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I LOVE HARVARD
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    Don't panic, I'm here to help and protect you.
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    BIBLIOTHÈQUE DE BOSTON :: DANS LA SOIRÉE.
    | @Haiwee Wind River |


    La préparation des examens est un calvaire égal aux révisions des étudiants de l’université d’Harvard pour nous, les professeurs. Il faut dire que nous travaillons d’arrache-pied afin de pouvoir tester tout ce que nous avons pu leur inculquer depuis la rentrée de septembre et de ce fait, le travail est monstre afin de tout synthétiser pour qu’ils puissent assurer en quelques heures seulement. Sans compter les différentes classes, aux cours que l’on dit majeurs et mineurs, ce qui fait que nous devons préparer des examens différents en fonction de ceux-ci. Poussant un soupir, massant mes tempes, je n’ai guère fait attention à l’heure qui s’est écoulée. Je n’ai prêté attention à grand-chose pour être tout à fait honnête, hormis ma prise de note constante. Comme de coutume, j’ai travaillé en silence, mes Prada m’aidant à avoir un mal de crâne moindre tandis que je n’ai cessé de gratter les feuilles blanches se trouvant sous mon nez. « Seigneur. » Je murmure, pour les ôter et frotter mes prunelles lapis-lazuli à l’aide de mes deux mains. « Quelle heure est-il… » Je souffle à ma propre intention, pour m’emparer de ma montre à gousset et jurer entre mes dents, lâchant un "sacrebleu". La rangeant, j’ose poster mon visage entre mes mains et pousser un soupir avant de rassembler ma prise de notes, le tout en silence. M’emparant des énormes ouvrages qui m’ont bien aidé, je les replace là où je les ai débusqué pour finalement retrouver la table sur laquelle j’ai travaillé ainsi que mon assise et tout mettre dans ma sacoche griffée Armani. Repositionnant mes Prada sur le bout de mon nez, je me retire d’un pas décidé après avoir soulevé la chaise pour la replacer sans faire le moindre son et me dirige en direction de la sortie de la pièce afin de rejoindre les ascenseurs. Lâchant un énième soupir en m’évertuant à patienter celui que je viens d’appeler, je pose à peine mon regard sur la personne qui me rejoint, se trouvant passablement à mes côtés. Est-ce que je la connais ? Elle est sans nul doute étudiante à Harvard, puisqu’il me semble reconnaître sa chevelure brune. Le fait est que je ne pipe mot, ne lui accorde le moindre regard. Pourquoi le ferais-je ? Après tout, j’agis toujours ainsi, avec mes collègues et étudiants, étant de nature méfiante et froide de prime abord : une carapace qui me colle parfaitement à la peau. Le fait est que je n’en oublie l’éducation que l’on m’a inculquée à Londres, alors, dans un geste de galanterie, je lui fais signe de pénétrer la cabine avant moi, pour ainsi me précéder avant de l’imiter. Me raclant la gorge tout en appuyant sur le bouton du rez-de-chaussée, je me tiens droit comme un « i » jusqu’à ce qu’un bruit étrange retentisse et que notre cabine se stoppe net, dans une sorte de secousse peu rassurante. *Bordel !* Je songe, postant d’ores et déjà mon regard perçant sur les boutons afin de trouver celui d’appel d’urgence. « Tout va bien se passer. Ne vous inquiétez pas. » Je termine de prononcer à l’intention de ma partenaire d’infortune en appuyant sur ledit bouton.


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    Haiwee Wind RiverMembre de la Adams House
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    Haiwee Wind River
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    Âge : 25
    Lieu de naissance : Wind River, réserve amérindienne dans le Wyoming.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : la Adams House la semaine, avec Dan et les souvenirs de Dutch le weekend.
    Situation sentimentale : prise, amoureuse sur un nuage, craignant malgré tout l'orage. (23/06/23)
    Études & Métiers : étudiante en journalisme (5ème année) et pigiste pour le Boston Globe.
    Date d'inscription : 15/11/2020
    Pseudo & pronom IRL : Leeloo. (elle)
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    → il y a une prairie dans mon monde parfait ←
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    Don't panic, I'm here to help and protect you. NX9CWyC

    née dans la réserve amérindienne de wind river • sauvage • sensible • insaisissable • ingénue • novice • farouche • fière • sensorielle • caractérielle • croit aux esprits anciens • préfère la médecine douce à la science • connaît la médecine amérindienne • a une fâcheuse tendance à parler en amérindien lorsqu'elle perd le contrôle • elle connaît d'ailleurs plusieurs anciens dialectes différents • bavarde • honnête, ne sait pas mentir • elle s'est fait tatouer une rune signifiant "Libre" sur les côtes lors de son premier SC en 21 • durant une période elle a eu du mal à dormir (blessée par balle en nov. 21) • a perdu sa virginité avec sheng en janvier 22 • étudiante en journalisme • en couple avec sheng officiellement depuis mai 23 (mais amoureuse de lui depuis mai 21) • à 4 mois de grossesse elle fait une fausse couche tardive le 14 janv. 23 •

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    vivre.
    être libre.
    être aimée.
    Description trois :
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    → RELATIONSHIPS ←
    → RELATIONSHIPS ← 

    Dutch pnj // Grand frère de coeur sur lequel elle pensait pouvoir toujours compter. Il quitte Boston en Août 22, lui laissant argent et maison en cadeau.
    Sheng // il a bousculé toutes les barrières. Chamboulé ses idéaux en une soirée. Dangereux, mais elle ne peut stopper ce jeu. Amoureuse de lui malgré les directives de ses aïeux.
    Piotr pnj // étudiant complexe. Elle l'aime comme elle le déteste.
    Anders // ancien parrain de fraternité avec lequel elle a développé une vraie amitié.
    Horace // rencontré au Sidh, elle a vu en lui une lumière, homme si particulièrement solaire.
    Lilia // comme sa meilleure amie, elles partagent la même chambre à la Adams house.
    William // agent du FBI venu l'interroger, elle a vu en lui plus qu'un simple uniforme, un calme salvateur, un être partageant ses valeurs.
    Oliver //
    Hélios //
    Dan //

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    XIVER
    Warning : Vie en communauté - Virginité - Sexe - Natifs américains - Blessure par balle - Grossesse - Fausse couche tardive
    RPS : 504
    Messages : 4743
    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t124809-haiwee-wind-river-adria-arjona#4789340
    Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155282-haiwee-wendy-manny-repertoire-rps
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155418-haiwee-wendy-manny-fiche-de-liens
    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t126258-meetsachussets-windriver
    Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t143458-colors-of-the-wind-haiwee
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    Lien du postMer 9 Déc - 15:50
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    Don't panic, i'm here to help and protect you.BIBLIOTHEQUE DE BOSTON.@Gresham O. Ewart
    Les notes griffonnées sur son bloc-note ne veulent plus rien dire, alors la brune se perd en un soupir. Elle a trop raturé, elle a même du mal à relire, ce qu'elle a bien voulu dire. Alors elle abdique, elle bouchonne son stylo, elle met de l'ordre dans ses papiers, dans ses mots, mais aussi dans ses pensées, qui partent à vau-l'eau. Et alors qu'elle amorce un bâillement, Haiwee range dans son sac l'un des livres qu'elle a emprunté, bien décidée à le ramener chez elle afin de le terminer.

    Table remise en ordre, elle se redresse pour de bon et commence à marcher en prenant de la sortie, la direction. Son regard se pose sur l'homme déjà présent face aux portes de l'ascenseur, elle qui pensait être la dernière dans l'établissement, en tous cas en tant que client. Elle reste sans mot dire, de toutes les façons, elle n'a pas la sensation qu'il est apte à prendre le départ d'une discussion. Quand les portes métalliques s'ouvrent enfin, elle esquisse un sourire alors qu'il patiente pour qu'elle entre en premier, et elle le regarde pour la première fois réellement, s'apercevant qu'elle pense avoir déjà croisé ce regard bleuté.

    Il appuie sur le bouton du rez-de-chaussée, et elle se contente de contrôler sa façon de respirer. Elle n'a jamais été bien fanatique des endroits clos, préférant de loin la liberté. Et c'est à çà qu'elle pense, qu'elle se raccroche quand le voyage entre ces quatre « murs » commencent. Ascenseur qu'elle déteste avec violence. Escapade avortée, par une sensation qui semble la secouer. « Tout va bien se passer. Ne vous inquiétez pas. » qu'il lui dit, alors qu'elle tourne ses yeux vers lui. Il se maîtrise alors qu'en elle, c'est le début de la crise. Haiwee, elle n'est pas à l'aise avec la technologie, avec les choses qui font, naturellement, parties de leurs vies. Et ça la marque encore plus ici. Car l'homme ne panique pas, lui.

    Mais Haiwee sent son cœur s'emballer, car de l'autre côté du bouton, il n'y a personne qui répond. Alors même si elle n'aime pas, passer pour une fille qui ignore tout et n'importe quoi. Ses paumes se posent sur le col de son pull-over, elle cherche malgré le tissu un médaillon qui lui vient de sa maison. Un totem, qu'elle porte comme un emblème. Qui en temps normal apaise sa nostalgie et sa peine. Seulement, les battements de son palpitant ne s'éteignent pas, bien au contraire, c'est de plus belle qu'ils reprennent. Le dos de Haiwee va se coller contre le mur, tentative de ne pas sombrer, alors qu'entre ses lèvres « Ina la... » c'est la fin. Un caprice du destin.       
    :copyright:️ DABEILLE




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    “ I wanna feel the heat, I wanna own the night. I wanna feel the beat, I wanna dance tonight. I wanna lose myself, I wanna come alive. I wanna feel the love, go into overdrive. ”



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    Lien du postMar 15 Déc - 1:48
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    BIBLIOTHÈQUE DE BOSTON :: DANS LA SOIRÉE.
    | @Haiwee Wind River |


    Gentleman, comme on m’a appris à l’être, je laisse passer la jeune femme et étudiante de Harvard la première afin qu’elle s’engouffre dans l’ascenseur pour appuyer sur le bouton afin que nous rejoignions le rez-de-chaussée. Il va sans dire que je ne lui demande l’étage qu’elle souhaite rejoindre étant donné qu’il se fait tard et que l’heure tourne et que, par conséquent, la bibliothèque dans laquelle nous nous trouvons va fermer ses portes sous peu, ce qui signifie que nous devons sortir, rejoindre nos véhicules pour rentrer chez nous, ou non. Y songeant, me demandant si je vais faire une halte dans un lieu se trouvant dans mon quartier, je m’extirpe rapidement de mes pensées étant donné qu’un son peu rassurant émane de la cabine métallique dans laquelle nous nous trouvons pour se bloquer et déjà, mon regard se pose sur les boutons afin de dénicher celui qui permet d’appeler lorsque l’ascenseur tombe en panne. Me désirant rassurant, j’assure à l’étudiante que tout va bien se passer, qu’elle n’a guère besoin de s’inquiéter, seulement, ai-je raison ? Je n’en ai strictement aucune idée et n’avoir la main sur la situation, ne pas contrôler ce qui se passe, à tendance à me rendre nerveux bien que je ne montre rien. « Je vous l’assure, ça va aller. » Je prononce dans un murmure à la jeune femme tandis que nos regards se croisent, intenses, pour rester connecter un instant, avant que je ne détourne le mien pour appuyer une seconde fois sur ledit bouton. « Merde ! » S’extirpe d’entre mes lèvres puisque personne ne nous répond, que quelque chose semble dysfonctionner. Poussant un soupir, me saisissant de mon smartphone, j’essaye de joindre le secrétariat de la bibliothèque - qui se trouve dans mon répertoire - pour réaliser que la jeune brune qui se trouve non loin de moi semble paniquer, manquer d’air. Inquiet, mon regard lapis-lazuli posté sur sa silhouette, je siffle entre mes dents, avec rage, une fois que l’on daigne me répondre : « Gresham Ewart, professeur Ewart. Je suis bloqué dans l’ascenseur avec une jeune femme. Merci d’appeler qui de droit afin de nous en faire sortir. Appelez-moi, lorsque vous avez des nouvelles, le fichu bouton d’appel ne fonctionne pas ! » Puis je raccroche, pince l’arrêt de mon nez et après quelques secondes afin de recouvrer un semblant de calme, je m’approche avec lenteur de la belle effrayée. « Excusez-moi, de m’être montré si… » Je cherche les bons mots, sourcils froncés. « Rude, au téléphone. » Je termine, pour m’avancer davantage. « Écoutez, nous allons être extraits de cette cabine rapidement, ne vous en faites pas. » Je l’espère du moins, car j’ai peur que cette jeune femme ne puisse tenir et étrangement, cela me fend le cœur, je ne sais pourquoi. « Fermez les yeux et respirer profondément. Vous voulez bien ? » Un sourire rassurant orne mon visage, seulement elle ne semble me voir alors, je me poste devant elle, sans toutefois me montrer étouffant et je capte enfin ses prunelles noisette. « Écoutez-moi. Je suis professeur de psychologie, je vais vous aider à aller mieux. » Je suis sincère et une nouvelle fois, une connexion s’établit entre nous : nos regards s’accrochent. « Vous allez fermer les yeux, inspirez profondément puis expirer. D’accord ? » Réfléchissant, afin qu’elle se sente en sécurité, qu’elle ne panique en fermant les yeux dans ce lieu cloîtrer, j’ajoute : « Si vous le souhaitez, prenez mes mains dans les vôtres. Je ne les lâcherais pas. » Et mes dires sont justes, puisque je ne l’abandonnerais pas à son sort, je ne la laisserais se « noyer » dans sa peur grandissante, puis je ne pourrais rester de marbre tandis que son souffle lui manque, que son cœur s’affole : j’en suis tout bonnement incapable.


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    Lien du postVen 18 Déc - 14:48
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    Don't panic, i'm here to help and protect you.BIBLIOTHEQUE DE BOSTON.@Gresham O. Ewart
    Les terminaisons nerveuses de Haiwee ne veulent plus se reconnecter, elle est perdue, elle est en train de suffoquer. Foutue, la colombe aux envies de s'envoler. « Je vous l’assure, ça va aller. » C'est faux, et ce n'est même pas un peu qu'elle le croit. Elle a peur et ses doigts arrachent presque son collier à présent. Et voudrait pouvoir remonter le temps. « Merde ! » Elle sursaute, elle se sent un peu sotte. « Gresham Ewart, professeur Ewart. Je suis bloqué dans l’ascenseur avec une jeune femme. Merci d’appeler qui de droit afin de nous en faire sortir. Appelez-moi, lorsque vous avez des nouvelles, le fichu bouton d’appel ne fonctionne pas ! » Ce n'est plus rien qui fonctionne, pas seulement le bouton d'appel, dans l'esprit de Haiwee, les terminaisons nerveuses ne veulent pas se reconnecter. Elle a peur, même si elle ne voudrait pas le montrer.

    « Excusez-moi, de m’être montré si… » Les prunelles noisettes de l'Amerindienne se posent sur lui, tandis que ses doigts se referment encore sur le médaillon qui est son point d'ancrage, le maintient de sa raison. « Rude, au téléphone. » Dans le fond, elle s'en fiche un peu, qu'il l'est été ou pas, elle veut juste sortir et son âme ne se concentre plus que sur cet objectif-là. « Écoutez, nous allons être extraits de cette cabine rapidement, ne vous en faites pas. » Il prononce en s'approche, et Haiwee ne réalise qu'à présent, en plantant pour de bons ses iris dans les siens, que c'est un homme qu'elle a déjà croisé quelques fois, dans les couloirs de l'université, visage fermé. Froid et désabusé. « Fermez les yeux et respirer profondément. Vous voulez bien ? » Marionnette, elle s'exécute, docile, elle commence par respirer lentement, parce qu'elle ne sait pas à qui ou quoi se raccrocher, alors, à l'évidence, ce sera Gresham, sa bouée... « Écoutez-moi. Je suis professeur de psychologie, je vais vous aider à aller mieux. » Elle hoche le visage, comme pour approuver. « Vous allez fermer les yeux, inspirez profondément puis expirer. D’accord ? » Alors, voilà, la Colombe ferme ses yeux, et elle soupire, lentement, elle n'a aucune idée de si cela fonctionne réellement. « Si vous le souhaitez, prenez mes mains dans les vôtres. Je ne les lâcherais pas. » Perdue, ses lèvres, elles s'étirent lentement, gentillesse de la part de l'homme presque palpable.

    Haiwee, elle essaie de penser, à sa forêt, à sa maison, ce bois qu'elle a quitté il y a trop longtemps parfois. Elle arrive à entrevoir ses pieds nus contre l'herbe, la mousse, et l'eau qui coule dans le torrent, elle visualise, et son cœur se fend, devant une évidence qui l'emporte dans le néant. « A trop vouloir la liberté, je vais mourir dans une cage. » elle soupire. Et elle sait que c'est vrai. Qu'elle va crever, comme un animal qu'on a abandonné. Comme une morale que les grands dieux lui feraient. Le fait qu'elle n'aurait pas dû vouloir savoir ce qu'il se trouve en dehors, qu'elle aurait du rester là où sa famille la voit comme un trésor. Les paumes de Haiwee relâchent le totem, se posent sur celles de Gresham, elle s'y accrochent un peu trop, s'en sert d'appuie, alors qu'elle se laisse glisser contre la paroi, pour se laisser tomber, s'asseoir à même le sol. Il y a tout en elle, qui dégringole. « J'suis désolée. » elle ne sait pas trop pourquoi, pour la faiblesse dans ses doigts. Parce qu'elle est certaine qu'on la puni d'être là.        
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    Lien du postJeu 31 Déc - 3:12
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    BIBLIOTHÈQUE DE BOSTON :: DANS LA SOIRÉE.
    | @Haiwee Wind River |


    Prendre les escaliers me semble être plus qu’évident la prochaine fois que je me rendrais dans ce lieu, cette vieille bâtisse qui recèle d’ouvrages plus différents les uns que les autres, car être enfermé dans une cabine d’ascenseur n’a rien de positif, hormis lorsqu’on appuie nous-même sur le bouton d’arrêt d’urgence afin de partager un moment en toute intimité avec une tierce personne. Ce soir, ce n’est évidemment pas le cas, puis je ne suis plus ainsi. Les insouciances de la jeunesse se sont évanouies avec l’âge, les années qui ont défilé et c’est donc sans la moindre chance aucune que je m’adonnerais à ce genre de fantaisie au jour d'aujourd'hui. Ce qui m’ennuie, en réalité, ce n’est pas ce que je ne peux faire, mais l’état dans lequel se trouve cette jeune femme que j’ai déjà aperçue à quelques reprises. Je sais qui elle est, je me remémore son prénom ainsi que son nom, car personne ne parvient à passer hors de mes filets. Je garde en mémoire chaque visage et parviens toujours à remettre qui est ladite personne et où je l’ai rencontré. Mon cerveau ne faillit jamais, telle une machine, comme si j’étais un robot, un automate, et c’est d’ailleurs ainsi que l’on me perçoit à Harvard puisque je suis un homme sans cœur et sans la moindre once d’humanité pour la plupart des êtres s’y trouvant. Le fait est que j’en suis un et cette situation est bien loin de m’amuser. Déjà, je ne suis des plus à l’aise, exècre l’idée d’être enfermé dans quelques petites mètre carrés seulement, puis il y a cette colombe aux allures des plus fragiles qui surréagit, déjà, de part notre situation. Suis-je autant paniqué qu'elle ? Non, mais cela ne veut pas signifier que je ne ressens rien. Le fait est que mon masque, qui parfait mon allure d’être sans cœur, est infaillible lui aussi et par conséquence, personne ne peut lire en moi. Aucun sentiment n’est déchiffrable sur mes traits, aucun ne transparaît et ce n’est que lorsque je vocifère au travers de mon smartphone que ma colère est palpable. D’ailleurs, je m’en excuse sur-le-champ une fois raccroché, auprès de cette douce colombe qui, quant à elle, se protège en restant dans son coin, contre le mur froid de la cabine, ses mains postées ou plutôt accrochées à une sorte de collier, de symbole que je ne peux voir. Tandis que je lui assure pour une énième fois que tout va bien se passer, que nous allons être rapidement libéré, elle ne prononce le moindre mot, ni même le moindre son. Perdue dans son angoisse, celle d’étouffer sans nul doute, dans cette cabine, je termine de m’approcher avec lenteur, pour planter mes prunelles lapis-lazuli dans les siennes et l’intimer à respirer tout en fermant les yeux. Sur un ton posé que je souhaite rassurant, je ne dérobe mon regard du sien, continue à la fixer avec quiétude pour lui expliquer qui je suis, ce que je fais dans la vie afin qu’elle sache que je peux l’aider à se sentir mieux, à contrôler cette peur qui a lieu d’être, mais qui ne doit la pousser à faire un malaise. Alors, j’use même d’un nouvel argument, arguant qu’elle peut se saisir de mes mains, qu’elle peut me faire confiance et que je ne les relâcherais pas. C’est une promesse que je lui fais, à cette sorte d'inconnue qui obtempère, ferme immédiatement ses prunelles noisette et j’en esquisse un sourire. La raison ? Je suis heureux que cela soit si simple pour une fois qu’une personne fasse ce que je lui demande parce que c’est pour son bien. La regardant faire, détaillant son visage aux prunelles closent, il me semble déceler sur ce dernier une sorte d’amélioration, d’apaisement, comme si mon exercice fonctionnait et lorsqu’elle prend la parole, que j’en tends l’oreille puisqu’elle s’exprime faiblement, un rictus déforme mon visage de nature impassible. Je suis étrangement peiné qu’elle soit ainsi, qu’elle pense cela et qu’elle se sente si mal, cette belle colombe. *Bientôt, tu seras à nouveau libre.* Je songe dans mon esprit, lorsque ses mains délaissent son collier pour se poser sur les miennes et s’y accrocher comme à une bouée de sauvetage. « Vous n’avez pas à être désolé. » Je souffle pour toute réponse une fois qu’elle se trouve sur le sol et que je me trouve accroupi, puisque j’ai dû suivre le mouvement quant à sa descente, ne pouvant rester debout ainsi que droit comme un « i ». Pressant avec douceur ses mains dans les miennes, je termine d’esquisser un sourire et prononce, d’une voix douce : « Nous n’allons pas rester enfermer ici. On finira par nous faire sortir, venir nous chercher. Vous serez bientôt libre, jolie colombe. » Mes mots m’échappent, mon regard se fige, tout comme les traits de mon visage. Soudain mal à l’aise, j’en pousse un soupir, pose mes prunelles sur un autre point d’ancrage que ses superbes billes noisette, quand, mon smartphone retentit. « Pardonnez-moi. Je vais relâcher l’une de vos mains. » Je murmure, pour se faire avec lenteur, garder la seconde précieusement dans la mienne et décrocher. « Lui-même. » Je réponds au « monsieur Ewart » soufflé pour écouter les dires de mon interlocutrice. « Quand vont-ils nous libérer ? » J’interroge cette dernière pour jurer intérieurement, dans mon esprit. « Combien de temps ? » Je réclame, lèvres pincées avant de fermer les yeux. « Très bien. Si vous avez d’autres nouvelles, appelez-moi à nouveau. La moindre information. Surtout si cela s’avère plus rapide. » Sur mes mots, je raccroche, comme de coutume et réfléchis. Comment dire à cette jeune femme que nous en avons encore pour un certain temps ? Qu’il s’agit plus de questions d’heures que de quart d’heure, voir même plus d’heures en nombre qu’une seulement ? Je ne sais comment je vais pouvoir parvenir à l’aider durant un si long laps de temps. « Hm. » Je termine de déposer de nouveau mon regard sur cette douce colombe. « Les techniciens sont informés quant à la panne de cet ascenseur. » Je commence et m’assois face à elle, afin de garder ce contact : sa main dans la mienne. « Le souci est qu’ils sont déjà sur une sorte de mission, si je puis dire. Un autre ascenseur, dans un autre quartier. Ils ne seront pas là avant quelques heures, mais c’est dans le pire des cas. » Je m’essaye d’être rassurant, esquisse un sourire. « Demain, cet instant ne sera plus qu’un mauvais souvenir, je vous le promets. » Déposant mon cellulaire à mes côtés, à même le sol, j’effleure à l’aide de mon pouce l’intérieur de sa main, y tracer des cercles afin de l’aider à retrouver un semblant de quiétude.


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    Haiwee Wind RiverMembre de la Adams House
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    Haiwee Wind River
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    Âge : 25
    Lieu de naissance : Wind River, réserve amérindienne dans le Wyoming.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : la Adams House la semaine, avec Dan et les souvenirs de Dutch le weekend.
    Situation sentimentale : prise, amoureuse sur un nuage, craignant malgré tout l'orage. (23/06/23)
    Études & Métiers : étudiante en journalisme (5ème année) et pigiste pour le Boston Globe.
    Date d'inscription : 15/11/2020
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    née dans la réserve amérindienne de wind river • sauvage • sensible • insaisissable • ingénue • novice • farouche • fière • sensorielle • caractérielle • croit aux esprits anciens • préfère la médecine douce à la science • connaît la médecine amérindienne • a une fâcheuse tendance à parler en amérindien lorsqu'elle perd le contrôle • elle connaît d'ailleurs plusieurs anciens dialectes différents • bavarde • honnête, ne sait pas mentir • elle s'est fait tatouer une rune signifiant "Libre" sur les côtes lors de son premier SC en 21 • durant une période elle a eu du mal à dormir (blessée par balle en nov. 21) • a perdu sa virginité avec sheng en janvier 22 • étudiante en journalisme • en couple avec sheng officiellement depuis mai 23 (mais amoureuse de lui depuis mai 21) • à 4 mois de grossesse elle fait une fausse couche tardive le 14 janv. 23 •

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    vivre.
    être libre.
    être aimée.
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    → RELATIONSHIPS ←
    → RELATIONSHIPS ← 

    Dutch pnj // Grand frère de coeur sur lequel elle pensait pouvoir toujours compter. Il quitte Boston en Août 22, lui laissant argent et maison en cadeau.
    Sheng // il a bousculé toutes les barrières. Chamboulé ses idéaux en une soirée. Dangereux, mais elle ne peut stopper ce jeu. Amoureuse de lui malgré les directives de ses aïeux.
    Piotr pnj // étudiant complexe. Elle l'aime comme elle le déteste.
    Anders // ancien parrain de fraternité avec lequel elle a développé une vraie amitié.
    Horace // rencontré au Sidh, elle a vu en lui une lumière, homme si particulièrement solaire.
    Lilia // comme sa meilleure amie, elles partagent la même chambre à la Adams house.
    William // agent du FBI venu l'interroger, elle a vu en lui plus qu'un simple uniforme, un calme salvateur, un être partageant ses valeurs.
    Oliver //
    Hélios //
    Dan //

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    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t124809-haiwee-wind-river-adria-arjona#4789340
    Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155282-haiwee-wendy-manny-repertoire-rps
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155418-haiwee-wendy-manny-fiche-de-liens
    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t126258-meetsachussets-windriver
    Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t143458-colors-of-the-wind-haiwee
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    Lien du postMar 12 Jan - 11:28
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    Elle a dans sa poitrine, cette indéniable sensation que son cœur va bientôt s’arrêter, à battre trop vite il va forcément éclater. Elle essaie du mieux qu’elle le peut de se raccrocher au professeur, de se maintenir une contenance dans son regard et tente d’oublier ses peurs. Elle se le jure, elle n’entrera plus jamais dans un ascenseur. « Vous n’avez pas à être désolé. » il articule alors qu’il s’en vient au même niveau que celui de Haiwee, elle tente un sourire, mais n’arrive pas à l’étirer dans son entièreté. Parce qu’il est factice et que la belle est bien loin d’être apaisée, bien au contraire, elle a l’impression que les murs, sur eux, sont en train de se refermer, comme si la cage rapetissait. « Nous n’allons pas rester enfermer ici. On finira par nous faire sortir, venir nous chercher. Vous serez bientôt libre, jolie colombe. » Le surnom l’interpelle, parce que ce mot c’est ce que signifie son prénom, à la belle. Comment pourrait-il savoir que c’est une colombe perdue dans le noir ?

    Elle lui confère un don de divination, et c’est peut-être bête, mais ça lui suffit pour avoir, enfin, une positive émotion. Et elle se laisse surprendre par le bruit de son téléphone qui sonne à nouveau, Haiwee, elle a beau en avoir un, elle sait que l’utilisation de la technologie lui fait, même après un an, toujours défaut. « Pardonnez-moi. Je vais relâcher l’une de vos mains. » Elle hoche légèrement le visage pour l’approuver, en même temps, ce n’est pas comme s’il allait la tenir… à jamais.

    Elle a beau ne pas entendre ce qu’il se passe de l’autre côté de son appareil, elle écoute attentivement ce que lui peut prononcer. « Lui-même. » La main droite de Haiwee, revient attraper son bien matériel. Totem de son baptême. « Quand vont-ils nous libérer ? » Elle en prie tout ses dieux pour qu’il puisse lui confier qu’il est bientôt terminé, cet incident malheureux. « Combien de temps ? » Pas trop, car elle se brise un peu plus à chaque instant. « Très bien. Si vous avez d’autres nouvelles, appelez-moi à nouveau. La moindre information. Surtout si cela s’avère plus rapide. » Et la communication s’arrête sur ça, sur le regard de Gresham qui revient se poser sur le visage de la femme, presque trop enfant. Qui devine en ses prunelles qu’ils vont en mettre, du temps.

    « Hm. » Il semble désolé, lui aussi, mais ce n’est pas sa faute, pas à lui. « Les techniciens sont informés quant à la panne de cet ascenseur. » Elle s’en doutait étant donné la façon dont il a parlé la première fois qu’il a téléphoné. Alors il s’assoie face à elle, leurs deux paumes toujours liées, elle lâche ses iris pour poser les siens sur cet effleurement dont elle ne sait que penser. « Le souci est qu’ils sont déjà sur une sorte de mission, si je puis dire. Un autre ascenseur, dans un autre quartier. Ils ne seront pas là avant quelques heures, mais c’est dans le pire des cas. » A croire que toutes les machines se sont liguées contre elle, en cette fin de journée. « Demain, cet instant ne sera plus qu’un mauvais souvenir, je vous le promets. » Haiwee contemple toujours leurs mains, elle s’étonne de ce mouvement circulaire, elle calme sa respiration, en reprise d’air.

    Demain… ça lui paraît de plus en plus loin. Elle ne sait que lui dire, se trouve sauvage, un tantinet martyr. D’ailleurs, elle se sent même stupide, car lui ne panique pas, alors forcément ce qu’il y a quelque chose en elle qui ne va pas. Les personnes qui ont toujours vécu ici, n’ont pas peur d’être dans une cage, mis à part lorsqu’il est question de phobie. La belle déglutit, sa vision se posant à nouveau sur lui, Haiwee elle aimerait lui sourire, mais elle se perd quelques secondes à mordiller ses lèvres. C’est comme si elle était malade, atteinte d’une dingue fièvre. « Je m’appelle… » elle commence, ne sait pourquoi elle se met à hésiter. « Je m’appelle Haiwee. » elle achève, et à l’errance elle se sent condamnée. « C’est drôle, vous savez. » pas la situation, là, on est bien loin d’en être au point d’en rigoler. Mais elle à de la suite dans les méandres de ses idées. « Haiwee veut dire colombe, chez moi. » Au moins, elle a retrouvé sa capacité à communiquer. Un peu à regret, elle récupère sa main, car elle se positionne en boule et entoure ses genoux de ses bras, elle pose sa tête au-dessus de ceux-là. Elle est bavarde, en général, lorsqu’elle connaît les gens, mais elle ne sait se comporter à ce moment, car il y a cette étrange proximité avec Gresham. Mais elle finit par le questionner, car les heures, si elles sont silencieuses, elles vont être longues, à défiler. « Vous enseignez quoi ? » bien qu’elle ait l’impression de l’avoir déjà croisé, elle est certaine de ne jamais l’avoir entendu parler, non, si dans un cours magistral elle l’avait croisé, pour sûr, que la colombe, s’en souviendrait.         
    :copyright:️ DABEILLE




    OVERDRIVE

    “ I wanna feel the heat, I wanna own the night. I wanna feel the beat, I wanna dance tonight. I wanna lose myself, I wanna come alive. I wanna feel the love, go into overdrive. ”



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    Lien du postVen 15 Jan - 3:41
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    DON'T PANIC, I'M HERE TO
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    Si je m’étais retrouvé seul dans cette maudite cabine, je sais pertinemment comment j’aurais réagi. D’abord, évidemment, j’aurais contacté le secrétariat comme je l’ai fait, il y a un petit moment déjà, mais surtout, j’aurais vociféré au travers de mon cellulaire, bien plus que je ne l’ai fait, en présence de cette douce jeune femme. Ensuite, j’aurais certainement juré entre mes dents, avant de donner de nombreux coups contre les murs, à l’aide de mes poings. J’aurais laissé ma rage prendre le pas sur l’homme que je suis. Le monstre aurait fait son apparition, je lui aurais donné une permission de sortie afin qu’il se délecte de l’instant en donnant des coups à tout, à l’aide de mes poings et pieds, comme si je me trouvais enfermer dans un sac de boxe, seulement, je ne le suis, seul. Et bien que j’ai été en rogne et que je le sois encore, je me préoccupe surtout de l’état de cette frêle colombe qui semble être au plus haut niveau de la panique, bien qu’elle s’essaye de se rassurer en tenant fermement le pendentif de son collier. Je me veux donc rassurant, compréhensif et je souhaite l’apaiser. Il faut absolument qu’elle recouvre un semblant de calme, pour elle-même et non pour moi. J’exècre l’idée qu’elle puisse perdre connaissance, se sentir si mal qu’elle en défaille, alors, je m’évertue à lui souffler ces quelques mots qu’elle doit absolument croire, puisqu’évidemment, nous n’allons terminer nos jours ici, dans cette boite en aluminium. Me rapprochant d’elle, cette jolie brune, je termine de poser mon regard dans le sien, afin qu’une connexion s’établisse. Puis je m’évertue toujours à lui faire comprendre que ce que nous vivons ne sera plus qu’un mauvais souvenir avant de lui proposer un exercice de respiration et qu’elle se saisissent de mes mains, comme proposé. En suis-je ravi ? Oui, car pour une fois, on m’écoute sans vouloir me défier et c’est bien mieux au vu de la situation dans laquelle nous nous trouvons. Seulement, elle termine de chuter et je la suis, nos mains se trouvant accrochées. Le fait est que cela ne dure, puisque déjà, j’en relâche une alors que je me trouve accroupi et que je réponds à mon smartphone qui sonne. Tandis que je m’essaye à garder mon calme, à réfréner mon envie de cracher du feu, tel le dragon que je suis, je termine de raccrocher et apporte les dernières nouvelles à celle que je nomme colombe. La raison ? Je ne la connais. Étrangement, c’est le premier mot m’étant venu à l’esprit et tandis que je trace des cercles dans la paume de sa main, celle que je tiens toujours, pour la soulager, elle termine de comprendre que nous allons devoir encore patienter, jusqu’à ce que l’on daigne venir nous délivrer de cet enfer. Comme soufflé, demain, ce ne sera plus qu’un mauvais souvenir ou bien un rude cauchemar, mais nous n’y sommes encore et je lis bien dans son regard que le problème se pose là, dans ce détail qui est loin d’être insignifiant.
    Ma main se trouvant toujours à tenir la sienne, j’étends mes jambes pour me retrouver assis à même le sol tout comme cette douce colombe et je me mets à songer à des sujets de conversations, afin que le temps ne s’étiole pas avec une lenteur démesurée. Mais de quoi pourrais-je converser si elle ne me répond ? Me pinçant les lèvres, fermant durant une seconde mes prunelles lapis-lazuli, je termine de pousser un faible soupir quand elle prend la parole et que sa voix, mélodieuse, rebondisse dans la cage où nous nous trouvons. La fixant, j’attends qu’elle continue, l’encourage au travers de mon regard et apprends qu’elle se nomme Haiwee. *C’est joli.* Je pense, pour esquisser un fin sourire et m’interroger quant à son rire qui retentit et s’accroche dans l’air. *Qu’est-ce qui est drôle ? Elle craque, voilà tout. C’est humain.* Je songe, pour la fixer avec curiosité et patienter, puisqu’elle se stoppe ou aime le suspens, la jolie Haiwee. « Oh. Je n’en avais connaissance. » Je réponds immédiatement à ses mots, pour trouver cela étonnant que je puisse l’avoir nommé ainsi, sans même le savoir. « Vous avez un très beau prénom et sa signification l’est tout autant. » Je susurre, dans un sourire qui s’élargit avant de faner puisqu’elle rompt le seul contact que nous avions en se séparant de ma main afin d’enrouler ses bras autour de ses jambes et ainsi poster sa tête sur ses genoux : en somme se recroqueviller sur elle-même. *Vous allez bien moins respirer et terminer de paniquer à nouveau.* Je me dis dans mon esprit, pour soupirer une énième fois et m’éloigner d’elle. Plaçant mes mains derrière ma tête, je songe à comment aborder ce détail quand, je termine par recouvrer les traits de son ravissant visage. « J’enseigne la psychologie, à l’université d’Harvard. » Je me pince les lèvres et ajoute : « Je vous l’ai déjà soufflé, mais je comprends que vous ne vous en rappeliez. » Je compatis, au vu de la situation et puis cela ne m’ennuie pas, mais m’amuse, dans le fond. « Qu’étudiez-vous, à Harvard ? » Je l’interroge, pour incliner légèrement ma tête de côté et ajouter : « Je vous y ai vu. Je vous ai remarqué. J’ai une très bonne mémoire et je sais que vous y êtes étudiante, sans le moindre doute, mais je ne sais en quoi. » Puisqu’elle n’est dans mes cours et par conséquent, je ne sais quelles sont ses matières majeurs ainsi que mineures. « J’écris des ouvrages de psychologies. » Je me laisse dire, sans même réfléchir, pour continuer : « Et je reçois dans mon bureau de l’université quelques étudiants qui ont besoin de parler de leurs soucis. » Car si je ne possède pas de cabinet de psychologie, je suis un peu devenue le psychologue de nombreux étudiants, ce qui ne me dérange guère, dans le fond, je ne peux que le reconnaître, à présent.
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    née dans la réserve amérindienne de wind river • sauvage • sensible • insaisissable • ingénue • novice • farouche • fière • sensorielle • caractérielle • croit aux esprits anciens • préfère la médecine douce à la science • connaît la médecine amérindienne • a une fâcheuse tendance à parler en amérindien lorsqu'elle perd le contrôle • elle connaît d'ailleurs plusieurs anciens dialectes différents • bavarde • honnête, ne sait pas mentir • elle s'est fait tatouer une rune signifiant "Libre" sur les côtes lors de son premier SC en 21 • durant une période elle a eu du mal à dormir (blessée par balle en nov. 21) • a perdu sa virginité avec sheng en janvier 22 • étudiante en journalisme • en couple avec sheng officiellement depuis mai 23 (mais amoureuse de lui depuis mai 21) • à 4 mois de grossesse elle fait une fausse couche tardive le 14 janv. 23 •

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    Dutch pnj // Grand frère de coeur sur lequel elle pensait pouvoir toujours compter. Il quitte Boston en Août 22, lui laissant argent et maison en cadeau.
    Sheng // il a bousculé toutes les barrières. Chamboulé ses idéaux en une soirée. Dangereux, mais elle ne peut stopper ce jeu. Amoureuse de lui malgré les directives de ses aïeux.
    Piotr pnj // étudiant complexe. Elle l'aime comme elle le déteste.
    Anders // ancien parrain de fraternité avec lequel elle a développé une vraie amitié.
    Horace // rencontré au Sidh, elle a vu en lui une lumière, homme si particulièrement solaire.
    Lilia // comme sa meilleure amie, elles partagent la même chambre à la Adams house.
    William // agent du FBI venu l'interroger, elle a vu en lui plus qu'un simple uniforme, un calme salvateur, un être partageant ses valeurs.
    Oliver //
    Hélios //
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    Lien du postMar 26 Jan - 21:39
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    Don't panic, i'm here to help and protect you.BIBLIOTHEQUE DE BOSTON.@Gresham O. Ewart
    Elle n’a jamais réellement réfléchi à la mort, c’est une chose qui fait partie de la vie pourtant, indéniable et qui ne peut se contrer, mais Haiwee, elle préfère, et de beaucoup, mettre ce genre de détail de côté. Elle souhaite voir la vie et tout son panel de possibilité. Enfin, elle voulait, jusqu’à présent. Jusqu’à ce qu’elle éprouve cette sensation d’étouffement. Que dans cette cage c’est comme il n’existait plus le temps. Mais elle s’essaie à penser autrement, à vouloir, parler avec l’homme si bienveillant. Elle explique son prénom, trouvant que la coïncidence défie les lois de la raison. « Oh. Je n’en avais connaissance. » A la vérité, ce n’est pas non plus ce qu’on appelle évidence. « Vous avez un très beau prénom et sa signification l’est tout autant. » Elle esquisse un sourire, ne pouvant qu’approuver ses dires.

    Car si elle est une colombe, c’est parce qu’elle a amené la paix dans sa forêt. Parce qu’elle est l’enfant de deux chefs de clans s’étant alliés, mais Haiwee, elle ne racontera pas son histoire, puisqu’elle est un brin dérisoire, pour ceux qui n’ont grandis et évolués à ses côtés. Alors elle choisit de lui demander ce qu’il fait dans la vie. « J’enseigne la psychologie, à l’université d’Harvard. » Il répond, après avoir relâcher de son crâne, la pression, peut-être que lui aussi, il la frôle, ici, l’hérésie. « Je vous l’ai déjà soufflé, mais je comprends que vous ne vous en rappeliez. » Oh. La surprise se fige sur son visage, et elle s’en veut, comme une enfant qui n’a pas écouté, qui n’a pas été sage. Le pire c’est que oui, maintenant qu’il le dit, ça fait tilt dans son esprit. Alors elle ne se retient pas, de lui intimer simplement un ; « Pardonnez-moi. » car il n’y a, dans le fond, rien d’autre à dire que cela.

    « Qu’étudiez-vous, à Harvard ? »
    Il reprend, et son interrogation il l’accompagne d’une brève explication. « Je vous y ai vu. Je vous ai remarqué. J’ai une très bonne mémoire et je sais que vous y êtes étudiante, sans le moindre doute, mais je ne sais en quoi. » Une fois n’est pas coutume, c’est le deuxième homme qu’elle rencontre, récemment, avec cette capacité, peut-être que ce n’est pas, finalement, un trait de caractère aussi unique qu’elle le pensait. « J’écris des ouvrages de psychologies. » Elle aimerait bien les lire, puisqu’elle lit tout ce qu’elle peut trouver, et ça l’intéresse à présent de connaître ses façons de voir la vie et de l’envisager, après tout, il partage avec elle, cet étrange aparté. Parvient à lui faire oublier que de chez elle, elle est bien loin. « Et je reçois dans mon bureau de l’université quelques étudiants qui ont besoin de parler de leurs soucis. » D’un mouvement léger, elle approuve tout ses dires, et elle amorce un songe sur ce qu’il vient de lui expliquer, le fait que ça ne l’étonne qu’à moitié. Après tout, malgré la froideur de son regard de prime abord, Gresham semble être quelqu’un vers lequel on peut se tourner lorsque la vie demande trop d’effort.

    Haiwee, toujours recroquevillée, incline la tête sur le côté, elle pose sa joue sur son épaule, elle essaie de chasser d’elle l’envie de pleurer, souhaite de tout son petit cœur qu’elle s’envole. Mais avant qu’elle ne dégringole, elle répond en se souhaitant que très peu folle. « J’étudie la politique, » elle essaie de changer la vie, « mais aussi l’économie, » parce qu’elle a, malgré elle, comprit, que c’est l’argent qui régit la vie. Elle qui pensait que c’était le bonheur, à Boston, la monnaie a, un tantinet, ternie son cœur. « mais je ne suis pas sûre que ce soit fait pour moi. » Elle, elle veut toujours plus, elle veut connaître et savoir, et veut se dire qu’elle a toutes les parties de l’histoire.

    Une seconde de silence, elle clôt ses paupières pour se trouver un semblant de contenance, avant de revenir à lui, l’Amérindienne lui sourit. « Ce n’est pas trop compliqué ? » La vie. « D’essayer de comprendre les âmes torturées ? » Elle ne pourrait pas, non, ce n’est jamais qu’elle s’y aventurerait.         
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    DON'T PANIC, I'M HERE TOHELP AND PROTECT YOU.
    @Haiwee Wind River
    Ne pouvoir agir, n’avoir aucun contrôle sur la situation dans laquelle je me trouve m’exaspère, et cela, est de plus en plus perceptible. La raison ? Le temps s’écoule - ou du moins, il est censé s’écouler - et rien ne se passe, rien n’arrive. Alors, assis non loin de Haiwee, mes jambes élégamment allongées, je passe mes mains dans ma chevelure brune et me la tiens ainsi, afin de contenir ce trop-plein de frustration présent en moi. Mes bras postés contre l’un des murs de la cabine, sur lequel je m’appuie, je termine de répondre à sa question en lui soufflant que je suis professeur de psychologie à l’université d’Harvard, puis j’ajoute que je le lui ai soufflé, dans un mince sourire. Me trouvant amuser par cette anecdote qui ne se trouve si lointaine, je fronce les sourcils à ses mots, ses excuses, puisque comme dit, j’ai compris et je comprends toujours la raison pour laquelle elle l’a occulté. « Je vous en prie, ce n’est rien. » Je commence en cherchant son regard. « Haiwee. » Je l’appelle par son prénom afin de capter son attention. « Je vous assure que ce n’est pas grave. » Cette fois, je le retrouve. « Du tout. » Je prononce ses derniers mots en relâchant ma prise sur mes cheveux et la questionne à mon tour, afin de faire la conversation et ainsi occuper ce temps qui semble se jouer de nous, puisqu’il semble s’être figé. Se faisant, je lui explique alors que je l’ai déjà aperçu à l’université où je travaille et où je pense qu’elle étudie, puisqu’elle n’est professeure, je le saurais. Comme je n’obtiens aucune réponse, je continue, fixe le mur face à moi et ajoute dans un mince sourire que j’écris des ouvrages de psychologies, pour terminer à propos de ses étudiants que je reçois dans mon bureau et que j’écoute, afin de leur apporter aides et conseils, comme je le peux. Ce dernier s’étirant de plus belle à cette pensée, aux visages de ses étudiants qui défilent sur ma rétine, je termine de poser de nouveau mon regard sur la jeune et jolie colombe coincée à mes côtés, qui me semble de plus en plus bouleverser par cette situation. Mon regard emprunt de compassion s’encrant dans le sien, un sourire s’inscrivant sur mon visage à son attention, afin qu’il lui réchauffe le cœur, je l’écoute et l’intime à continuer au travers de mon regard, je l’encourage, afin qu’elle puisse s’évader de cette cage de fer, durant au moins une fraction de seconde. « Politique. » Je prononce derrière elle, dans un air approbateur. « Et économie. » Je continue, un air de fierté présent sur mon visage. « C’est impressionnant. » Je conclus, pour à nouveau froncer les sourcils à ses propos. « Pour quelles raisons ? » J’en suis étonnement choqué. « Je ne peux prétendre vous connaître, mais… » Je cherche les mots justes. « Vous me semblez intelligente ainsi que réfléchie. » Je la fixe et sonde son âme au travers de son regard. « Peut-être vous sentez-vous différente, pour de multiples raisons, mais… » Un sourire s’épanouit sur mon visage. « C’est cette dernière, cette singularité qui fait que vous pouvez, que vous pourrez, faire la différence. » Puis ma tête trouve le mur de la cabine d’ascenseur se trouvant derrière moi et je reprends : « Je pense que je serais très fière de vous, de vous avoir connu, d’avoir partagé cet instant à vos côtés lorsque je vous verrais à la télévision pour je ne sais quel événement politique. Je me dirais que j’ai eu la chance de vous connaître et j’en serais excessivement heureux. » Puis je m’arrête, cesse de faire de longs monologues puisque l’essentiel est dit, ce que je pense tout du moins et tandis que je m’étire, pour clore mes prunelles lapis-lazuli en sentant poindre une migraine puisque je bous intérieurement bien que je ne le laisse paraître, je retrouve le regard sombre de la colombe qui m’interroge au sujet de mon travail. Songeant à ma réponse, affichant une moue de réflexion, je termine de pencher légèrement ma tête de côté. « Oui et non. » Je commence tout en plissant le regard. « Disons que j’ai souhaité suivre les pas de ma mère d’adoption et je désirais également comprendre tous ses sentiments et ressentiments qui m’assaillaient. J’étais sans doute l’être le moins qualifié afin de poursuivre de telles études, pour être tout à fait franc. » J’en ris, légèrement. « Le fait est que je souhaitais véritablement rendre fière Helen et puis, je voulais me sauver. » Mon regard se perd, s’emplit de larmes. « Je peinais à garder la tête hors de l’eau, de part mon passé, ce que j’ai vécu. Je ne pensais m’en sortir par ailleurs et je pense que c’est cette envie de parvenir à la rendre fière de moi, qui m’a sauvé, entre autres choses. » Sur mes mots, je me tais, n’en prononce plus un seul durant une longue minute. En réalité, je me suis perdu dans les méandres de mon passé, de cette époque et lorsque je reviens à moi, à nous, à cette cabine d’ascenseur bloquée, je pousse un soupir. « Les âmes torturées, je sais ce que s’est. J’en suis pourvu d’une alors, plutôt que de me dire que c’est un fardeau, je me suis dit que cela pouvait m’aider à écouter, comprendre et aider, ceux qui en ont une, comme moi. » Durant une fraction de secondes, je retrouve ses prunelles, puis je détourne mon regard et croise mes doigts, longs et fins, sur mes genoux puisque je les ai ramenés à ma poitrine. « Je m’essaye d’aider les autres comme je le peux. » C’est un fait, mais est-ce que j’y parviens réellement ? Je ne le sais et lorsque j’y songe, je ne le pense. « Votre âme ne semble pas torturer. » Je reprends, réfléchissant à voix haute. « Elle me semble pure. Légèrement assombri par les méfaits que la ville peut avoir, mais belle et d’une pureté rare. » Mon regard dans le sien, mes prunelles scintillantes encrées dans les siennes, je m’essaye à me rapprocher d’elle au travers de ce dernier, dans le but qu’elle comprenne qu’elle ne se trouve seule et qu’elle peut avoir confiance en moi, sans qu’aucun contact physique n’est lieu, puisque la colombe est douce et fragile et que je n’ai envie de l’effrayer, puisque nous pourrons nous retrouver à la case départ : lorsqu’elle se trouvait recroqueviller sur elle-même.
    Haiwee Wind RiverMembre de la Adams House
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    Haiwee Wind River
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    Âge : 25
    Lieu de naissance : Wind River, réserve amérindienne dans le Wyoming.
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    Situation sentimentale : prise, amoureuse sur un nuage, craignant malgré tout l'orage. (23/06/23)
    Études & Métiers : étudiante en journalisme (5ème année) et pigiste pour le Boston Globe.
    Date d'inscription : 15/11/2020
    Pseudo & pronom IRL : Leeloo. (elle)
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    → il y a une prairie dans mon monde parfait ←
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    Don't panic, I'm here to help and protect you. NX9CWyC

    née dans la réserve amérindienne de wind river • sauvage • sensible • insaisissable • ingénue • novice • farouche • fière • sensorielle • caractérielle • croit aux esprits anciens • préfère la médecine douce à la science • connaît la médecine amérindienne • a une fâcheuse tendance à parler en amérindien lorsqu'elle perd le contrôle • elle connaît d'ailleurs plusieurs anciens dialectes différents • bavarde • honnête, ne sait pas mentir • elle s'est fait tatouer une rune signifiant "Libre" sur les côtes lors de son premier SC en 21 • durant une période elle a eu du mal à dormir (blessée par balle en nov. 21) • a perdu sa virginité avec sheng en janvier 22 • étudiante en journalisme • en couple avec sheng officiellement depuis mai 23 (mais amoureuse de lui depuis mai 21) • à 4 mois de grossesse elle fait une fausse couche tardive le 14 janv. 23 •

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    Description deux :
    Don't panic, I'm here to help and protect you. Thunderbird
    → BUCKET LIST ←
    → BUCKET LIST ← 

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    vivre.
    être libre.
    être aimée.
    Description trois :
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    → RELATIONSHIPS ←
    → RELATIONSHIPS ← 

    Dutch pnj // Grand frère de coeur sur lequel elle pensait pouvoir toujours compter. Il quitte Boston en Août 22, lui laissant argent et maison en cadeau.
    Sheng // il a bousculé toutes les barrières. Chamboulé ses idéaux en une soirée. Dangereux, mais elle ne peut stopper ce jeu. Amoureuse de lui malgré les directives de ses aïeux.
    Piotr pnj // étudiant complexe. Elle l'aime comme elle le déteste.
    Anders // ancien parrain de fraternité avec lequel elle a développé une vraie amitié.
    Horace // rencontré au Sidh, elle a vu en lui une lumière, homme si particulièrement solaire.
    Lilia // comme sa meilleure amie, elles partagent la même chambre à la Adams house.
    William // agent du FBI venu l'interroger, elle a vu en lui plus qu'un simple uniforme, un calme salvateur, un être partageant ses valeurs.
    Oliver //
    Hélios //
    Dan //

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    XIVER
    Warning : Vie en communauté - Virginité - Sexe - Natifs américains - Blessure par balle - Grossesse - Fausse couche tardive
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    Lien du postSam 27 Fév - 12:03
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    Novembre 2020 -
    Bibliothèque de Boston
    | @Gresham O. Ewart |

      « Je vous en prie, ce n’est rien. » Non, ce n’est pas rien, elle n’a pas envie qu’il se dise qu’elle ne sait pas écouter, ou pire, qu’elle n’entend rien. Car Haiwee voit, et ce bien mieux que l’on ne le croit. « Haiwee. » Et le prénom dans sa bouche à un nouveau goût, un truc qui rend sa perception un peu floue. C’est doux. « Je vous assure que ce n’est pas grave. » Le regard est ancré dans le sien, et elle a ce mouvement, presque imperceptible d’approbation, du fait que finalement ce n’est probablement rien. « Du tout. » Et Gresham arrête la torture de ses cheveux, quand Haiwee approuve d’une faible voix, faute de mieux. « D’accord. » même si elle est toujours mal à l’aise dans son intérieur le plus for, elle n’en démord.

    La conversation s’aiguille sur sa personne, alors elle avoue que parfois, en politique, elle déraisonne. Elle se dit, de plus en plus, qu’elle a fait le mauvais choix, seulement elle peine à trouver sa voie. « Politique. » c’est ça. C’est trop pour elle, voilà ce qu’elle croit. Même si elle ne le dit pas. « Et économie. » à sa façon de la répéter, elle en sourit. « C’est impressionnant. » Oh non, pas tant. « Pour quelles raisons ? » Parce qu’elle n’est pas certaine que ce soit sa vocation. « Je ne peux prétendre vous connaître, mais… » L’expression de l’Amérindienne se fronce un peu, lorsqu’il poursuit. « Vous me semblez intelligente ainsi que réfléchie. » Entre ses deux paroles elle ne peut se retenir de souffler un « C’est gentil. » alors qu’il continue ses explications. « Peut-être vous sentez-vous différente, pour de multiples raisons, mais… » Beaucoup de « mais » dans ses pensées. « C’est cette dernière, cette singularité qui fait que vous pouvez, que vous pourrez, faire la différence. » Peut-être mais elle y perdra certainement son innocence. « Je pense que je serais très fier de vous, de vous avoir connu, d’avoir partagé cet instant à vos côtés lorsque je vous verrais à la télévision pour je ne sais quel événement politique. Je me dirais que j’ai eu la chance de vous connaître et j’en serais excessivement heureux. » Elle en bat de cils, et lève au ciel ses yeux. « Vous divaguez, monsieur. » Elle se permet de lui souligner, sur fond d’humour et d’un peu de vérité. Elle a du mal à voir les choses de son côté. Tout en se faisant l’aveu que l’avenir dans ses mots semble radieux. « Promis, dans mes futurs interviews, je parlerai de vous. » de cette rencontre dans un ascenseur qui a un tantinet marquée son cœur. Même si elle reste persuadée, que jamais on ne pourra la voir dans une télé. Pas assez apte à rentrer dans le moule de cette société.

    Alors elle finit par parler de lui, de psychologie, parce que c’est assez de propos sur elle-même, qu’elle en a oublié d’être blême. « Oui et non. » Haiwee, elle aime les nuances, alors elle apprécie qu’il ne se cantonne pas à une réponse. « Disons que j’ai souhaité suivre les pas de ma mère d’adoption et je désirais également comprendre tous ses sentiments et ressentiments qui m’assaillaient. J’étais sans doute l’être le moins qualifié afin de poursuivre de telles études, pour être tout à fait franc. » Elle en retient sa respiration, en suspend, elle ne comprend. « Le fait est que je souhaitais véritablement rendre fière Helen et puis, je voulais me sauver. » Se sauver… elle adore l’idée. Elle se la garde, dans une poche, bien cachée. « Je peinais à garder la tête hors de l’eau, de par mon passé, ce que j’ai vécu. Je ne pensais m’en sortir par ailleurs et je pense que c’est cette envie de parvenir à la rendre fière de moi, qui m’a sauvé, entre autres choses. » Et parce qu’il semble peiné, Haiwee se tait, elle se dit qu’elle n’aurait pas du parler. Après tout, elle n’est personne pour prendre le droit d’essayer de fouiller dans son passé. De connaître ses vérités. Et le silence se fait. Le temps pour elle de laisser ses yeux se fermer.

    « Les âmes torturées, je sais ce que s’est. J’en suis pourvu d’une alors, plutôt que de me dire que c’est un fardeau, je me suis dit que cela pouvait m’aider à écouter, comprendre et aider, ceux qui en ont une, comme moi. » A sa voix qui résonne à nouveau, Haiwee rouvre les paupières pour les accrocher aux siennes. Avant qu’il ne fuie, regarde devant lui. « Je m’essaye d’aider les autres comme je le peux. » Et la colombe est certaine qu’il y arrive, plus qu’il ne semble le penser. « Votre âme ne semble pas torturée. » Elle ne peut s’empêcher de craquer un sourire, afin d’approuver. Haiwee, c’est la définition même de la pureté. « Elle me semble pure. Légèrement assombri par les méfaits que la ville peut avoir, mais belle et d’une pureté rare. » Si c’est possible, sur ses joues hâlées, elle est persuadée, qu’il vient de s’y glisser, une teinte rosée, gênée par de tels propos à son égard, énoncés avec persuasion, elle n’en contient pas ses émotions. Si bien qu’elle sourit à nouveau, qu’elle trouve l’instant à la lisière du beau. Elle n’ose pas élever sa voix, car elle se dit qu’elle en exploserait la bulle qu’il vient de créer. Mais elle ne peut rester silencieuse, surtout avec des compliments qui se pourraient la rendre à l’orée de l’orgueilleuse. « Je… » elle commence, mais sans savoir où aller, elle a cette sensation, qu’elle doit se justifier, peut-être parce que son âme est de cette rare pureté, comme il vient de le citer, un caractère qui semble ne pas être de mise dans leur façon d’exister. « Je viens d’une réserve, amérindienne. » D'où le fait de ne pas s'harmoniser avec les lois de la ville et ses dits méfaits. Haiwee, ce n’est que lorsqu’elle se sent en confiance, qu’elle tente de s’expliquer. « Il faut croire que mon âme est restée dans ma forêt. » Et que la vente avec le diable n’a pas été signé. « Je pense, cependant, » parce qu’elle ne peut faire autrement. « que vous vous méprenez à mon sujet. » un léger rire s’échappe de ses lèvres, qu’elle ne maquille presque jamais. « Pure, assurément. » son cœur connaît de ses ancêtres, la bravoure et l’honneur. « Mais même sans être torturée, elle est à sauver, ici et maintenant. » De ses propres peurs. « Rassurez-vous, vous avez réussi, j’ai presque oublié que nous sommes bloqués. » Elle imagine qu’en un sens, il l’a fait. La sauver en la faisant parler. C’est peut-être bête, mais c’est certainement vrai.    


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