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I LOVE HARVARD
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    correspondances (sergej)
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    Lien du postMar 15 Déc - 19:42
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    CORRESPONDANCES
    ft. @Sergej Bach

    T'es dans ton point de fuite, au coeur de la nuit, là où tes mots sont les plus criants de vérité, là où t'es sûre que t'es capable de tout lâcher, tout coucher sur le papier à cet être que tu connais sans l'avoir jamais vu. Il ne t'a jamais caché, dès la première lettre, que tu t'étais plantée, et pourtant, ça t'a pas arrêtée. T'as continué tes confessions comme il s'est lancé dans les siennes. Il connaît tes forces, tes faiblesses, tes défauts, tes qualités, même si tu doutes encore d'en avoir en ce moment. Tu regardes l'océan, t'es éclairée par la lumière de l'habitacle, tu souffles un coup et tu commences à poser les mots sur le papier.

    Ca fait longtemps que je ne t'ai pas écrit. Pas par manque d'envie, ni par absence de choses à dire, bien au contraire. Des confessions, comme toujours, j'en ai des tas. Honnêtement, il y a tant de choses à dire, que je ne sais pas par où commencer. Peut-être par te demander comment tu vas. Ca serait un bon départ.
    Comme tu l'as lu dans notre dernier échange, j'avais quitté la ville pour m'éloigner des galères que j'avais traversées au cours du mois d'octobre. Je ne sais pas si je vais vraiment mieux aujourd'hui, puisque je continue de saborder toutes les belles choses qui pourraient m'arriver de bien, parce que je ne pense pas les mériter, parce que je ne suis qu'un nuage sombre qui passe dans la vie des gens, je provoque les tempêtes les plus infâmes et je fuis, comme j'ai pu le faire à la dernière personne qui m'a clairement dit qu'elle m'aimait. Elle ne méritait pas ça, que je brise son coeur après nos épreuves communes. Mais j'avais mes raisons, tu sais. On dit que le coeur a ses raisons que la raison ignore, mais cette fois, ma raison était accordée au reste. Et pourtant... J'avais jamais eu l'occasion de tomber amoureuse, j'avais toujours fui ce qui était lié de près ou de loin à des sentiments, du fait de mon passé. Pourtant, des sentiments profonds et dormants se sont éveillés avant même que la tempête ne se fracasse sur mon ex. La raison de la tempête était une rencontre hasardeuse datant de trois ans et s'était effacée durant dix-huit mois. Les retrouvailles étaient si belles, si fortes, et bordel, ça a réveillé tellement de belles choses que j'ai flippé. Pourtant, j'ai été capable de lui montrer qui je pouvais être derrière la façade que je montrais au monde. Pourtant, je l'ai abandonnée, elle aussi. Du jour au lendemain, après le dernier week-end passé. J'ai coupé tous mes réseaux, toutes mes communications. Et au fond, je crains d'avoir été remplacée, même une nuit, qui sait, je sais que ça me défoncerait l'âme un peu plus.
    Peut-être que cette peur panique est synonyme d'un attachement beaucoup plus profond que je ne veux bien me le laisser entendre. Les sentiments silencieux sont les plus horribles, les plus compliqués à contenir. Pourtant, les mots ne sont jamais sortis, pas une seule fois. Et ils ne sortiront jamais. Parce que là encore, la fuite a été ma seule et unique issue. Et ça me mine la tête, de forcer les silences, de forcer l'absence. J'ai fui et j'ai été prise de regrets dans la foulée, incapable de reculer pourtant. J'ai passé la journée dans sa rue à jouer les saltimbanques, à espérer l'apercevoir, comme si ça allait m'apaiser. C'était pire encore, de ne pas voir sa silhouette se dessiner derrière sa fenêtre une seule fois.

    La perdition est une nouvelle étape de ma vie, malheureusement bien trop longue. Comment se déroule ta vie, depuis la dernière confession ?


    Tu poses ton stylo sur ton tableau de bord, tu attrapes l'enveloppe posée sur le siège passager, déjà timbrée, y insère ton papier plié proprement, te referme le pli, le glisse dans la boîte qui se situe à quelques mètres de toi, attendant la réponse de ton correspondant, qui viendra sans doute dans les jours à venir.
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    Lien du postJeu 17 Déc - 21:29
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    enveloppe qu’il observe. iris qui parresses sur les mots écrits, sur les maux qui sont étalés. une de plus. une lettre qu’il n’attendait plus, mais qui finalement, est arrivée. correspondance étrange mais qui a ses plaies, ses victoires, son réconfort. pourquoi? accident, destin, confidences...il prend le temps de lire, encore et encore, avant de se poser sur son bureau et de sortir une lettre de papier. stylo qu’il attrape et les mots commencent à s’étaler. entre eux, internet n’existe pas encore, les réseaux sociaux non plus. les plaies sont plus faciles à explorer à l’ancienne.

    “le temps s’est effectivement écoulé depuis notre dernière lettre, mais est-il vraiment important? je ne pense pas. je suis désolé de lire tout ça, mais serais-je de bon conseil? je ne me tâterais pas à te répondre de la façon la plus positive qui soit. je suis comme toi, alors dieu seul sait à quel point je peux te comprendre. la fuite...c’est tellement plus facile, n’est-ce pas? pour tenter d’échapper aux émotions, aux sentiments qui s’accrochent à nous. mais, comme de pauvres victimes, nous réalisons que ça n’a servi à rien. même la distance n’efface pas la dépendance, je me trompe? le coeur est le pire des organes, lana. il est là, pompe, s’éprend et nous bousille. les personnes comme nous ne sommes pas destinés à aimer sainement...je crois que ce n’est pas écrit dans notre adn, et c’est ce qui est le plus atroce. on essaye vraiment, mais quand le sentiment gagne du terrain, notre être tout entier hurle au besoin de reculer. et après quoi? on souffre, encore. plus que les autres, probablement. nous sommes coupables. coupables d’essayer, d’échouer, de faire souffrir. on a beau se dire victime, mais on sait que nous n’en sommes pas vraiment, ou si? je ne sais pas, ne sais plus.

    ma vie a pris un tournant tellement énervant, tu sais. première chose, Kaël a croisé ma route. tu sais, ce frère qui n’en est pas un, dont la mère a épousé mon père? ce gosse pour qui j’ai fuis londres, pour qui j’éprouvais une attirance si forte qu’elle en était dévorante et malsaine? il est à boston. les années n’ont rien effacées. crois-tu que ça fasse de moi un monstre? un homme bon à enfermer? désirer l’impossible, l’inimaginable? suis-je bon pour l’asile? je me le demande...je me déteste d’éprouver une telle chose. je me sens sale, tellement sale. j’essaye de ne pas y penser, de ne pas y songer, mais bordel, tout mon corps hurle après lui. mais la vie est une chienne malsaine, étant donné qu’elle m’a refait croiser la route de mon ex. cette fille qui a été la seule à caresser mon coeur du bout des doigts, que j’ai abandonné un beau matin parce que je savais que j’allais la détruire. elle est revenue, m’a contacté par meet et je dois aller prendre un café avec elle. je sais que ce n’est pas une bonne chose, parce que je l’ai jamais vraiment oubliée. c’est dangereux...cette noirceur en moi, cette facette sombre, imprévisible. tantôt j’ai envie d’abandonner, tantôt de posséder. tu connais ce sentiment? cette ombre qui plane et dont tu ne parviens pas à te débarrasser? que tu sais qu’elle va détruire ceux que tu approches, mais dont tu ne peux rien faire pour l’éviter?

    j’étouffe, trop souvent ces derniers temps. ils pensent tous que je fonctionne de façon anormale, mais ils ne voient pas, ne comprennent pas que j’éprouve sûrement plus fort qu’eux…”


    un soupire s’échappe de ses lèvres alors qu’il attrape l’enveloppe, glisse le papier dans l’enveloppe. elle seule connait ses terribles secrets, ses craintes, ses peines, ses joies rares.
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    Lien du postVen 18 Déc - 16:00
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    CORRESONDANCES
    ft. @Sergej Bach

    Ces échanges à l'ancienne, c'est un peu une thérapie que tu attends souvent, avec l'impatience qu'on te connait parfois. Ces mots qui délivrent les maux de l'un et de l'autre, qui apaisent comme ils percutent. Tu lis chaque mots, tu analyses les sensations qu'il peut y mettre quand il te les confie.

    La fuite est aussi facile qu'elle blesse, Sergej. Elle est lancinante, comme une lame qu'on plante dans la chair, et dont la trace grandit chaque jour un peu plus. L'absence provoque des plaies qu'on garde souvent comme stigmates de nos erreurs, de nos regrets. Alors ouais, on se sent floué par ce qu'on est et ce qu'on aimerait être, on se donne le mauvais rôle pour que les autres n'aient pas à l'endosser. C'est un mécanisme de défense stupide, tu crois pas ? Faire souffrir pour libérer les autres d'une souffrance plus grande encore, souffrir aussi fort pour s'éviter une peine plus violente. La distance n'efface rien, les souvenirs restent gravés, les sentiments aussi. Ils viennent cogner quand tu crois que t'es enfin tranquille, te balancent une image au coeur de la nuit, le visage de la personne qui t'anime, te font sentir son odeur au détour d'une ruelle, te donnent l'espoir destructeur de te retrouver en face à face avec ce mirage. Mais rien. Le néant est plus dangereux encore, n'est-ce pas ?
    C'est vraiment atroce. Cette sensation qui électrise et qui paralyse en même temps. On est victimes de nous même et bourreaux des autres.

    Tu sais, je ne pense pas que tu sois si monstrueux. Après tout, vous n'avez aucun lien de sang, alors où se trouve le problème, si ce n'est dans l'éthique familiale ? S'il n'avait pas été ce demi-frère, tu ne te poserai sans doute pas la question. Alors pourquoi se poser cette barrière invisible ? Je ne suis pas douée pour gérer mes relations de coeur, mais je peux mieux analyser celles qui m'entourent. Consumez vous, bordel. Surtout si vous avez tous les deux cette envie difficilement contrôlable. Oubliez la filiale relationnelle de ton père et de sa mère.
    Si elle t'a recontacté, peut-être qu'elle non plus, n'a pas su t'oublier. Peut-être que cette entrevue pour un café sera pour vous l'occasion de faire un point sur ce qui vous lie encore ou non, ou bien qu'elle t'enverra tout un tas d'horreurs sur ce qu'elle a pu ressentir à ton abandon soudain. Tu sais, je m'attends à ce genre de choses chaque matin, et m'étonne le soir que le calme soit toujours de mise. Il ne me tarde pas de me retrouver face à face avec ces coeurs meurtris laissés sans un regard.
    Je connais cette sensation mieux que personne, encore plus maintenant. J'aurai tout fait pour avoir Hayley et pourtant, je me contiens, m'efface de son paysage. Aujourd'hui, j'ai appris qu'elle avait eu un accident avec mon ancienne colocataire. Quand Andréa m'a appris la nouvelle, j'ai ressenti un torrent de rage et de peur m'envahir. Peut-être de la culpabilité, aussi. Mais je n'ai pas la force d'envoyer un foutu message pour prendre de ses nouvelles, attendant fatalement de lui manquer peut-être.

    Ils prennent nos silences pour de l'indifférence, ne comprennent pas l'enfer qu'on traverse quand on se met à nu. Parce que se dévoiler, c'est prendre le risque de sombrer encore plus.


    Tu soupires, tu regardes Arthas qui dort paisiblement à tes pieds, frotte ton visage et place la lettre dans son enveloppe. Tu l'enverras tout à l'heure, quand tu sortiras le chien de ton pote.
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    Lien du postDim 27 Déc - 19:51
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    les écrits sont souvent plus faciles, plus complets. revenir vers un temps où les chansons d’amour passaient par des lettres, où les lettres étaient si belles qu’elles pouvaient ravager et dévorer. peut-être est-ce pour ça qu’ils n’ont jamais cessé de s’écrire? pas par amour, mais par facilité. par de visage à imprimer dans la mémoire, juste une façon de dire les choses, autre que quelques lignes, quelques mots derrière un écran. lettre à la main, assis dans son canapé, il lit l’échange, ressent chaque émotion, chaque douleur. elles sont siennes, elles sont leurs.

    “la fuite est une éternelle blessure, lana. elle n’offre rien de bon que ce que nous essayons de nous offrir. égoïstes, ou encore, l’inverse? nous vivons nos fuites comme une excuse, tu ne trouve pas? une excuse de ne pas blesser quiconque, de nous affliger nous-même des maux que nous ne souhaitons pas offrir aux autres. pourtant, sur le coup, avons-nous seulement d’autres portes de sorties? je n’en suis pas si sûr. si je n’avais pas fuis londres pour m’échapper de kaël, où en serais-je aujourd’hui? si je n’avais pas fui mon ex petite amie, serait-elle heureuse, détruite? pense-tu que nous avions vraiment le choix? brutaliser ou nous brutaliser? je ne saurais pas te dire. d’autres diront que nous sommes lâches, d’autres encore, que c’était la meilleure façon de nous en sortir malgré les blessures infligées à autrui. bien sûr que nous entretenons nos vices en faisant de pareilles choses...que les souffrances infligées sont chaotiques. nous pensons souffrir davantage que les autres...mais sur le moment, pensons-nous seulement aux conséquences véritables qui s’en suivront? qui peut juger? qui peut donner son avis? bourreaux, victimes? je crois que nous sommes un peu des deux au final.

    je ne sais pas. des années à désirer l’intouchable, l’impossible. j’ai appris à dévorer des yeux sans toucher, sans véritablement aimer. de ressentir le palpitant s’effondrer, s’enflammer et le derme hurler à l’agonie. j’aimerais tellement que les choses soient aussi faciles, lana. l’acculer dans un coin, dévorer son âme de la mienne, envoyer valser les fausses idées d’alliances puériles qui n’existent que pour nos parents. le revoir c’était comme replonger dans un océan amer et ravageur. le voir, ne pas le toucher. j’ai appris à lui faire croire que je le détestais, là où je ne faisais que le désirer plus que n’importe qui d’autre. et aujourd’hui, la fuite m’est encore plus douloureuse, mais elle me semble encore une solution. le laisser derrière moi pour étouffer, là ou au contraire, être à ses côtés me donne envie de respirer. et je suis un fou. un fou d’une cruauté sans limite, parce que je vais le détruire autant que ça me détruit. j’en ai conscience.

    et pourquoi attend-tu? tu me murmures d’avancer, de consommer ce besoin viscéral entre moi et kaël, mais toi, pourquoi ne pas attraper ton téléphone et envoyer un message? si tu as peur, si tu t'inquiètes, lana, fonce. montre lui que tu es là, encore. montre-lui que tu ne t'effaces plus, pas vraiment. si tu l’aime, alors ne passe pas à côté, fais un pas après l’autre, sur la pointe des pieds. cesse tes erreurs, tes fuites. si tu t’engages à essayer, je m'engage à respirer.

    comment pourraient-ils comprendre nos enfers, alors qu’ils sont nos paradis? nos démons? nos anges? des hybrides qui causeront nos pertes, là où ils provoquent également notre liberté. le silence est plus facile que les mots, mais reste l’arme la plus puissante qui soit. parfois, il faut savoir quand abandonner une bataille."


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    Lien du postMer 13 Jan - 1:48
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    CORRESPONDANCES
    ft. @Sergej Bach

    T'avais pas eu le temps de te poser ces deux dernières semaines, tout du moins, pas pour écrire ce long courrier qui, malgré toi, te laisse un moment face à une page blanche. Pourtant, tu ne veux pas que ces échanges écrits prennent fin, et ce malgré votre rencontre.

    Les choses ont bien évoluées, Sergej. Je ne sais pas vraiment comment commencer cette lettre, alors tu m'excuseras si c'est un peu décousu, si ça n'a aucun sens. Peut-on perdre la beauté et la pureté de nos échanges suite à cette rencontre londonienne ? Se peut-il que le fait de mettre un visage sur des mots, des blessures profondes, ait été un point de rupture, qui pousse à la transgression d'une règle vieille comme le monde ? Les secrets les plus sombres peuvent-ils être gardés par une personne qu'on a finalement rencontré ? Cette question échaude mon esprit de mille façons. Parfois, j'ose à croire que ça ne change rien, que la connexion établie ne peut se couper pour ça. D'autres fois, il m'arrive de penser que ça a peut-être changé beaucoup de choses, que tu auras peur de confier les nouvelles péripéties de tes zones obscures. Peut-être est-ce aussi que de mon côté, les planètes se sont enfin alignées, ne laissent plus de place à l'obscurantisme dans lequel je m'étais enfermée tout ce temps. Comme tu l'as constaté, je me suis engagée avec cette fille dont je te parlais dans nos lettres précédentes, et bordel, la douceur a du bon. Devenir un être plus léger n'est pas si désagréable, bien qu'il demeure des traumatismes, des sursauts de cauchemars qui me rappellent ce que j'étais, dans quelle merde je me trouvais avant tout ça, avant de sourire à la face du monde en pensant le plus sincèrement du monde : je suis heureuse.
    Serait-il possible qu'un bourreau abandonne son rôle ?
    Je me suis engagée à essayer, et toi, as-tu commencé à respirer, laisser tes poumons s'emplir de son odeur, laisser ton corps à cette douce agonie ?

    Si tu veux, à la fin du mois, j'organise une soirée inaugurale de mon nouveau projet. Tu y seras le bienvenu, autour d'un verre, d'un repas, ou bien à profiter des artistes qui vont baptiser ce que j'ai pu créer de mes mains. Rien ne t'y oblige. J'y convierai également Kael.
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