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I LOVE HARVARD
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    i feel like i became a zombie (yeonhee)
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    Lien du postLun 7 Sep - 13:10
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    i feel like i became a zombie
    — with @Jo Hee Seo

    il aura suffit d'un message pour que le gamin replonge. se laisse couler. s'abandonne aux démons qui dévorent ses pensées. sommeil rongé par le chaos. et au réveil c'est la dérive. paniqué de la journée qui s'annonce. le ciel qui s'assombrit. histoire qui se répète. zombie qui ère dans les pièces de son logis. ne plus avoir la force de se battre. et attendre. attendre que la tempête se calme alors qu'elle ne fait que commencer. attendre en silence. aggravé son cas. même une douche froide n'y fait rien, ne le secoue pas. machine à café qui tourne pour rien. tasse posée sur la table basse. fumée qui s'évapore au fil que les minutes, heures défilent. mais récipient toujours remplie. regard vide qui fixe ce panier repas pour le moins alléchant mais qui éveille la curiosité de celle qui ne cesse de faire vibrer le téléphone posé à quelques centimètre de ce corps adossé contre le canapé. silence alarmant qui énerve, soulève un tas de question. comportement suspicieux. et la sonnerie qui ne s'arrête pas. paupières qui se referment et c'est son visage qui de nouveau se dessine dans mes pensées. sonnette qui retentit dans l'appartement. pas suffisant pour me faire bouger d'un centimètre. de toute façon elle découvrira vite que la porte n'est pas verrouillée. pieds qui buttent contre le tas de bouteille de la veille. corps qui se recroqueville. tête qui vient butter contre mes genoux. couvrir les séquelles évidentes de la fatigue. "pars jo hee, retourne en cours. tu mérites mieux qu'un déchet comme moi" voix brisée par la culpabilité.

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    Lien du postLun 7 Sep - 13:26
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    w/ @Yeon-Min Lee

    À la nuit tombée, à morphée qui berce l'enfant, à l'alcool qui perturbe l'esprit, à se souvenir des éclats de rire, et le souvenir de ce que nous avions perdus. À l'aube de la nuit, à celle qui berce les ennuis, et aux sentiments que l'on dépose du bout de doigts, douceur des pulpeuses qui s'étire à retentir son nom. Et au rictus de l'agréable, à attendre que l'on clame l'amour, et au myocarde qui se love contre lui, à l'aimer dans les songes, et à la tombée des astres qui me guident, peut-être l'éclat de ses lèvres contre les miennes, et à l'épiderme qu'il marque, à me répéter sans se lasser que je suis sienne. Et ce matin, les minutes longues, à périr dans l'éclat de son rire, et les effluves de la veille qui s'estompent à la manière de l'art, et les lettres qui résonnent, aux proses de l'histoire qui m'assomment quand je ne rêve que de lui, à vouloir briser les règles. Et c'est l'inquiétude qui ronge, et la colère qui se mêle, aux détresses de l'ami, au moteur qui geint dans la rue, au téléphone qui s'allume et qui s'éteint, néon ridicule. Et c'est à briser les tympans, la sonnerie qui fait écho, à l'entendre à travers le bout de bois qui se dresse, barrière qui l'empêche de vaincre les démons. Et c'est le voir ainsi, à ne plus en pouvoir soutenir la distance, et c'est à le voir, aux pieds qui bousculent les cadavres de verre, et les opales qui l'observent, et le myocarde qui peine, quand la douleur ravive les souvenirs assassins. À se laisser tomber à genoux devant lui, à pousser les mèches de ses cheveux fous, attraper son menton de deux doigts, et des délicates pulpeuses qui l'embrassent. " j'aime pas quand tu dis ça, alors qu'on vit une belle histoire. " et le rictus, la fille solaire qui sourit, à en faire dégager les démons, à les foutre dans la corbeille à peine. Les doigts délicats qui effleurent la mâchoire, à envoûter le gamin des astres, aux opales qui capturent les siennes, à mes lèvres qui désirent et supplient les siennes, à ce qu'il s'oublie en moi.


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    Lien du postLun 7 Sep - 18:51
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    — with @Jo Hee Seo

    présence qui ne berce plus les douces nuits. démons qui se faufilent. profitent de cette absence. dieu des astres qui a perdu de son éclat en cette nuitée sombre. petite étoile à qui on a éteint la lumière sur son chemin du sommeil. la veille au soir, c'est la culpabilité qui était noyée dans l'alcool pour se voiler la face. mélange qui ne fait pas bon ménage. solitude que je m'inflige comme si c'était l'unique façon de ne pas commettre plus de dommages collatéraux alors que ça ne fait que m'enfoncer dans les ténèbres. se cacher devient l'unique sortie de secours. mais c'était sans compter sur un silence qui soulève des doutes. journée qui ne fait que commencer mais paraît déjà interminable. sonnerie qui brise les tympans. coeur qui se serre lorsqu'elle fait son apparition dans le salon. les bouteilles de la veille étalées devant ses pieds. visage tuméfié par la fatigue, pétrifié par ce cauchemar qui ravive la douleur du passé. corps qui se laisse tomber à genoux devant moi alors que je ne cherche qu'à cacher ce visage meurtri. menton sorti de sa cachette, lèvres appropriées dans la seconde qui suit. "je suis désolé de te faire perdre ton temps. je suis qu'un pleurnichard" jambes qui s'allongent sur le sol, tête relevée vers le plafond pour éviter ses opales, de résister au désir de posséder ses lèvres. gamin écrasé par la faiblesse. "je suis un cas désespéré. un poids mort incapable d'aller de l'avant... phrase interrompue par le souffle coupé, honteux de mettre des mots sur la vérité "...de dormir seul" voix brisée par cette nuit d'horreur.

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    Lien du postMer 9 Sep - 18:40
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    Sombre nuit, au manque que l’on étouffe, aux pulpeuses au goût amer d’alcool, et aux songes que l’on éteint, souffle sur la flamme pour que s’en échappe la fumée, et lorsque la main s’agite, dit au revoir à ce que n’existe guère plus, à ce qui s’éteint dans les rires, c’est l’aube qui accueille, et enlace. Et dans son étreinte, l’on susurre les promesses, l’on murmure les fantaisies. L’on se jure, aux blasphèmes des dieux, puis qu’importe, la routine s’installe, et jure à l’aube que la journée ne pourrait plus que merveilleuse, et à la pluie qui s'effondre, à corps perdus contre le sol déjà aux couleurs de l’automne, et l’on peint les idées farfelues de chocolat chaud auprès du feu. Et les étudiants qui rient, et aux éclats qui s’échappent, aux voix qui, vives, anime le matin brumeux. Et c’est à lui je pense, aux songes qui s’éveillent, et aux opales qui l’observent, visage meurtri, et aux démons que je maudis. Les pulpeuses possèdent les siennes, et dans un baiser qui murmure l’amour, et à la voix qui étreint, d’une douceur à s’en jalouser. Les bouts des doigts qui s’y risquent, à déplacer les mèches de cheveux folles, qui s’égarent et s’amusent, terrain de jeu qui cache les yeux fuyants. Et le corps, qui s’y pose, à califourchon, et quelle drôle d'expression, et les bustes qui se frôlent, comme il est curieux, cet aimant. “ nous voilà dans l’embarras, je n’ai pas bien dormi non plus, est-ce que je suis aussi un cas désespéré ? ” et l’on questionne, peut-être pour attirer l’espoir. Dans la douceur, les mains qui se posent sur ses joues rebondies, et la fatigue qui creuse l’épiderme, la colère qui s’évapore, son toucher électrique, et m’offrir les plus intenses fantasmes. Attire le regard, la fille solaire, y plonge ses opales, à lire en lui. “ yeon, dis-moi ce qu’il s’est passé cette nuit, raconte-moi tes cauchemars, je suis avec toi maintenant, regarde-moi, touche-moi… ” les doigts qui possèdent les siens, à les déposer sur ma peau, ma mâchoire, y trace un chemin sur mon cou, qu’il me découvre, et les opales qui assurent : je suis présente, à y découvrir la fille solaire.


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    Lien du postSam 26 Sep - 21:49
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    — with @Jo Hee Seo

    quand l'unique solution trouvée pour noyer la colère c'est l'alcool il n'est pas surprenant de devoir évaluer les dégâts le lendemain. et c'est bercé par les ténèbres que le sommeil fut tumultueux. les hallucinations du liquide qui brûle la tête le lendemain matin. c'est tout un équilibre qui s'effondre en réalisant l'état dans lequel je me suis plongé. erreur sur erreur. la dernière en date : ne pas lui répondre. un signal qui a évidemment déclencher une alerte dans l'esprit de la belle. triste spectacle que je lui offre. il y a comme du déjà vu dans l'air. sauf que cette fois ci ce n'est pas un mur qui retient mon dos mais le canapé. même plus en capacité de supporter ses propres membres. chasser le naturel et il revient au galop. les quelques mèches qui tombent sur mon visage me permettent de fuir son regard lorsqu'elle débarque pour sauver une nouvelle fois l'épave qui git au sol. si effrayé de la regarder, de la toucher et pourtant elle ne cesse de s'approcher dangereusement. frissons qui traversent le corps lorsqu'elle dépose ses mains sur mes joues, qu'elle effleure l'épiderme pour remettre des mèches de cheveux derrière l'oreille, qu'elle s'accorde à posséder mes lippes au goût encore alcoolisé. étouffé par la honte, le petit monstre ne sait plus où poser ses opales. il veut s'échapper, incapable de réaliser le cauchemar qui le hante. il est perdu, tout défile dans son esprit : la colère, l'alcool, le dérapage, le cauchemar, elle. coeur qui se serre quand telle une marionnette désarticulée elle prend ma main pour m'autoriser à effleurer sa peau. et quand son regard insistant fait tout exploser. "j'ai rêvé d'elle" confidence révélée à voix basse, presque inaudible. "j'ai rêvé de ma mère" paroles qui assassinent un enfant encore meurtri par la perte de sa maternel. "à chaque fois que j'ai voulu refermer mes paupières la seule chose que je voyais c'était son visage, je vois plus que ça, ça me hante" les sanglots qui bordent les yeux, comme une armure les mains qui s'empressent de cacher le désastre. "tout est de ma faute, c'est de ma faute. j'ai déconné" voix totalement brisée par la culpabilité, le désespoir.

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    Lien du postSam 26 Sep - 22:27
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    Et c’est le myocarde qui se serre, à croire en la cruelle réalité que l’âme n’est guère plus blessée. C’est le myocarde qui s’assassine, à observer l’enfant meurtri, aux sages larmes qui se contiennent, gentilles demoiselles qui ne froissent guère l’épiderme, et les opales qui l’observent lui, comme les ténèbres semblent bons bouffons. Les pulpeuses qui semblent tant charmer, à croire que la fille solaire peut admirer le soupçon d’un espoir, peut-être offrir les astres sur ses lippes, et la répugnante odeur d’alcool qui s’imprègne si vite sur le tissu, et le goût écoeurant sur mes lèvres. Le rictus dégoûté qui déteint, cette nausée presque immédiate, à ne jamais s’approcher, sauf peut-être du gamin, mais jamais des autres, peut-être juste l’accord d’une faiblesse, même jamais envers lui, mon amour, toujours le gamin. Alors je comprends, la vision que l’on ne souhaite guère dévoiler, comme une vulgaire pièce de pacotille, à la honte qui ronge l’être, et pourtant c’est envoûter que je tente, à peut-être voir les lippes s’étirer en ce sourire que l’on reconnaît si bien dans la foule. Et c’est à observer le monstre qui se régale, le bout des doigts qui possèdent son épiderme, et ses cheveux que je replace derrière son oreille, dans l’espoir que les opales le capturent, à ce qu’il s’y perde, dans la fille solaire, que bon lui semble en cette journée morose. Et la voix comme écho, si basse et pourtant à l’égal de l’effet papillon, au myocarde qui s’étouffe, et à se rappeler les larmes d’une enfant démontée en puzzle, les parties que l’on perd, et la mère qui s’égare, ailleurs, là où jamais la tendresse ne pourra conquérir les enfants tristes. Et à le comprendre, l’amour blessé, à ne guère savoir comment les mots butent contre les lippes, parfois les suppliques à une mère disparue, et les opales dont les larmes se retiennent, à être la force dans la maladresse. “ je suis désolée bébé, j’aurai dû dormir avec toi cette nuit, je suis désolée. ” le corps qui se redresse, tendres mains qui rapprochent son corps du mien, à poser sa tête contre ma poitrine, là où le coeur tente de s’échapper. Dans la tendresse d’une voix, les doigts qui caressent affectueusement la chevelure au effluves de l’ébène, à chantonner la comptine qui guérit les peines, et pourtant l’âme meurtrie, à dévorer ses démons. Désastre d’un enfant, prince des astres, comme la fille solaire est tant peinée. Prince des astres, comme la voix de sirène tente de t’apaiser, et les astres, ô les astres qui se lient au soleil, à l’étoile qui brille pour les fous, que l’amour tente d’apaiser, et toi, yeon-min, à te tenter de t’oublier en moi, pourvu que le calme s’harmonise avec ta peine. .


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    Lien du postLun 12 Oct - 22:16
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    — with @Jo Hee Seo

    les maux qui cognent dans la tête, les pensées dans la pénombre des ténèbres. l'alcool pas totalement évacué des veines qui font vivre un corps sans force, presque avachi. lutter contre des paupières qui souhaitent se fermer mais l'angoisse de revoir son visage les en empêche. le coeur qui cri au secours car lui non plus n'arrive plus à se battre dans cette tempête infernale lancée par des démons apparemment pas entièrement détruit. l'étoile aurait du restée sur ses gardes. une brèche s'est ouverte pour laisser passer ces monstres pendant qu'il était seul. rongé dans une solitude et presque plongé dedans. des appels de détresse assez fort pour que l'astre solaire, l'unique à être en capacité de panser ses blessures, vienne à son secours. parce qu'elle n'a pas à supporter le poids de ces écarts sur ses épaules, l'étoile se prive d'un éclat qu'elle seule peut lui redonner. pourtant c'est pas les tentatives de renouer avec nos intentions qui manquent. mais telle une autopunition j'y résiste. jusqu'à cet instant. cet instant où la vérité éclate sur ce qui fait trembler tous les membres de mon corps. cette image qui ne cesse de défiler dans ma tête. le moindre regard croisé et c'est le souvenir d'une mère partie qui se dessine dans mon esprit. la tête nichée de force contre sa poitrine, ses doigts qui s'emmêlent dans une chevelure ébouriffée, même pas coiffée, des caresses apaisantes qui permettent à une respiration affolée de reprendre son rythme. "c'est pas à toi de t'excuser jo hee. c'est moi." quelques mots qui s'échappent dans un phrasé moins haché, plus compréhensible. la tête qui quitte son nid, les opales qui acceptent de capturer les siens pour la première fois. "j'ai été incapable de contenir ma rancoeur, je me suis braqué parce que je savais que tu étais avec lui, j'arrive toujours pas à gérer mon humeur dans ces moments là mise à part avec de l'alcool." le regard qui se dirige vers le sol, comme un enfant prêt à se faire disputer après être passé aux avoeux. "je me suis emporté, j'ai déconné en parlant avec noah. j'ai pas su garder ma langue dans la poche et je lui ai dit pour ton ancien job. c'était déjà la guerre dans mon être, j'avais plus le contrôle sur rien." les larmes à la limite de venir s'ajouter par dessus ces traits de fatigue. le gamin a si honte et pourtant il trouve le courage de relever la tête, de la regarder dans le blanc des yeux et d'expliquer pourquoi ses yeux deviennent humides. "je t'aime" la déclaration qui attendait tant d'être de nouveau exclamée. le visage qui s'approche du sien, les lèvres qui se frôlent presque. "pardonne moi jo hee s'il te plait" le supplice d'un myocarde, qui veut de nouveau battre en harmonie avec sa moitié, lâché dans un simple murmure d'une voix brisée.

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    Lien du postSam 17 Oct - 14:23
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    Et c’est sûrement les vices de l’amour, à vouloir trop s’enticher, à ne guère contrôler l’addiction aux airs si purs. La tendresse d’un songe, berceuse d’un myocarde peiné, et c’est le monde qui se renverse. Goutte à goutte, on y goûte, à ce délicieux nectar d’aphrodite, à elle qui offre le désir lorsque le corps s’exprime, à elle qui désire dans les opales qui attirent les marins, et telle une sirène, elle invite dans les tréfonds de son être. Et l’homme, qui ne s’assagit guère, y regoûte sans cesse, à faire geindre la demoiselle, déesse des émotions, et c’est pourtant l’homme fragile qui s’y brûle les ailes, à envier les autres, jalouse l’enfant qui possède l’autre moitié de son être, et quand dans le secret, elle en raffole elle aussi. Et là, c’est moi, tentatrice, à avoir envoûté dans l’innocence, à s’être allée au jeu que longtemps j’avais perdu, dans l’astre des astres m’offre la vision d’une nouvelle ère, à en croire l’amour de nouveau, peut-être, foutue poésie à laquelle les plaisirs charnels avaient renoncés avant que nos épidermes ne se touchent de nouveau, à en faire éclater les flammes qui renaissent, et là c’est la comédie, la tragédie, les proses et les poèmes qui s’insurgent, quand la vie reprend là, à son terme, elle danse dans les ténèbres, dans un fou ballet, il y a des bugs dans la tête, et les opales qui le capturent. Tendrement à écouter sa mélancolie, je m’y plonge. Reconnaître les excuses qui s’y morfondent, tendre l’oreille, offrir le corps en réconfort, sans l’once du désir, juste le bien, quelque part les démons qui attendent de dévorer, et pourtant les siens que je menace. Quand les iris se confondent, et quand mes doigts glissent le long de sa joue, sur la pointe des empreintes, à ne guère prisée la poupée de porcelaine qui s’attriste devant mes yeux de compassion. “ je ne pourrais jamais m’excuser d’être proche de lui, d’avoir besoin de lui, mais je ne pourrais jamais t’en vouloir de douter. ” parce que ça avait été la guerre, parce qu’aster et jo hee sèment le chaos. Et l’astre solaire, au sourire que le dieu héros lui offre, illumine les démons, à en chasser les mauvais être, et à répondre à l’amour par les pulpeuses qui possèdent les siennes, le corps dans l’addiction qui se colle au sien, et dans la symbiose, peut-être couper les mots, mais le posséder, dans la poésie qui éclate, lui offrir la clef pour s’évader. Et murmure contre ses lèvres “ je m’en fiche que tu parles du nirvana, mais reviens-moi, n’aie plus peur, reviens-moi, n’aie pas peur de venir. ” astre marin, aveuglément, laisse-toi guider, là où tant d’autres ont échoué, n’aie guère peur d’aphrodite lorsqu’elle te possède, même lorsqu’elle te dévore, la douce aphrodite, astre solaire, t’aime.  


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    Lien du postDim 1 Nov - 18:54
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    dans le cauchemar aphrodite éclaire le chemin de la bête blessée, bouffée par ses sombres pensées qu'il tente de noyer dans l'alcool. le poison qui coule encore dans ses veines, les hallucinations qui sèment la pagaille. l'étoile n'est qu'un poids mort dans ce salon à l'atmosphère étouffante. se sentir moqué par ses démons, ils ricanent du gamin abandonné qui cache ses peurs, qui cherchent à les fuir mais elles ne cessent de revenir au galop. marionnette de ce cercle vicieux. le besoin évident de se libérer de ce poids sans qu'elle ne les supporte en retour.
    les paroles qui buttent contre les lèvres, la honte qui ronge, des confidences difficiles à avouer face à celle qui est toujours là pour me tendre la main quand je suis au bord du précipice. est-ce que je mérite d'accaparer son attention, de m'oublier dans son regard alors que je la prive de sa liberté ? "c'est si dur jo hee quand je te sais avec lui. je contrôle pas ma haine dans ces moments là parce que je lui en voudrais à vie du chaos qu'il a voulu semé, que jamais je lui ferai confiance. j'ai vu de quoi il a été capable de faire pour nous séparer et j'ai peur. peur qu'il essaie une nouvelle fois de nous éloigner." et si ça venait à se produire jamais je pourrai m'en remettre car elle est trop précieuse. rien que d'articuler ces aveux je suis effrayé qu'elle prenne la poudre d'escampette. et pourtant l'astre solaire vient vite lever ce doute. lèvres qui se laissent posséder par les siennes, et les corps qui s'appellent, pour que l'amour se déploie et nous enlace. "je t'appartiendrai toujours jo hee, alors reste, reste à mes côtés, laisse moi me rattraper de ces erreurs" les opales qui dévorent ses iris étincelantes, les doigts qui effleurent l'épiderme de sa nuque, et pour la première fois un rictus arrogant qui se dessine sur ce visage fatigué. les pulpeuses qui se déposent sur les siennes, le besoin de s'excuser en lui offrent un ardent baiser. "je suis fou amoureux de toi, de nous. complètement accro." souffle qui s'écrase contre ses lippes quand elles se décrochent des miennes.

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    Lien du postMer 11 Nov - 15:23
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    et c’est peut-être complexe, à la salive qui lentement déglutit, s’en est presque douloureux. et la respiration qui s’y glisse, brusquement arrache la moindre aisance à rester éveillée. les opales qui observent, les lippes qui crachent subitement les paroles que l’on connaît par cœur, et ça chante en chœur, la haine qui se déverse, un peu comme une comédie de mauvais goût. et moi au milieu, pauvre poupée en pleurs, qui d’un côté aime, et de l’autre côté aime encore. c’est à se demander qui s’arrachera le bras, la jambe, qui viendra me croquer l’épiderme, et viendra m’écraser en confettis, et c’est sûrement à se perdre dans son regard que je m’égare, à trop penser au gamin dans cet instant, à m’en voir bouffée par le manque, et pourtant, celui qui se joue comme marionnette de ses démons me manque aussi. peut-être à s’en sentir coupable quand le verre trinque, une fois avec l’enfant, et une fois avec l’astre. fuck c’est la larme qui doucement s’échappe, vient cueillir la peine sur l’épiderme, et à l’instant où le myocarde se fane, c’est sourire quand les songes sont à eux deux. c’est à aimer l’un à en crever, et l’autre à s’y perdre dans l’amour éperdument amoureux. le miroir, reflet, qui blesse, à savoir que c’est compliqué, mais c’est jamais un simple jeu, bonne enfant jamais conquise, et pourtant subjuguée par l’astre. tant de différences qui ne font qu’une, pourtant à se sentir coupable. “ je suis désolée, de te faire ressentir ça, et le pire c’est que je ne peux rien y faire. ” parce que la capricieuse poupée ne sait que faire d’une vie sans vous deux. et pourtant ce sont nos lippes qui s’épousent, à presque y cracher le manque, aux corps qui se rapprochent, à y faire monter la fièvre. on se ment, on se manque, on se bouscule là où la douceur souhaite être le miracle, et à se souffler des murmures, à guérir ce qui paraît maladif. mes doigts qui s’y glissent, dans la chevelure en bataille, à y enrouler des mèches de cheveux, à y tirer, pourvu que son regard se perde en moi. “ à partir de maintenant, tu arrêtes de m’échapper. ” parce que c’est trop bon de t’aimer. parce que la soirée est si envoûtante à la terminer sur tes lèvres, encore et encore, à te tatouer sur ma peau jusqu’à ce que l’aube me capture.  


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