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    ||Can you feel his presence ?|| miss Billie O'Malley
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    Lien du postDim 10 Jan - 2:11
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    CAN YOU FEEL
    HIS PRESENCE ?
    Je ne peux trouver les bras de Morphée, pas ce soir. Je ne cesse de changer de position dans mon immense lit, et même Brownie, mon chiot femelle husky s’agite, car elle sent inévitablement que ça ne va pas. Que m’arrive-t-il ? Je le sens, simplement. J’ai la sensation qu’il est omniprésent depuis que j’ai conversé à son propos lors de messages textes échangés avec Billie et à présent qu’elle doit venir à mon domicile afin de le ressentir elle aussi, je n’arrive à rester tranquille, sans m’agiter. M’étant énervé plus d’une fois depuis lors, en frappant du poing sur la table, mon bureau ou encore en frappant dans mon sac de boxe, je ne cesse d’avoir sur le bout de mon nez mes lunettes de vue Prada puisque sans elles, je souffrirais de maux de tête terribles. J’ai déjà mal, seulement, je prends toutes les six heures un médicament afin de soulager mes douleurs, bien qu’elles ne se dissipent totalement véritablement. 
    Soupir. Un énième. Mon regard lapis-lazuli rivé sur le plafond de ma chambre, je compte les moutons. Ai-je l’air sot ? Oui et non, étant donné que personne ne le sait, même pas Brownie puisque je le fais dans ma tête. Seulement, mes poings se referment sur le drap sous lequel je me trouve et Brownie termine de me rejoindre sur le lit, dans un jappement qui me permet de me détendre. « Papa est là. » Je souffle, pour caresser avec tendresse ainsi qu’amour son adorable tête qui repose sur le haut de mon torse nu. « Je te demande pardon, d’être aussi agité en ce moment. » Je souffle, quand elle semble me faire comprendre qu’elle me pardonne en léchant mes lèvres, puis mon nez. « Brownie ! » Je fais mine des râler, pour laisser un rire s’extirper d’entre mes lèvres. « Aller, papa t’autorise à dormir tout contre lui. » Je lui murmure, puisqu’il le faudra pour les prochains jours, j’en ai la quasi-certitude, étant donné qu’il va y avoir une terrible tempête qui va s’abattre sur Boston et connaissant mon adorable bébé, elle risque de mal la supporter. « Papa t’aime. » Je souffle à son attention, pour passer avec tendresse mes doigts longs et fin dans son pelage et c’est ainsi que nous finissons par trouver le sommeil.
    Me retournant dans le lit, je peine à ouvrir l’œil. « Brownie, c’est bon, j’ai compris. » Je souffle dans un soupir, car mon canidé a décidé qu’il était temps que nous nous levions, alors qu’il n’est que six heures du matin. « Tu n’as pas compris quel jour, papa ne travaillait pas. » Je bougonne tout en me levant en ayant rejeté le drap et la couverture en arrière pour me rendre à la cuisine et préparer ses gamelles. « Voilà, bébé. » M’accroupissant, je la saisis et la berce dans mes bras pour déposer de multiples baisers sur le haut de sa tête. « Petit déjeune gentiment pendant que je me douche et me vêtis. Ton amie Billie passe, ce matin. Ce qui signifie que je ne travaille pas. » Lui offrant un mince sourire, je termine de rejoindre la chambre puisque ma salle de bain se trouve adjacente et après une douche brûlante, je retrouve mon dressing qui l’est lui aussi. Serviette nouée autour de la taille, je me saisis d’un pull bleu marine, fin, Burberry, d’un boxer noir, Hugo Boss et d’un pantalon de costume signé Armani. Enfilant le tout, j’ajoute à ma tenue l’une de mes paires de souliers Louboutin et je suis prêt, enfin, à recevoir Billie. « Brownie, sais-tu où se trouve mes lunettes ? » Je demande, à voix haute, pour sourire et lever les yeux au ciel à ma bêtise, puisqu’elle ne peut me répondre. « Tu es bien sot, Gresham Oxley Ewart. » Je murmure à mon reflet, pour rejoindre la chambre et terminer de les dénicher, sur la table de nuit. Installer au salon, Brownie devant la chaîne de dessins animés, je termine de m’assoupir avec le journal de la ville en mains, quand je perçois l’aboiement de mon chiot ainsi que des coups à ma porte d’entrée. « J’arrive. » Je prononce, ensommeillé, pour rejoindre le vestibule et ouvrir. « Bonjour Billie. » Je dis, dans un fin sourire. « Entre, je t’en prie. » Dans un geste gentleman, je me mets de côté et l’invite à entrer, tandis que Brownie lui tourne déjà autour, heureuse. « Tu es et resteras toujours dans son cœur. » Je lui assure, dans un sourire plus large, pour continuer : « J’avais prévenu que je recevais de la visite aujourd’hui. J’espère qu’ils ne t’ont pas trop questionné, au bas de l’immeuble. Ils ne font pas monter qui que ce soit, s’ils ne sont prévenus. » Je murmure, en grattant nerveusement ma nuque, puisque le personnel de l’immeuble est on ne peut plus strict en ce qui concerne les règles de la résidence. « Bienvenue chez-moi et fais comme chez-toi. » Je termine, pour verrouiller derrière nous. 
    @MADE BY ice and fire.
    Billie O'MalleyMembre de la Adams House
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    Billie O'Malley
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    Âge : 26
    Lieu de naissance : Glencolmcille, cherche pas sur Google, c'est en Irlande.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : entre Manchester-by-the-Sea, dans une maison beaucoup trop grande et beaucoup trop vide, et une chambre de la adams
    Situation sentimentale : célibataire, experte en désillusions, amoureuse d'une rousse qui s'est barrée
    Études & Métiers : étudiante en sciences environnementales et barmaid au Drink.
    Date d'inscription : 18/06/2017
    Pseudo & pronom IRL : GLEEK! (Annabelle)
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    Avatar utilisé : Florence Pugh
    Crédits : cheekeyfire(avatar) alcara (signature) lovebug la talentueuse (code profil)
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    Me, Myself and I · · · · ·
    irlandaise, puis new-yorkaise ● ses parents tiennent une librairie à NY, qui périclite ● a obtenu une bourse pour rentrer à Harvard ● son petit frère Zach a disparu alors qu’elle avait quinze ans, et n’a jamais été retrouvé ● vit avec son fantôme depuis, qui lui est apparu plusieurs semaines après sa disparition ● ses parents n’ont jamais accepté l’idée de sa mort ● apprentie passeuse d’âmes, elle développe une capacité à communiquer avec les morts ● ses parents lui ont collé le mot « folie », si bien qu’elle n’a plus jamais parlé à personne de son don ● galère à s’accrocher aux autres, à accorder sa confiance, ne voyant que le temporaire de la vie ● son corps est jonché de cicatrices causées par ses escapades nocturnes avec son frère ● des cachets sous le lit, bien dissimulés sous une latte de parquet ● fervente défenseure de la cause animale et de l’écologie, elle donne régulièrement de la voix dans les manifestations ● Maverick lui a légué une maison, et les droits sur son dernier livre, la catapultant d’un niveau de vie très modeste, à aisée.

    · · · · · · · · · · · · · · ·
    maladroite, obstinée, imprudente, accro à l’adrénaline - sans aucun instinct de survie, lunaire, effrontée, provocatrice, ambitieuse, misanthrope, impudique, mélancolique, soumise à ses pulsions, décomplexée, maline, menteuse, solitaire, fragile

    fun facts : se coupe les cheveux elle-même, les teint de manière aléatoire - tantôt négligée, tantôt apprêtée, elle se moque de son apparence et s'amuse de son reflet - fait la collection des peluches O’Malley - cuisine beaucoup et expérimente les plus étranges des alliances - roule la moto ayant causée la mort de Maverick, et participe à des courses illégales, le tout sans permis - préfère les livres aux séries - possède un vieux téléphone - dépassée par la technologie - ne fait jamais de sport -

    · · · · · · · · · · · · · · ·
    Family · Mr&Mrs O'Malley (pnj) parents - relation compliquée, conflictuelle, silencieuse Zach (pnj - décédé) frère qu'on pourrait croire jumeau, disparu, puis réapparu juste pour elle - la perte qui bousille tout, les souvenirs gravés dans les cicatrices -

    Love andm friends · Eowyn (pnj - ancien personnage) ex petite-amie, ex amoureuse, ex espoir, le premier et unique essai d'une relation sérieuse Wade amitié forte, attraction forte, le passionnel et le conflictuel emmêlés, saupoudrés de quelques sentiments parasites Loyd petite description du lien Quentin petite description du lien Nicola petite description du lien Anders petite description du lien Jinx petite description du lien Auréa petite description du lien

    Other · Andréa & Gustin méfiance, défiance, colère contre leur mauvaise influence, menaces pour l'une, voiture flinguée pour l'autre en représailles à leur défaillance.
    Warning : prise occasionnelle d'anxiolytiques et somnifères en lien avec des périodes d'état dépressif, disparition d’un proche (frère), surnaturel, perception de fantômes et communication avec les esprits, propos parfois vulgaires et impudiques
    RPS : 104
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    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t119990-billie-o-malley-saoirse-ronan
    Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t120243-billie-o-malley-456-824-7330#4489947
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155801-billie-o-malley-fiche-de-liens
    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t121158-meetsachussets-billiethekid#4556395
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    Lien du postLun 18 Jan - 22:52
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    CAN YOU FEEL
    HIS PRESENCE ?
    C’est ridicule. C’est ridicule mais O’Malley a une légère appréhension. C’est une pointe dans le ventre, et les lèvres se mordent. Une goutte de sang perle, vite essuyée par un revers de main. L’esprit fait le tri, mais est incapable de comprendre la raison de ce désordre. Peut-être le mélange des genres. L’impression d’être une intrue dans le décor qu’elle imagine. D’ordinaire, demoiselle se moque du monde entier. De tous les regards qui glissent sur elle. Parfois insistants, parfois teintés d’ironie. Elle en rit, imagine les dialogues, se narre l’ennui de leurs vies à eux, comparées à la sienne. Mais aujourd’hui, ça passe un peu moins. Aujourd’hui, elle ajuste un peu mieux ses cheveux, passe les doigts dans la crinière blonde et tente de les ordonner vaguement. Elle mets un chemisier que lui a refilé Zahra - la fille pas le magasin. Paraitre mieux, sans être déguisée. Laisser cette goutte de sang tâcher légèrement le bord du tissu. Recouvrir la bouche gercée d’un film transparent à la cerise. Repenser à cette pointe dans le bide. Repenser aux conversations. C’est n’importe quoi O’Malley. Peut-être même qu’il va en rire, lui aussi. Peut-être qu’il est de ces êtres qui cajolent puis torturent. Font mine de comprendre, pour mieux ricaner des irrégularités de l’esprit. Un diner de con, avec comme invitée Billie. La fille aux joues rebondies, un peu gauche et trop bavarde. Ca colle pas avec ton univers Gresham. J’le vois aux regards que lance le gardien. J’suppose que c’est ça, non ? Dans ces résidences y a des employés. Et clairement, vu les prunelles qui insistent, qui remontent de mes chaussures abimées à mes cheveux trop naturellement coiffés, j’suis plus de ces gens qu’on met dehors, plutôt que ces individus qu’on fait rentrer. Qu’importe, j’insiste de quelques répliques, et c’est ton monde qui s’ouvre à moi. Les prunelles vertes vont partout. S’attardent sur l’architecture, la clarté. La maison sur la plage est belle, mais elle n’a rien à voir avec ce que tu me proposes. Mes doigts ont presque peur d’abimer la rampe, la poignée. Dans cette histoire j’ai le sang impur. Et, la porte s’ouvre. Sur toi qui est encore plus grand que la dernière fois, et sur Brownie qui s’exprime depuis le premier coup sur le bois. Y a un bien un « he.. » qui commence, oubliant le « y » au bout, interrompu par sa propre exclamation : « BROWNIE ! » C’est trop fort et ça raisonne dans le couloir. Tu vois O’Malley, c’est pour ça que les gens comme toi ne sont pas très bien regardés à l’entrée. Fait quelques pas pour rentrer dans la demeure, et se trouve déjà à genoux, les doigts s’enfonçant dans la fourrure. « Tu as tellement grandi. » Et, elle est tellement belle. Les orbes remontent le long du pantalon de costume, jusqu’à atteindre ses yeux à lui. « Tu t’en occupes bien. » Le sourire est prononcé sur les traits. C’est une vraie joie de voir combien le chiot est devenu épanouis. Combien il se rappelle, aussi. Se relève, pour avancer un peu plus loin que le couloir. « Je crois qu’ils n’ont pas trop l’habitude de.. » Une-deux secondes sans trouver de fin à cette phrase mal commencée. Les doigts finissent par me désigner, d’un geste vague. Des gens comme moi. Des filles sans talon, et sans surement, une beauté caractéristique. Je m’en fous, en dehors de ces murs je m’en fous. Mais, là, sans me l’expliquer, je ne m’en fous pas. Ca pèse légèrement sur les épaules. Cède en un sourire plus prononcé. « Mais, ils font très bien leur boulot. » Je suppose. Et, puisque tu m’en donnes la permission ; chez moi, j’enlève mon manteau que je laisse reposer sur une chaise choisie au hasard. Et j’enlève mes chaussures, que je pousse du bout du pied dans un coin. Définitivement un mauvais choix, puisque je perds encore deux-trois centimètres. « Tu me fais visiter ? » Tout est rangé, tout est en ordre, partout où je pose mes billes. Tout va ensemble : les murs et l’homme. « Je veux voir le placard à Louboutin. » Répliqué avec une malice dans les pommettes. Malice qui se gêne légèrement, quand le regard se pose sur ses pieds à elle, seulement vêtus de chaussettes noires désormais. Encore un choix douteux. C’est ridicule, j’vous le disais.
     
    @MADE BY ice and fire.




    used to be young ☽ take onе, pour it out, it's not worth cryin' 'bout, the things you can't erase like tattoos and regrets, words I never meant and ones that got away, left my livin' fast somewhere in the past and took another road, turns out crowded rooms empty out as soon there's somewhere else to go, oh – miley cyrus
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    Lien du postDim 24 Jan - 1:31
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    CAN YOU FEEL
    HIS PRESENCE ?
    Je savais que j’allais recevoir de la visite en ce jour, seulement, ayant trop peu dormi la veille, puisque je songeais à lui, j’ai fini par piquer du nez et c’est ensommeillé que je rejoins ma porte d’entrée, mon esprit embrumé. Suis-je encore dans une sorte d’atmosphère nébuleuse, puisque je ne fais que songer à lui ainsi que rêver de lui ? Sans nul doute aucun, le fait est que l’apparition de Billie dans mon champ de vision fait naître un sourire sur mon visage qui - par ailleurs - s’épanouit lorsque je constate la réaction de notre belle Brownie. « Je savais que vous seriez ravies de vous retrouver. » Je souffle pour moi-même tandis que je vous regarde faire, que j’assiste à ce spectacle qui me fait sourire davantage encore, car attendrissant et beau, comme je me l’imaginais. « Tu as vu cela ? » Je l’interroge tandis que je verrouille derrière moi et que Billie constate à quel point notre husky a grandi, avec les quelques mois qui ont défilé, rapidement. « Je te remercie, je fais de mon mieux. » Je réponds, me trouvant gêner par son compliment, puisque j’exècre ceux-ci, alors je gratte ma nuque, légèrement, et l’interroge afin de changer de sujet de conversation. Parlant du personnel de l’immeuble, je m’enquis de la façon dont ils ont pu la traiter et à ses mots, je pince mers lèvres et serre les poings, ce qui incite immédiatement Brownie à me rejoindre afin de m’apaiser. « Je suis là, mon bébé. » Je termine de souffler en m’accroupissant afin de caresser son doux pelage et ainsi, recouvrer mon calme, aisément. « Merci. » Déposant de nombreux baisers sur le haut de son crâne, je termine de me relever et indique à ma chère Billie qu’elle est ici chez elle. La regardant faire, amusé, plaçant l’un de mes index sur ma bouche charnue, j’acquiesce dans un mouvement de tête à sa requête, tandis que ma Brown Brown me regarde avec tendresse. « Bien sûr, je vais te faire visiter mon appartement. » Je souffle, lorsqu’à ses derniers mots soufflés, je lève les yeux au ciel et laisse un léger rire s’extirper d’entre mes lippes. « Veux-tu que nous commencions par mon dressing ? » Inclinant ma tête de côté, je me permets de passer devant elle, avant de lui signaler de me suivre. « Nous allons devoir passer ma chambre à coucher, la principale, afin de rejoindre mon dressing. Il y a trois portes présentes dans cette dernière, mais tu le constateras, elle est assez… » Je cherche le terme juste, approprié. « Immense. » Il me semble qu’il s’agit de celui qui convient et j’y pénètre le premier, laissant ses billes se poser un peu partout pour rejoindre une première porte se trouvant sur la gauche : celle menant à mon dressing tout aussi grand que ma chambre. « C’est par ici. » Je souffle, pour ouvrir et lui faire signe de pénétrer la première avant de m’y engouffrer et ouvrir le placard contenant mes souliers ainsi que bottes griffées Louboutin, toutes ou presque. « Désires-tu voir l’intégralité de mes costumes pendant que nous y sommes ? » Je ne peux m’empêcher de lui demander, un sourire à présent constant ornant mon visage depuis son apparition. « Brownie adore venir ici, afin d’avoir accès à mes lacets, comme tu te doutes. » Petite référence à mon amour qui mâchouille avec plaisir mes dits lacets. « Je m’en offre, uniquement pour elle. Je crois que Brownie aura toujours cette fâcheuse addiction. » Je conclus à ce propos, puisque de toute manière, c’est peine perdue de souhaiter la faire arrêter, je crois. Puis je suis incapable de lui dire non, lorsqu’elle me fixe avec ses superbes prunelles, qui me supplient de ne pas être trop dur avec elle. « Souhaites-tu boire quoi que ce soit ? Je manque à mes devoirs, j’en suis désolé. » Je termine de souffler, me trouvant gêner ainsi qu’impardonnable, puisque je n’ai pas agi avec l’éducation que l'on m’a inculquée, et cela, avec sévérité, puisque j’en ai reçu des coups à l’époque, afin que je sois digne de dîner à la table de la noble famille Egerton, seulement cela, personne ne l’a jamais su.
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    Quand les yeux se portent sur le futur, ils se brouillent un peu. Le vert se teinte. S’adapte. Il prend quelques nuances plus ou moins colorées. Je n’ai jamais vu au-delà que le lendemain. Les projets sont des objectifs que se fixent les optimistes. Ceux qui ne placent pas la fin avant le début. Alors, je ne me suis jamais imaginée entourée d’enfants, d’un homme ou d’une femme, d’une maison et d’une barrière blanche. Tout ce qu’on nous inscrit à l’esprit, quand on commence à ouvrir grand les yeux. Ce qu’on nous souffle, quand on commence à dévier du chemin originel. Ainsi, tout n’est qu’instinct. Le moment n’est que présent. Joie actuelle, quand c’est ton visage de géant ravi qui s’affiche, et quand ma, puis ta, progéniture laisse éclater un bienvenue bruyant. Les prunelles remontent le long de la montagne que tu représentes, vu d’en bas. Tes traits sont plus apaisés quand tu la regardes. C’était là notre mission secrète, à Brownie et moi. On ne sauve pas de ville, on ne poursuit pas de méchants ; mais on rend plus beau les déjà beaux. Plus paisibles les tourmentés. On se regarde, elle et moi, et je suis persuadée qu’on pense la même chose. Je suis persuadée qu’on perçoit quand ton corps se crispe, car j’parle trop. Car de toute façon, j’suis pas foutue de limiter mes mots. Ils passent ma bouche et se barrent. Ils sont déjà loin quand j’me rends compte que c’est pas le genre de trucs à dire. Il y a des vérités qu'il vaut mieux enterrer. Brownie s’avance, et moi j’reste plantée à ma place. On a pas la proximité que vous avez. On se connait même pas. Ou, peut-être que si. Peut-être que j’t’ai parlé de plus de choses en peu de temps, par messages, que je ne le confie aux autres. Peut-être même que je remercie Brownie d’une légère caresse, quand elle revient vers moi. La langue sur mes doigts, elle m’embrasse la pulpe. Chaine de baisers. « Le dressing évidemment. Je me suis faite pleins de films sur une grande étendue de chemises blanches et de pulls en cashmere. » La malice accrochée au sourire, et les pas qui te suivent. Les billes qui s’ouvrent grands ; écarquillées est le mot. « Oh.. » C’est immense. C’est presque trop. « wow. » Une gamine dans un magasin de bonbons. C’est beau et ca brille. C’est un monde inconnu. Il faut tout apprendre de ce nouvel univers, en découvrir les codes et comprendre quand les ignorer. « J’ai presque envie de t’habiller comme un sims, pour voir toutes les tenues portées. » Un rire qui s’échappe, et les doigts se posent sur le bout d’une chaussure. Un morceau d’art. Le regard balaye ce morceau de dressing impressionnant, puis fini sa course sur le bellâtre. Rictus amusé. « Elle va finir par avoir ses préférences. De couleur, de forme, de taille. » On aura jamais fait autant pour le bonheur d’un si petit être. Un être si plein de spontanéité, quand toi, tu t’enfermes entre quatre murs. Tu t’excuses. Et, mes lèvres se pincent. « Si tu veux me faire plaisir, oublie tout ce qui est.. devoirs, conventions et.. » Je sais que je demande un morceau d’impossible, que je ne soufflerai pas sur des années douloureuses juste en battant de cils. Une inspiration. « Enfin, en tout cas, ne soit pas désolé. Ne soit jamais désolé avec moi. » La vie, la mienne en tout cas, n’est jamais droite. Les chemins sont fait d’obstacles, de contournements. De verres qu’on oublie, qu'on brise même parfois. De questions idiotes : « Ta tenue préférée, c’est laquelle ? » Puisqu’on est dans ton royaume, je veux voir la tenue du prince des lieux.
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    CAN YOU FEEL HIS PRESENCE ?
    @Billie O'Malley
    Il m’est étrange de recevoir une personne que je ne connais que si peu à mon domicile, alors que j’ai cette irrémédiable sensation que nous sommes liés par quelque chose dont personne ne peut avoir connaissance ou conscience. Il y a une connexion entre nous, inexplicable que nous devons à nos échanges et nos similitudes. Le fait est que je n’avais jamais pensé en avoir une avec qui que ce soit dans ce bas monde. Alors, malgré le fait que je sois toujours aussi guindé, avec mes airs d’hôte parfait, je me déride doucement, mais sûrement au contact et au travers du regard de mon adorable boule de poils, ce husky, qu’elle m’a permise, Billie, d’adopter à la SPA. En un jappement, mon corps se dénoue, je me décontracte et mes poings se desserrent, puisqu'apaisement. Je laisse le Gresham que tout le monde connaît de côté, sans même m’en rendre compte et je préviens la jeune femme blonde quant aux proportions des pièces de mon appartement qui peuvent paraître démesurées. L’intimant à me suivre dans un geste galant - puisqu’on ne peut perdre tout ce que l’on a appris en un claquement de doigts, dont une attitude à avoir, à garder, coûte que coûte - nous terminons d'émerger dans mon dressing. « Mes pulls en cashmere ne sont rangés avec mes chemises. Ils ont une place à part, dans mon armoire. À cause des poils. » J’explique, lorsque ses prunelles s’écarquillent et qu’étrangement, je m’en sens gêner. L’aurais-je été avec qui que ce soit d’autres ? Non. Je me serais montré fier comme un coq, seulement, il ne s’agit de n’importe qui ici, à mes côtés. De ce fait, je passe l’une de mes mains sur ma nuque et la laisse examiner la pièce, pour lui montrer les lacets de monsieur Loubotuin, ceux qu’adore ma Brownie, puisqu’elle s’y fait les dents, sans ménagement aucun. « M’habiller ? » J’en laisse s’extirper un rire d’entre mes lèvres alors que mes mains se trouvent enfoncer dans mes poches. « Il nous en faudrait, du temps. De longues journées, même. » Je prononce en y songeant, puisqu’il si fallait que je passe toutes mes tenues devant elle, nous en passerions des nuits blanches. « Disons que j’aime accessoiriser, en plus de cela, mes tenues, alors… » Je hausse les épaules, mon visage se trouvant pourvu d’un doux sourire qui s’épanouit à la suite de ses mots, paroles, au sujet de Brownie et de ses lacets. « Je pense qu’effectivement, elle terminera d'en avoir. Je me dis même que c’est déjà le cas. » Portant un index sur mes lèvres, je me saisis de l’un d’eux, pour m’accroupir et le faire renfiler à mon chiot femelle. « Ce sont ces derniers dont tu raffoles, n’est-ce pas ? » Mes soucis, mes tourments, se dissipent tandis que je caresse son poil. « Oui, je sais mon petit amour. Je sais. » Je murmure à son attention pour la prendre dans mes bras et la laisser me lécher le visage, les lèvres, ce qui termine de me faire rire. « Arrête ! Je me suis déjà douché. » Je prononce à son attention pour la déposer sur le sol et finalement, recouvrer mon sérieux une fois debout, à nouveau. M’excusant quant au fait que je n’ai proposé quoi que ce soit afin qu’elle se désaltère, puisque je manque à mon éducation, je pince mes lippes charnues à ses mots, pour finalement baisser la tête. « Je… » Que dire ? « Je te remercie. Le fait est… » Un rictus de douleur apparaît sur mon visage. « C’est à force de coups, que l’on m’a appris à agir ainsi. Il faut croire qu’ils m’ont marqué au point que lorsque je… » Je peine à ravaler ma salive. « Lorsque je faille à mes devoirs, il me faut m’excuser afin de ne pas les ressentir à nouveau, bien que cela ne soit perceptible. » Je ne sais si Billie saisit ce que je souhaite lui faire comprendre, alors je continue : « Je revois défiler sur ma rétine ses instants où l’on me frappait, parce que je n’articulais pas suffisamment ou encore parce que j’occultais quelque chose qui était apparemment essentiel aux prunelles de cet homme qui m’inculquait ce que je devais connaître sur le bout des doigts. » Baissant à nouveau le visage, enfonçant plus encore mes mains dans mes poches, ou plutôt, mes poings, je laisse s’échapper un mince soupir d’entre mes lèvres charnues, que je souhaite discret, pour remercier Billie au travers de mon regard, lorsqu’elle m’interroge au sujet de ma tenue favorite. « Hm… » Je retrouve ma posture, imposante, pour rejoindre le placard où se trouve sur cintres l’intégralité de mes chemises, vestes, gilets ainsi que pantalons pliés, de costumes. « C’est par ici. » Je prononce à son intention, pour en sortir une chemise noire, accompagné d’un costume qui est de la même couleur, le tout se trouvant signé Armani. « J’aime être vêtu de noir. » Je prononce, pour lui tendre tout ce que j’ai en mains et les lui laisser, afin de retrouver les tiroirs, ceux qui contiennent l’intégralité de mes souliers ainsi que bottes, Louboutin. « Classique, noirs, avec l’extérieur de la chaussure, la semelle plutôt, d’une couleur rouge éclatant. » Je les lui présente, afin qu’elle s’en rende compte et qu’elle voit la griffe de l’artiste, puisqu’elles sont toutes signées, ses paires de chaussures. « Je suis certain que tu égaillerais ma tenue, je me trompe ? » Je l’interroge, le regard rieur, quand je me rappelle la raison de sa présence pour me dire que dans le pire des cas, elle pourra toujours revenir, Billie, afin de chasser ce fantôme qui me hante ou plutôt cet esprit, si nous manquons de temps, ce qui ne me dérangerait nullement puisque je me sens à l’aise à ses côtés.
    Billie O'MalleyMembre de la Adams House
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    Billie O'Malley
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    Âge : 26
    Lieu de naissance : Glencolmcille, cherche pas sur Google, c'est en Irlande.
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    Situation sentimentale : célibataire, experte en désillusions, amoureuse d'une rousse qui s'est barrée
    Études & Métiers : étudiante en sciences environnementales et barmaid au Drink.
    Date d'inscription : 18/06/2017
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    Me, Myself and I · · · · ·
    irlandaise, puis new-yorkaise ● ses parents tiennent une librairie à NY, qui périclite ● a obtenu une bourse pour rentrer à Harvard ● son petit frère Zach a disparu alors qu’elle avait quinze ans, et n’a jamais été retrouvé ● vit avec son fantôme depuis, qui lui est apparu plusieurs semaines après sa disparition ● ses parents n’ont jamais accepté l’idée de sa mort ● apprentie passeuse d’âmes, elle développe une capacité à communiquer avec les morts ● ses parents lui ont collé le mot « folie », si bien qu’elle n’a plus jamais parlé à personne de son don ● galère à s’accrocher aux autres, à accorder sa confiance, ne voyant que le temporaire de la vie ● son corps est jonché de cicatrices causées par ses escapades nocturnes avec son frère ● des cachets sous le lit, bien dissimulés sous une latte de parquet ● fervente défenseure de la cause animale et de l’écologie, elle donne régulièrement de la voix dans les manifestations ● Maverick lui a légué une maison, et les droits sur son dernier livre, la catapultant d’un niveau de vie très modeste, à aisée.

    · · · · · · · · · · · · · · ·
    maladroite, obstinée, imprudente, accro à l’adrénaline - sans aucun instinct de survie, lunaire, effrontée, provocatrice, ambitieuse, misanthrope, impudique, mélancolique, soumise à ses pulsions, décomplexée, maline, menteuse, solitaire, fragile

    fun facts : se coupe les cheveux elle-même, les teint de manière aléatoire - tantôt négligée, tantôt apprêtée, elle se moque de son apparence et s'amuse de son reflet - fait la collection des peluches O’Malley - cuisine beaucoup et expérimente les plus étranges des alliances - roule la moto ayant causée la mort de Maverick, et participe à des courses illégales, le tout sans permis - préfère les livres aux séries - possède un vieux téléphone - dépassée par la technologie - ne fait jamais de sport -

    · · · · · · · · · · · · · · ·
    Family · Mr&Mrs O'Malley (pnj) parents - relation compliquée, conflictuelle, silencieuse Zach (pnj - décédé) frère qu'on pourrait croire jumeau, disparu, puis réapparu juste pour elle - la perte qui bousille tout, les souvenirs gravés dans les cicatrices -

    Love andm friends · Eowyn (pnj - ancien personnage) ex petite-amie, ex amoureuse, ex espoir, le premier et unique essai d'une relation sérieuse Wade amitié forte, attraction forte, le passionnel et le conflictuel emmêlés, saupoudrés de quelques sentiments parasites Loyd petite description du lien Quentin petite description du lien Nicola petite description du lien Anders petite description du lien Jinx petite description du lien Auréa petite description du lien

    Other · Andréa & Gustin méfiance, défiance, colère contre leur mauvaise influence, menaces pour l'une, voiture flinguée pour l'autre en représailles à leur défaillance.
    Warning : prise occasionnelle d'anxiolytiques et somnifères en lien avec des périodes d'état dépressif, disparition d’un proche (frère), surnaturel, perception de fantômes et communication avec les esprits, propos parfois vulgaires et impudiques
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    Lien du postLun 1 Mar - 18:42
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    CAN YOU FEEL
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    Et voilà que je saute. Et voilà que j’ouvre grand les yeux, que j’avance à tâtons, le monde n’est pas magique mais nouveau. Tout est disproportion, rien ne colle avec mon univers. Cet univers où l’imprudence, l’imprévisible règne. Où les chemises ne sont jamais repassées, et les pas plus dansés que mesurés. Où tout est hurlé, pour étouffer les gémissements sourds du cœur. Faire du bruit pour ne pas se confronter au silence. Et quand j’te regarde, j’crois que je vois un peu de mes propres mensonges. Deux acteurs sur le devant de la scène, chacun dans sa thématique, qui se rejoignent pour tenter de créer un nouveau genre. T’y apporteras tes manières, ton allure maitrisée et ta colère qui se devine à ces poings qui se serrent trop facilement. Avec habitude. La peau devenue cuir. S’adoucie-t-elle quand elle frôle d’autres peaux ? J’y rajouterais, à notre cirque, mon insouciance menteuse, et ma révolte bruyante. On mélangera le tout, et on regardera combien c’est coloré là-dedans. Pour eux, pour ceux qui ne voient que la cuirasse. Qui n’sont pas foutu d’observer les irrégularités de la coquille, et la tristesse qui tapisse, comme une doublure, chaque geste, chaque mot. On est peut-être tombé sur le même alphabet. On a pas développé les mêmes syllabes, la même langue, mais on sait décoder. « A cause des poils, évidemment. » Repris, avec un sourire creusé à la commissure des lèvres, trahissant une légère moquerie, à peine perceptible et pensée. Foutue habitude de tout saupoudrer de sel. Peut-être une manière de se donner un peu de constance, aussi. Gamine peu habituée à autant de luxe, d’organisation, de rigueur. Tout n’est que foutoir dans la vie d’O’Malley. Un bordel où elle s’égare elle-même, se perdant dans les allées de ses mauvais choix, dans les médocs sous le lit, dans les esprits qui s’égarent et susurrent à ses oreilles, dans ce désir de solitude. Désir embrassé puis repoussé. Le truc c’est qu’elle a l’impression d’avancer, de courir, sauf qu’elle ne fait que des ronds, des cercles qui creusent un sillon profond. Essaye de se raccrocher aux bords, de se hisser hors de là. Y a ta main, ces derniers temps. Y a tes doigts tendus sans que tu t’en rendes compte. Nos conversations occupent mes nuits, et me fait parfois oublier qu’elles sont trop blanches. « As-tu seulement déjà porté au moins une fois, tous ces vêtements ? » Les doigts indiscrets, passent sur les tissus. Je ne verrais peut-être pas ton fantôme ce soir, mais je perçois davantage tes contours. J’imagine quelles tenues, pour quelles occasions. Les émotions vécues par les vêtements, les êtres qui s’y sont attardés. Si le cœur dessous s’est animé davantage cette fois-là. Les lèvres se pincent, les prunelles vont sur sa chemise tâchée d’une petite goutte de sang, sur la manche. « J’ai une amie qui.. s’amuse à me relooker, souvent. La majorité des vêtements que je porte sont d’elles. » Sortis de ses placards, pour les poser ensuite sur ma carcasse. Un cintre humain. D’abord par manque de moyens, puis, par jeu. Par envie de se trouver belle aussi, parfois, devant la glace. Plus jolie que d’ordinaire. Moi qui me moque de l’apparence, du reflet, j’en viens à y faire davantage attention. Pas tout le temps. Aujourd’hui par exemple, si. « Donc oui là, j’suis presque au max, c’est dire l’étendue du problème. » Le rire qui s’échappe, la cible toujours aussi bien placée sur autrui que sur moi-même. Zahra est consternée de mon pull orange, de mes bandeaux dans les cheveux, et de mes chemises d’homme. Des vêtements écorchés, gardés jusqu’à ce qu’ils ne cachent plus rien. Nul doute que tu tremblerais à la vision de mon dressing à moi. Nul doute que tu oublierais tout ça, quand je te présenterais la ménagerie accueillie. A la manière dont Brownie éclipse le monde. Manifeste son entrain de quelques embrassades qui font rire l’invitée. « Je crois que ses cadeaux d’anniversaires sont déjà tout trouvés. » Quelques lacets devraient suffire. Bien choisis, de la marque qui nous suit depuis notre rencontre. Puisque demoiselle Brownie s’est inspirée de son maitre et n’aime que les belles choses. Les doigts fins pendent au bout du bras ballant, pour, bougeant, attirer le jeu du chiot qui se dressent sur ses deux pattes arrières. Comme pour occuper l’enfant, quand le patriarche souffle des histoires noires. Des histoires dont on a dessiné les contours, perçu quelques confidences, mais où de trop nombreux blancs persistent. Il faut retenir l’impatience, et laisser l’homme s’avancer. Parfois, l’attirer en tirant sur sa manche. Parfois, remercier une confidence de doigts qui se referment avec douceur sur le bras masculin. Je parle aux fantômes, pas aux souvenirs. Mais, ma peau chuchote tout de même qu’elle n’est pas loin, que sur cette route, j’ai décidé de prendre les armes contre les stigmates de l’esprit. « Il t’as fait rentrer de force dans cette image qu’il dessinait lui-même. » Comme un moule trop petit, dans lequel on t’as fait rentrer, qu’importe les bleus et cicatrices pour y arriver. « Il avait surement peur de ce que tu pouvais devenir, et des valeurs qui étaient les tiennes. » Briser pour ne pas s’y confronter. « Peut-être que doucement.. en sortant de cette cage, d’un infime pas d’abord, tu les ressentiras de moins en moins. » La peau relâche, ensuite. Pour mieux te libérer et te laisser retourner aux vêtements. Pour mieux te laisser respirer. Te laisser revenir, armé de cette tenue favorite. Noire. Attrapée maladroitement par l’insolente, qui essaye tant bien que mal de ne pas tout froisser en tenant mal l’ensemble. En riant/râlant après Brownie, qui veut jouer avec un pan de pantalon. « Arrête j’vais m’faire tuer ! » Le rire l’emporte, et elle monte sur le lit pour échapper au dragon. « Désolée, c’est pas de ma faute, c’est elle. » Comme des enfants, quand tu reviens et assiste à la scène. Demoiselle perchée, et chien excité au bas du lit. « Il n’y a définitivement pas assez de couleur là-dedans. » Sur tes vêtements, dans ta vie. Appuie tes propos, tout en haussant les épaules. La moue de l’innocente. « Il faudrait que tu l’enfiles, pour que je l’accessoirise comme il faut. » Oui, on était parti sur une soirée fantôme, que je remplace par ta transformation en mannequin. Peut-être car là, dans le vacarme du rire et du jappement de Brownie, je n’entends plus mes tourments venus des limbes.

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    Lien du postSam 13 Mar - 4:13
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    CAN YOU FEEL HIS PRESENCE ?
    @Billie O'Malley
    Si on nous regardait, l’un à côté de l’autre, n’importe qui penserait que nous n’avons assurément rien en commun, mais ce n’est le cas. Les apparences sont importantes de nos jours, d’où mes tenues impeccables ainsi que griffer, puisque je joue, participe au dictat du monde, tout en sachant pertinemment ce que je fais. Les règles, je les connais par cœur et je sais exactement comme agir, me vêtir, afin que l’on me craigne, pour que l’on ne perçoive que le masque et non le véritable homme qui se trouve cacher dessous. Le véritable Gresham, peu de personnes peuvent prétendre le connaître. Il n’y en a sans doute même aucune, en ce jour, qui sache réellement qui je suis. Ma douceur, mon attention ainsi que ma capacité à m’ouvrir ainsi qu’à m’émouvoir, sont peu connues et lorsque je m’éprends d’une femme, c’est encore tout autre chose. De nombreuses couches me composent, à l’image d’un oignon, mais qui désire réellement les passer, ses dites couches ? Hormis Billie, personne. Elle est la seule qui s’essaye à me faire doucement mais sûrement ôter mon masque, à l’aide de mon compagnon à quatre pattes qui a le pouvoir - pour ne pas dire le don - de me rendre heureux, au point qu’il tombe sans même que je ne le réalise, cet accessoire présent en permanence sur mon visage. « Bien sûr. Les poils sont un véritable calvaire à retirer. » Je prononce à l'intention de Billie, qui se fend d’un sourire moqueur, mais cela ne me dérange pas. N’importe qui d’autre aurait reçu mes foudres au travers de mon regard de glace, mais ce ne sera pas son cas. Le rustre que je suis avec les autres n’est plus présent fasse à elle, puisque le véritable Gresham se révèle, avec lenteur, certes, mais il apparaît. « Hm… » Je pince mes lèvres à son interrogation et dépose mon index sur ses dernières, pour faire quelques pas en arrière tout en jaugeant mon dressing. « Il me semble que oui. » Je termine de prononcer, puisque j’ai tout essayé au moins une fois, avant de découvrir quelles sont mes tenues fétiches, celles que j’arbore davantage, bien que je ne porte souvent les mêmes habits, question de classe oblige. « J’essaye généralement en boutique tout ce que je m’offre. » Je continue, puisqu’il faille que tout tombe parfaitement, comme si chacun de mes habits avaient été façonné pour moi et uniquement pour moi. « Comment fais-tu afin de te vêtir ? » Je demande à Billie, qui m’explique qu’une amie s’amuse à la relooker. Quand elle ajoute que la plupart des vêtements qu’elle arbore sont de cette dernière, j’en lève un sourcil. *Je te relookerais bien.* Je songe, mais elle ne se sentirait pas forcément à son aise, puisque je vis dans un monde ou l’imperfection ne peut exister. Chaque vêtement est assorti avec le reste, ainsi que les accessoires et la paire de chaussures. Absolument, rien ne doit dépasser, comme un fil se défaisant d’un pull ou encore, comme un nœud papillon de travers. Il faut en permanence repositionner ce qui ne convient pas, pour recouvrer cette image parfaite, sans le moindre défaut aucun. « Je ne dirais pas que c’est un problème. » Je commence, pour pincer mes lèvres et la dévisager, très légèrement, je l’espère. « Je dirais que cela démontre que tu es unique. » Je continue pour terminer : « Mais je te vêtirais bien, un jour, histoire de voir ce que cela pourrait donner. » Je songe à une marque italienne qui pourrait aisément convenir à sa personne. Billie serait superbe dans des habits Gucci, haut en couleur, empli de motifs, parfois disproportionné, comme en cet instant, seulement, cela rendrait son apparence bien différente. « Si un jour, tu me le permets… » Je laisse ma phrase en suspend, puisque je ne sais si cela se réalisera un jour. Puis ma Brownie s’agite, face aux lacets de la griffe dont je m’offre chaque paire de souliers ou encore bottines. « Exact. Elle ne jure que par le luxe, apparemment. » Je termine de prononcer pour la fixer, mon adorable husky. Suis-je en train de la pourrir ? Il me faut peu de temps afin d’obtenir une réponse à mon interrogation, puisque j’en connais la réponse : non. Certes, j’ai des goûts de luxe et je lui fais partager, mais je ne lui offre qu’amour, ainsi qu’attention et protection, et cela, mon bébé à quatre pattes le sait sans le moindre doute aucun. Lui adressant de nombreuses caresses, je termine de me redresser avant de m’excuser auprès de Billie, puisque je ne lui ai proposé quoi que ce soit et cela me mine. La raison est évidente pour moi : on m’a inculqué une éducation bien particulière et je me dois d’être tel que l’on m’a appris, puisqu’autrement, je m’en veux indéniablement. En expliquant à Billie les raisons, je pince mes lippes charnues à ses mots. « Il le fallait. Je n’étais pas de ce monde, de l’aristocratie. Je venais d’un milieu bien différent. » J’en secoue la tête. « Je ne devais faire honte aux Egerton. » Je suis miné par mes dires, pour réaliser encore et toujours que je ne dis "ma famille", mais les Egerton, puisque je ne suis pas issu de leur famille, pas réellement. « Il ne me connaissait guère. Il était payé afin que j’apprenne comment agir, me comporter, comment me tenir aussi. Je n’étais qu’un adolescent parmi les autres, à qui il inculquait ses principes. En somme, il ne s’est jamais souvenu de mon prénom. Je n’étais que le… » Mes prunelles s’injectent de larmes. « Le bâtard des Egerton. C’est ainsi qu’il m’appelait. » J’en hausse les épaules, puisque cela n’a plus aucune importance, je crois. « Le fait est qu’il se défoulait sans mal sur moi. Les raisons importaient peu, sur ma dernière année d’enseignement. » Des images réapparaissent sur ma rétine et elles me perturbent, réellement. « Je ne souhaite changer. Je suis tel que je suis aujourd’hui. » Je mets un terme à ce sujet, par mes mots et nous terminons de voir quelle est ma tenue fétiche. Lorsque je la présente à Billie, pour lui passer l’intégralité de mes cintres, je m’en vais chercher ma paire de souliers préférée, signée monsieur Louboutin, quand, à ma plus grande surprise, je perçois son rire, pour la retrouver debout, sur mon lit, Brownie la fixant, pattes avant sur ce dernier. « Brownie ! » Je l’appelle tout en positionnant mes mains sur mes hanches. « Assise. » Je me contente de souffler, pour reprendre, après quelques secondes : « Je t’ai déjà dit que tu ne pouvais jouer qu’avec mes lacets. » Mes prunelles présentes dans les siennes, je sais qu’elle me comprend. « Tiens, amuse-toi avec celui-ci, de ma paire préférée. » Je continue pour m’accroupir et ainsi me trouver à sa hauteur, afin de le lui donner, après l’avoir ôté de l’un de mes souliers. « Il va me falloir une nouvelle paire de lacets. » Je grommelle pour moi-même, puisque chaque paire à ses lacets spécifiques évidemment. « Je sais que ce n’est de ta faute. » Je termine de dire à Billie, tandis que Brownie se fait ses dents sur mon si précieux lacet. Poussant un soupir tout en lui caressant le poil, j’acquiesce dans un signe de tête. « Il n’y en a pas, c’est une évidence. » Je prononce, pour la fixer et ajouter, sourcils froncés : « Mais à présent qu’elle mâchouille mon lacet… ? » Je m’en passe une main sur la nuque et grimace. « Fort bien. Mais un pied n’aura de lacet. On ne peut en mettre une autre paire, puisqu’elle ne conviendrait pas. » J’assure à ma chère Billie avant de reprendre les cintres et rejoindre mon dressing pour passer le tout et revenir. Mains dans les poches, c’est avec nonchalance et mon flegme Britannique que je retrouve mes deux comparses. « Voici. » Je souffle, après avoir pris bien soin d’examiner mon reflet dans le miroir sur pieds, puisqu’il me faut être absolument impeccable, même au niveau de ma coiffure. « Qu’ajouterais-tu, dis-moi ? » Je demande à Billie avant de défiler sous ses yeux, tel un mannequin de la marque de luxe Armani.
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