COSÌ BENE VEDERTI.

@Maximilien lewis

Je ne veux pas que cette soirée s’arrête et je donnerais même un billet au serveur afin que nos desserts mettent du temps à venir à notre table, c’est pour dire ! Moi, l’ogresse, je serais capable de faire durée indéfiniment cet instant alors que c’est la fin du repas dont je raffole, car sucré. Mais il y a plus appétissant face à moi, plus intéressant surtout et plus craquant : Maximilien. Il me charme, il me plaît et cette soirée, j’en avais plus que besoin, surtout par tous ses compliments qu’il m’offre, et cela, naturellement. Il ne souhaite pas me séduire pour jouer les hommes parfaits, ceux qui font croire monts et merveilles, non, il est gentleman, tout bonnement et gentil, aussi et c’est tout ce qui me plaît, au jour d’aujourd’hui. « Je suis toujours franche, sache-le. » Je réponds, adorant le voir rougir, ce qui arrive pour la toute première fois et j’en suis assez fière, je l’admets. « Oui, un simple et unique merci. Enfin, plutôt un merci beaucoup, en réalité. » J’en roule des yeux pour m’en rappeler et puis, alors que nous terminons notre plat, car affamés, je pense réellement à glisser ce billet dans la poche de l’homme qui s’occupe de notre table. « Tu es si gentil. Il faut dire que pour une ogresse, je m’en sors plutôt bien, niveau taille. » J’en laisse échapper un léger rire. « J’aime que tu me dises jolie. Tu es très beau. » Je termine de souffler pour proposer, sans hésiter, qu’il s’empare de ma main, s’en saisisse et bien que je craigne un « non » il termine de la prendre, dans la sienne. « Tu es un véritable prince. » Je murmure, mes joues se trouvant rouges, enflammées, puisqu’il dépose une bise sur cette dernière avant de la caresser avec douceur. *Qu’est-ce que ça doit être, ses caresses, sur le restant d’un corps nu… Qu’est-ce que se serait, sur le mien.* Je pense pour me tortiller sur place, fuir son regard alors que je meurs de chaud, véritablement ! Heureusement, il reprend la parole et après m’être raclée la gorge et avoir retrouvé une certaine contenance, je réponds : « Oui, je veux goûter ton brownie. Je te ferais goûter mes desserts, si tu le souhaites. » J’aimerais surtout se faire en lui tendant ma cuillère ou encore, avec mes doigts, pour qu’il puisse s’emparer des gâteaux avec ses lèvres, caresser mes doigts du bout de sa langue, ce qui promettrait une suite torride, s’il venait à me raccompagner à mon domicile. « Oh ! » Je m’exclame, lorsque le serveur revient, nos assiettes en mains. « Grazie. » Je prononce, pour mordre ma lippe inférieure, car tout ce qui se trouve sous mes yeux me donne envie. « Je meurs toujours de faim, lorsque le dessert arrive. » Je prononce à l’intention de Maximilien. « Mais ce qui me donne le plus envie, se trouve assis face à moi. » Je termine, dans un souffle, ma voix se trouvant suave. Je suis franche, comme dit précédemment et il est certain que Max me donne envie, puisque je désire ses lèvres contre les miennes, encore plus à cet instant.

Elle me fit rougir, ça ne ma pas déplus. Même si je m'y attendais pas, elle ajoute, je suis toujours franche. À oui toujours, c'est bon à savoir, petit clin d'oeil à son égard. Je souris à sa prochaine question, elle dit toujours merci, c'est évident que c'étais ça, qu'elle avait dit en italien. Tu es vraiment trop gentille, tu savais ça ?, plus une affirmation, qu'une question. Retour, vers des compliments. Tu aime que je dise que tu es jolie, est bien tu es jolie, magnifique, sublime, même. Éxagéré, peut-être, mais c'est vrai et honnête. Je rougis de nouveau quand elle me complimente. Sa Mains dans la mienne, je lui fais la bise. Un véritable prince, je ne sais pas, mais j'essaye d'être quelqu'un de bien. Si tu aime, j'en suis ravis, sourire aux lèvres. Après mes mots, elle se tortille sur sa chaise, un signe que j'en fais suffisament. Elle veut goûter à mon brownie, je le savais déjà. D'accord, alors on partage. Pas vraiment pour goûter son plat, mais plus une excuse pour se raprocher. Crée un contact et qui sais, l'embrasser. Le serveur, reviens de nouveau. Trop vite a mon goût, on ne décide pas, il font leur boulot. Toujours faim, quand le dessert arrive, je comprend. Sa prochaine réponse me fit presque tomber de ma chaise, une chance je suis déjà assis. Ce qui me donne envie, se trouve assis face à moi, sont ses mots. Je me contente de prendre un morceau de brownies avec ma cuillère et lui tend. Elle s'approche pour sens emparer, je me lève et capture ses lèvres, un baiser tendre, à la fois sensuel, à la place. J'en avais envie et visiblement elle aussi, vue son dernier compliment. Ses lèvres contre les miennes, merveilleux.

COSÌ BENE VEDERTI.

@Maximilien lewis

Je suis captivée par Maximilien. Il a capturé mon regard ainsi que toute mon attention, et cela, depuis que je l’ai aperçu. Alors, tandis que je lui souffle que je suis toujours franche, je souris à sa réponse. Il est vrai que je ne mâche jamais mes mots, que je ne fais pas de concession puisque lorsque j’ai quelque chose à dire, je le fais, alors il en sera de même avec lui. Je le fais déjà, d’ailleurs et il semble aimer cela, mon franc-parler, jusqu’à présent. « Trop gentille ? » Mes prunelles s’emplissent de scintillements intenses et mes joues s’empourprent, bien évidemment. « Parce que je dis merci ? » Je m’en mordille ma lippe inférieure, baisse le regard un instant, avant de retrouver celui de Maximilien pour, une nouvelle fois, devenir rouge par ma gêne quant à ses mots qui me touchent en plein cœur. « Je… » Je fixe mes mains, puisqu’à présent, j’ai l’allure d’une tomate, étant donné que mes pommettes sont teintées par mon sang affluant à mes joues. « Tu me donnes chaud, avec tous ses compliments. » J’essaye de m’éventer à l’aide de l’une de mes mains et je souris, bêtement, car il me trouve magnifique, sublime et que cela me fait plaisir de l’entendre. J’aime qu’il me complimente, qu’il se montre aussi gentleman et tendre à mon égard et lorsqu’il baise ma main, je lui assure qu’il est un prince, mon beau Maximilien. Seulement, cet instant intime que nous partageons ne dure pas, puisque le serveur refait son apparition en nous apportant nos desserts, ceux qui me font me tortiller sur mon assise, puisque je dévore, que je suis gourmande, mais ce qui m’attire, là, maintenant, c’est l’homme se trouvant face à moi. Je le lui dis, d’ailleurs, afin qu’il le sache puisque je désire qu’il connaisse mes envies et tandis que nous avons décidé que nous partagerons, il me tend son couvert avec un morceau de brownie. Des étoiles plein les mirettes, je m’avance, ferme les yeux afin d’en profiter davantage quant au lieu de rencontrer sa fourchette avec ce divin morceau de chocolat, je trouve ses lèvres qui se posent tout contre les miennes. Surprise, c’est ce que je suis, mais j’apprécie son baiser que je trouve absolument merveilleux. « Max. » Je termine de souffler, mon regard bleuté trouvant le sien. « J’en veux encore. » J’ajoute, afin de lui signifier que des baisers, j’en veux davantage : toujours plus. À vrai dire, j’aimerais que nous en échangions des plus enflammés, afin que nos langues se trouvent, s’apprivoisent ainsi que nos corps, par la suite, je l’espère. « J’ai presque envie d’abandonner les desserts afin que tu me ramènes chez-moi pour partager le restant de notre nuit, ensemble. » Je ne peux m’empêcher de lui souffler, avant que je ne m’empare de l’un des gâteaux présent dans mon assiette pour le lui tendre, avec mes doigts. « Mange, Max. S’il te plaît. » Ainsi, il s’emparera de mes doigts qui se trouveront dans sa bouche, il les sucera sans doute, ce qui commencera des préliminaires qui, à mon humble avis, ne feront qu’accroître notre désir commun : celui de terminer la nuit ensemble, dans mon lit.

J'aime sa franchise, sa gentilesse, tous ce que j'aime d'une femme. Moi, l'homme charmeur que je suis, je la complimente, sa me rend heureux de la voir heureuse, son sourir, son regard mignon, ses joues teinté de rose, elle me fait penser à une oeuvre d'art. Comment ne pas l'apprécier, comment pourrait-on mal se comporter devant elle. Pour moi, cest incompréhensif, je ne peux pas être méchant. Oui trop gentille parce que tu a dis merci, ridicule peut-être, mais pour moi, je chavire davantage. Tu es si polie, si accueillante, si charmante, sa me plais. Je rougis légèrement à mes mots. Je la laisse sans voix, maintenant de nouveau rouge, je souris. Ses prochains mots, tu me donne chaud, avec tous ses compliments. Ah oui, chaud tant que ça, sa me déplait pas, alors qu'elle essait de faire du vent avec sa main, je souris davantage. J'aime trop la regarder, je ne peux m'empêcher de me répéter, tu es vraiment trop mignonne. Là a essayer de te rafraichir comme ça. Je t'aiderais bien, mais je crois pas que je puisse réellement t'aider. Je crois plutôt, que je lui donnerais plus de chaleur, ça m'en donnerais aussi, honnêtement. Si franche, que je tombe presque de ma chaise, je fais semblant de lui tendre un morceau de mon brownie pour secrètement lui voler un baiser, un peu cour et simple, mais je voulais pas non plus la brusquer. Elle prononce mon nom, avec un j'en veux encore, alors là, il faut pas demander deux fois. Sa prochaine phrase à laquel, je m'y attendais pas, mais que j'aimerais aussi. On prend pour emporter si tu le désir, car il me fera plaisir de te raccompagner et passer plus de temps à tes côters ? Je décide d'ignorer la remarque de la nuit ensemble, je suis un gentleman, je n'avais pas cette idée en tête, même si j'aimerais, bien sur. Je la respect et je ne veux pas avoir l'air d'un homme presser à conclure. La jolie blondinette me tend un morceau de gâteau. Comme elle le souhaite, je m'en empart délicatement, je ne veux pas lui faire mal. Oui, je ne peux pas m'empêcher de sucer ses doigts comme si je l'ai savourais. C'est surment ce qu'elle voulait, alors elle aura. À ton tour, pour vrai cette fois, d'un clin d'oeil. Prenant cette fois vraiment un morceau de brownie pour lui tendre. Même si j'aimerais capturer ses lèvres de nouveau, j'aurais bien asser ma chance plus tard et plus fougueusement. Juste à y penser, je commence à avoir des chaleurs, son corps contre le mien, savourant sa peau, ses douces lèvres, je dois me calmer, il y en a un qui va se réveiller.

COSÌ BENE VEDERTI.

@Maximilien lewis

Ce genre d’instants se sont fait rares avec les années puisqu’à la suite de mon divorce, je n’ai pas cherché à avoir de tels moments, avec qui que ce soit. Je préférais draguer des hommes, en soirée, étant certaine qu’ils finiraient dans mon lit. C’est ainsi que j’ai fonctionné puisque l’amour me faisait peur et bien qu’il ne s’agisse pas de cela, ce soir, avoir une sorte de rendez-vous galant, sans l’avoir prévu, me rend heureuse. Les compliments d’un homme me manquaient réellement. Ce jeu de séduire, tout en étant respectueux également et je crois que je suis prête à m’essayer à cela, de nouveau, grâce à Maximilien. Je devrais sans doute le remercier pour cette révélation et lui dire que je souhaiterais le revoir, seulement, nous avons encore le dessert à déguster, bien que je préfère que le serveur qui s’occupe de notre table prenne tout son temps. « Je suis heureuse de te plaire. » Je murmure à son intention, pour mordiller ma lèvre inférieure et m’accoutumer à ressentir mes joues chauffées, face à sa gentillesse, à son côté gentleman, parfaitement naturel. C’est d’ailleurs pour cela que je me montre franche et simple, pour lui avouer qu’il me donne chaud, à force d’être complimenté et tandis que je m’essaye à m’éventer à l’aide de l’une de mes mains, un rire cristallin s’extirpe d’entre mes lèvres à ses nouvelles paroles. « Effectivement, tu risques de me donner plus chaud encore. » Je réponds, puisque nous serions l’un à côté de l’autre, beaucoup plus proche et que la température monterait, sans le moindre doute ! Mais heureusement, nos desserts arrivent et alors qu’il me tend un morceau de brownie pour finalement me voler un baiser, je termine de lui proposer à demi-mot de terminer notre nuit ensemble, quand il me répond avec énormément de respect. Non, je ne me sens pas repousser, je me sens tout simplement choyer et puis, je pense que cela signifie que Maximilien souhaite que l’on se revoie, avant que nous passions une nuit ensemble. « Je préfère que tu goûtes mes desserts ici, d’abord. » Je dis, un large sourire présent sur mon visage et puis je me saisis de l’un de mes gâteaux pour le lui tendre et il s’en empare avec sa bouche, pour suçoter mes doigts et ainsi, me faire frissonner de plaisir. Fermant les yeux tandis qu’il me goûte, laissant échapper un soupir d’aise, j’acquiesce dans un mouvement de tête à ses mots, puisque c’est mon tour, selon lui et je suis on ne peut plus d’accord. « Je retiens. Pour de vrai, cette fois ! » Lui offrant un clin d’œil complice, je me saisis du morceau de brownie et je ne peux m’empêcher de laisser échapper un son de contentement d’entre mes lèvres charnues. « Hm ! C’est divin. » Je termine de prononcer, puisque je suis accroc au chocolat : que je raffole de cela. « Je peux en avoir un nouveau morceau, s’il te plaît ? » Je l’interroge, mes prunelles claires plantées dans les siennes. « Je te laisserais goûter à mon autre dessert. » J’ajoute avant d’appuyer mes propos dans des hochements positifs de la tête.

Heureuse qu'elle me plait, je serais fou si sa serais pas le cas. Je suis pas aveugle, je sais reconnaitre les belles choses, ceux qui vaut la peine. Mot qui sonne si sérieux, mais à la fois je le dis en petit vénard que je suis. Oui, je me trouve chanceux, il y a longtemps que j'avais pas rencontré quelqu'un comme elle. Être si heureux en si peux de temps, ce que je ne pensais plus possible, depuis la perte de mon bébé et ma relation amoureuse aussi. Elle essaye de se faire du vent avec ses mains, je rigole en la voyant faire, lui mentionnant que je ne serais pas de grande utilité. Réponse qui comme à son habitude, franche, directe, concluante de joie. Elle souhaite qu'on passe la nuit ensemble, je dois dire que je n'ai pas envie de refuser, mais je la respect et je ne ferais rien contre son gré. Lui demandant si elle désir prendre le tous pour emporter, elle préfère qu'on goûte d'abord. Je savoure ce morceau de gâteau, suçant ses doigts au passage. Je lui laisse goûter mon brownie, au lieu de mes lèvres, cette fois. Murmure de gratitude, c'est divin, elle en redemande, je ne m'étonne pas, elle adore le chocolat. Ah oui, un autre morceau, tu es sur, sourire taquin. Est-ce qu'elle voulait vraiment un morceau ou c'étais une insinuation qu'elle veut de nouveau un baiser. Ses prochains mots, qui je dois avouer, mon cerveau de mec, l'a vue dans un autre sens du terme. Re prenant mes eprits légèrement égaré, je hoche de la tête, d'accord. Je lui tend mon brownies, prend le, tu va l'apprécier pas mal plus que moi, clin d'oeil à son égard. Je l'ai pris pas mal plus pour elle que pour moi, en se moment précis, ce sont ses lèvres que j'ai envie d'embrasser. De la voir près de moi, elle dans mes bras, nos corps s'enflamant l'un pour l'autre.

Je lui fais un compliment, le centième depuis le début, mais celui-ci, semble lui déranger. Pour quoi tu en doute ? Perplexe. De ce que je vois de toi, oui. Tu es super gentille, polie, alors je vois pas pourquoi tu pense que tu en vaux pas la peine? on à tous un passer, on a tous mal agie à un moment ou un autre et je crois qu'elle a quelque chose à se reprocher, j'en ai aussi vue la manière j'ai été avec mon ex. On goût chacun des desserts de l'autre, elle apprécie beaucoup mon brownie et je la comprend. Je lui donne, je l'avais plus commander pour elle que moi, je n'avais plus trop faim, voulant maintenant autre chose, l'embrasser. Ce petit baiser volé, trop bref pour moi. Je te crois, en riant. Je sais qu'elle adore le chocolat et qu'elle es gourmande. Une petite ogresse qu'elle dit, je trouve ça mignon. Pas de soucis, je savais que tu l'aurais aimé, souriant. C'est normal et j'aime bien faire plaisir aux femmes, je suis comme ça attentionné, que je chuchote comme elle. Bien sur, je veux bien goûter, je ne suis pas vraiment difficile en général. Si sa peux lui faire plaisir je goûterais à tous ce qu'elle me propose. Oh non, n'y comte pas ! C'est moi qui paye, pas touche à la facture, sinon je vais te mordiller un doigt, en riant. Je sais qu'elle la dit pour plaisanter, alors je fais pareil. Ça rend ce moment encore plus unique et mémorable. Parlant de facture le serveur demanda si je voulais la note, oui bien sur, c'est moi qui paye, argent comtant, merci. J'ai spécifié même si il sont habitué avec moi, j'y viens souvent, mais la plupart du temps seul. Je ne verais plus cette endroit de la même façon, il y a maintenant la touche gabriella dans ces lieux. La soirée va bientôt terminer et j'ai bien hâte de voir la suite des choses en la raccompagnant chez elle.

Moment de conversation qui je ne comprend pas trop, elle semble moin certaine d'elle même, qu'elle est une bonne personne. Je vois qu'elle dévie le regard ailleurs, alors je n'en rajoute pas, je ne voudrais pas gacher cette soirée. Je lui donne mon brownies, elle l'apprécie mieu que moi. Monsieur, je préfère max en riant. Oui et bien ce n'étais pas trop difficile à deviner, ton corps parle beaucoup parfois. Quand je la vois se tortiller sur sa chaise, son regard qui regarde ailleur, quand elle mort sa lèvre, des petits trucs que j'observe. Un ange, attentionné, respectueux et charman, c'est bien moi ça. Je sais que je suis comme ça, certaine aime d'autre non, mais je sais que elle oui. Oui, effectivement, je suis pas sur si c'est bien que je dise ça, en riant. J'ai pas peur qu'elle me face goûter des trucs pas bon, mais defois, on aime pas toujours les mêmes choses. Gabriella me tend un morceau de gâteau, elle veut visiblement que je suce ses doigts de nouveau, ce que je fais. J'adore voir son petit sourire, quand je le fais. Bien essayé, je vais te taper alors, je vais garder les mordillements pour plus tard, clin d'oeil taquin. Je dois avouer que ce n'est pas que ses doigts que j'aimerais mordiller, mais son cou, ses oreilles. Le serveur reviens vite avec la note, que je paye entièrement. De rien ma jolie demoiselle, c'est normal, souriant. Je suis gâlant, j'allais pas la faire payer, surtout que j'ai dis que je l'invite. Elle prend son manteau, que j'aide à l'enfiler, alors qu'elle me demande si je la raccompagne toujours. Oui bien sur, je te l'ai proposé, je vais le faire avec plaisir, je tien toujours parole. Si je peux passé plus de temps prêt d'elle, alors ça en vaux la peine. Oui, je suis garé devant. Ma chevrolet camaro bleu ne passe pas inaperçu. Je lui tend mon bras pour qu'elle s'y accroche et on se dirige vers ma voiture. Je lui ouvre la portière et je démare. La suite, on se dirige vers chez elle.

Spoiler: