Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOn ne voit bien qu’avec le coeur (thae)
I LOVE HARVARD
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    On ne voit bien qu’avec le coeur (thae)
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    Lien du postLun 23 Nov 2020 - 21:18
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    on ne voit bien qu'avec le coeur

    faculté de musique - lundi 23 novembre - ootd
    16:00, tes affaires étaient déjà rangé dans ton sac, ton dernier cours de la journée. Tu n’allais pas encore rentrer, tu ne travaillais pas non plus comme fleuriste ce soir. Cœur battant, tu étais en direction de la faculté de musique où se trouvait Théo. Tu avais rendez-vous avec lui, deux muffins fait de ce matin dans ton sac. Tu sortis ton téléphone une fois devant le bâtiment, tu t’étais arrêté au Starbuck pour prendre un café glacé en attendant qu’il finisse son cours. Après tout, tu avais plus de 40 minutes à attendre avant qu’il ne sorte de son cours. Tu sortis ton téléphone de ta poche pour lui envoyer un sms rapidement.

    Je suis déjà là, je t’attends sur le banc en face de ta faculté. A tout de suite

    Tu le rangeas rapidement dans ta poche, sortant ton bloc note pour relire ton cours. Autant profiter de ce petit temps pour revoir les points importants de ta leçon d’aujourd’hui. En même temps, tu envoyais des messages à Malone qui ne semblait pas être dans son assiette. Tu as prévu de passer la soirée avec lui, tu pouvais passer trois heures avec le musicien. Tes colocataires allaient certainement te faire des remontrances pour lui avoir répondu : c’était plus fort que toi. Ton palpitant était toujours en émoi quand tu voyais le plus jeune. En parlant de lui, il était certainement l’heure puisque tu vis une foule sortir du bâtiment. Il apparut devant toi Théo et comme toujours, tu lui offrais ton plus beau sourire. « salut »
    @Theo Yun

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    Lien du postSam 28 Nov 2020 - 17:59
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    ★ ─ "on ne voit bien qu'avec le coeur"
    w/ @Mirae Kaoma

    16h00 - l’heure est longue. c’est à s’impatienter, la jambe qui tremble, au signe de nervosité qui surprend. c’est le gamin qui comprend pas vraiment pourquoi il s’inquiète. c’est la même fille, celle dont on se lasse pour mieux l’aimer encore, à pas comprendre les bouffonneries risibles. le reflet rit, et moi je m’ennuie. c’est morose,  quand je réponds rien, à juste observer l’écran qui s’anime, à imaginer ses murmures au creux de mon oreille. je la désire, c’est celle qui m’attire, et là la mélodie qui déraille ; c’est foutu, je suis fichu, c’est elle qui me possède encore quand je la rejette. ma douce, ma tendre, même la guitare s’envoûte d’elle, m i r a e ;  c’est à attendre, l’eau à la douche, quand c’est toujours e l l e qui plaît, et moi, distrait des courbes de ses lèvres, au goût addictif de son épiderme, et quand on essaie d’attirer mon attention, à répéter sans cesse mon prénom ; t h e o ; et l’heure tourne, j’observe le message, c’est le temps qui se fout de moi, à me rire au nez, quand la situation lui semble cocasse, pas très évidente pour moi, le gamin en manque de sa drogue, quand c’était l’overdose avant le manque. c’est presque évident. c’est trop, c’est burlesque, c’est presque à se moquer, de l’idiot en coup de vent, balaie le salut des autres pour juste la voir. c’est pas les mots qui arrivent à convaincre, la salutation trop aisée, c’est les mains qui entourent son visage et les pulpeuses qui volent les siennes. c’est bref, un court instant à la posséder de nouveau. aux curieux qui m’observent me retirer, c’est brusque, un peu trop à bout de souffle quand mon dos s’écrase contre la chaise, le myocarde qui fout le camp au premier contact visuel. “ salut, mirae. ” à souffler ton prénom comme la poésie que j’ai été incapable de jouer.


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    Lien du postSam 28 Nov 2020 - 18:26
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    on ne voit bien qu'avec le coeur

    faculté de musique - lundi 23 novembre - ootd
    Ton cœur semblait ne plus vouloir attendre, palpitant qui semblait vouloir décrocher ta cage thoracique. Tu stressais, bizarrement, certainement parce que tu ne savais pas à quoi t’attendre : comme toujours avec lui. Tu étais déjà là, assise avec tes feuilles de cours en main. Dégustant ce café glacé alors que tu l’attendais impatiente de le revoir. Théo est loin d’être quelqu’un de très explicite en parole, mais tu as été heureuse avec lui : sans aucun doute. Finalement, il arriva et tu lui offris ton plus beau sourire, un salut soufflé du bout des lèvres qui s’échappa bien rapidement. Deux lèvres bien connues se posèrent sur tes lèvres devenues froides par la température extérieure. Tes yeux s’ouvrirent en grand, plus que surpris de cette salutation que tu n’avais pas reçu depuis un moment : mais ça t’avait manqué, sans aucun doute. Toujours surprise, tu le regardas s’installer à côté de toi alors que tes prunelles noisette se perdirent dans les siennes. Tu ne remarquas même pas que tes joues avaient pris une jolie teintée rosée. « comment tu vas ? » demandas-tu sans trop savoir quoi dire après ce geste. Théo t’avait quitté, te disant que votre relation était devenue trop monotone… mais il t’embrassait tout de même, que devais-tu y comprendre ? Tu rangeas tes affaires dans ton sac et sortit un sachet transparent où se trouvait les deux muffins que tu avais gardé pour lui. « tien comme promis » dis-tu souriante, ton regard s’échappa tout de même, devenu presque timide maintenant. Peut-être que c’est ça qui a lassé Théo, tu étais trop pure ? de toute manière, il avait certainement fait ça par habitude. Un an, ce n’est pas rien.
    @Theo Yun

    felicis
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    Lien du postSam 12 Déc 2020 - 21:38
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    ★ ─ "on ne voit bien qu'avec le coeur"
    w/ @Mirae Kaoma

    presque - un peu - trop. les pulpeuses qui s’y perdent, là, sur la courbe des siennes. aux souffles qui se mélangent, goût fruité qui arrache le goût amer, et peut-être l’inverse, à adoucir le monstre, peine à ouvrir son cœur, et c’est dans un geste désespéré que je m’y tente, à avouer ma peine. c’est s’y confronter, au mur, comme à cracher les mots, à peindre de jolies paroles quand moi, livide, je n’ose guère dire quoi que ce soit, à privilégier les gestes quand je suis à court d’imagination pour plaire. p a r a d o x e - à crier les sentiments mais à les étouffer, soigneusement au creux de l’être, quand c’est là qu’on berce les illusions de l’utopie. et c’est à se détacher d'elle, vive douleur, le myocarde qui lentement s’affaisse, presque à se détester pour manquer. a m o u r ; t o r t u r e - à se questionner : c’est elle ou moi ? à qui profite la peine qui lentement envoûte, et là, le dos au collé au bois, le regard qui tendrement dessine chaque trait de son visage, au romantique plutôt qu’à l’ennui, comme redécouvrir ce que je me suis forcé à perdre. c’est à oublier, aux oubliettes jeter les ecchymoses, oublier que le mal torture l’épiderme, secrètement penser à elle - ou alors le regard comme trahison. “ wah, alors je vais bien depuis ces muffins, et toi ? dis-moi comment ça va. ” parce que la destruction t’aime encore, souris à la moindre de tes faiblesses, quand on partage. on sème le doute, à plus réellement savoir qui est l’idiot qui trahit, et qui est l’amoureux transit dans l’ennui. m i r a e - au prénom qui épouse divinement mes lippes, à embrasser la douceur, dans l’immédiat s’approche, replacer une mèche de cheveux derrière son oreille - putain de cliché.


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    Lien du postSam 19 Déc 2020 - 21:04
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    on ne voit bien qu'avec le coeur

    faculté de musique - lundi 23 novembre - ootd
    Surprise, on peut dire que tu l’as été quand les lèvres de Théo se sont posées sur les tiennes. Comme toujours, cela te faisait de l’effet.  Tu restas silencieuse quelques instants, reprenant tes esprits avec ce baiser comme signe de salutation. Le canadien était toujours aussi imprévisible et ça te déboussolait toujours. Ton palpitant avait du mal à se calmer, tu l’aimais toujours sans aucun doute. Tu finis par lui demander comment il allait, avant de sortir ton sachet où tu avais mis deux muffins à l’intérieur. Un sourire se dessina sur tes lèvres alors que tu le voyais apprécié ce que tu lui as apporté. « je vais bien, je suis toujours dans mes révisions » dis-tu avec un sourire aux lèvres. Ton regard ne semblait pas vouloir le quitter, toujours aussi submergé par sa beauté. Tu lui fais un grand sourire avant de finalement détourner le regard pour regarder autour de toi. « Tu veux qu’on fasse quoi ? tu veux qu’on aille dans un café pour se réchauffer un peu ? » nan parce qu’il fait un peu froid dehors nan ? même si Théo te donnait chaud, tu ne voulais pas attraper un rhume durant la période des examens.
    @Theo Yun

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    Lien du postDim 20 Déc 2020 - 15:28
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    ★ ─ "on ne voit bien qu'avec le coeur"
    w/ @Mirae Kaoma

    pincer les lèvres pour l’effluve amère du café - ce goût intense de ses lèvres, à encore ressentir l’explosion en moi. c’est s’en vouloir, c’est presque étonnant. à pas réellement savoir si c’est faux, si c’est la mécanique du cœur, à toujours vouloir réparer les erreurs, presque l’impulsivité comme pièce maîtresse. l’observer, m i r a e, pas réellement s’en cacher, à vouloir la retrouver (et à savoir pertinemment que l’erreur c’est moi). shoot me, darling. à toi de jouer, que tu puisses m’y faire mal, parce que je t’aime encore, et dans le regard, parfois, j’espère que c’est que l’on lit, tandis que moi, je deviens l’insensible, encore, sans jamais me suffire à ces émotions qui éclatent. et c’est encore tomber pour elle, là où ça fait mal (t’es trop rien pour elle, l’incapable, l’amour c’pas pour toi). et un sourire, faux, factice, j’sais pas, c’est comme un automatisme, étouffer le rien pour lui montrer le tout (c’est sûrement l'inverse). et c’est les regards qui s’admirent, à idolâtrer dans un murmure celle qui m’observe. m’en coupe le souffle, à chercher à tout prix un échappatoire. (la désirer plus qu’il ne m’est permis, et à avoir les foutaises à l’eau de rose) “ aller dans un coin et passer mon temps à t’embrasser. ” sûrement vouloir revivre l’autrefois éclaté en morceaux. me lever, machinal, tendre la main (geste presque désespéré), l’impatience dans le regard, à laisser les saveurs sucrées à l’abandon, sûrement le regret comme goût amer (parce c’est creuser le manque). à espérer qu’elle suive le mouvement, peut-être juste une dernière fois.


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    Lien du postDim 20 Déc 2020 - 16:01
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    on ne voit bien qu'avec le coeur

    faculté de musique - lundi 23 novembre - ootd
    Ton cœur s’était emballé comme à chaque fois que ses lèvres touchaient les tiennes. Pourtant, tu savais que la situation était difficile entre vous. Si vos deux cœurs s’aimaient, Théo était dans un mood qui ne conviendrait pas à ton idéal de relation. Pourtant, tu étais bien là avec lui, sourire aux lèvres alors que tu lui avais donné deux muffins fait récemment. Tes joues étaient rosies par le vent frais sur ton visage, mais certainement également à cause de ce baiser échangé. Maintenant que vous étiez ensemble, tu demandas ce qu’il désirait faire. Certainement pour couper le silence qui s’était installé entre vous. Tu étais mal à l’aise, tes doigts s’entremêlaient entre eux, alors que tu tenais toujours ton café glacé en main : rendant tes mains froides. Tes yeux s’écarquillèrent à ses propos, tu ouvris la bouche pour dire quelque chose mais il était déjà levé : sa main tendue vers toi. « je … euh… oui » dis-tu en toussotant par la suite. Tu rangeas tes affaires dans ton sac avant de prendre sa main pour te relever du banc. Ta main était froide, mais la sienne était chaude : comme toujours. Tu regardas autour de toi, te demandant où il pouvait bien t’emmener. « tu veux aller où ? » demandas-tu. Tu te doutais que cela n’était pas à l’université, ton palpitant était prêt à exploser à force de pomper. Tes joues maintenant devenues rouges, c’était l’effet Théo.  
    @Theo Yun

    felicis
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    Lien du postLun 28 Déc 2020 - 15:02
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    w/ @Mirae Kaoma

    l o v e - p o e m - écrire l’abandon. abandonner les effluves d’amour, presque à s’en dégoûter. et quand elles ne sont plus là, les sirènes, c’est à crier le manque. ce qui bouffe, là, au fond de moi, à dévorer chaque parcelle de mon être, et tard le soir, à l’imaginer, m i r a e (c’est le prénom qui hante plus, cauchemardesque ou angélique ?). alors parfois, le regard se fait douloureux, à la douleur qui pèse dans la cage thoracique, je m’essouffle, l’effort pour ne rien ressentir - i n s e n s i b l e. et c’est elle, à l’instant, que le regard dévore, passionnément, les lèvres qui attirent, et toujours le goût amer qui attise le sourire arrogant. elle cache ses mystères, dans les effluves écœurantes, et c’est elle secrètement que j’admire (c’est presque à avoir un lien étroit avec l’espoir, pour une fois). désespérément à croire l’oublier, quand elle s’éteint dans les draps des autres, à crier dans mon souffle. putain de mélancolie, à observer l’idiotie, au reflet dans son regard, j’admire l’erreur qui me crache à la gueule, presque triste, c’est presque à avoir pitié de moi, me pavaner dans la rue, à clamer que tout va bien, quand tout finalement me manque. et c’est la même routine, l’oublier avec une autre, puis être attiré par un autre, quelques fois aimer les deux du bout des lèvres, et c’est nom que je geins. et là, c’est me morfondre dans l’impossible, lier nos doigts ensemble (à serrer sûrement, pas peur qu’elle s’échappe, sûrement). l’emmener ailleurs, le froid qui croque l’épiderme, et à suivre un chemin interdit (ouais, theo, tu te pourris toi-même) - là, sous l’arrêt de bus abandonné, aux allures d’automne délabré, on s’approche, les corps s’animent presque, et rien autour ne dérange (sauf ta connerie). “ je dois apprendre à t’oublier. ” parce que l’amour ne peut plus durer.  


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    Lien du postMar 29 Déc 2020 - 15:54
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    on ne voit bien qu'avec le coeur

    faculté de musique - lundi 23 novembre - ootd
    Relation tordue, blessante certainement, quand tu repenses à vos débuts : c’était beau, c’était rempli d’amour. Rien ne sentait que tu allais te mettre dans cette situation, à ne plus savoir quoi faire. Il te faisait chavirer à chaque fois, ton regard se perdait toujours dans le sien. Tu étais fébrile face à lui et tu savais que tu avais besoin de lui dans ta vie : d’une manière ou d’une autre. Cette rencontre, ce baiser et les prochains signeront certainement la fin d’un amour certain qui perdurera dans le temps mais pas de la manière dont tu le pensais au tout début. Tu le suivis, sans aucun doute en direction d’un abri de bus abandonné. Tes bras autour de son cou, tu l’observais comme pour te remémorer ce dernier instant avec lui. « Je dois apprendre à ne plus t’aimer autant » dis-tu en passant ton doigt le long de son nez que tu apprécias tant. Un sourire sur tes lèvres, tu le dévorais du regard quelques secondes. Puis, tu te laissas aller : déposant tes lèvres sur les siennes pour un baiser que tu désirais : plus que de raison. Peut-être pas le dernier, mais l’un des derniers, tu voulais en profiter.
    @Theo Yun

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    Lien du postJeu 31 Déc 2020 - 15:04
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    p o i s o n - l’histoire qui s’y prête à ce goût amer. l’antagoniste s’y plaisait presque, aujourd’hui c’est l’horreur. le goût, pourriture au fond de la gorge, et secrètement (m i r a e) qui me manque. n’a pas de fin, a eu un début, jeté, arraché, chiffonné (des pages à en perdre la tête, roman sous-estimé, de mauvais goût à mes yeux). à se demander ce qu’est le bon goût quand c’est âcre. j’avale plus, les mensonges, pendue à mes lèvres elle était (devrait se détacher maintenant). suspendue dans sa bulle, elle se plonge dans l’écume, des secondes qui parlent de moi. et moi, aiguille, je perce, et blesse, le sourire arrogant à la commissure des lèvres, fébrile espoir que je ne sois pas l’anti-héros, à blesser les il était une fois, les contes à l’eau de rose, le romantisme que j’épouse, à faire l’amour à la réaction chimique qui me fascine (et d’un coup, le basculement dans les abîmes de la tristesse). aujourd’hui, à pas comprendre comment nos lèvres s’épousent encore si parfaitement, quand je suis le fruit et le berceau de l’erreur. c’est malheureux, d’aimer encore ce qui me dégoûte (et je suis la propre raison de mon dégoût). l’air blafard, là, à me plonger dans le goût de ses lèvres, goûter à un délice plutôt qu’à la malice, les mots ne savent pas sortir (mais tu dois arrêter d’aimer le monstre). à la belle qui observe la bête, à aimer l’apparence qu’il ose daigner montrer, j’épouse les dessins de ses lèvres, à m’oublier là, le temps d’oublier le goût âcre d’être la victime de ma victoire.  


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