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I LOVE HARVARD
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    Let's just kiss 'til we're naked, babe... ((BAKER)
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    Lien du postVen 2 Avr 2021 - 0:51
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    LET'S JUST KII 'TIL WE'RE NAKED, BABE... |
    @Baker Ridley-B.

    Nous sommes samedi et je dois me pouponner afin d’être parfaite pour un rendez-vous ce soir. « Baker. » Je murmure, un fin sourire présent sur mon visage tandis que je songe à lui, l’homme qui anime mes nuits le week-end. Y songer m’émoustille, me galvanise et très couramment, durant mes longues semaines de travail, je songe à nos rendez-vous fixés, afin de me donner le courage dont j’ai besoin pour achever mes derniers jours de travail. Mon bain moussant prit, après une sieste salvatrice, c’est dans mon dressing que je me rends afin de choisir une tenue qui pourrait lui plaire. Car toujours, je souhaite le surprendre et tandis que je me saisis d’une robe au décolleté plongeant, noire, qui épousera à la perfection mon corps longiligne, je me dis qu’elle fera amplement l’affaire puisqu’il ne m’a jamais vu la porter. « Parfait. » Je murmure à ma propre intention pour passer un dessous en dentelle noire et uniquement cela, avant d’enfiler ma robe, se trouvant fendue, évidemment, pour que l’on devine mes jambes interminables à chacun de mes pas. Ma longue chevelure lisse dégringolant sur mes épaules et mon dos, je ne passe aucun bijou, puisque je privilégie mon visage ce soir, en me maquillant soigneusement, notamment mes lèvres d’un rouge bordeaux et mes prunelles, qui se font plus sombres. « J’espère vous ravir, monsieur Ridley, ce soir. » Je prononce en fixant mon reflet pour me décider sur une paire de chaussures, sans talons aiguilles, à cause de l’accident domestique que j’ai vécu alors que je n’étais qu’une jeune adolescente. Amère, je le suis en y songeant, étant donné que c’est Térésa, celle que je devrais nommer comme étant ma mère, qui m’a poussé violemment après m’avoir tabassé. *Je ne dois plus y penser.* Je me dis dans mon esprit, lorsque l’on sonne à mon interphone et que je m’empare de mon manteau, noir de jais, allant parfaitement avec ma tenue.
    « Bonsoir. » Je murmure à l’intention de l’homme se trouvant devant mon domicile, pour m’aider à pénétrer l’habitacle d’une flamboyante limousine. Sans plus de mots, il met conduit au Sapphire, puisque c’est l’antre de Baker, étant donné qu’il le dirige, son casino, et cela, d’une main de maître, paraît-il. Flûte de champagne à ma disposition, je me saisis de cette dernière afin d’y tremper mes lèvres, car j’adore m’en abreuver, mais également en prendre des bains de temps à autre. « Divin. » Je murmure, mes prunelles closes, dans un fin sourire d satisfaction. « Toujours. » J’ajoute, me réjouissant déjà de retrouver cet homme qui me choie, et cela, avec application. « Voici, mademoiselle. » M’extirpant de l’immense véhicule, avec élégance, je ne peux m’empêcher de poser mon regard sur l’immense bâtiment présent devant moi, qui me domine et qui domine également bons nombres des lieux de la ville de Boston. « Wow. » Je souffle à chaque fois, puisque je me trouve époustoufler, toujours. « Après vous. » M’intime l’homme qui est venu me chercher au pied de ma demeure et je lui emboîte le pas, afin de rejoindre la réception et de lever les yeux au ciel. « Je sais encore parler, mais je vous remercie. » Je le renvoie poliment dans un signe de main pour discuter avec la femme présente à l’accueil. « Lena Wood. J’ai rendez-vous avec monsieur Baker Ridley. » Je prononce, pour laisser quelques secondes s’écouler et reprendre : « Faites lui savoir que je suis au bar du restaurant, afin de boire un verre pour l’attendre. » Et je me rends dans sa direction, tout en ôtant mon long manteau puisque je me sens davantage à mon aise sans, étant donné que les regards vont tous se poser sur moi et que j'adore cela.

    :copyright: lumos solem.
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    Lien du postMer 7 Avr 2021 - 21:58
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    LET'S JUST KISS 'TIL WE'RE NAKED, BABE
    @Giulia Lena Wood & @Baker Ridley-B.

    Baker avait rendez-vous ce soir et pas avec n'importe qui. C'était une divinité elle-même, une incandescence de sensualité, de force et de beauté. Salaud, il l'était, mais doux et attentionné envers celles qu'il appréciait, certainement. Il ne lui arrivait pas souvent d'être ainsi, mais il s'offrait parfois le luxe d'être dominateur touu en restant courtois. Giulia était une apothéose de poésie, et ils s'offraient tous les deux des plaisirs charnels bien au-delà de la moyenne. Et ce qui était exaltant, c'est que tout n'était que charnel bien sûr. Pas de sentiments de possessivité, ni de jalousie, ni d'appartenance quelconque. Juste, du cul, en somme. Et il appréciait ce genre de femmes, qui savaient ce qu'elle voulait. Forte, et déterminée, sans attachement émotionnel. Où diable se cachaient ces femmes-là ? Calfeutré au fond de son siège de bureau luxueux, il se décida au bout d'une certaine heure à se lever pour aller dans ses appartements personnels du Sapphire. En ouvrant sa penderie, il se rendit compte que tous ses costumes se ressemblaient affreusement. Il repensait alors à sa conversation avec Elizabeth qui ne l'avait pas cru lorsqu'il lui avait confié qu'il ne portait ses costumes pas plus de deux fois avant de s'en débarrasser. Il avait des effets personnels plus streetwear dans sa villa, mais il n'était pas question d'en avoir ici puisque tout se reflétait à la politique et aux affaires dans ces locaux. Plus depuis longtemps; en réalité. Il serait donc temps d'en apporter ici également.
    Se glissant dans sa douche, il prit une douche express avant d'y sortir pour soigner sa toilette. Il s'aspergea d'eau de parfum à la senteur sensuelle et mystérieuse avec des notes de bergamote de calabre et de vanille, teintée derrière d'une explosion de fraîcheur. Il ne faisait pas attention à ces détails d'habitude, mais pour Giulia il faisait une exception car il savait que comme d'habitude, elle serait au-delà de ses espérances les plus juvéniles. Avant de s'habiller, il consulte son portable personnel où le chauffeur chargé de la prendre lui indique qu'elle est en route. Un sourire en coin s'affiche sur ses lèvres, et il retourne à son lit où il y a posé ses habits. Il a opté, finalement, pour un superbe costume bordeaux, aux allures vampirique, mystique. C'était sa manière de sortir de l'ordinaire. Il s'accorde donc, puis termine en boutonnant ses boutons de manchettes. Il reçoit à nouveau un message et ne prend pas le temps de le lire car il sait. Elle est arrivée. Baker prend donc la direction du hall principal situé huit étages en dessous, en prenant son ascenseur privé afin de ne pas être perturbé par de potentiels clients qui auraient la parlotte trop rude. En moins de deux minutes, il se retrouve dans le hall et aperçoit au loin la divine parlant à son hôtesse d'acceuil. Ses pieds dandinent au sol vers sa direction, alors qu'elle s'enfuit déjà autre part. En passant devant le comptoir d'accueil, sa secrétaire s'exclame. "monsieur ridley, votre rendez-vous de ce soir est arrivée. elle est... Il la coupe en levant sa main pour l'arrêter, les yeux toujours rivés sur la brune qui lui est de dos. Il ne peut pas détacher son regard, il intime donc simplement. "merci lucy. je la rejoins." Elle balbutie quelque chose d'incompréhensible avant de reprendre son poste, en ne quittant pas, elle, son regard de Baker. Ses employées féminines avaient le chic de l'épier. Il imposait le respect, mais autour de lui irradiait une aura si mystérieuse qu'elles craquaient toutes. Mais Ridley avait un mot d'ordre, c'était le respect de ses employé(e)s, quel qu'il soit.

    Il courbe donc jusqu'au bar du restaurant pour l'atteindre, où elle n'a qu'une vingtaine de pas de plus que lui. Il la laisse donc s'asseoir et prendre commande, tandis qu'il l'observe de loin. Il y voit aussi des regards interrogateurs sur la divine qui est entrée dans ces lieux, seule. Et quel plaisir de savoir qu'il sera l'heureux élu qui, ce soir, l'accompagnerait. Elle est entrée dans son antre, et il ne compte pas la laisser partir aussi vite. Pas jusqu'à ce que l'aube caresse leurs traits et s'illumine dans le ciel. Il s'avance enfin, à pas silencieux, le regard rivé sur sa chevelure ébène qui tombe en cascade dans son dos longiligne, élancé. Il est comme une créature mystérieuse, intriguée par celle qui se trouve, seule, dans l'antre du loup. Il arrive derrière elle, tandis qu'elle boit son verre avec humilité et sensualité. La caresse vient ainsi se faire sur son épaule, puis ses doigts se glissent sur son cou qu'il attrape délicatement. Il se penche, et y dépose un baiser sulfureux et évocateur de ce qu'ils attendent ce soir. "bonsoir beauté divine." qu'il susurre à son oreille. Elle doit ressentir les traits de son sourire sur sa peau délicate. Et, c'est avec regret qu'il se détache pour s'asseoir sur le siège à côté du sien, lui faisant face et pouvant ainsi voir tous les détails de sa personne. Elle était exquise, sachant pertinemment quel atout mettre en valeur. Comme il s'y était attendu, elle avait sortit le grand jeu.  "je ne devrais pas te dire à quel point tu es exquise, de la tête au pied. je serais trop explicite et je pourrais choquer mes clients." Il demande un verre de bourbon à son serveur qui s'exécute immédiatement, détachant pour une fois, son regard d'elle. Le remarquerait-elle ? En tout cas, autour d'eux, les individus remarquent tout de suite la prestance du couple qui dégage une aura de sensualité à toute épreuve. Ils s'accordent bien ensemble, s'accordent à l'ambiance qui se dégage dans ces murs.  "quel sont tes désirs pour ce soir ?" qu'il lui demande finalement, omettant de la regarder pour qu'elle lui souligne son envie d'être regardée. Par lui principalement.


    costume de baker:
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    Lien du postMar 4 Mai 2021 - 0:22
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    Let's just kiss 'til we're naked, babe... 
    @Baker Ridley-B.
    Le Sapphire est un lieu que j’apprécie énormément. Non pas, car il s’agit d’un casino, mais parce qu’il respire le luxe, ainsi qu’une certaine opulence, sans que cela soit clinquant. L’immense bâtiment est aménagé avec goût et subtilité, bien que certains objets soient évidemment d’une beauté sans nom, mais il n’y a pas de l’or et des diamants dans chaque recoin, et cela, dans l’unique but de démontrer que l’homme avec qui je partage quelques-unes de mes nuits possède un porte-feuille sans pareil. Un fin sourire présent sur mon visage alors que j’admire ce qui se trouve autour de moi, mon manteau étant à présent posté sur mon bras gauche, élégamment, je rejoins le bar tandis que mes pas résonnent et que je sens d’ores et déjà quelques regards sur moi, dont un que je désire toujours poster sur mon minois chaque fois que je me trouve en sa présence. *Baker.* Je songe pour continuer à marcher et une fois que j’apparais dans l’immense salle où se trouve le bar, je m’y installe pour faire signe au barman, à l’aide de mes doigts, de me rejoindre afin qu’il prenne ma commande. « Votre meilleur champagne millésimé, je vous prie. » Je murmure à son intention avant de le remercier par un doux sourire tandis que je patiente, car je sais qu’il ne va pas tarder à me retrouver, étant donné qu’il fait parti de ces hommes qui pour le moment, m’admire. *J’attends, Baker, je patiente.* Je pense pour croiser mes jambes afin de laisser le tissu de ma robe les découvrir en glissant sur ses dernières avec une certaine lenteur, ce qui fait naître un frisson en moi, qui parcourt ainsi mon échine. « Mademoiselle, avez-vous froid ? » S’enquit le barman qui m’apporte ma coupe et tandis que je m’en saisis, je réponds simplement : « Tout va bien, je vous remercie. Ce divin frisson n’est en aucun cas en rapport avec la température des lieux. Je vous rassure. » Puisqu’ici, tout est fait afin que la perfection atteigne son paroxysme dans le but que la clientèle revienne, encore et toujours. Mes lèvres charnues trouvant le liquide froid composant ma coupe, je m’en abreuve tout en fermant mes prunelles noisette pour les rouvrir quelques secondes plus tard, une fois que j’ai cessé de m’en délecter. « Baker. » Je susurre puisque je sens sa présence dans mon dos et une fois sa caresse m’étant offerte sur mon épaule se faisant ressentir dans chaque parcelle de mon corps, je suis certaine qu’il s’agit de lui, à mille pour-cent, car sa peau, l’effleurement de cette dernière sur la mienne, je ne le connais que trop bien et j’aime lorsqu’elles se courtisent ainsi, tout en délicatesse ainsi qu’en finesse. « Je craignais devoir davantage t’attendre. » Je continue à susurrer alors que ses doigts longilignes remontent sur mon épaule afin d’épouser mon cou et ainsi s’en saisir avec tendresse pour finalement déposer un baiser qui enflamme cette partie de mon corps sur laquelle il le dépose. « Bonsoir, mon bel amant. » Je prononce pour toute réponse à ses mots, dans un sourire mutin alors que les battements de mon cœur accélèrent et que je ressens son sourire fleurir contre ma peau, avant qu’il ne se détache de moi, à mon plus grand regret. « Tu es superbe, comme toujours. » Une seconde fois, je dépose mes lèvres sur ma coupe et m’abreuve d’une gorgée de champagne. « Le bordeaux te va à ravir. » Sans la moindre gêne aucune, je me permets de le détailler, mon Adonis qui se tient à présent assis à mes côtés. « Hm… » Je ne peux m’empêcher de sourire davantage à ses mots et je me permets même de laisser un rire s’extirper d’entre mes lippes. « J’aimerais beaucoup que tu me le souffles, pour être tout à fait franche. » Mon regard incandescent s’implante dans le sien. « Seulement, s’il ne faut offusquer tes clients. » J’en hausse mes épaules pour me rapprocher de Baker en me penchant en avant : « Tu pourras m’en faire part lorsque nous nous trouverons uniquement tous deux. » Dans un regard complice, je le laisse passer sa commande, qui se trouve être un bourbon et puis, à son interrogation, je note immédiatement que son attention n’est plus portée sur mon minois. « Pour le moment, mon désir est que tu me regardes. » Je réponds alors que je ne peux détacher mon regard de lui, puisqu’il se trouve énigmatique ainsi que captivant, toujours, ce qui fait que je ne peux dévier mes prunelles de Baker lorsque nous sommes ensemble. En fait, il n’y a d’ailleurs plus que nous au monde lorsque je me trouve en sa présence. « Si tu souhaites connaître mes autres désirs… » Je n’achève ma phrase puisqu’il en connaît la finalité. S’il souhaite que je lui réponde, il va devoir me regarder, lui aussi, à moins qu’il se soit lassé de moi et qu’il souhaite me le faire comprendre de façon subtile, mais à mon humble avis, il joue tout simplement avec moi.
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    Lien du postDim 4 Juil 2021 - 17:06
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    @Giulia Lena Wood & @Baker Ridley-B.

    Baker apprécie toujours lorsqu'il sait qu'il sera en très bonne compagnie. Femme d'envergure, femme classe et loin des vulgarités opulentes dont il a parfois l'habitude de côtoyer. Avec Giulia, c'est un jeu incandescent de séduction, amenant frénétiquement à des ébats torrides. Puis, rien de plus. Ils sont d'accord sur une chose, c'est que rien n'entrave ce jeu enflammé entre eux. Ils savent ce qu'ils attendent, ce qu'ils veulent, et rien n'est plus lubrifiant qu'une séduction torride qui ne va pas au-delà. Aucun sentiment survolté, aucune jalousie malsaine, juste un monde qu'ils fondent pour s'y perdre le temps d'une nuit. L'échange est toujours lubrique, rien de plus, rien de moins. Le gangster observe la belle prendre place au loin. Elle discute et échange avec le serveur. Les regards se portent sur la divine qui est seule à ce bar, attendant le loup qui la dévorera entière pour une nuit loin d'être chaste. Quelques instants, il observe les lieux, fier de ce qu'il a bâti. Le peuple est émerveillé. Les alentours ne sont que luxure. Il permet de faire rêver tout un chacun, quel que soit leurs portefeuilles. Ils se délectent tous de toucher du bout des doigts un million qui peut tomber, de changer de vie, de goûter au pêché, s'émerveillant d'une vie qu'ils ne pourront jamais avoir, ou peut-être d'une vie qu'ils ont déjà mais qui leur apporte plus de perdition qu'ils ne connaissent déjà. Le Sapphire est l'endroit rêvé pour s'évader, se perdre, flamber et ne plus penser à la misérable vie que tout un chacun peut vivre jusqu'alors. Dans son costume bordeau, il approche alors la charmeuse qui ne demande que son humble présence. Les caresses sont vivifiantes, il ne touche que du doigt une partie de son corps, lui laissant une goutte d'envie sur sa peau délicate. Le sourire est plein, et il entend alors son doux ténor appeler son nom. Lorsqu'il vient s'asseoir à ses côtés, il observe ses jambes parfaites, dévoilées. Une peau qu'il caressera de chaque recoin, de ses mains, de son corps, de ses lèvres. Il fronce légèrement les sourcils et s'excuse alors. "mon intention n'était pas de te faire attendre. je t'ai suivi depuis le hall." Mais elle était rapide, et elle l'a devancé. Il a préféré l'observer de loin. Se faire quelque peu attendre pour lui laisser le temps de se familiariser encore davantage aux lieux. Elle fait référence à son accoutrement et il se contente seulement d'hausser les épaules. Ce ne sont que des apparats qui ne subsisteront pas longtemps. Car lorsqu'ils auront terminé de boire ces quelques verres, ils monteront à l'étage le plus privé et le plus luxueux pour les enlever. Et il a déjà bien hâte de découvrir ce qu'elle porte en dessous de cette robe divinatoire. "je te le dirais plus tard oui. et tu ne seras pas déçue. mais ce serait blasphématoire de le dire en de tel lieu." qu'il répond en se mordant la lèvre inférieure. Son regard dévie d'elle, et c'est une intention bien réfléchis. Il commande alors son verre et le serveur se hâte à le servir car il sait qu'il ne faut pas le faire attendre. La supplication arrive, tâchée d'un ton ferme qui lui donne un ordre. Le sourire se dessine sur ses lippes et tandis que son verre arrive, il le prend pour en voler une gorgée. L'aura mystique qui se dégage du gangster est ce qui fascine, davantage que sa belle gueule. Pour Giulia, c'en est presque douloureux de la regarder car elle étincelle de chacun de ses pores. Il doit faire face à un self control bien distinct afin de s'empêcher de la prendre ici et tout de suite. "c'est qu'on est impatiente miss Giulia." qu'il répond simplement en posant ses yeux sur ses jambes. Il remonte doucement, lentement, de son bas ventre, à sa poitrine, de ses épaules à son cou, et il s'arrête. Ses yeux ne se posent pas sur son visage enchanteur, tirée à quatre épingles. "je n'ai pas besoin de te regarder pour savoir quels sont tes désirs" Baker se rapproche d'elle, et ses doigts viennent effleurer son cou, pour redescendre à la ligne de sa poitrine. Il s'échappe et rit un peu, avant de poser ses yeux noirs dans les siens. L'échange sulfureux devient joueur. "fais attention, je vais voler tes lèvres sans même que tu t'y attendes." et les gens autour d'eux crèveront de jalousie. Ils sont la personnification même d'un plaisir lubrique, une séduction qui entrave les règles de la pudicité. "est-ce qu'une bouteille de vin te ferait plaisir ? ou du champagne ?" pour commencer cette soirée avec l'esprit vagabond. L'alcool permet également de lever les inhibitions, et pourraient les amener à faire des folies au sein même de son lieu de travail. Sa maison.
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