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    jaspeandra ∞ mes larmes coulent sur ton cœur, mes rires brûlent dans tes mains.
    Leandra T. CarreiraoRédaction & design
    I want it, I got it

    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Leandra T. Carreirao
    Rédaction & designI want it, I got it
    Informations
    Âge : 32
    Lieu de naissance : au Cap Vert, mais possède la nationalité américaine.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : Boston, à Beacon Hill, seule avec mes enfants une semaine sur deux.
    Situation sentimentale : célibataire, probablement à terminer seule avec une entreprise pour moi. Carrière ou famille, c'est ça ?
    Études & Métiers : CEO de ma propre fondation d'aide aux femmes et aux démunis.
    Date d'inscription : 22/04/2013
    Pseudo & pronom IRL : elle / polaroid papers
    Avatar utilisé : Sara Sampaio.
    Crédits : pretty nympheas (av)
    Multicomptes : sofia dunn-aguera, stevie cesarini, cressida omen
    Description un :
    possède un très léger accent quand elle parle ✰ est arrivé aux Etats-Unis à ses 7 ans ✰ ambitieuse, elle a crée sa propre fondation pour les femmes et pour leur venir en aide. ✰ elle fait de la boxe ✰ elle a deux enfants, Aaron et Riley ✰ son père est décédé ✰ elle est déterminée, sait ce qu'elle veut et où elle va ✰ elle a longtemps fait du mal, c'est pourquoi elle a décidé d'être seule ✰ elle est récemment propriétaire et fait des travaux dans sa maison.

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    Description deux :

    VILE ROMANCE,
    TURNED DREAMS INTO AN EMPIRE,
    SELF MADE SUCCESS

    » f a m i l y
    jamal ; pnj. frère.
    aaron ; pnj. fils.
    riley ; pnj. fille.

    » l o v e
    jude ; ancienne relation la plus longue, ont deux enfants ensemble.
    jasper ; ancienne relation qui reste gravé malgré les tentatives d'amitié et d'éloignement.

    » f r i e n d s
    nomdupersonnage ; lien
    nomdupersonnage ; lien

    » f l i r t o r e l s e
    nomdupersonnage ; lien
    nomdupersonnage ; lien

    » e n n e m i e s
    Milo ; ancien ami, déloyal. Un couteau dans le dos.
    Warning : religion, avortement, grossesse, racisme, vengeance, dépression, triangle amoureux.
    RPS : 98
    Messages : 12561
    Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/f53-meetssenger
    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t119145-meetsachussets-leandracarreirao#4410277
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    Veritas
    Lien du postSam 24 Oct 2020 - 21:26
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    JASPEANDRA
    Je sais plus si mes larmes coulent sur ton cœur, si mes rires brûlent dans tes mains.

    Je te déteste, c'est une constante qui ne change pas. Je déteste comme je ne t'ai jamais détesté. Je sais faire une trêve, quand c'est pour le travail. Je sais faire une trêve, quand c'est pour être professionnelle. La vérité c'est que je te préfèrerai mort qu'avec elle. Je te préfèrerai mort que dans un autre bonheur. Toi tu crois qu'on est similaires, qu'on partage les mêmes démons, que c'est ce qui nous rapproche mais tu vois, moi je crois que mon enfer est plus gros que ce que tu crois. Je crois que tes démons sont une partie de moi, que t'es malheureux quand je suis aux alentours, que tu es une partie de moi. Tes mauvais côtés, ceux qui respirent dans la nuit. Ceux que t'entends crier quand tout autour, c'est vide. Je te déteste parce que je sens le vide que tu laisse, je te déteste parce que je suis en colère, parce que je suis en deuil de toi, de nous, de ce tout qu'on partageait, de cette petite chose que nous allions avoir. Je te déteste parce que je suis en colère. Calme-moi, calme-toi. Respire, apprends moi à partager ce nouvel air, même s'il fait mal aux poumons, même s'il brûle les organes. J'ai vu le père Ellington, et je lui ai épargnée ma colère. Il m'a demandé sur elle, cette autre pour laquelle tu arrêtes de me regarder, ou du moins, pas de la même manière. Alors, je lui ai raconté. Je lui ai dis qu'elle était avec Jude, puis avec toi, c'est drôle, il l'a comparé à moi. On a rien à voir, elle et moi. Il le sait pas, mais je le vois. Je lui ai dis, que selon moi, elle n'était pas digne de confiance. Qu'elle n'était pas le bon choix, mais que quelque part, elle pouvait probablement t'offrir ce que moi, je ne pouvais pas. Il ignorait de quoi je parlais, mais toi tu sais. Tu sais que son corps à elle, il saura tenir, elle saura faire attention et ne pas organiser des surprises stupides. Tout est dans un sac, puis dans un carton, puis dans un placard, dans le fond de la pièce qui me sert de bureau. Je t'ai demandé de venir et bien que ce soit surprenant, c'est le cas. J'ai pas la force de faire ça, pas seule en tout cas. Je t'offre une chance, je t'ouvre un morceau de mon deuil, de ma tristesse, je t'invite, te propose de la partager. Tu vois, j'arrête de te mettre de côté. Quand tu entre, c'est des banalités, et je t'amène jusqu'à la pièce, le bureau. Le placard est même bloqué avec un autre meuble, c'est pour te dire combien j'ai enfouis cette tristesse, ce rejet. "J'ai.." c'est horrible, je sais même pas comment te dire ça. "Quand j'ai voulu te le dire, c'était pour la saint-valentin, et c'était débile mais j'avais.." et la voix se brise, et se reprends dans un sourire qui ravale les larmes ; "j'avais préparé des.. acheté des.." et le rire nerveux et je secoue la tête, allant ouvrir la fenêtre. "On s'en fout, j'avais juste acheté des tas de conneries, des peluches, des t-shirts, des décorations." je soupire, des t-shirt super papa, ce genre de truc stupide qui nous ressemble pas, mais avec lesquels on aurait pu se définir. Parents d'un diable. C'était nous. "J'ai tout mis dans un sac et je l'ai mis là dedans." montre le placard du nez, "Je l'ai jamais sorti, et c'est... mon monstre dans mon placard, et ça me bouffe, ça prends de plus en plus de place et je sais pas comment.. m'en débarrasser. Je suis incapable de le faire seule, et si je demande à quelqu'un de le faire je.. j'aurais envie d'aller le récupérer.." ce sac, c'est une représentation de notre avenir avorté, tu vois. Je te demande à toi parce que depuis le début, c'est une épreuve qu'on aurait du vivre à deux, survivre à deux. Au lieu de ça, on l'a fait en solitaire, chacun de notre côté, et je déteste l'idée que tu as eu sur la manière de faire ton deuil, je te déteste d'avoir été réconforté quand j'étais juste seule à mourir, mais aujourd'hui je fais un pas vers toi, je t'ouvre la porte, pour qu'on se relève à deux. Je t'ouvre la porte de mon deuil, de toutes mes larmes et blessures, je te fais confiance, et j'espère que tu sera là pour moi, rien que cette fois. Rien que cette fois.


    Ladies always rise above, ladies know what people want
    draw the cat eye, sharp enough to kill a man, you did some bad things, but I'm the worst of them. sometimes I wonder which one will be your last lie, they say looks can kill and I might try. i don't dress for women, i don't dress for men, lately I've been dressing for revenge.
    Jasper O. EllingtonI want it, I got it
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    Pseudo & pronom IRL
    Jasper O. Ellington
    I want it, I got it
    Informations
    Âge : 35
    Lieu de naissance : Chicago.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi
    Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
    Études & Métiers : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
    Date d'inscription : 14/05/2012
    Pseudo & pronom IRL : GLEEK!
    Icon : jaspeandra ∞ mes larmes coulent sur ton cœur, mes rires brûlent dans tes mains. 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
    Avatar utilisé : Milo Ventimiglia
    Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
    Multicomptes : Billie & Horace
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    jaspeandra ∞ mes larmes coulent sur ton cœur, mes rires brûlent dans tes mains. QIkbezwN_o
    jaspeandra ∞ mes larmes coulent sur ton cœur, mes rires brûlent dans tes mains. 1506444243-1504988286-ligne1
    Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

    Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

    TRUE LOVE:
    Warning : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
    RPS : 49
    Messages : 24838
    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-harding
    Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
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    Lien du postDim 8 Nov 2020 - 14:30
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    JASPEANDRA

    Je sais plus si mes larmes coulent sur ton cœur, si mes rires brûlent dans tes mains.

    J’plaisante, et j’balance avec légèreté les premières répliques qui me viennent. La vérité, c’est que j’ai le ventre à l’envers. Le cœur contracté et les entrailles serrées. J’ai oublié ce que c’était, que de me pointer chez toi sans couteau entre les dents. J’suis même pas sûr que j’y suis parvenu, depuis ce jour à l’hôpital. Nos vies se sont fuient, se traçant de nouveaux chemins, les uns très loin des autres. On ne s’est croisé que pour se faire trébucher. J’ai toujours une lame, mais je la cache derrière le dos. J’essaye de l’enfoncer dans ma chair, pour éviter de te la planter dans la tienne. On a répété les arguments, on a tellement bossé sur nos disputes qu’on les connait par cœur. On pourrait remplir les trous, si seulement vous vous amusiez avec une gomme. On a listé, chacun, les erreurs de l’autre. La première était surement d’essayer, encore. D’y croire comme deux idiots, qui ne comprennent jamais rien de leurs erreurs. J’essaye désormais. Tu le vois ? J’essaye de faire ce qu’on a jamais réussi ; s’éloigner. Le cœur condamné, qui permet à une moitié de se réparer. La tienne bat toujours, à un rythme qui frôle l’arrêt quand t’arrêtes d’en prendre soin. Quand tu dis que nous oublies. Que t’as pas besoin de moi. L’organe se ternit, prend des couleurs que l’automne approuverait. Alors, ouais, désormais, j’crois que j’ai peur. Même quand on se balance des banalités, quand je me moque du rangement de ton bureau, j’ai le corps qui se raidit quand la voix s’emporte sur une fin de phrase. Les mains sont blessées, à force d’avoir essayé d’attraper des branches sur notre chute. C’est peut-être la tienne, de main, que j’aurais dû tenter de saisir. Dans ce ravin, on s’faisait la guerre, oubliant de réviser un plan pour une réception moins difficile. Au sol, on se bouscule encore, noyés dans nos propres sangs. Pour la première fois, j’te balance des certitudes que j’ai plus. Parce que c’est toujours toi qui nous relevais. Moi j’étais celui qui résistait, qui partait perdant. Et toi t’y arrivais. Et le truc, c’est que t’y arrives toujours. Sauf que t’as changé de camp. Le meilleur joueur qui s’barre dans la mauvaise équipe, et moi les bras ballants, qui lutte contre trop grand pour lui. Qui ne connait pas les règles, ni le jeu, mais qui veut quand même participer. Qui ne laissera aucune occasion passer. "J'ai.." Moi j’ai encore deux-trois tacles en stock sur ta façon anarchique de trier tes papiers. Tu les veux ? J’nous sauve ? "Quand j'ai voulu te le dire, c'était pour la saint-valentin, et c'était débile mais j'avais.." T’es sûr que tu veux pas que j’nous sauve de là ? Parce que j’suis dans ta gorge, et j’la sens qui se contracte, j’perçois le sourire qui masque et les doigts qui ne vont pas tarder à s’agiter. J’le sais, quand on bascule. Quand on arrête de faire semblant, qu’on appuie sur le bouton et que d’un coup, on est plus du tout drôles. "j'avais préparé des.. acheté des.." Le regard qui suit, qui s’accroche aux mots encore en suspens. "On s'en fout, j'avais juste acheté des tas de conneries, des peluches, des t-shirts, des décorations." Les doigts qui se posent sur le bois du bureau, et qui retiennent un homme entier de s’effondrer. Y a tout qui se balade devant les yeux, l’esprit imagine pour anticiper la fuite. Il récite des histoires où Jamal se balade avec un tee-shirt de super tonton, et où Mme Carreirao et M. Ellington cèdent dans une joie disproportionnée. Où j’suis le type le plus envahissant du monde, avec une échographie en fonds d’écran et un excès de prudence qui t’insupportes. Où on prend pas le métro. Où on prend plus jamais le métro. "J'ai tout mis dans un sac et je l'ai mis là dedans."Et tu détestes cette armoire, tu la caches. Est-ce que tu vois malgré les barrières de bois, ces objets qui te secouent le cœur ? "Je l'ai jamais sorti, et c'est... mon monstre dans mon placard, et ça me bouffe, ça prends de plus en plus de place et je sais pas comment.. m'en débarrasser. Je suis incapable de le faire seule, et si je demande à quelqu'un de le faire je.. j'aurais envie d'aller le récupérer" Alors, c’est pour ça que j’suis là ? Pour que mes bras se referment autour de toi, que je t’attire à moi ou que j’m’impose je sais plus trop bien. Serrer trop fort et échouer. Echouer face au deuil, à la perte d’il/elle, et de toi. J’crois que dans mon gouffre, j’voyais que tes doigts qui m’échappaient. J’voyais pas ce qui te tirait de l’autre côté. J’voyais même pas que j’passais à côté de cette douleur-là. Alors, j’échoue. Dans une inspiration que je prends, pleine de ton odeur. Dans un temps que je grappille, que je rattrape. Dans du sel que j’balaye d’un revers de main, en m’écartant et bousculant ce qui nous sépare de ton monstre. Le nôtre. « Ok, je m'en occupe. » Le placard s’ouvre, aidé par des doigts qui tremblent un peu. T’es tombé si bas, miséreux aux pieds de Salomée après cette fin, qu’tu pourras pas tomber plus bas. Qu’importe si les pieds ne semblent pas stables, et que le courage est illusoire. La main se serre trop fort autour du sac. « J’espère que c’est aussi kitsch que ce que j’ai en tête. » Balancé, le regard marqué vers la reine. Une, deux secondes appuyées. « Non. Ca mérite mieux. » Pour lui-même. Les mains qui poussent le bureau de quelques centimètres, pour libérer de l’espace. « On va le faire. » Et peut-être que j’gagne du temps, pour ne pas plonger mes doigts dans le passé. Peut-être que j’veux juste brûler la maison, pour éviter de regarder nos cendres. « J’sais pas si c’était un garçon ou une fille. Mais il ou elle mérite qu’on fasse les choses biens. Alors on va l’faire, comme t’avais prévu. » Et on va dire au-revoir. Et peut-être même qu’on se dira bienvenue, juste après. Peut-être qu’il faut écrire la fin pour reconstruire derrière. « T’as eu ton cadeau de Saint-Valentin, j’veux le mien. » Même si le ventre est vide, même le cœur ne se serrera pas de la même manière que prévue ; on va pas balancer tout ça, comme si rien n’avait existé.




    - deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor. dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa -
    sing for the wind
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    possède un très léger accent quand elle parle ✰ est arrivé aux Etats-Unis à ses 7 ans ✰ ambitieuse, elle a crée sa propre fondation pour les femmes et pour leur venir en aide. ✰ elle fait de la boxe ✰ elle a deux enfants, Aaron et Riley ✰ son père est décédé ✰ elle est déterminée, sait ce qu'elle veut et où elle va ✰ elle a longtemps fait du mal, c'est pourquoi elle a décidé d'être seule ✰ elle est récemment propriétaire et fait des travaux dans sa maison.

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    Lien du postVen 20 Nov 2020 - 6:47
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    JASPEANDRA

    Je sais plus si mes larmes coulent sur ton cœur, si mes rires brûlent dans tes mains.

    Ce monstre n'existe que pour moi, au final. Ces images, elles ne sont que dans ma tête. Notre entrée dans l'appartement, mon sourire en coin pendant tout le long, ma main dans la tienne. Toi qui me demande ce que j'ai prévu, qui n'y pense pas, qui ne s'y attends pas. Toi, naïf fou de cette histoire, moi, reine enceinte. Alors on entrerait, et tu serais surpris, quand dans la pièce, t'aurais vu des ballons roses et bleus, un second mug de super papa, un t-shirt pour toi, un autre pour moi, un sablier et des conneries qui font penser aux neuf prochains mois. Neuf prochains mois où on s'est détesté, tiraillé, détruit. Ces mois qu'on a gâché à se tirer vers le bas quand on voulait aller vers le haut. Ces neuf mois où t'as trouvé de la lumière, où dans ces profondeurs, je me noyais pendant que tu remontais. Mes pieds étaient trop attaché à ce monstre, celui que je gardais, celui que je cachais. Egoïstement, reine qui pense à son sujet, le fou, et qui préfère qu'un des deux respire plutôt que les deux coulent. On gagne comment une partie, tu crois ? Pas sans quelques sacrifices, et alors que d'habitude je sacrifie et scarifie les autres, cette fois, ce fut moi. J'ai offert ma tête pour qu'elle soit coupée, plutôt que de le hurler. « Ok, je m'en occupe. » mais c'est pas à toi de le faire, pas complètement, pas totalement. Pourtant, là, en retrait, je suis pétrifiée. Je sais pas quoi faire, pas quoi dire, ce monstre me terrifie, tu vois. Je sais pas lui dire au revoir, je sais pas le laisser partir, parce que même s'il est le pire chez moi, je l'aime. J'ai appris à l'aimer. J'entends même parfois la musique de la boite que j'avais prévu pour le dessus de son lit. C'est dans le sac, vide, sans pile, mort. Mort. Mort et pourtant je l'entends. Tu l'entends, toi parfois ? Tu m'entends encore, toi, des fois ? « J’espère que c’est aussi kitsch que ce que j’ai en tête. » C'est pire que ce que tu crois. Et alors que tu joues selon tes lois, navigue sur le plateau, la reine est bloquée. « Non. Ca mérite mieux. » ça mérite rien, je sais plus comment m'en débarrasser. Je sais plus quoi faire, tu vois. Toi qui prends mon rôle, qui agit selon tes propres mouvements et finalement, moi qui suis en croisé. J'aimerais te suivre, mais j'y arrive pas, mes pieds et mes mains sont liées. Et tu t'appropries l'espace comme s'il avait toujours été le tiens, tu fais comme tu le sens, bouge le bureau. « On va le faire. » Quoi ? "Comment ça ?" je comprends pas, j'ai pas envie de comprendre. J'ai pas envie de le faire, parce qu'à chaque fois que j'y pense, c'est le même film qui tourne dans ma tête. Ce même film, notre entrée, mon sourire, nos mains, ton visage. Le champagne que j'ouvre à la fin, seulement pour mieux le renverser sur ta chemise, t'emprisonner dans mes bras et te dire que si je n'y ai pas le droit, toi non plus. D profiter de l'odeur avant les prochaines semaines de convalescence. T'interdire l'alcool, le poisson cru, et toutes ses mauvaises choses. T'annoncer que dans neuf mois, on aura un démon, que j'espère qu'il aura tes yeux et ta persévérance, ta loyauté et surtout, qu'il m'aimera autant que tu m'aimes. Dans ma tête, le scénario est parfait. Dans la vérité, le tout est surfait. Moi, le démon, toi. « J’sais pas si c’était un garçon ou une fille. Mais il ou elle mérite qu’on fasse les choses biens. Alors on va l’faire, comme t’avais prévu. » Je dis il parce que je le voyais démon, mais il aurait pu être démone. Je secoue la tête ; "Non, non c'est pas une bonn-..." c'est pas une bonne idée, c'est mauvais de faire ça, ça va tout réveiller. Comme un enfer que j'ai préféré garder. T'as envie de voir de nouvelles flammes, toi ? Parce que je sais pas si j'ai envie de ça. Notre feu était beau mais il avait tendance à se transformer en lave, une fois le soleil couchant. On sait pas faire, s'aimer sans se raturer, se détester dans l'innocence, gagner et perdre. Tu es le fou, je suis la Reine, et c'est pas le noir contre le blanc, c'est nous contre les autres pions du plateau. Tu vois tout ça, c'est pas un cadeau. « T’as eu ton cadeau de Saint-Valentin, j’veux le mien. » Tu veux l'annonce d'un non existant ? Tu veux neuf mois de deuil ? Tu veux mes litres de larmes ? Ma mauvaise nourriture ? Parfois pas de nourriture du tout, même ? Tu veux mes vomissements de dégoût de moi-même ? Les vomissements de trop d'alcool, certains soirs ? La conviction que ce corps ne peut plus plaire ? Qu'il ne peut plus rien porter ? Qu'il ne peut plus rien tenir ? Qu'il est pas assez fort ? Qu'il est incapable ? La boule dans la gorge que de voir une poussette ? La boule dans la gorge que d'imaginer notre vie, sans ce métro ? Notre vie, si t'avais voulu rester encore un peu, rien qu'un peu, à me tenir la main ? "J'peux pas.. Je peux pas, Jasper.." j'ai pas envie de voir tout ça, revoir tout ça. Parce que pire que d'être sa propre mort, c'est aussi notre fin. "J'aurais envie de te dire d'accord mais je.." la tête se secoue, les larmes s'annoncent aux yeux. Tu me demandes de revivre notre souvenir le plus douloureux. Deux points, deux finaux, que je pensais idéaux. Les mains se passent sur le ventre, souvenir d'une douleur encore trop présente. Les mains sur le ventre, annonce d'une fermeture d'un être, d'une Leandra qui n'a pas envie de s'ouvrir, qui ne veut pas, célébrer ça. "J'aurais pas.. j'aurais pas dû te dire de venir, c'est encore.. c'est trop.. trop récent.." Je pensais que j'étais prête mais ce n'était pas le cas. Je pensais que je pouvais lui dire au revoir mais j'y arrive pas. Je sais pas faire ça, moi. Alors mes pas s'avancent, mes mains prennent le sac, le corps s'assoit sur le sol et ramène le plastique sans vie contre moi. Je peux pas lui dire au revoir, je peux pas. "Je peux pas." Parce qu'il est la fin d'un tout, la fin d'un nous. Et sur ce grand échiquier on se déplace mais jamais dans le bon sens. Toujours vers les opposés. On a mal compris, je crois, que pour gagner, il fallait se retrouver.  


    Ladies always rise above, ladies know what people want
    draw the cat eye, sharp enough to kill a man, you did some bad things, but I'm the worst of them. sometimes I wonder which one will be your last lie, they say looks can kill and I might try. i don't dress for women, i don't dress for men, lately I've been dressing for revenge.
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    Jasper O. Ellington
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    Âge : 35
    Lieu de naissance : Chicago.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi
    Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
    Études & Métiers : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
    Date d'inscription : 14/05/2012
    Pseudo & pronom IRL : GLEEK!
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    Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

    Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

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    Warning : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
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    Lien du postVen 27 Nov 2020 - 22:41
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    JASPEANDRA

    Je sais plus si mes larmes coulent sur ton cœur, si mes rires brûlent dans tes mains.

    J’ai pas compris. J’ai jamais compris. Le ventre vidé, le corps qu’on extirpe, la vie qu’on dégage, qu’on crache dans une mare de sang. Est-ce que dans le tien, il y avait aussi du sien ? Mais tu vois, la douleur des autres n’a jamais été une science que je maitrise comme il faut, bien que j’offre mes épaules à qui dérape, qui trébuche. J’attrape les mains et j’propose mon corps comme soutien. Ca, j’sais faire. Accourir, donner du temps et écouter, agiter les doigts et venger ; aimer aussi, un peu, parfois, quand j’arrive à fermer les yeux. J’enfonce la lame mais j’sais quand arrêter son avancée, j’sais quand j’ai saigné le cœur mais qu’il continue encore à battre. J’sais quand cesser, pour qu’il se répare et m’aime à nouveau. On a toujours su tenir debout, à genoux, à cloche-pied ; peut-être pas brillamment, pas solidement, mais tenir. Alors j’ai pas compris. J’ai toujours pas compris comment ça, on avait fait pour pas l’réussir. Comme Il, Elle, on avait fait pour pas réussir à l’faire vivre. Pourquoi c’est pas mon corps qui a percuté le métal, qui s’est fracassé contre la paroi. Parce que le mien, il sert pas à grand-chose. Il porte personne d’autre que vous. Que les autres, puisque c’est d’autres clavicules que t’agrippes désormais. Alors oui, c’était la mienne de carcasse qu’il fallait exhiber sur l’autel. Y aurait pas eu beaucoup de beaux discours. T’aurais eu le plus tranché, le plus brillant aussi ; et vous auriez été deux après. Deux plus solides. Un être qui représentera mieux que toutes nos tentatives ridicules de nous résumer à des traits sur la peau. Un être qui, juste par sa présence, pardonnera toutes nos erreurs, et réparera nos fautes. Un être qui n’a même pas voulu de nous. Mais, quand j’nous regarde, incapables d’assembler ce puzzle qui n’a pourtant que deux pièces, j’le comprends. On lui a refilé toutes nos rancœurs, nos doutes, on a pas réussi à se taire. On a même pas réussi à faire semblant pour lui. Alors oui, il mérite mieux. Qu’un carton qu’on sort, qu’on balance, qu’on efface. Il mérite une paix, ou un truc qui y ressemble. Même si ça sert à rien, et qu’il reviendra pas. Mais nous, peut-être qu’on reviendra. Nous, peut-être qu’on arrivera à être moins laids, moins brisés, grâce à Il. Parce que dans mon esprit qui imagine, c’était un garçon aux cheveux noirs et aux yeux sombres. J’le dessine les nuits loin de Morphée. J’en trace le caractère et le nez aquilin. Puis j’rature le tout, pour éviter qu’il s’incruste trop sous les paupières. Mais, j’ai mis longtemps à prendre le crayon pour dessiner l’esquisse. Ma perte, la vraie, c’est tes mots qui claquent dans une chambre d’hôpital. Ce sont les mots que j’avais deviné, que j’craignais, qui me rattrapent et me foutent au sol. Ils ont pas de pitié ces mots, qu’importe les râles qu’on pousse. J’te jure que j’aurais voulu crever plutôt que vivre ça, ressentir ce vide ; le vide qu’on ressent quand on perd l’essentiel. Et l’essentiel, c’était toi. Un monde entre tes doigts. Avec ou sans ventre plein. J’ai jamais eu besoin d’autre-chose que de toi. Alors, oui, j’ai mis du temps à comprendre. A commencer à mordre la douleur, à la bousculer pour qu’elle me laisse avancer. Suffisamment pour la semer, de temps en temps, quand une route nouvelle me permettait de me cacher un moment. Mais, foutue douleur à gps, qui s’accroche constamment à la peau. Qui revient, là, mes doigts sur le sac. T’as raison, c’est peut-être tes doigts que j’aurais dû saisir. Mais je savais plus quoi faire. "J'peux pas.. Je peux pas, Jasper. J'aurais envie de te dire d'accord mais je.." J’veux pas qu’Il ne devienne qu’une boule de douleur, un cauchemar qu’on parque dans un coin de la mémoire. Un truc qu’on étouffe. Puisqu’il est la mort, j’veux lui inventer un bout de vie, un morceau d’une joie qu’on arrivera pas à feindre, mais peut-être qu’à force de frictionner les morceaux de sombres, quelques éclats plus clairs en sortiront. "J'aurais pas.. j'aurais pas dû te dire de venir, c'est encore.. c'est trop.. trop récent.." Les doigts interdits, qui sont coupables de faute. Qui ne savent plus quoi faire d’autre que s’agripper entre eux. « On est pas obligé de faire ça maintenant, on peut… on peut repousser ça, y a rien qui nous force à l’faire maintenant. » Mais regrette pas ma présence, fait pas ça. "Je peux pas." Le corps qui se ploie, qui s’assoie sur le sol et serre le sac contre le ventre. « Alors le fait pas. » Peut-être que si tu serres encore plus fort, il se remettra là, bien au chaud. Peut-être que si à mon tour, je diminue ma carcasse pour l’assoir sur le sol, dans ton dos, les jambes autour des tiennes, une main contre le sac, et l’autre glissée sous le tissu, contre ton ventre. Peut-être que si, les traits aux côtés des tiens, à ne plus savoir à qui appartient le sel. Peut-être que là, on sera les trois prévus. Ephémères.




    - deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor. dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa -
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