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I LOVE HARVARD
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    TW // Beneath your beautiful ? // Dutch.
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    Lien du postMer 10 Fév - 22:29
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    would you let me see beneath your beautiful ? - 16/01 - @Dutch B. Cooper

    Dans cet instant aux évocations lubriques, Joséphine sait que ce qu’elle ressent pour lui défit toutes les possibles logiques. Quand il raccommode la position de son caleçon, quand il prend le temps de la regarder avec fascination. Il est l’incarnation même de la moindre de ses passions. Dutch Cooper, addiction. Et docile malgré ce que peut lui inspirer la silhouette fragile, le croissant, il le saisit, et n’ajoute à son bon appétit, aucun son, nul autre bruit. C’est comme ça qu’on voit si on se plaît avec une personne, quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute et profiter du silence. On en omet les lois de l’indépendance.

    Elle aime, le fait qu’il ne la force pas à manger, qu’il ne pose aucune question à ce sujet. D’ailleurs, ils n’en ont jamais parlé, et ça aussi, ça lui plaît, même si elle sait, qu’un jour, elle devra lui expliquer. Car lorsque c’est sérieux, c’est normalement ce qu’on fait. Et elle se perd légèrement dans ses pensées, mais comme à chaque fois, il vient la récupérer. « T’as refusé le mariage » Alors elle incline le visage, pour elle aussi regarder les vestiges de leur libertin naufrage.

    Les yeux de Joey s’en reviennent à ses traits, l’interrogeant des siens, comme s’il avait pu réellement l’envisager. De mettre une bague à autour de ses doigts abîmés. « Mais. Et pour le voyage ? » Elle n’est pas certaine de l’entendre, son mirage. Et dans le sinueux de son esprit, elle l’idée se fraye une place, petit à petit. C’est de la chasser, dont elle en a envie, parce qu’elle tremble à la faveur de ce qui est ici, non-dit. Est-ce encore une proposition sur fond de pauvre con ? En ses yeux opalines vertes Joey cherche l’absolution. Et bien qu’elle soit femme de peu de mots, elle pose ses hésitations. « J’aurais quand même la bague si je ne dis oui qu’à cette proposition ? » Qu’à l’évasion. L’évidence est là, Joséphine, c’est jusqu’au bout du monde, qu’elle te suivra.
         

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    Lien du postSam 27 Fév - 20:32
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    ft. @Joséphine Porter
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    16/01/2021

    would you let me see beneath your beautiful ?

    Elle pourrait me demander la lune que j’irais sans doute me vautrer un étage plus bas en tentant d’aller la lui décrocher depuis son balconnet. Mais c’est un détail que je me garderais bien de lui confier, préférant continuer à émietter la croute dorée de la viennoiserie qu’elle m’a doucement fait passer. « J’aurais quand même la bague si je ne dis oui qu’à cette proposition ? » La bague et le voyage sans les contraintes d’une vie jumelée, sans en connaitre les responsabilités. C’était osé j’en conviens mais de sa bouche rien ne saurait me paraitre être déplacé, juste peut-être un brin plaisanté comme ce que je m'apprête à lui souffler. « Vénale ? » Comme quoi dans toute femme sommeille cet attrait particulier pour les belles choses hors de prix. Il suffit souvent de toucher du doigt le sujet pour apercevoir dans leurs yeux cette petite étincelle soudainement briller.  

    Le geste déroule de son ampleur pour apprécier une seconde fois le moelleux de la mie et songer, tout en la fixant des yeux, ce que pourrait être un séjour seuls, à deux, loin de nos vies respectives pour n’en apprécier que plus fortement l’éphémère aspect. « Peut-être » qui sait. Et maintenant que c’est elle qui la réclame de ses lippes égayées, je n’en conçois que le coté impérieux et dangereux, soudainement pris au dépourvu et à mon propre jeu. Cherchant une voie de sortie, un autre thème à aborder pour passer sous silence cette offrande quémandée, mes yeux se sont égarés sur son pied dépassant légèrement du mobilier où nous sommes attablés. Viennoiserie délaissée en faveur de ce qui m’apparait plus attrayant, j’attrape ce que je devine être sa cheville pour venir l’étendre sur ma cuisse et redessiner tendrement le galbe fuselé de son mollet dans une caresse lente. « Et où tu souhaiterais aller ? » La peau est fine, le grain est lisse, un derme où il me plait de poser la main tandis que de l’autre j’agite ma tasse dont la surface ne cesse de rouler, attendant patiemment afin de ne pas me bruler.

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    Lien du postMar 2 Mar - 20:30
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    would you let me see beneath your beautiful ? - 16/01 - @Dutch B. Cooper

    D’un anneau à sa main, elle n’en a pas le besoin, car c’est déjà dans son entièreté que Joey lui appartient. Il rapièce les morceaux, au gré de ses gestes, de ses mots, d’une femme qui a vu s’envoler tous ses idéaux. Avant toi, elle ne croyait qu’en l’instant présent jusqu’à ce que tu viennes te positionner en évidence dans le moindre de ses instants. Qu’importent les songes, tu es dedans. Des vicieux aux plus pieux, de la sagesse au dément. D’un cœur qui a bien du mal, maintenant, à se tonner indépendant. « Vénale ? » Et le sourire se fond en tout ce qu’il y a, en elle, de reptilien. Car il est vrai que Joséphine souffre d’affection envers le papier du dollar et son grain. « Peut-être » Mais à l’instant où il le prononce, elle le ressent qu’il regrette. Joséphine ne relèvera pas, l’oscillation qu’elle remarque dans son regard, alors que l’une de ses mains part à la recherche de sa peau.

    En un acte manqué, elle mord sa lèvre inférieure, accuse le fait qu’en un simple touché il fasse naître bien des choses en son intérieur. Sur ce corps qui n’a de cesse de ployer pour lui, avec ferveur. Elle en oublie la plaisanterie au sujet de la bague en faveur de cette caresse dont il maitrise la lenteur. « Et où tu souhaiterais aller ? » Parce que la proposition était vraie ? Elle en est, un tantinet, sonnée. Elle tente de délier le faux de la réalité sur ses traits. Et seulement parce qu’il fait perdurer son supplice, elle le pousse, au plus loin, le caprice. « Chez moi. » Presque, en tous cas. Là où ça aurait pu l’être, si elle n’avait pas alimenté le feu de son hérésie, si son corps n’avait pas été traitre. Et de l’emprise de sa main, à regret, elle se dépêtre.

    Elle se redresse, pour atteindre ses aspirations, elle éternise, féline, sans aucune gêne, comme si elle portait une robe qu’elle ne désire pas froisser, remonte du tissu les contours, dévoile le féminin de ses atours, avant de se glisser entre lui et la table où gît son petit déjeuné. Complicité dans le regard échangé, « En France. » cette ville qui a la force d’engendrer son errance. « Paris ? » elle prononce comme on supplie, alors que ses lèvres fébriles s’apostrophent sur sa bouche, persuadée que le rêve est beau mais que c’est une connerie. Elle le surplombe en une chevauchée réinventée. De ses ongles elle érafle le cou de son amant, au rythme de sa respiration son corps quémande le sien en de faibles mouvements.  
         

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    Lien du postMer 17 Mar - 18:58
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    16/01/2021

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    Mes empreintes s’éternisent et succombent au feu de sa subtilité, amourachées de ce derme dont elles ne veulent se délier. Et dans ce duel innocemment débuté elle cherche du regard à démêler le faux du vrai lorsque je me propose de la faire voyager, en ma compagnie, vers une contrée qui nous changerait d’ici. Elle finira par proposer la destination de son choix, « Chez moi », à ceci près que je ne sais pas d’où elle vient, un détail qui me paraissait  jusque-là anodin. Il faut croire pourtant qu’à nos corps éreintés viennent maintenant se lier nos passés et j’accuse encore une fois le fait de la vouloir pour moi lorsqu’elle retire sa jambe de son piédestal afin de se redresser, lentement, gracieuse paresseuse qui contourne la table en se jouant du textile qui recouvrait son intime jusqu’à il y a peu.

    Entre complicité et conflit, elle marque son territoire, me laissant désarmé face à ses charmes qu’elle affiche sournoisement sous mon nez avant de prendre position sur ce coffrage qui ne tardera pas à exploser. Ses lèvres s’impriment et s’imbriquent sur les reliefs du tissu et j’en réprime un soupir de satisfaction, une main glissée sur la cambrure de ses reins pour la conforter dans sa soul attitude ancrée au blues bleuté de ses yeux. « En France. Paris ? » Une française à l’accent du coin, pas commun et elle n’en devient que plus exceptionnelle et unique aux miens. Et son regard si dilué devient pétillant lorsque son bassin s’anime de licencieux mouvements, griffes posées sur ma nuque qui associe cruelle tendresse et nerveuse arrogance. « Paris… »  Ce n’est certainement pas pour gouter à la gastronomie qui fait le renom de cette ville qu’elle souhaite s’y perdre et je devine le pourquoi de son choix à moins qu’elle n’en soit native. Peut-être la mode quoiqu’elle sait se satisfaire d’un rien, même d’un vulgaire t-shirt au masculin.

    Toujours est-il que j’argumente mes ardeurs de cette paume qui remonte le long de sa cuisse repliée pour plonger dans ses mouvantes abysses, là où j’aimerais venir encore une fois la souiller, caressant du pouce son aine tendrement et lui glisser : « A une condition. » Le doigt poursuit et vagabonde sur le cintré de sa hanche, pour dans ce jeu d’ivresse souligner l’impression de mes ambitions d’une main allant se poser à la symétrie de sa jumelle sous sa croupe. Elle est soulevée, délicatement à l’image de ce qu’elle a jusqu’ici témoigné, pour être étendue sur cette table dans le bruit cristallin des verres bousculés, allongée entre mes bras qui rythment de caresses sous le textile son flanc saillant, désir et intime en éveil au compas de ses cuisses écartées. « Dis-le. En français. »  

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    Lien du postVen 19 Mar - 16:06
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    would you let me see beneath your beautiful ? - 16/01 - @Dutch B. Cooper

    Elle s’éternise, sous sa totale emprise, les doigts encore harponnés sur sa nuque qu’elle ne s’envisage pas à lâcher. Le souffle court pour venir se reprendre dans le sien, et que son regard lui appartient, comme peut-être, l’entièreté de son destin. C’est étrange, et à la fois, c’est incroyablement bien. Il y a ce calme, presque trop serein. Ce moment qui s’amalgame au divin.
    Elle ne s’amenuise pas la luxure qui tapisse ses mouvements, alors que le nom s’échappe d’entre l’ouverture de ses dents. Qui lui rappelle que c’était, peut-être, un rêve trop grand. « Paris… » Légèrement, les paupières de Joey s’abaissent, alors qu’elle esquisse un sourire pour cacher sa faiblesse. Elle sait pertinemment, que les chances d’être tous les deux dans cet ailleurs, elles ne sont que constituées de maigreur. Et tu vois, Dutch, ça ne torture même pas son cœur. Elle apprécie l’aparté rêveur, qui pour l’instant se refuse à se teinter d’une inévitable noirceur.

    Et les possibles pensées qui auraient pu contrebalancer ce qu’elle se permet ici d’éprouver sont balayées par cette paume qui imprime sur sa peau de si extatiques idéaux. Provoque quelques frissons qui s’épuisent jusque dans son dos. « A une condition. » Il en ravive ses émotions, quand c’est un ; tout ce que tu voudras, que lui murmure sa pernicieuse dévotion.
    A la langueur de ses mains qui, sous elle, s’animent, quand il se redresse, les corps s’épousent et se compriment. Et s’éloignent à regret, quand il dépose sur la table celui de Joey. Qu’il fait perdurer ses effleurements, qu’il lui fait perdre la tête, tout simplement. Leurs opalines claires se retrouvant, des regards aimants, de ses mots, il la surprend. « Dis-le. En français. » Ça en est presque instinctif, comme elle se met à rire, sans pouvoir le commander. Le dire en français…

    Elle s’hypnotise de leur proximité, de ses propres phalanges qui tatouent avec une renouvelée tendresse, l’ampleur de cette affection enchanteresse. Elle le marque de sa possessivité, quand son pouce va souligner, en un acte qu’elle adore réaliser, à croire qu’elle ne se peut être lassée, l’arc de ce sourire empreint de leur complicité. Et abdique en une caresse redescente vers la cicatrice de son cœur abîmé. Elle est persuadée d’entendre le sien battre trop fort, prêt à éclater. « Dire quoi ? » elle les prononce, dans la langue qu’ils partagent ici-bas, ces deux-là.

    Et quand sa jambe remonte contre le côté de son corps, qu’elle l’invite à constater la tiédeur qu’elle arbore, c’est sa lèvre inférieure qu’elle mord. Avant de reprendre dans ce dialecte qui pour les dramaturges vaut de l’or. « Que tu me plais ? » Plus qu’aucun autre et que ça pourrait bien l’achever. Mais elle est certaine de l’avoir déjà déclarée, ce jour où après une querelle, il n’a pas voulu rentrer. Et elle perçoit dans ses yeux, le fait qu'elle est la seule à parler le vocabulaire de ses aïeux. Alors elle fait mine de réfléchir, encore un peu. « Que c’est sérieux ? » Nous deux. « Que… » et elle le pousse plus loin, le dangereux de leur jeu. « Oui, un jour, je t’épouserais. » Si l'enfer ne s'ouvre pas sous nos pieds. Le rire s’en vient à nouveau à violer ses lèvres qui, de lui, voudraient bien s’abreuver, persuadée que la demande ne sera jamais sérieusement réitérée. Le secret de son inclinaison est bien plus beau, en Français.    
         

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    Lien du postDim 11 Avr - 10:48
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    16/01/2021

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    Et elle rit aux éclats à peine ma condition imposée sans que je ne sache pourquoi, peut-être un brin fleur bleue à ses yeux par le fait de vouloir l’entendre le prononcer. J’avoue que j’aimerais voir sortir de ses lèvres ces quelques mots qu’elle n’a jamais dû entonner, rien qu’une fois histoire de voir ce que ça fait. « Dire quoi ? » Tu le sais… Et même si se moquer n’est qu’une façade pour dissimiler ce qui aujourd’hui n’est plus un secret, la voir pleine de liesse et ressentir ses empreintes souligner mes faiblesses me satisfait amplement.

    Alors elle se montre plus accueillante d’une jambe repliée contre mon flanc, m’invite à venir au plus près contre son intimité enivrante et mordille ces lèvres venues braver les siennes dans le halo discret d’un soleil qui s’éveille. « Que tu me plais ? » Dialectique à la consonance barbare qui en a perdu plus d’un et à laquelle je n’entends rien. Mais j’ai souhaité qu’elle s’exprime ainsi et dans sa bouche mutine ourlée de lascivité, j’en redécouvre les teintes de sa sensualité. « Que c’est sérieux ? » C’est du petit chinois pour moi tu sais… « Que… » Et dans l’attente de la suite, ma paume part redécouvrir ce terrain de jeu mis à ma portée, celui de ta cuisse repliée, en quête de souvenirs troublants, me posant à l’aube de ta nudité naturellement décomplexée dont je m’imprègne en toute liberté. « Oui, un jour, je t’épouserais. » Et de nouveau son rire cristallin perce le complice silence de mes attentions, preuve pour elle de mon entière dévotion lorsque ma main argumente mes ardeurs vers un ailleurs, retroussant le textile jusqu’à ses rondeurs.

    « Te haré olvidar lo que te hizo sufrir. »  A tous ces cons qui n’ont pas su assurer là où tu les as vu lamentablement échouer, ne te donnant satisfaction après un coup rapidement tiré sans savoir perdurer et te laisser tomber. Chute vertigineuse vers le port audacieux de ses deux sphères mises à nues, derrière cette façade urbaine, exposées aux regards d’inconnus et à son insu, ma paume en retravaille le circulaire pour que mes lèvres en épousent les hémisphères. Diable au corps et feu à l’âme, je me damnerais volontiers pour que cet instant perdure à jamais, la respirer à m'en enivrer et me préparer à l'apnée pour la garder imprimée, elle et son parfum léger.

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    Lien du postMar 13 Avr - 22:50
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    would you let me see beneath your beautiful ? - 16/01 - @Dutch B. Cooper

    Son rire s’amenuise, et à la langueur de cette paume qui la découvre, son derme s’électrise. Il y a aussi, son rythme cardiaque qui s’accélère à la force de ces sentiments qu’elle éprouve et qui lorsqu’il n’est pas là, la désespère. Encore sous le joug des mots qu’elle vient de prononcer, ces vérités qu’il n’a pas comprises, mais qui peuvent changer le cours de certaines vies. Et s’il lui demandait de traduire ses mots ? Joséphine le ferait, sans nul doute, sur sa peau. Parce qu’il souffle sur la sienne, s’infiltre tel un doux poison dans la moindre de ses veines. Et il lui rend la pareille, à sa façon, Dutch la déconcerte et l’émerveille. « Te haré olvidar lo que te hizo sufrir. » A son tour, oui, de ne pas comprendre mais d’être, licencieusement enivrée, grisée par cette bouche qui sur sa poitrine emballée vient se poser. Qu’importe ce qu’il pourrait faire, qu’importe ce qu’il a pu lui dire, elle vendrait son royaume pour devenir son empire. Son âme pour lui appartenir.

    Et Joey se laisse sombrer dans la luxure, car de ses baisers, il impose la mesure. Toujours le même effet, l’impact exaltant, de ses mains, elle accompagne ses mouvements. De ses épaules à son cou, l’être près a devenir fou. Elle savoure le lascif de l’instant, et c’est de leur langue commune, qu’elle reprend ; « Tout ce que tu voudras. » Elle est prête à accepter les moindres maux de toi. Puisqu’elle n’a rien compris, mais qu’elle est indéniable, tangible, cette confiance qu’elle a mise en lui. Et si elle en finit damnée ou punie ? Elle s’y risque volontiers, pour lui.

    Il lui faut toute la volonté du monde pour ne pas se laisser entraîner dans la volupté, pour reprendre conscience et ne pas, trop rapidement perdre pieds, à l’orée d’en souffrir, alors qu’elle l’invite à la regarder. « Et la fenêtre ? » Elle n'a absolument pas oublié les obsènes desseins qu'il avait en tête. Mais elle ne croit pas en ses paroles, car elle se positionne mieux sur la table et que les vestiges des viennoiseries dégringolent. Ici et maintenant. Désir de tendresse, de s’apprécier sans parcimonie mais avec la folie de l’ivresse. Et feignant une discussion comme les couples en ont des centaines lorsqu’ils prennent le petit-déjeuner, le matin ; « Espagnol, italien… ? » elle interroge alors qu’elle achève ce qu’il avait commencé de ses mains, retire le vêtement trop grand, avant de retrouver du sinueux de sa peau, le chemin.    
         

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    Lien du postMer 2 Juin - 23:41
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    16/01/2021

    would you let me see beneath your beautiful ?

    Regard haletant sous autant de sincérité, au pouvoir de l’aube dont ses yeux se gorgent de luminosité, elle est mienne et moi sien, nous liant inextricablement pour un même destin commun sans pour autant ouvertement se le jurer. Les mots sont vains, superflus puisque c’est au plaisir de mes lèvres que j’imprime mes desseins sur ses seins, me gavant du stupre qu’exhale sa peau, de son parfum.  « Tout ce que tu voudras. » Rien d’autre que te voir aux abois, toi, récupérée derrière un comptoir dans la tiédeur maligne d’un soir d’octobre, suppliciée les cuisses écartées devant mes appétits bestiaux et grivois. « Et la fenêtre ? » Bouche en survole sur sa poitrine, elle impose une trêve momentanée à mon souffle qui vient s’étaler sur son derme finement auréolé. La prendre contre cette vitre, l’étaler au grand jour et l’entendre gémir son plaisir sous les yeux de la foule, j’y ai pensé.

    Mais elle s’étend dans un encouragement camouflé, allonge ses cuisses, ses chevilles ancrées contre les flancs de cette table sur laquelle elle souhaite se voir succomber. Je laisse alors mon regard sombrer sur le confus de son comportement, se cambrer pour se donner encore plus intensément. « Espagnol, italien… ? » Et sous cette phonétique particulière qui a pu lui mettre aisément la puce à l’oreille, mes mains se font caresses le long de ses flancs pour descendre dans le lit de son ventre doucement, baisant de morsures assassines qui au creux de son aine impriment la chair tendre et légère. « Mexique » puisque je n’ai jamais pu dépasser les frontières océaniques depuis, préférant me vautrer dans ses abîmes. Elle arque son bassin, m’offre le plaisir de glisser sous sa croupe mes mains et paumes plantées sur ses reins elle est aidée, légèrement soulevée, fleur offerte à ma langue qui vient en piéger le capiteux de sa peau, son corps relâché qui se tend subtilement sous mes baisers répétés. Ses frissons la trahissent et l’emportent vers l’abandon, mais en confiance, sous le pouvoir de mes mains qui lentement impriment le mouvement de son bassin, la berçant vers de plus impérieux besoins, ma respiration s’étalant sur la tiédeur de son écrin.

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    Lien du postVen 16 Juil - 23:10
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    would you let me see beneath your beautiful ? - 16/01 - @Dutch B. Cooper

    Les mots et les langages distincts sont oubliés à la faveur des lèvres de mon amant qui viennent, à répétitions, me marquer. Je m’évade en soupirs, j’en ressens dans le moindre de mes membres, muscles, nerfs, pores caressés, combien je le désire. Lui et plus aucun autre, fidèle déjà depuis plusieurs mois. Mais les choses ont été, ici, dites à haute voix. Et j’en suis plus que soulagée de savoir que l’affection est partagée, que c’est pour tous les deux qu’il n’est plus seulement une question de draps froissés. Bien que, déjà, je m’en doutais, ça fait toute la différence, nous amorçons, ce matin, une nouvelle danse.

    Tout aussi lascive lorsqu’il me confie les origines de la promesse qu’il a prononcé, m'offrant en le faisant une légère ouverture au sujet de son passé. Une matière qu’il me faudra, assurément un jour, étudier. Mais alors que ses mains épousent mes hanches, que sa bouche s’affaire à descendre, j’en perds le rythme de ma respiration, me galvanise à l’excès de la puissance de mes émotions. Et la tiédeur de ses baisers couvrant ce con qui n’en finit pas de le quémander. Je m’abandonne lorsqu’il s’adonne, je me délecte de ses prouesses, et je profite de l’instant qui semble s’étendre sur la courbe du temps. Les besoins de le ressentir me possédant de plus en plus grand.  

    Car je suis sienne et qu’il est mien et que je lui laisse ce droit de faire ce qu’il veut de moi. Et de notre union lascive j’en adore les prémices, je ploie volontiers vers l’entièreté de ses licencieux supplices. Sous le joug de mes gémissements, mes paumes jalonnant son visage tendrement. Alors que je l’espère et l’aspire aussi doux que véhément. Je me donne à lui sans condition, et je lui confie toute l'ampleur de ma déraison, tous les tumultes de mes émotions. Sachant qu'un « je t’aime » perdu se cachera dans le fond de ma voix, à chaque fois que je le supplierai d’un « Prends-moi. »

    FIN DU RP 😏 TW // Beneath your beautiful ? // Dutch. - Page 2 2764


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