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I LOVE HARVARD
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    Leta&Marso • Night after night
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    Lien du postSam 6 Fév 2021 - 19:36
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    Night after night
    w/ @Leta X. Fibonacci
    ~~~~
    Comme un animal, je renifle et essaie de capter quelle est cette odeur qui se dégage de mon appart. Odeur étrange qui me rappel étrangement celle du sperme... J'me souviens pas m'être branlé et avoir aspergé ma chambre de toute ma semence en rigolant comme un con. J'me souviens pas avoir ramené une fille ici ces derniers jours. Alors je ne comprends pas, je renifle, je cherche, mais je n'arrive pas à trouver d'où ça provient. Je regarde dans mon boxer, sait on jamais, une fuite qui aurait débarqué sans que je ne puisse la contrôler, mais non, rien... Mon appartement sent le sperme, et j'ai aucune explication à ça. Alors, je vais ouvrir la fenêtre, pour laisser l'odeur disparaitre, laisser l'air frais s’installer. Douce giclé matinale qui atteint tes narines... Direction la douche, direction un lavage intensif, frottant mon corps, jouant à faire l'hélicoptère avec ma bite comme un gamin de cinq ans sous la douche qui découvrirait son anatomie, j'dois encore être complètement bourré de la fin de semaine... Bref putain, je m'égare, et j'ai des trucs à faire aujourd'hui, comme glander, me bourrer la gueule, aller acheter des munitions pour mon arme, car j'ai plus grand chose et ça peu toujours servir cette merde là, on sait jamais. Mais c'est pas tout, avant tout chose, je dois passer voir mon avocat. Et ouais, j'ai un avocat les gars, vous pensez vraiment qu'un criminel allait pouvoir vivre tranquillement sans avoir un avocat qui est là pour couvrir ces arrières et surtout le conseiller lorsqu'il a besoin de faires des trucs pas trop légal, et qu'il veut savoir jusqu'à où il veut aller. Aujourd'hui, c'était juste un déjeuner d'affaire dirons nous. J'avais besoin de ce rendez-vous avec lui pour lui demander quelque conseil sur un placement d'argent et l'ouverture d'un compte dans un autre pays, cherchez pas à savoir, même lui ne saura pas d'où provient cet argent. Alors voilà, je mange, je discute, je pose des questions, je me renseigne, et je retiens et note tout ce qui va pouvoir me servir. Quatorze heures, je sort du bureau, et là, je m'arrête. D'un coup, comme ça. C'est une blague ? Au loin, au fond de ce putain de couleur, j'ai l'impression de voir un fantôme. Elle existe encore, elle ? Elle est encore en vie ? J'me souviens qu'elle ai été la stagiaire d'un de mes avocats de l'époque, lorsque j'étais en prison. C'était il y a cinq ans, un peu plus même. Je secoue la tête, me remettant les idées en place, et je continue mon chemin, sauf que voilà. Je l'entends parler à un mec, et je comprends vite qu'elle est devenu avocate, que c'est pas simplement une stagiaire, et... Je sais pas, je me sens obligé de faire une remarque. "La petite stagiaire apeuré c'est laissé poussé une paire de couille..." Que je lâche, sans un regard, sans m'arrêter, juste comme ça, en passant, histoire de la décrédibiliser devant son client. Moi, un connard ? Mais non, voyons.   

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    Lien du postSam 13 Fév 2021 - 13:06
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    C’est pas ton cabinet. Et honnêtement, t’as pas l’intention de passer la journée ici. T’as besoin d’infos parce que toi ton truc à toi c’est le droit des affaires. C’est ta spécialité, et t’as pas besoin de t’encombrer de pénal, de civil, de privé ou quoi que ce soit d’autres pour charger ta semaine, elle est déjà bien suffisamment chargée comme ça. Ton père est avocat depuis bien longtemps, et aujourd’hui t’es son associée, bientôt prête à reprendre tous les bureaux ouverts un peu partout sur le continent américain. Bientôt la conquête de l’Europe, tu sais que des contrats sont sur la table, à Paris, et t’as hâte de pouvoir apposer ta signature à côté de celle de ton paternel. En attendant, t’es toujours là à attendre qu’Andrew termine son rendez-vous pour lui demander son aide. Il est dans le droit privé, lui. Alors peut-être est-ce plus intéressant pour ton client de se tourner vers ton confrère. Perchée sur tes escarpins, tu discutes dans le couloir alors que la secrétaire t’as confirmé qu’il ne devait plus en avoir pour longtemps. T’es patiente, et t’essaies de rassurer ton client comme tu le peux. Il avait confiance en toi, et toi t’as confiance en Andrew. Forcément, il a été ton mentor durant tes études, et sa réputation fait de lui un excellent avocat.

    Tu ne fais pas vraiment attention aux vas et viens de l’endroit. Il y a du passage, du mouvement et le portable dans une main, le dossier de ton client dans l’autre, t’essaies d’en savoir davantage, pour proposer une tactique à Andrew, qu’il approuvera, ou qu’il modifiera à sa sauce s’il accepte de prendre en charge ton client. Une chance pour vous, ce dernier n’est pas avare d’infos. Tout ce que t’espères, c’est qu’il ne se referme pas comme une moule, dès que le maitre de ces lieux vous recevra. Toi t’as l’habitude, tu connais ton confrère pour connaitre sa manière de fonctionner sur certains cas. Après, tu sais qu’il peut te surprendre, encore. Mais ce dont t’es certaine, c’est que t’es persuadée qu’il se donnera pour ton client s’il juge qu’il y a matière à se donner. Finalement, tu jettes un œil dans tes documents, pour vérifier une information, non sans relever la tête vers ton client de temps en temps, mais tu ne t’attends même pas à ce quelqu’un d’autres s’adresse à toi. Encore moins de la sorte. Tu arques un sourcil, tu ne comprends même pas pourquoi ce type te parle alors que tu ne le connais…. Pour ainsi dire… pas ? Puis ça te revient, Lorsque t’étais stagiaire chez Dentons. « Moi au moins j’ai avancé, toi t’es toujours au même stade. Toujours dans les jupes de tes avocats.  » Tu lui lances un regard glacial et tu reprends « T’as opté pour un abonnement gold, ou comment ça se passe ? ». Il peut dire ce qu’il veut, tu trouves sa remarque mal placée alors que toi t’es passée de stagiaire à avocate, puis finalement à associée et aujourd’hui t’as ton propre cabinet. Et lui… Lui il fait quoi déjà ?
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    Lien du postSam 13 Fév 2021 - 19:32
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    Night after night
    w/ @Leta X. Fibonacci
    ~~~~
    Des têtes de bites de partout. Des femmes un peu trop pressées à mon gout, vêtue d'une fausse fourrure qui ferait dégueuler les riches. Des étudiants un peu trop étudiants, des modèles de réussite. Des mecs en costume qui me donnent des envies de meurtres, des hommes d'affaires qui pensent connaitre le monde, qui pensent que toutes les femmes tomberaient à leurs pieds juste parcequ'ils ont de l'argent. Déjà, ils en ont surement pas autant que moi, j'ai pas l'air, mais vous tous, je vous rhabille, j'achète toute votre famille et je les fais travailler pour moi si je le désire, bande de petites merdes. Bon d'accord, peut-être que j'abuse, c'est même sur en fait, je ne suis pas riche, mais je vie bien mieux que la moyenne, je ne manque de rien, et je peux me payer ce que je veux, quand je veux, et ou je veux.  J'avais terminé mon rendez vous, et avant de partir, avant d'emprunter ce long couloir qui me mènerais à la sortie, je regarde les gens passés. Je regarde le monde évoluer sous mes yeux, les gens être heureux. Bande d'enculés, vous n'avez pas le droit d'être heureux si moi je ne le suis pas. De l'égoïsme pur et dur, tout simplement. Vous n'avez pas ma vie bande de raclure, vous n'avez pas vécu un centième de ce que j'ai vécu, et vous pensez tout connaitre au monde. Venez dans ma tête, mettez vous un instant dans cet endroit sombre, et je ne pense pas que vous en ressortirez en vie, j'pense que ça vous marqueras, comme une cicatrice ouverte, une cicatrice qui ne veut pas se refermer, et ça, pour le reste de votre misérable vie. J'ai appris à vivre avec, j'ai appris
    à me démerder par moi-même, mais, par moment, j'ai besoin d'aller voir un avocat, qu'il m'aide sur quelques placements, histoire de ne pas bruler les étapes, histoire de ne pas me faire avoir et retourner à la case prison. Mais à aucun moment, je ne m'attendais à la voir, elle, ici. En un claquement de doigts, je me suis souvenu d'elle, de son air assez timide et perdu la première fois qu'elle a foutu le pied au parloir pour me voir en prison. Et maintenant, elle était là, à jouer les dames. Elle a bien changé, elle aussi. Elle a même prit de l'assurance, vu qu'elle me répond sans aucun problème. Je m'arrête, du coup, souriant intérieurement. "Tu parles tu parles, mais tu sais même pas ce que je fous là, et puis sans les gens comme moi, tu gagnerais pas ta vie, l'oublie pas ça." N'oublie pas, que c'est grâce aux gens comme moi que tu as un salaire, que tu peux te lever le matin et que tu vas travailler, ne l'oublie surtout pas, que sans nous, tu ne serais pas là. "Mais autrement j'ai le passe VIP, c'est finit l'époque du parloir, maintenant ça discute autour d'un filet mignon." Est-ce que j'en fais trop ? Toujours, mais qui en a quelque chose à foutre ? Je suis comme ça.


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    Lien du postDim 7 Mar 2021 - 14:29
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    Tu pensais pas tomber sur lui lorsque t’avais annoncé à Bradley que tu passais le voir pour avoir son avis. Si vous êtes adversaires dans l’affaire Barlow VS Barlow, vous savez quand même ce que vous êtes dans la vie de tous les jours. Tu sais que ses avis te sont parfois précieux et ici, c’était la raison de ta visite. Tu peines à comprendre encore pourquoi un gars comme Marso Kenway perd encore son temps à te chercher dans les couloirs d’un cabinet. Il espérait quoi au juste ? Que t’allais claquer des genoux ? Que t’allais te mettre à pleurnicher devant lui ? Oui, avant t’aurais pu le faire alors que tu flirtais encore avec ta vocation, aujourd’hui t’as fait tes preuves et ton nom circule comme étant une avocate déterminée, à la limite du pitbull et surtout, une avocate sans aucune compassion. Tu lâches jamais et t’en veux toujours plus « Honnêtement, j’en ai rien à foutre de savoir ce que tu peux bien faire ici. Je sais juste que t’es là, et je doute que ce soit bêtement pour enfiler des perles. A moins que t’aies de l’argent et du temps à perdre… Ca me suffit pour conclure que t’en es toujours au même point » tu lui lances un sourire hypocrites. T’as pas vraiment envie de perdre plus de temps avec lui, et pourtant t’es encore là à le faire. Pourquoi ? Parce que t’as conscience de ce que t’étais quand tu l’as connu, et tu sais qui tu es aujourd’hui. Il semble se sentir en confiance lorsqu’il pense que tu fais partie des avocats faisant casquer les civils dans les besoin. En fait non c’est pas tellement grâce aux gens comme lui que tu gagnes ta vie. Toi t’es pas là pour les glandeurs de son calibre. Toi t’es plutôt là pour les gros bonnets qui ont une société et qui peuvent pas vivre sans leur avocat. Tes honoraires sont autres et ta spécialisation n’est autre que le droit civil, pénal ou on ne sait quoi d’autre. Toi t’es pas avocate de monsieur et madame tout le monde, t’es avocate pour des PDG, des sociétés, des entreprises. « Mon boulot serait d’un ennui mortel si je devais perdre mon temps avec des types de ton genre. Donc non, rassure toi ce ne sont pas les gens comme toi qui paient mon salaires, ni celui de mes collaborateurs. Quand t’auras une entreprise digne de ce nom, ou que tu seras à la tête de l’une d’elle, peut-être que nos chemins se recroiseront. D’ici-là, j’aime autant que tu m’évites, si c’est pas trop te demander. » Pourtant parfois tu fais des exceptions, il n’y a qu’à voir le dossier que t’as avec ton ex au beau milieu. Tu le défends bec et ongles, et pourtant ça n’a rien d’un dossier de droit des affaires. Rien de business, rien d’hyper excitant, purement civil voir même carrément familial. Le genre de dossier qui t’emmerde, mais tu sais qu’il a besoin de ton aide, justement parce que l’avocat en face est bel et bien Bradley. Il t’a formée, il te connait, mais toi aussi tu le connais. « Voyez-vous ça. Dans ce cas, on pourrait peut-être se croiser plus vite que prévu. Peut-être qu’un jour j’aurai la chance de te croiser en costard cravates. Je suis certaine que ça t’irait bien mieux que ce avec quoi t’es fagoté. Bravo Kenway, je suis presque impressionnée. » Tu le cherches un peu, mais il a commencé là, non ? C’est terminé l’époque où t’osais à peine le regarder droit dans les yeux, ici tu ne le lâches pas du regard, tu oses plonger tes prunelles dans la noirceur de son regard, souligné par de l’assurance que tu lui connais « P’tête que bientôt tu passeras au restaurant à Sushi 4 étoiles du coin. » un restaurant assez cher, qui pourtant n’est pas le meilleur que t’aies connu dans ta vie de petite bourgeoise arriviste. « Et sinon, t’accostes souvent les avocats dans les couloirs, ou ça m’est réservé ? Vieux souvenir je suppose… » Tu te rappelles lorsque t’étais stagiaire, tu ne savais pas trop ce qui te mettais mal à l’aise chez lui. Son côté taulard bad boy, son regard qui, encore aujourd’hui, ne te laisses pas totalement indifférente, ou tout simplement la situation et l’envie d’interdit. Des rêves d’adolescente prépubère t’aurais pu en faire des tonnes avec lui, il était le gars parfait. Trop parfait peut-être ? Non Leta. Non. Stop.

    @Marso B. Kenway

    HJ:
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    Lien du postLun 8 Mar 2021 - 9:37
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    Night after night
    w/ @Leta X. Fibonacci
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    Tu parles, tu débites un ras de marée de parole mais dans le fond, y'a rien. Tu tentes de te trouver un genre ? De te montrer bien plus sûr qu'avant ? De montrer que c'est finit l'époque ou tu étais intimidé par les mecs que tu rencontrais lorsque tu osais mettre un orteil dans une cellule et poser ton petit cul si parfait et gâter par la vie sur une chaise ? Leta, je l'ai connu à son commencement, là où elle n'osait pas autant parler, là où elle découvrait le monde, je l'ai pas connu si sûre d'elle, comme si elle était en confiance, comme si elle était chez elle, ici. Sourire aux lèvres, ça change, d'avoir quelqu'un face à soit qui a du répondant, qui ne va pas se laisser faire, se mettre à quatre pates et s'excuser d'avoir croiser mon chemin. Bien joué gamine, de base, je voulais juste te lancer un pic puis repartir, mais là... Tu as attisé ma curiosité. "C'est tout ce que t'as ? Je sens la haine en toi là, vas'y, lâche tout." Provocateur comme à mon habitude, elle tentait de se montrer forte devant moi ou quoi ? A aucun moment je ne lui avais demandé de parler autant, je ne suis pas là pour faire une dissertation, pour discuter de la pluie ou du beau temps. Non. Tu as croisé mon chemin, j'ai joué, et ça s'arrête là. Sauf que non, t'en as pas envie, je ne sais pas si ça vient du fait que j'ai fait ça devant un de tes clients ou si c'est parceque tu veux montrer que tu es devenue une femme forte, mais putain, ne me casse pas les couilles plus que ça, s'il te plaît. Sourcil relevé quand elle me parle de son travail, si tu savais, Leta, si tu savais que j'aurais très bien pu être un de tes clients. "Tu vois, malgré les années, t'as toujours pas appris qu'il ne faut pas se fier à la couverture du livre... Les gens changent." Enfin, oui et non. En soit, je suis toujours le même, j'ai juste appris avec les années à blanchir l'argent, à augmenter la portée de mon buisines, à me créer un réseau bien plus grand et important par rapport au jour ou elle m'a rencontré. Mais ça, elle ne le sait pas, non. Elle est resté bloqué il y a de ça plusieurs années, a aucun moment elle ne c'est dit que maintenant, j'avais de quoi me payer un avocat juste pour avoir des conseils en matière de blanchissement d'argent. Le monde dans lequel on évolue est pourrie. Avec l'argent, tu fais tout, tu as tout. Petit pic de sa part au sujet de ma tenue vestimentaire, soupir de ma part, je n'ai même pas envie de relever. J'ai jamais compris pourquoi tu devais mettre un costume pour imposer, pour paraitre respectable. C'est des conneries venues tout droit d'une époque qui n'existe plus. N'importe qui aujourd'hui peu se payer un costume, n'importe qui peu s'approprier un rôle dans cette tenue. C'est juste de la poudre aux yeux. "Si je mange des sushis, c'est pour manger des sushis, pas des conneries gastronomiques qui ressemblent à tout sauf à ce que j'étais venu chercher. Je te l'ai dit, te fie pas à la couverture du livre." Parceque j'avais les moyens, de me payer ces restaurants, mais si c'était pour en sortir et avoir encore faim, j'étais pas intéressé. "T'as donné la réponse dans ta question, maintenant c'est à toi de trouver quelle partie est la réponse." Haussement d'épaule, sourire sur le coin des lèvres tout en te fixant. Je crois bien que ça t'étais réservé, en souvenir d'une époque ou tu te lançais dans la vie, ou tu tentais de te faire ne place dans ce monde de chien, ce monde dicté par des hommes pour des hommes. Un monde dur, dans lequel on a du vivre. Un monde de merde qui me correspond si bien. Alors, toujours perturbé, la stagiaire ?

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    @LETA X. FIBONACCI hj : Je pense que je peux t'excuser Leta&Marso • Night after night 387742012 Leta&Marso • Night after night 1881463262
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