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I LOVE HARVARD
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    love killa (yeonhee) (tw : mort)
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    Lien du postJeu 12 Nov - 8:31
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    l'esprit fragile, noyé par des mensonges auxquels il n'y a pas d'excuses à trouver. et pourtant une vie sans elle n'est pas envisageable. il n'y a qu'un responsable à cette dispute. il est assis, en bas d'un immeuble qu'il connaît par coeur, à regarder ses messages, il se torture à relire ses erreurs. s'inflige la souffrance qu'il a pu répandre via des mots sortis sous le coup de l'émotion. les mains tremblantes à faire défiler une conversation qui retrace des propos dont il a honte. comment se faire pardonner d'un tel désastre, d'une telle destruction ? évidemment ce n'est pas avec une surprise qu'il compte fuir sa responsabilité. il va falloir l'affronter tôt ou tard. car personne, personne, ne prendra sa place. personne ne remplacera notre nous. jusqu'au dernier souffle il se battra pour elle. (souvenir d'enfance) si seulement on pouvait remonter le temps grâce à ce bracelet et revenir à cette époque où tout n'était qu'insouciance, où on se taquinait pour rendre jaloux les autres. nostalgie chassée quand son père sort du bâtiment, à son expression du visage ça ne s'est pas passé comme prévu. sans perdre plus de temps, je cours dans la cage d'escalier pour rejoindre son appartement. pousser cette porte d'entrée, la dernière barrière qui nous sépare. se retrouver dans le salon, vide. se diriger vers sa chambre, cette pièce où on a pu partager tant de moment. les opales qui capturent son regard noir. l'atmosphère est électrique. "je le déteste, jo hee. autant que je me déteste." que je déclare avec tant de haine pour briser la glace. "je voulais le tuer mais c'est toi que j'ai détruit avec ce mensonge." trop aveuglé par la destruction d'un père qui ne l'est plus j'ai perdu mon oxygène.

    @Jo Hee Seo
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    Lien du postSam 21 Nov - 12:49
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    w/ @Yeon-Min Lee

    on pourrait y croire, à cette jolie idylle, à croire que le pardon a été exaucé, et c’est cependant cette rancœur qui persiste, comme le goût amer au fond de la gorge, c’est encore la tête qui se plaint, quand l’alcool s’écoule encore dans les veines, et ça pulse là, contre la peau, ça rend fou, ça rend douloureux, le corps endormi, la bouche pâteuse, et c’est colère au bout des lèvres, à lancer le venin sur le visage du père, à l’amour paternel que je rejette, à ne guère désirer l’intrus dans ma vie. et c’est encore le manque que je laisse de côté, l’envie de ne guère voir celui qui a menti, la soirée à avoir été la plaie d’ace, la soirée à avoir été le corps perdu envers soi-même. et encore les questionnements, ne guère savoir qui je suis, et savoir que je suis l’imparfaite. assise-là, sur les draps froids, à s’y égarer quelques fois, désirer être là, seule, à devenir l’oubliée, comme-ci le monde avait cessé de tourner, comme-ci rien n’avait déjà existé de moi. et ce sont ces pas de que j’entends, la précipitation d’un corps en effort, et sa voix qui m’insupporte, le regard noir que je plonge dans le sien, à assassiner ses démons pour y faire pénétrer les miens, que je sois son tourment, qu’on se délaisse de moi, pour une fois. les doigts qui glissent dans mes cheveux, à vouloir s’en arracher la cascade d’ébène, à vouloir s’enfuir, la pièce qui se referme sur moi. “ j’en ai rien à foutre, rien. détruis-moi, j’en ai rien à foutre, quitte cette pièce. maintenant. ” aveuglée par ma propre rancœur, je m’enfonce dans mes terreurs, à observer les insomnies, et à m’engouffrer seule dans mes angoisses.


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    Lien du postMer 2 Déc - 19:21
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    comment avoir pu faire passer cette ordure avant ceux qui m'aident à survivre. me mettre à dos celle qui a toujours été là pour me tendre la main et me sortir des ténèbres. tout ce qu'il cherche à faire c'est de ruiner tout ce qu'il y a d'heureux dans ma vie et comme un débile je suis tombé dans le panneau. c'est lui accorder de l'importance de vouloir l'affronter, c'est rentrer dans son jeu malicieux car tout n'est que cachoterie. je deviens son double. pas étonnant que son sang coule dans mes veines. au final tout s'explique je suis la même pourriture que lui. je suis la destruction. totalement déconnecté de la réalité. en pensant régler les choses, en voulant jouer au super héros j'ai répandu le malheur. mais à regarder mon passé il n'est fait que d'erreur. c'était presque prédit que ça allait tourner à la catastrophe. la culpabilité qui ronge le peu de respiration qui se dégage de mon être. c'est évident que ce retour allait être des plus chaotiques. l'atmosphère n'a jamais été aussi insoutenable dans cette pièce où on se retrouve face à face, face à mes mensonges qui nous détruisent. son regard noir qui fusille le mien, assassine le myocarde qui peine à battre. les mains tremblantes. l'accusé qui écoute son jugement. ses paroles qui crispent mon être. mais impossible d'avoir un comportement de lâche maintenant. (don't give up). une colère qui n'attend qu'à être libérée. "il a vendu la soeur jumelle de sung. il nous a fait croire qu'elle était morte pendant plus de vingt ans. et je devrai rester les bras croisés." la haine qui s'extériorise dans le ton de la voix, les points qui se serrent. l'envie irrésistible de tout casser. et sur un coup de tête se rapprocher d'elle, briser cette distance car de toute façon j'ai plus rien à perdre j'ai déjà tout gâché. "il a eu aucune compassion à tuer sa fille. il nous a pris pour de l'argent. il a forcé notre mère à nous cacher ses manigances. il l'a menacé, il l'a tué l'année dernière et on lui a jamais fait payer. c'est un meurtrier, un tueur en série." que je rajoute en haussant le ton en plongeant les yeux remplient de colère dans ses opales et fronçant les sourcils.

    @Jo Hee Seo
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    Lien du postJeu 17 Déc - 18:00
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    w/ @Yeon-Min Lee

    brut - écoeurant arrière goût, la colère qui petit à petit envoûte l’être frêle. a p h r o d i t e qui s’apparente à méduse, vile créature au venin qui dérange. c’est un poison, à faire vivre de ténèbres le regard. détester l’ambiance pensante, électrique moment qui paralyse le faux amour. à faire croire à l’idylle sublime, aux autres, projeter le couple presque parfait. d e s t r u c t i o n - m’observer dans le noir de son regard, être l’ombre qui parfois l’empoisonne, sûrement. c’est à avoir le dégoût sur les lèvres, goût du tragique - à quoi rime-t-on ? c’est à croire ne plus être capable de s’aimer, pour une fois savoir m’abandonner au doute, please my darling, give up. quand fuir est le songe le plus agréable, à laisser éclater la colère dans un coin, sans jamais pouvoir y retourner. cogne contre le crâne, la pensée de n’être que l’épouse de la solitude - ma délicieuse é t é, qu’es-tu donc, lorsque là le soleil s’éteint. et ce sont ses paroles qui me frappent, plus encore, à m'assommer d’erreurs du passé, désire graver dans ma mémoire l’image honteuse. ailleurs, le regard, se projette sur mon ombre, à cette impression de n’être que le fantôme de moi-même, vouloir mettre pause sur le temps, comme c’est putain d’attirant. presque à arrêter les mots qui déforment ses lèvres, presque à pouvoir se blesser contre la mâchoire qui brutalement se contracte. et moi, je n’ose plus, mes oreilles sourdes se taisent, mes lèvres muettes n’écoutent plus, peut-être que je m’y perds, dans cet instant où je péris. p r o c h e - s’approche, brise ce qui sépare le tonnerre, bombe à retardement - comme toujours à vrai-dire - incapables de s’aimer comme deux amants. un pas un arrière, je recule, n’aies plus la force de continuer. “ qu’est-ce que tu veux que j’y fasse, yeon-min ? je ne peux rien faire, je ne suis pas en mesure de gérer ça, parce que j’y arrive plus, ok ? ” presque avouer le mal-être, mais jamais réellement savoir guérir le malheur des autres. and, it’s okay to not be okay, it’s okay to not be okay, okay ? - blessée, la lèvre mordue par le signe évident de nervosité. les doigts qui glissent dans l’épaisse chevelure, agacée, ne sais plus comment agir, illustration de l’imparfaite. je bouillonne, colère délicieuse, aguicheuse haine au bout des lèvres - certitude d’être le p o i s o n.


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    Lien du postMer 23 Déc - 19:55
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    w/ @Jo Hee Seo

    (m i s t a k e) parce qu’il n’y a que ça qu’il sait bien faire. quand certains ont chance comme deuxième prénom, lui il ne répond que par erreur. il excelle en la matière. et ses démons ricanent de voir qu’il s’est encore fait avoir. il s'est jeté dans la gueule du loup si facilement, sans aucune retenue. paternel, maître de ses démons. et lui marionnette de cet homme qui le répugne. pourtant à chaque attaque il tombe dans le piège. si naïf le gamin. et quand il se rencontre de sa connerie il est seul, il coule, s’embourbe dans des explications qui n’ont pas de sens. faute impardonnable. la colère qui le bouffe de ne pas être capable de prendre les bonnes décisions. la rancœur de nourrir le bonheur de ce monstre et de semer le malheur dans la vie de ceux qui lui tendent la main. l’étoile qui s’éteint, déchu de son éclat. (e l l e) au regard assassin, elle qui supporte le poids de mes démons injustement. la goutte de trop. le myocarde qui crie de remonter le temps. ce temps où notre monde n’était pas assombri par un passé houleux qui refait surface. les poings qui retiennent la colère qui veut s’échapper d’un corps bouffé par des saloperies de drame. le sang transformé en poison, la crispation qui laisse apparaître les veines contaminées par ce venin. (c h a o s) atmosphère lourde, tension palpable. le moindre pas vers elle est vu comme une attaque. les mots comme unique arme pour se défendre. le gamin perdu encaisse la haine à son égard. il n’y avait rien d’autre à attendre, il ne mérite que ça. qu’on lui plante chacun leur tour une flèche dans l’âme torturée. “ne fait rien. oublions. oublions tout. j’ai juste été con de vouloir l’affronter comme si tout allait s’arranger. laissons au passé ce qui appartient au passé. déchirons cette page affreuse de notre livre pour la jeter, la réduire en miettes. tout recommencer. comme un nouveau départ.” un énième pas lourd vers elle pour se rapprocher quand elle recule. regard observateur, l’espace qui lui reste pour que nos corps s’évitent devient limité. relever la tête pour percer ses opales en remettant en arrière des cheveux qui cachaient la honte. plus la place de faire un pas en arrière pour aphrodite. un dernier pas pour briser cette distance. (t e n t a t i o n). les yeux qui se livrent un combat. les lèvres qui ne résistent plus. les mains qui entourent son cou pour appuyer cet ardent baiser qui ravive la flamme, le myocarde qui bat à tout rompre. le manque de cette alchimie, de ses lèvres au goût fruité, de nos jeux provocateur. le manque d'un amour plus explosif que cette colère qui sème la confusion. “pardonne moi” dans un léger murmure qui arrive à s’échapper des lippes qui ne demandent qu’à jouer avec les siennes. le buste attiré par le sien qui contraint nos corps à reculer mais stoppés net par un mur.


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    Lien du postLun 28 Déc - 15:10
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    h a i ne - ça ronge, c’est le pire. foutre en l’air la belle idylle qu’on s’entête à montrer (ou à démontrer, je sais plus réellement comment on fonctionne). ça ronge, les mots claquent dans l’air, c’est presque avoir de la pitié pour ce qu’on respire. pitre jeu, putain que ça rage, en moi, bouillonne dans mes veines, la mâchoire fine qui se contracte (c’est beau, on dirait presque une œuvre encore inachevée, à charmer de par ses traits si doux). pourtant, c’est à l’observer, la haine sur le bout des lèvres, parfois c’est l’amour un peu poison, il cache les sombres réalités, à roucouler sous les feux ardents quand c’est juste la colère qu’on veut cracher au visage. y e o n m i n - quand il rime avec la foutue absence d’ace qui me bouffe, à chaque minute me défouler un peu plus sur ma peine (peut-être finalement sur moi, à encaisser les coups jusqu’à saigner - plus simple). finalement, c’est presque à y rester sourde, à pas écouter les vulgarités qui sortent si simplement de ses lèvres. étouffer dans le silence, se taire dans l’absence, l’abus dans l’évidence, j’ai arrêté d’être la même quand rien n’est plus que - d e s t r u c t i o n. à en avoir marre, pousser aux extrêmes ce que je me refuse à croire, et lui qui conte sa colère comme le drame, et moi, presque insouciante, je me tais, rongée par ce qui ne devrait pas exister entre nous (mensonge, c’est ace aussi, tout tourne autour d’eux). pas savoir crier ma douleur, lui laisser la scène qui quémande les démons, tandis que les miens se moquent bien de qui ils bouffent, tant que la chair leur est offerte. alors il parle, débatte des mots qui n’ont finalement aucun sens, ça résonne pourtant. et moi, dans l’interdit, je recule, les pas m’évitent presque, c’est mon ombre qui se cache, se terre quelque part, tandis que lui m’observe, me désire, c’est ardent, ça se sent. “ m’approche pas, me touche pas. ” parce que je suis une bombe à retardement (un peu comme toi, autrefois, en bien pire). et ce sont nos lèvres qui se déchaînent, j’y prendrais presque goût, mais c’est à le repousser, c’est l’éclat de mes doigts qui résonne dans la pièce (une gifle, peut-être que le coup est parti brusquement). respiration saccadée, sûrement la main tremblante, à remarquer l’erreur. “ merde, merde… ” le goût du remord est amer, ne plus pouvoir reculer, observer la scène (je suis impuissante, paralysée) dans l’incapacité de faire le moindre mouvement. je suis l’erreur. “ je suis désolée… ” parce que c’est mon reflet que je viens de frapper.  


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    Lien du postJeu 31 Déc - 19:19
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    (p e s a n t e) l'atmosphère qui règne dans la pièce. nuage idyllique qui se transforme en orage. ça gronde entre les astres. l'étoile qui ne mérite plus de briller après s'être échappée au pays interdit. en pensant qu'elle n'allait pas se faire bouffer par son pire ennemi qui y habite. inexcusable décision prise sur un énième coup de tête. les pires, les plus destructrices. et je le redoutais ce moment où toi, sauveuse de l'étoile, tu allais être touchée par ces affreuses erreurs que je créé. (a v a n c e r) vers toi, briser la glace par un ardent baiser. parce que résister devenait impossible. l'embrasser pour s'excuser car les mots n'étaient pas assez fort pour exprimer à quel point je me détestais d'avoir agi de la sorte. (d e s t r u c t i o n) quand elle me repousse et cette gifle qui fait prendre conscience que j'ai été étouffant. la honte sur le visage. la tête baissée et le regard qui fixe le sol. "c'est tout ce que je mérite après tout. je vaux pas mieux que lui. je suis son reflet." ses paroles qui hantent les pensées. "je ne suis qu'un monstre" qu'une petite voix répète en boucle dans ma tête. le temps semble s'être figé depuis. la joue comme victime collatérale conserve sa couleur rougeâtre alors que je suis là à lui tourner le dos car mes affreuses opales ne méritent pas de se perdre dans les siennes, de se déposer sur son visage pour l'admirer. et je suffoque. le myocarde qui déraille, la respiration qui ne suit plus. la lèvre inférieure mordue pour retenir des larmes qui menacent de couler à flot. les jambes tremblantes supportent difficilement ce corps épuisé qui ne demande qu'à s'écrouler par terre. la dernière fois que j'ai pu ressentir une telle douleur c'était lors de la disparition de ma mère. mais. ce petit doigt qui nous lie encore, comme lors de notre promesse dans le métro, résiste et empêche que la bête blessée explose. et je m'y accroche car elle est bien la seule à être capable de panser mes blessures.


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    Lien du postSam 9 Jan - 13:47
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    w/ @Yeon-Min Lee

    ça résonne encore, soudainement le fracas de mes doigts contre sa peau (ça marque encore, le rouge poupon qui s’adonne aux plaisirs de sa chair). s t r a n g e r - et des jours à ne plus me reconnaître (putain, dans quel corps je vis). on sait, elle et moi, l’erreur qu’on traîne derrière nous, le rire diabolique au coin de nos lèvres (je suis deux personnes différentes, sûrement les effets du passé). bonjour à l’inconnu, observer les rougeurs sur les doigts, ne plus se reconnaître (vaguement balancer une insulte entre le coréen et l’anglais). tourne le dos, me tourne le dos, c’est prendre conscience quand les secondes s’écoulent (je sais plus vraiment, ça fait peut-être des heures que mon regard se perd sur la largeur de ses épaules). pousser à l’extrême, foutre les idées noires dans sa tête (presque le sourire arrogant au coin des lèvres, à jurer contre moi-même, l’air de rien quand tout explose). un pas en avant, non, recule. avance, c’est la peur qui bouffe, à faire vivre l’enfer, brûler en lui, en moi, peut-être autrement. oublier ce qui bouffe, putain rien qu’un peu, le monstre qui sommeille qui s’éveille. un pas, un deuxième, les doigts qui glissent (découvrent ses côtés, glissent en dessous du tissu). l’épiderme que je découvre (les dessins fins de ses muscles, aller jusqu’à sa poitrine, le myocarde va peut-être foutre le camp). les lèvres s’oppressent sur sa nuque, provoque la chaleur (n’est douée que pour ça). l’amour au bout des lèvres, si fin sur la peau fine, goûter presque au goût (addictif). “ pardonne-moi, je n’aurais pas dû. ” murmure contre sa peau, c’est la voix chaude (presque à enflammer sur le bout des mots). attirer le corps à s’asseoir sur le canapé (et savoir attirer, jouer de mes charmes, c’est à la douceur érotique). le bassin qui s’aggrippe au sien, les doigts dans sa chevelure (et soupirer, putain ce que ça fait du bien). le corps aimant, là, ça presse contre lui, tout, de la poitrine aux cuisses, assise là, sur lui, à attirer le monstre (que ça s’éveille, me bouscule, ça peut me faire mal). les lèvres, les ardentes amantes, possèdent les siennes, à lui en couper le souffle (il pourrait presque y laisser sa peau). c’est à l’appeler, qu’il s’abandonne à moi, déesse de l’érotisme, à goûter à nous dans les effluves électriques, que nos épidermes se collent sous l’effort, à briser les jolis codes dans sa tête (foutre en l’air l’innocence, il m’appartient). briser sa douceur, l’attaquer de l’ardente aphrodite.  


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