Hypnotisé par son regard la soirée devenais de plus en plus belle. J'oubliais les gens autours de nous comme si nous étions seul dans la pièces. J'avais maintenant mes mains sur les siennes, ce simple contact de sa douceur me donna un léger frissons. Elle doute qu'elle sois jolie parce qu'elle es rouge de mes compliments. Oh crois moi tu es vraiment jolie rouge comme une tomate ou non avec mon plus beau sourir charmeur. Tu connais vraiment des gens qui n'aime pas alors la j'y comprend rien non plus. Elle prononça mon nom, surpris je la regardais droit dans les yeux de curiosité. Elle ajouta je t'assure que je le ferais, alors la mon cerveau de mec avais vraiment envie de tenter. Je me disa est si je laissais une trace de chocolat sur mes lèvres que ferais t-elle, je me mordi la lèvre inférieur à cette délicieuse idées. On parlais maintenant alcool, une licorne parce qu'elle boit de la bière, j'aimais l'idée. Alors la une jolie licorne en riant. Effectivement il y a plus d'homme qui en boit mais c'est très bien je te juge pas au contraire. Elle était responsable j'aimais ça,sécurité avant tous. M'ennuyer bin non ,si je te le propose cest parce que ça me dérange pas, détour ou non. Je préfère te savoir en sécuriter que de m'inquièter pendant des heures à ses mots je rougis un peu. Je dois avouer que j'avais proposé aussi parce que j'allais la voir encore plus longtemps et s'avourer ce moment encore plus. Je remarqu'a que après avoir passé ma commande de dessert que je n'avais pas eu tord sur le brownie. Elle se mis à se tortiller et mordre sa lèvre se qui me fis sourir mais j'essayais de me retenir,peine perdu. Je souris de plus bel en disans le contraire m'aurais étonné le regard dans le sien. Je voyais son regard presque supliant de lui laisser un morceau alors j'ajoutais si tu continue de me faire ses yeux de biche alors la je vais craquer les yeux pleins d'étoiles. Je fus distrais et sans mot quand le serveur apporta nos verre alors je me contenta de le remercier de la tête. Le regard revenu sur ses magnifique yeux elle me dit à cette soirée le verre dans les airs. Je pris alors mon verre et trinqua oui à cette magnifique soirée puisse t'elle jamais se terminer sourir au lèvre. Je me sentais de plus en plus romantique et heureux ,c'étais incroyable ce qu'elle me faisait.

Il y a longtemps que je n'avais pas resentis quelque chose d'aussi fort pour une femme. C'est mon genre de femme, que j'aime traiter comme une princesse. Je suis comme ça, gentleman, romantique, j'aime prendre soin de la femme que j'aime. Même si en ce moment même, il était trop tôt pour parler d'amour. Il y avait clairement des sentiments réciproques entre nous. J'adore quand elle prononce mon nom de sa douce voix d'ange. Je ne peux pas m'empêcher, je suis simplement honnête. Après quelques minutes je remarque qu'elle observe mes lèvres, habituellement quand une personne regarde la bouche cela veut dire qu'il espère recevoir un baiser. Était-ce, ce qu'elle voulait réellement ? Elle baisse les yeux comme si elle se cachait. Je suis curieux, il est vrai que l'embrasser serait bien, trop bien, même. Le gentleman que je suis, je me demande si c'était l'endroit pour notre premier baiser où je devrais attendre que je la raccompagne chez elle ? Au fil de la soirée, j'allais le savoir, plus clairement. Les licornes sont toujours jolies, merci max qu'elle me dit en posant sa main sur la table devant moi. Si ce n'est pas une invitation, j'étais aveugle. Sans attendre je lui prends la main, la lui caressant doucement, le regard dans les siens. Oui vraiment, mais seulement si tu le souhaites, je ne veux surtout pas te forcer la main. Je tenais vraiment à elle, je le fais pour elle, mais aussi pour me rassurer de la sa voir saine et sauve chez elle. Je ne voulais pas qu'elle pense que même si je savais où elle demeure que j'allais l'espionner. Être trop intrus-if. Je sortis de mes songes quand encore une fois elle me dit "arrête" et "craquer comment ça" de sa voix timide et douce. Je rougis, je ne savais pas quoi lui répondre. Je me contents de dire j'en sais trop rien, on verra, laissant un léger mystère planer. Le regard toujours sur elle, on trinqua et me murmura aussi "si seulement elle ne pouvait jamais prendre fin". Visiblement elle pensait la même chose que moi, ce qui me fis sourire. J'avais maintenant très envie de l'embrasser et d'être plus près d'elle.

Je ne pouvais pas arrêter de la complimenter, c'est plus fort que moi. La regarder rougir, voir c'est joli yeux étincellent, elle rayonne comme un soleil, non encore mieux comme un feu d'artifice. Elle me dit " je ne peux pas te demander de ne plus l'être" parce que j'avais dit que j'étais honnête, que je ne pouvais m'empêcher de la complimenter. Je lui souris, simplement, je ne vais pas me répéter, je vais être ennuyant. Je la vis regarder mes lèvres de nouveau. Elle me lance une invitation à l'embrasser, ce que je vais faire. Je ne sais pas comment je vais m'y prendre, peut-être vraiment avec du chocolat ou autrement. Je me mors la lèvre inférieure à cette pensée. J'ai une de ses mains entre les miens, caressant sa main, si douce et délicate. Je détache mon regard de nos mains pour la regarder dans les yeux." Tu ne me forces pas la main, j'aimerais beaucoup que tu me raccompagnes chez moi, tout à l'heure, si tu le désires toujours." Elle me dit. Arrête, bien sûr, il va me faire grand plaisir de te raccompagner, de mon plus beau sourire. Notre serveur apport son plat qu'elle a commandé. Je la vois goûter à son assiette, qu'elle semble apprécier. Veux-tu goûter ? Ouvre la bouche, fais-moi plaisir, me demande-t-elle. Je n'ai pas eu le temps de répondre qu'elle me donne un morceau. Je m'avance pour pouvoir prendre le morceau entre mes lèvres. C'est vrai que c'est délicieux, très bon choix. Quand le serveur revient pour me tendre mon plat, merci. Je déguste mon steak comme je le voulais, je ne crois pas, qu'elle veut un morceau, mais je vais me reprendre pour le dessert. Je suis certain qu'elle ne dira pas non, alors là, je vais pouvoir en profiter pour embrasser ses lèvres, qui semble douce comme du velours.

J'adore sa peau, ses main, sa beauté, je suis si heureux de l'avoir rencontré par hazard. Ma soirée aurais été plate, sans elle à mes cotés. Des compliments qui ne cesse, des sourires de l'autres, tout ce que j'ai de besoin. De son éternel "merci" , je souris. On ne peut s'empêcher de se regarder mutuellement, nos lèvres, notre désir grandissant. Nos mains doient se séparer pour pouvoir manger convenablement, que je trouve dommage. Si sa l'aurais été que moi, j'aurais essayé de manger d'une seul main pour garder son contact entre mes mains. J'aurais eu lair, un peu, imbécile, je crois, je ris à mes pensées. Quand elle me fit goûter à son plat, que je trouve délicieux, elle ajoute, qu'elle n'aime ce qui est bon. Petit clin d'oeil, qu'elle me fait, j'ai un légé rire. Cela veux-tu dire que je suis aussi un "bon" choix, clin d'oeil à mon tour avec mon sourire aux lèvre. Elle dit un mot en italien, je dois dire que c'est sexy. Je la fixe et lui dis, j'aime quand tu parle comme ça, même si je ne comprend pas tout. Je l'imagine me murmurer des mots italiens à l'oreille, ça me donne des frissons de joie. Je rougis un peu, avant de continuer de dîner. Mangeant nos plats, c'est divin, tu vois que je dévore, elle ajoute. Dévore, petite gourmande, mais garde toi de la place pour le dessert, sourire aux lèvres. Je sais très bien, qu'elle va toujours avoir de la place pour du dessert, elle adore trop le chocolat, pour se priver. Je termine, moi aussi, toute mon assiette. J'avais vraiment faim, tout comme elle. J'ai maintenant hâte au dessert. Je sens que ça va être délicieux, sinon plus décadent.

COSÌ BENE VEDERTI.

@Maximilien lewis

Si j’avais appris avant ce soir que Maximilien venait couramment ici, je serais venue chaque soir afin de pouvoir le rencontrer et ainsi passer du temps avec lui, sans le moindre doute. À présent que nous sommes ensemble ou plutôt que nous dînons à la même table, que nos doigts sont entrelacés et que je ne peux m’empêcher de sourire et rougir, encore et encore, pour baisser le regard et mordiller ma lippe inférieure, qui se trouve charnue et rouge, je termine de détailler ses lèvres, à lui, que je désire dévorer tout comme cette Bruschetta présente sous mon nez. Est-ce qu’il est appétissant, Max ? Oh que oui ! Réellement. Le fait est qu’à présent que nous devons dîner, notre contact charnel se rompt et cela m’attriste. J’aurais aimé que nous puissions continuer à le garder, puisque j’aime le sentir caresser ma peau, seulement, pour nous restaurer, nous ne pouvons pas le faire, nous ne pouvons pas rester ainsi, main dans la main. « Hm… » Je prononce à ses mots, pour retenir un rire et pincer mes lèvres. « Je pense que tu es un excellent choix. » Cette fois, je relâche un léger rire, m’empourpre aussi et je l’affuble d’un second clin d’œil complice. Le fait est que notre serveur réapparaît et alors que je lui dis « merci » en italien, usant de ma voix chantonnante puisque de toute façon, cette langue à quelque chose de mélodieux, je retrouve le visage de Max et mes prunelles s’emplissent de scintillements intenses à ses mots. « J’ai seulement soufflé un "merci" au serveur. » Je prononce dans un large sourire. « Mais je t’en soufflerais d’autres, des mots, en italien. » J’ajoute plus bas, pour mordiller ma lèvre, mon regard se faisant à présent incandescent. Il me faut plusieurs secondes afin de rompre ce contact qui se trouve intense, pour me concentrer sur mon plat et le déguster. « Hm… » S’échappe d’entre mes lèvres tant c’est délicieux et après avoir soufflé que je dévore, que c’est un fait puisque je ne fais que cela, sous son nez, je plisse les yeux à sa phrase tout en le défiant du regard. « Tu crois sincèrement que je n’aurais pas la place pour le dessert ? » Je m’approche de lui en me penchant au-dessus de la table. « Tu as tort. N’oublie pas que je suis une ogresse aux allures de blonde à la taille fine. » Puis j’achève mon assiette, essuie mes lèvres à l’aide de ma serviette et patiente, puisque le serveur n’est pas encore arrivé afin de nous débarrasser. « Main ? » Je propose, pour rougir et tendre la mienne afin qu’il s’en empare. « Je pourrais goûter de ton brownie ? » Je l’interroge, usant de ma voix fluette, de mon regard angélique, afin qu’il me réponde oui.

Cette soirée, je n'ai plus asser de mot pour m'exprimer. Elle est merveilleuse, j'aurais aimé l'avoir connue plus tôt. Apprendre d'avantage à la connaitre, même si ce moment est parfait aussi. Je trouve toujours le moyen de la faire rougir de mon charme. Elle qui choisi ce qui es bon, je n'ai pu m'empêcher de dire alors, je suis un bon choix. Un excellent choix fut c'est mot, c'est a mon tour de rougir. Merci, je ne m'attendais pas a une remarque aussi franche, même si je suis flâté, sourire aux lèvres. Le serveur arrive et elle lui dit un merci en italien, j'aime bien cette langue. Il y a quelque chose de special dans la prononciation, en plus je trouve ça sexy. Un simple merci et bien, jaurais pas crue, avec un léger rire pour la taquiner. D'autre mot, elle a très bien compris sans l'avoir dit. J'ai envie d'ajouter autre chose,mais je m'abstiens, notre regard est trop intense, pour gâcher ce moment.  Chacun de nos plat est bon, on a tout les deux très faim. Je lui dit qu'elle se garde de la place pour le dessert, même si je sais très bien qu'elle va en avoir. Elle ajoute, qu'elle est une ogresse aux allure de blonde à la taille fine. Je suis surpris, que je ne pu m'empêcher de rire. Une ogresse inc ça, je suis chanceux d'avoir tomber sur toi et pas une autre dans ce cas, tu es bien plus jolie que la plupart. Elle à toujours des mots original à dire. Nos plat enfin entâmé, elle me dit main ? qu'elle me glisse. Je la prend avec plaisir et décide de faire mon prince charmant, je lui fais la bise sur sa douce main. Le regard dans le sien, je caresse sa main par la suite. Tu veux goûter à mon brownie, comment je pourrais te refuser quelque chose avec cette voix mignonne jolie demoiselle. Elle me fait craquer, elle me charme, sans trop d'effort. Le serveur viens chercher nos plat terminé. Maintenant, le dessert, qu'il apportera d'ici quelques minutes. Ce qui veux aussi dire, que cette soirée sera bientôt terminé, ce que je veux pas. Jespère que je vais pouvoir la revoir bientôt.