportait plus les mensonges et la dissimulation et c'est ce que j'avais fait depuis plusieurs mois déjà. "D'accord." lançais-je en rebaissant les yeux, comme un enfant fâché. Tes lèvres sur ma joue me faisait rougir, comme le gosse timide que je suis en ta présence, parce qu'il n'y a qu'avec toi que je suis apaisé, il n'y a qu'avec toi que je suis calme et il n'y a que toi que je veuille protéger. En entendant le loquet de la porte de ta chambre, celle donnant sur la salle de bain, je me déshabillais. La serviette sur le radiateur, le boxer à terre. J'entrais dans la douche chaude. Plusieurs longues minutes qui s'écoulaient pour repousser ce moment où je devais te parler. Mais une fois propre et ennuyé par le compte goutte, je me devais de sortir pour m'habiller. Un bas de pyjama et un t-shirt enfilé et je toque à la porte de ta chambre, celle donnant sur le couloir. "Je peux entrer ?" lançais-je à travers le bout de bois, les cheveux encore un peu mouillé.

Spoiler:

Orphéa aimerait réellement oublier ce moment. Mais non, elle savait que cet instant restera ancré dans ses souvenirs pendant longtemps. Ce genre de situation absurde qui n'aurait certainement jamais dû arriver, mais qui les aident à se retrouver ce soir. Peut-être qu'il était trop tard et qu'il était mieux de laisser le temps passer pour mieux se retrouver. A présent hantée par les cicatrices qu'elle venait de voir, il est difficile de s'endormir sereinement sans pouvoir lui parler. Peut-être qu'elle n'était pas une bonne meilleure amie en se montrant aussi insistante envers la vérité. Mais si elle ne connaissait pas ses problèmes, comment pouvait-elle l'aider ? Un sentiment d'inutilité qu'elle n'appréciait pas, aider ses proches était comme un devoir pour elle. Un baiser déposé contre sa joue, elle s'était envolée jusque sa chambre pour retrouver la douceur de ses draps. Fixant les plusieurs affiches qu'elle avait dans sa chambre, c'était certainement la première fois qu'elle appréhendait une discussion avec Jessie. C'était si simple d'habitude, mais ses secrets et la révélation de son corps nue n'aidait pas vraiment. Relevant le regard sur la porte lorsqu'elle entendait sa voix, elle affichait un petit sourire. Oui, entres ! Dit-elle alors qu'elle tapotait doucement la place à côté d'elle lorsqu'il ouvrait la porte et qu'il l'a laissait découvrir son minois. Tu t'installes ? Dit-elle en ne perdant pas son sourire. La gêne était à présent mise de côté maintenant qu'ils avaient tous les deux retrouvés des vêtements, alors oui elle souriait parce qu'elle était heueurese de le revoir. J'sais qu'on devait se voir demain.. Si t'es fatigué tu me dis hein, mais tu m'as manqué et je suis contente de te voir. @Jessie Grimaldi

spoiler:

La poignée qui s'abaisse, et mon corps qui pénètre ta chambre aux tons pastels. Mes yeux plongés dans les tiens, les mains le long du corps, légèrement en arrière, j'avançais doucement en ta direction. Ta main qui tapotait les draps sur le matelas, un sourire réconfortant sur tes lèvres. La peur au ventre, j'avançais doucement, me mordillant l'intérieur des joues par réflexe et appréhension. Je déposais mon enveloppe charnelle sur ton lit sans te quitter des lieux. Une petite moue inquiète ne pouvait se détacher de mes traits à tes mots. "Orphéa ... Tu m'as manqué aussi ..." Mais je ne pouvais que penser à ce que tu allais me demander. "Tu veux savoir quelle partie de l'histoire ?" La partie juste post-rupture ou tout ce qui vient après jusqu'à aujourd'hui, toutes les conneries que j'ai pu faire ou seulement celles dont tu as vu les conséquences gravées sur ma peau ? "J'ai merdé sur toute la ligne Orphy ..." Je m'étais allongé sur le dos, juste pour ne plus croiser ton regard, pour ne pas que tu me juges plus que ça mais surtout, parce que j'ai honte de moi. Peut-être qu'il me manquait une Orphéa dans ma vie ces dernières années et peut-être que c'était la raison pour laquelle j'avais déraillé... "Quand ... J'ai quitté Aly ... -quelle connerie- j'ai commencé à faire n'importe quoi ... Je sais même pas pourquoi j'ai fait tout ça, j'ai commencé à boire, à fumer, à sortir faire n'importe quoi, à coucher avec n'importe qui ... J'ai honte putain. Et ... disons qu'un jour, je sais pas pourquoi, j'suis sortie dans un bar avec une ... amie ... et disons que ... J'avais bu et j'ai pris le volant pour la ramener chez elle..." Les mains sur les yeux pour cacher mes larmes, eau salée qui piquait mes iris. J'avais plus que honte. Pourquoi j'avais fait ça ? Pourquoi j'étais parti en live complet ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ... Qu'est-ce qui m'avait pris ? J'étais un si gentil garçon et j'étais juste devenu un sale con. Le Rocher avait étouffé trop d'histoires mais celle là avait été la plus grosse erreur de ma vie. Mais le pire, c'est que chaque jour j'y pense, comme une obsession, chaque jour je repense à ce soir là. Mais t'étais pas là Orphéa... Alors j'étais seul et j'avais fait n'importe quoi.
@Orphéa Wertheimer