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I LOVE HARVARD
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  • Cursed lovers #Aaros
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    Lien du postMer 14 Avr - 13:22
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    La catin de l'ombre

    30.04 - 21h00

    Rendez-vous donné. J'avais eu le temps de digérer. Enfin, c'est ce que je pensais. Je le vois à peine et à mesure que je me rapproche, tout se brouille. Propos de Lukas. Propos du père. Sa lettre. Tout remonte. Et la seule manière où je m’exprime parfaitement : la violence. Main droite qui se referme et poing qui s’abat sur sa joue quand je suis à sa hauteur. J’enchaîne en le poussant avec mes deux paumes sur son torse. Les perles salées déjà présentes. Haine. Peine. Amour. J’ai mal au crane. Putain, faites reset de mon cerveau, j’ai trop mal. Tu m’as abandonné. Je le pense encore. Je te hais. Souffle qui perd sa sagesse. Tu n’avais pas le droit. Je crache au sol. Voila ce que j’en fais de la lettre. Un molard. Ou précieusement pliée dans un coffre. T’as aucune couille. Rien dans le ventre. Et t’oses m’aimer. Tu .. J’en tremble. Douleur dans la poitrine. Comme un coup de poignard. Tu ne m’as même pas laissé de réfléchir... De savoir comment agir ... Comment te protéger. Je lui gueule dessus. Le monde entier pouvait m'entendre. J'en avais foutrement, rien à foutre. Visage ravagé par le chagrin. Dévoré par la haine. Je fais les cent, tournant autour de lui. Et ces trois jours. Me faire parler. Pourquoi ? Fuir ? Je passe une main dans ma tignasse, tirant dessus. La douleur allait s’évaporer par là ? Pourquoi tu me fais ca Eros ? Je ... Je recule. Je titube. Je comptais pas finalement. Tu voulais te faire baiser. C’est réussit et tu m’as enc*lé. J’espère que tu as bien profiter. Plus jamais. Mensonge. Même la, tout de suite, c’était sous ses hanches que je voudrais être.
    (c) AMIANTE



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    Lien du postMer 14 Avr - 14:33
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    Je ne pensais pas qu’une douleur pouvait être aussi grande, aussi vives, aussi puissante, je pensais que j’avais assez souffert pour toute une vie, la prison, la perpétuité, la lame qui coupe ma chair, ce n’était rien, que dalle à côté de ses dernières semaines. Je savais que j’allais avoir mal, je savais que j’allais en chier, mais à ce point-là je n’en avais pas conscience, vraiment pas. Je ne dormais pas ou très peu et même la présence de Nate, ses bras ne suffisais pas à me calmer, je gardais mes larmes les soirs où il acceptait de venir dans mon lit, mais les autres nuits, les larmes coulaient sans contrôle, y’en avais toujours plus, toujours plus douloureuse des poignards qui glissait le long de mes joues et venait un peu plus ouvrir la plaie dans mon cœur. Une connerie, une putain de connerie voilà ce que j’avais fait. Ces derniers jours, mon p’tit coloc faisait aussi peur à voir que moi, je tentais de happer sa douleur, soulager la sienne pour oublier la mienne, on avait la même souffrance, la même perte, la même déchirure dans le cœur. Y’a rien qui pouvait me soulager, rien qui pouvait me guérir, rien à part lui. Je l’attends je suis là, j’en tremble de le revoir, de me dire que c’est l’un ou l’autre, comme si de rien était, on reste amis ou tout part en couille et c’est la dernière fois que je le vois. Il s’approche et je le vois se tendre, je vois son visage se fermé et je vois son poing, je ne recule pas, je le mérite, j’encaisse et si il voulait continuer de me battre encore je le laissais faire. Il parle, il crie, il crache sa rage je ne dis rien je le regarde, j’encaisse et au début j’ai du mal à savoir si il est en colère parce que j’ai dévoilé mes sentiments et qu’il n’en voulait pas ou au contraire, parce qu’il pourrait avoir les mêmes que moi. Mes larmes coulent en même temps que les siennes j’ouvre la mâchoire pour me détendre les muscles il avait une bonne droite le con, je le regarde, je ne le quitte pas des yeux, j’enregistre chaque gestes chaque parole, je prends sa rage et j’ai cette douleur qui s’agrandit de le voir comme ça. “Aaron..” murmure à peine audible “Je t’ai pas abandonné, je suis encore là je suis toujours là” une main passe dans mes cheveux, je regarde autour de moi et ma colère qui monte “T’a pas le droit, t’a pas le droit de me dire des choses comme ça, t’a pas le droit de me haïr, j’ai regretté à la seconde où j’ai refermé cette putain de porte j’ai regretté ma décision !” faire demi-tour, déchiré la lettre, j’en ai rêvé “ouai j’avais besoin que tu parles, parce que putain tu ne dis jamais rien, comme si rien ne t’atteignait, toujours une pirouette, une vanne pour détourner la conversation, j’avais besoin de savoir ce que tu ressentais, j’avais besoin de savoir si je n’étais pas fou, si je m’étais pas emballer, j’avais besoin de savoir que j’étais pas simplement ta chienne qui rappliquait quand tu claquait des doigts et qui se mettait à quatre patte pour soulager monsieur !” souffle court, regard noire “J’ai pas fuis, je voulais te protéger, je ne voulais pas que t’es à l’affronter pour moi, je ne voulais pas qu’il t'emmène loin de moi... tu sais quoi viens je porte mes couilles, viens on y va maintenant voir ton père, viens je vais lui dire à quel point j’ai baisé son fils et à quel point j’ai aimé ça, je vais lui dire que j’ai tellement aimé ça et que j’en suis tombé amoureux... mais tu sais aussi bien que moi ce qui va se passer" je contrôle plus mes larmes, plus ma colère et je contrôle plus mon cœur qui s’emballe trop, je m’approche de lui, si près, assez près que je pourrais toucher ses lèvres “Tu comptes, t’a pas idée à quel point tu comptes Aaron... tu veux me détester vas y, tu veux me frapper je t’en prie ca feras jamais assez mal... je te l’ai déjà dit Aaron, si tu pars j’en crèverais et là je suis déjà mort d'être loin de toi”
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    Lien du postJeu 22 Avr - 17:39
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    La catin de l'ombre

    Je me recule quand il s’approche. Je ne pouvais pas craquer. J’en ai pas chié ces derniers jours pour réduire en cendres mes efforts. J'étais déjà entrain de le perdre à nager à contre-courant. L’entendre avouer tout ce que nous pouvions ressentir. Bien trop extrême pour moi. J’avais repoussé mes limites mais c’était beaucoup trop. J’étais pas prêt à entendre. Nous avions bien assez discuté à LA. Mais faut croire que j’avais pas assez jacté. Ou pas assez clairement. Je passe mes mains sur mon visage. Reprendre le contrôle de mon esprit. Et parler. Dire l’inverse de mes pensées. Penser à sa sécurité. Celle de ma famille. De tout le monde. Tais toi, je veux pas t’entendre. Plus jamais, tu me dis ca. C’est mieux. Pour tout le monde. Ne dis plus rien. Trouve toi quelqu’un de disponible. C’était juste .. pour jouer. Un défi. Voila .. Profiter pour t’avoir et te rajouter sur ma liste. Je finirais avec une femme. T’as pas ce qu’il faut. Personne ne pouvait lui arriver à la cheville. Mais c'était les faits. Mon père n'acceptera jamais de montrer son gay de fils dans le monde des faux-semblants. Je continue de reculer. Je suis toxique Eros. Tu le vois pas ? Tu peux pas te contenter de cette semaine ? C'est pas ce qu'on s'était dit ? Faire comme si de rien n'était. Complique pas tout. Et laisse-moi gérer, s'il te plait.
    (c) AMIANTE

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    Lien du postMar 27 Avr - 20:54
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    Je sors tout, je n’ai plus rien à cacher de toutes manière j’avais mis mes tripes dans la lettre et là je les remettais encore devant lui, quitte à ce que ce soit foutus entre nous, je voulais plus qu’il y’est des non-dits. Je m’approche et il recule et j’ai un premier rater dans le cœur, à croire que je le dégoute, je me fige sur place, je ne bouge plus en le regardant incrédule, je ne comprends pas pourquoi il me fuit comme ça. Je l’écoute et quand il parle je secoue la tête, je ne suis pas d’accord il ne peut pas me balancer des choses comme ça. Je m’apprête à répliquer lui dire que la seule personne que je veux et que je ne voudrais jamais, c’est lui, mais la suite je ne m’y attends pas, je pensais que mon cœur ne pouvait pas se briser plus, je me trompais. Je n’entends pas la suite, je ne sais pas trop ce qui me dis, j’ai juste des mots qui me tourne dans la tête, un défi... sa liste... je n’ai pas ce qu’il faut... ça se multiplie dans ma tête, je vois que ça “Un défi...” murmure presque inaudible. Il aurait pris le risque de foutre ne l’air notre amitié juste pour un putain de défi ? J’ai un instant, de cette semaine à nous qui me tourne en tête, ses mots que j’avais gravé en moi. Lequel je devais croire ? Et si tout ça faisait partit de son jeu cruel... “Dix ans... dix ans foutus en l’air” Je n’ai pas envie de le croire, je sais que je ne dois pas le croire, mais je ne peux pas m’empêcher de me dire qu’il ne le dirait pas si ce n’étais pas vrai... Je ne sais pas, je ne sais plus, ma tête va exploser je bouge enfin, je m’approche de lui fais demi-tour, je serre le poing le desserre, je fais les cents pas je ne sais plus, je le regarde “C’était qu’un jeu pour toi ? Un putain de jeu ? Rien à compter pour toi, rien de tout ça... j’étais juste... juste un défi..” je reste figé, je m’étais dit que je ne craquerais pas, mais je ne contrôle pas les larmes qui coulent “C'est...” ma colère, ma tristesse aimerais parler lui dire que c’est terminé, c’est fini, cette histoire, cette amitié, tout... mais les mots se bloque quand je croise son regard, je n’y arrive pas, je ne serais jamais capable de faire ça.
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    Lien du postSam 8 Mai - 17:12
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    Je ne réponds à aucune de ses questions. Laisser planer le doute. J'avais suffisamment menti. Je ne pouvais pas m'enfoncer. Je peux pas prendre le risque de me trahir tout seul. Cette semaine fut incroyable. J'ai eu espoir qu'il n'en veuille pas davantage - autant que moi - mais c'était lourdement trompé. Et par sécurité pour lui, je me devais d'y mettre un terme. Mentir. C'est plus facile que d'être sincère. Faire parler un cœur qui n'a su battre que pour lui ces dernières années était exclu. Il devait vivre pour lui. Vivre pour se construire un avenir. Etre la pute du prince n'est pas une carrière. Vraiment pas. Je ne la souhaite à personne. Alors que c'est une position si réputée. Est-ce que mon père aurait accepté ce scénario ? J'en doute. Et rien que de savoir que je pouvais l'envisager était encore plus dangereux que de me battre pour un couple qui n'a pas le droit d'exister. J'aimerais lui dire et redire, ce qui me traverse dans la tête. Ce merdier pour nous sortir de là. Le mettre à l'abri. Mais je suis capable de vivre sa haine que de me nourrir de son amour. Je baisse la tête. Honteux. Mais c'était ainsi, on se devait de l'accepter. S'y tenir et se retenir. Pas gagné quand il est dans les parages. Et je l'avoue, même si je dois en souffrir, je préfère qu'il ne veuille plus me voir. Les idées sont plus claires ainsi. C'est terminé, oui. Je ne sais pas si c'est ce qu'il allait dire. Mais on se devait de l'entendre.
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    Lien du postMar 11 Mai - 17:11
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    J’avais pris la décision, je nous avais conduit là. Je n’aurais jamais dû répondre à ses avances, après tout elles n'étaient pas sérieuses... Pourquoi j’avais cédé ? Pourquoi ça m’avait chamboulé à ce point, alors qu’avant ça ne me faisais rien, enfin peut être que si, mais je n’avais jamais prêté attention. Pourquoi j’avais fondue sur ses lèvres en premier, pourquoi il ne m’avait pas repoussé, pourquoi avoir fait en sorte que ce moment, notre première fois sois si parfaite. Je me refais le film, ce n’est pas cohérents, tous ses moments passés, tout ce qu’on a pu vivre, tout ce qu’on a pu se dire ça n’allait pas avec l’homme que j’avais en face de moi ce soir. Aucune once d’émotion dans son regard, je ne vois rien, aveuglé par ma colère, ma tristesse et ce cerveau qui n’en fait qu’à sa tête. J’ai envie de le secouer, qu’il ne peut pas prendre un virage à 180° comme ça, alors qu’il y’à quelques temps il me disait je t’aime. J’ai le cerveau qui va exploser, je devrais partir, loin, recommencer ailleurs, pour lui, non, pour moi, lui s’en fou, je n’ai jamais compté. Je n’arrive pas à le dire, ça me brule les lèvres, ça me brise le cœur, mais lui termine ma phrase et je reste scotché de longe minute à le regarder, j’ai l’impression que mon cœur s’est arrêté de battre, que le monde ne tourne plus, je reste figé, je ne ressens plus rien, juste la haine qui monte, la rage qui monte en moi et je m’approche de lui, la foudre dans le regard. De toute mes forces, de toute ma hargne je le pousse violement, je hurle de toutes mes forces “NON, NON” je me fou des gens autours qui nous regarde, je me fou de tout et mon poing viens s’abattre sur lui, une fois, deux fois...”T’A PAS LE DROIT DE DIRE CA, JE T’INTERDIS DE DIRE CA !” je me recule, trébuche et tombe au sol “je t’interdis... je t’interdis... ça ne sera jamais finis” je tente de me lever, échoue, j’ai l’impression d’avoir quinze grammes d’alcool alors que je suis juste sonné par tout ça. Je finis par me mettre assis et finis par chuchoter “Comment ça a pu tourner mal à ce point... à quel moment ça à merdé putain...”
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    Lien du postMar 11 Mai - 19:04
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    La violence s’abat sur moi. J’aurais pu l’en empecher. Le maitriser a meme le sol. Mais, je le merite. J’avais gouté le Paradis. J’avais offert un aperçu de ce que serait le bonheur. Pour tout nous retirer. Et sans vaciller. Sa violence ne sera jamais pire que celle que je ressentais en moi. La haine de ne pas pouvoir ni vouloir nous defendre devant un pere sans limites. « Ressaisis-toi Eros. S’il te plait. C’est fait. Je suis désolé ... Mais ma décision est prise. Pour ton bien, on doit cesser. » Le dire a haute voix est tellement douloureux mais cette ... rupture doit etre gravee dans nos tetes. « Tu es parti. Tu as bien fait. » Enfoncer le clou. Le mondz s’est effondré a son depart mais il a eu raison.
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    Lien du postMar 11 Mai - 20:53
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    “Pour mon bien” je rie nerveusement, je crois que pour conclure il ne pouvait pas faire mieux. Je me relève, essuis mon visage d’un revers de la main, je m’approche de lui, le regard noir je pourrais le frapper encore, mais à quoi bon. “Pour mon bien ou pour le tien ? Dis plutôt pour pas décevoir ton petit papa chéri” j’ai la rage, la tristesse, un cocktail qui ne fais pas bon ménage, je ne sais pas où on va comme ça tous les deux, mais ça ne présage rien de bon. “Comment tu fais ? Comment tu fais pour ne jamais rien ressentir ? Jamais rien ne t’atteint, jamais d’attache j’en viens même à me demander si notre amitié compte pour toi.. Elle a compté ? Ou ce jours-là y’a presque dix ans maintenant, tu t’es dit que le gamin triste serait une bonne distraction ? T’a été le premier à réussir à me faire rire après.... après... le premier, en une phrase et je m’en veux parce que je n’arrive pas à me souvenir de cette putain de phrase... On a passé la nuit à se parler ce soir là... Je pensais.. Comment t’a pu prendre le risque de briser dix ans d’amitié juste pour un défi ? Juste pour un coup de bxte ?” tout repasse dans ma tête, ses dix dernières années, je n’aurais jamais dû céder. “Ressaisis toi Eros... c’est facile à dire pour toi... je fais peut-être pitié et sincèrement je m’en branle, parce que moi au moins je n’ai jamais eu peur de ressentir quoique ce soit.” Je reste quelques minutes à le fixer “Bonne soirée Kaine” C'est comme ça que ca se termine ? Vraiment ?
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    Lien du postMar 11 Mai - 21:04
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    Poches dans les mains pour me raccrocher a quelque chose de tangible. Pas decevoir ou lui donner une occasion de lui foutre une balle dans la tete. Il le sait. Je me contente de hocher la tete a tous ses propos. Ne surtout pas ouvrir la bouche. J’aimerais tout dementir. Mais je ne peux pas. Je prefere qu’il me haisse. Au moins, il allait etre en sécurité. Je ressens ce trop plen d’amour qu’il a provoqué. C’est nouveau. Ca me fait mal. Aimer. Sans pouvoir lui offrir le meilleur de moi. Larmes montent. Je les sens. Heureusement qu’il fait sombre. Je regrette rien. Je me suis senti a ma place. Une putain d’explosion de bonheur. Mais il ne saura pas a quel point, j’ai eu envie de delaisser le gang. N’etre qu’a lui. Utopie. « Bonne soiree Delrio. » Je lui tourne le dos. Fuir. Rapidement. La gorgée. Premieres larmes qui devalent. Etat de faiblesse insupportable. Trouver des bras pour m’occuper l’esprit.
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