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Lien du postSam 29 Aoû - 3:08
★ ─ Love means never having to say you're sorry w/ @Noah Yun |
Tu émerges d’un lendemain de veille violent. Ton cerveau menace de tapisser les quatre murs de ta chambre. Tu es d’humeur massacrante, rien de nouveau sous le soleil. C’est toujours la même rengaine, tu bois sans t’arrêter jusqu'à ce que tu tombes dans un profond coma, mais à ton réveil rien n’a changé. Tes souvenirs sont intacts, plus bruyants que le jour précédent. Tu aimerais être comme Noah, être amnésique. Oublier jusqu’à ton identité ou encore comment respirer. Tu crois que seuls les gens déterminés à t’avoir dans leur vie feraient le nécessaire pour raviver une parcelle de ta mémoire détraquée… pour ce qui est du reste, t’en a trop rien à foutre. Après avoir pris ta douche et englouti une dose suffisante de caféine, tu entames ta journée. Tu rends visite à ta meilleure amie qui a fait une vilaine chute dans les escaliers. Tu veux t’assurer qu’elle va bien et lui apporter ton support. Tu passes quelques heures en sa compagnie avant de quitter son chevet pour rejoindre Noah. Ça fait un bail que tu ne l’as pas vu. Entre les vacances, ses histoires et les tiennes, vous n’avez pas vraiment eu l’occasion de passer du temps ensemble. Il t’a invité chez lui, une façon indirecte de te demander pardon pour son comportement des derniers jours. Tu es bien placé pour le comprendre. C’est pas toujours rose de ton côté non plus. Après tout, tu ne lui en veux pas. Tu t’arrêtes au supermarché en chemin pour prendre une bouteille ou deux… voire trois et trace ton chemin jusqu’à chez lui. Sur place, tu t’immobilises devant la porte. Tu hésites un instant, les yeux rivés au ciel. T’es un peu à la ramasse ces derniers jours et tu fou ta vie en l’air. T’agis de façon impulsive, tu deviens un monstre. Plus tu blesses ton entourage, mieux tu te porte. Noah à le chic de te ramener sur le droit chemin. Il est un des seuls à croire en toi et à vouloir ce qui a de mieux pour son petit frère. Tu ne comprend pas toujours pourquoi il continue alors que t’es abject par moment, mais c’est ce qui le rend attachant au fond. Un soupir profond et tu finis par toquer à sa porte. Sans plus attendre, tu fais un pas vers l’arrière, prêt à toute éventualité.
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Lien du postDim 30 Aoû - 13:38
love means never having to say you're sorry
Désirer être l’aube. La rosée du matin qui remémore le souvenir éternel d’une vie nouvelle, avec lendemain. Et la mémoire éveillée, la routine éternelle, n’est guère l’éphémère, toujours les songes qui se joue d’elle. Désirer être l’aube, et peut-être même la nuit, quand elle devient l’éphémère, les astres qui rappellent, ô comme il est beau de se souvenir. Et les opales qui observent le ciel sombre, là où tout s’illumine, quand le spectacle de la nuit devient lui aussi l’éternité pour l’autre, mais la fatalité pour l’inconscient. Et le cœur qui crève, là où les mots butent contre le crâne. Et les envieux, curieux d’une nouvelle page blanche, l’encre réduite en poussière, quand s’envolent les interdits et les poèmes d’antan, l’enfance qui s’évanouit, et les conneries des bambins qui s’éteignent. Précipitamment, les ténèbres m’étouffent, m’attirent, me bercent dans une étreinte épineuse, là où la rose se fane, je revis. Et ne guère pouvoir redevenir le gamin d’autrefois, grandir de nouveau, et dans les cendres j’y reste, aimé, choyé, mais déserté d’un autrefois. Nous n’étions que deux enfants, nous n’étions que deux, et la guerre fût intense, l’inconscient fut vainqueur, jules césar d’une mémoire en pleurs. Et alors que je m’oublie dans l’intense peine d’un lendemain sans souvenir, je m’accorde le répit d’un frère. Le droit à lui, à m’oublier dans lui, dans le souvenir d’un gamin perdu, qui retrouve le frère tant aimé. Oui, quand les astres me rejettent et repoussent l’amnésique, je m’autorise les étreintes d’un autre, le présent qui m’embrasse et m’embrase. Alors, nul guère besoin de frapper plus encore, l’écho m’insupporte, la porte est tristement ouverte avant qu’une étreinte ne peigne le moment de nos retrouvailles. L’aîné qui berce le cadet, l’étreinte d’un frère qui n’est guère plus que le lien d’un myocarde en pleurs. Et l’inconscient tendre, quand l’affection n’a jamais été à son paroxysme, non, juste maintenant. Parce que je l’aime, parce qu’il le sait, parce qu’il rejette. Parce que tu me rejettes, jericho. “ pose pas de question, j’avais besoin de prendre mon frère dans mes bras. ” et le corps qui se délaisse, invite à entrer le gamin en colère, en peine ? que sais-je… Et là, dans la maison en vie, là où l’amour qui cogne et s’y bouscule, là où les affaires d’elle et de moi traîne, j’y perds, m’y console, moi, l'inconscient en pleurs.
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Lien du postMar 1 Sep - 17:00
★ ─ Love means never having to say you're sorry w/ @Noah Yun |
Le désespoir peint ton lendemain. Tu as atteint le fond. Tu broies du noir. Trop de choses se sont passées en si peu de temps, que t’arrive plus à gérer. Ton cerveau surexploité part en vrille, t’as des idées sombres qui te pousse à l'excès. La drogue, l’alcool, les femmes. De l’éphémère, toujours plus d’illusions pour qu’enfin, t’aie l’impression de vivre. Noah t’a manqué et bien que tu refuses de l’admettre, tu as besoin de lui. Il a toujours le mot juste pour te changer les idées et te relancer sur la voie du sarcasme et de l’ironie. Tu t’es construit une muraille, une double identité. T’es le connard égocentrique qui fait dans l’humour noir, mais tu es aussi le petit enfant au coeur meurtri et en quête d’amour. Ce soir, t’es un peu des deux. Tu as donc pris de l’alcool en chemin, car tu sens que tu vas en avoir besoin, mais apparemment t’es pas le seul. Tu peux voir les signaux de détresse quasi invisibles lancés par ton frère, t’es pas bon dans le rôle du superhéros, mais t’es prêt à faire un peu d’effort. Tu toques à la porte et cette dernière s’ouvre sur un frangin en manque d’affection. Noah te prend dans ses bras le temps d’une délicate étreinte et toi, t’as les bras qui pendent de chaque côté de ton corps. Tu es surpris, sans mot. L’expression faciale figée dans le temps. Tu n’es pas habitué à ce genre de familiarité. T’es plutôt distant et froid, mais malgré tout, tu le laisse faire. ‘’ J’ai surtout l’impression que tu fais ça pour l’alcool que je ramène, du con. ‘’ Ta phrase à peine terminée, tu soulèves le sac solidement accroché à tes doigts. Ton hôte te fait une petite place et tu te permet d’entrer dans son repaire. Ton regard survole la pièce principale pendant que tu retires tes chaussures et lentement, tu avances en prenant soin d’éviter les trucs de madame qui traînent un peu partout. ‘’ Elle ne sait pas se ramasser ta meuf? ‘’ Lances-tu, légère pointe d’humour dans la voix. En vrai, il se trouve que c’est beaucoup plus jovial et animé que chez toi. Ta chambre est blanche… totalement blanche avec quelques teintes de noir. Absolument tout trouve sa place. Pas de poussière ni de bas sales. Pas un bouquin de travers. Nada. Que Dalle. À croire qu’il y a personne qui vit dedans. Pour le reste de la maison, c’est un peu comme ici. Avec trois colocs, il ne faut pas s’attendre à moins. ‘’ J’dépose ça ou? ‘’ Ton regard alterne entre le sac plastique et Noah, expression blasée qui déforme les traits fins de ton faciès. Sans attendre de réponse, dépose le tout sur comptoir de cuisine. ‘’ Comme je t’ai déjà demandé comment tu allais via meet, tu nous sers à boire ou je le fais? ‘’ Rictus au coin des lippes, tu lui adresses un petit clin d’oeil complice.
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Lien du postJeu 3 Sep - 18:19
love means never having to say you're sorry
L'attendrissant besoin d’un corps qui se repose sur l’autre, et dans une étreinte unique, je berce les illusions d’un monde qui diverge. Quand d’autres tueraient pour avoir cette mémoire qui défaille, pauvres neurones qui tentent d’échapper aux flammes d’un enfer aux illusions de paradis, que les anges les quittent, pour de bon, que livre se teinte de blanc, que l’encre n’y coule guère, et que les âmes se disent en paix, quant à moi, je suis le funanbule de mes jours perdus, à fuir les ténèbres qui m’étouffent. Et dans une étreinte, je noie mes soucis, comme ce besoin ardent d’appartenir, peu m’importe à qui mon corps revient, pourvu qu’il s’évanouisse dans la tendresse. Et autant faire passer la tendresse pur l’envie de ce nectar à s’en déchirer le palais, à en délecter les démons en quête d’un endroit sombre, à torturer l’âme pure, à vouloir arracher les corps, déchiqueter le myocarde, et enfoncer le désespoir à son paroxysme. Et une étreinte qui, brusquement, cesse de fonctionner, car les mots brisent le charme, et deux frères se rencontrent, les opales levées au ciel, et l’on jure contre les dieux, on jure à qui a pu bien offrir ce que l’on réclame, cette addiction envers cette relation qui attise une flamme, et devenir l’aîné jamais désiré, s’offrir le luxe d’être celui qui tire les joues, et non celui à qui l’on tire les oreilles. “ ça, et ton joli p’tit cul, petit con. ” bout de chair que l’on titille de mes dents, la langue mordue, et le rictus arrogant au coin des lèvres. L’éternelle provocation, ne sont guères les anges, les diablotins qui s’amusent de l’un, qui rient de l’autre, dans l’éphémère confrontation du sang que l’on ne partage guère. Et c’est cette vie j’envie, m’envie, celle qui éclate, et les fous rires que l’on entend, imprègne le tissu du canapé, et les vêtements gisent au sol, et à l’aube quand nous avons partagé nos corps en transe, et l’harmonie de nos souffles. Le rictus mélancolique sur les lèvres, et la demoiselle laissée au petit-matin, laisser s’échapper l’éternelle éphémère. Dans un éclat de rire, c’est un boxer que je lance au cadet, le rictus tout aussi arrogant, est les opales pleines de malices, à s’offrir les moments de jeunesse frivole, et sans tabou, on est comme seuls au monde. “ t’inquiète, c’est propre, quoi que… ” pulpeuses fières, et le gamin qui aime les passions. Le corps qui s’approche, les doigts habiles qui manient les canettes de bière, la boisson qui favorise l’oubli, à y perdre pieds. Bière d’un instant ensembles, le corps qui se laisse lourdement tomber sur le canapé, et les opales qui observent la toile abstraite du plafond. “ toi, comment tu vas ? ” même si t’es bouffé par tes démons, parle-moi, pilier de ta vie, armure de tes anges, libère-toi de tes chaînes, mon cadet.
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Lien du postSam 5 Sep - 2:47
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Entre Noah et toi, les choses ont toujours été ainsi. Il est l’aîné, tu es le cadet. Il veille sur toi bien qu’il arrive parfois que les rôles s’inversent. Votre lien s’est tissé naturellement. À tes yeux, il est un membre de ta famille à part entière. Il vous arrive de vous chamailler, d’être en désaccord, mais la plupart du temps, vous regardez tous les deux dans la même direction. Il croit en toi, te supporte. Il est le phare qui brille au milieu d’une tempête, la main tendue lorsque tu es sur le point de te noyer. Tu n’as pas l’impression de devoir être quelqu’un d’autre pour lui plaire, avec lui, tu peux être toi. Sans tabou ni artifice. Vulnérable et sans orgueil en guise de bouclier. C’est une paix indescriptible qui t’habite dès que tu mets les pieds chez lui. Voir le ménage qui laisse à désirer, les trucs de sa copine et les siens qui se mêlent ici et là. Tu l’envie par moment. T’es pas capable d’être comme ça. Tu projettes l’image du mec qui s’en fou, mais tout dans ton espace perso est organisé. Que ce soit ta chambre, ton casier à l’université ou ton immense studio mode, y’a aucun vice caché. Alors que tu te trouves dans la cuisine, Noah te balance un boxer à la gueule. Tu fais genre d’être dégoûté, t’empressant de lui retourner le paquet surprise avec dédain. ‘’ T’es un porc ‘’ Siffles-tu, amusé plus qu’autre chose. Ça te fait marrer toutes ces conneries. Si ce n’est pas toi c’est lui et inversement. Vous vous prenez rarement au sérieux. Toujours en train de rire, ou dire de la merde. Pour la suite, l’aîné te rejoint. Il ouvre une bière pour chacun de vous après quoi tu lui emboîte le pas jusqu’au canapé. Tu te laisses tomber sur ce dernier, poussant un long soupir de soulagement. Un coup d’oeil en direction de ton frère de coeur avant de descendre une bonne moitié de ta bière. Il ne perd pas de temps à lancer la conversation. Il veut savoir comment tu vas. T’es pas encore certain de ce qui t’arrive. Si tu vas bien ou pas. À ton sens, t’es toujours sur la corde raide… mais t’essaies d’être un peu plus positif ou de ne pas emmerder les gens avec tes problèmes. ‘’ Avec l’alcool ça va. ‘’ Dis-tu simplement en sachant fort bien que cette réponse risque de ne pas être suffisante. ‘’ Pour être honnête, j’en sais rien. ‘’ Ta tête tombe lourdement en direction du brun que tu fixe de tes billes lunaires sans vie. ‘’ Et si on parlait de toi plutôt ? ‘’ Fuir ou contourner le sujet, c’est ce que tu sais faire de mieux. Tu détestes parler de toi, te dévoiler, te mettre à nu. ‘’ Avec ta copine ? Toujours le grand amour? ‘’ Bon, les histoires de coeur tu t’en bat les couilles, tu détestes ça même, mais comme il s’agit de Noah, t’es prêt à faire un petit effort.
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Lien du postDim 6 Sep - 14:33
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Ce n’est guère la tendresse, à l’affection fraternelle que les autres désirent ardemment, à se demander pour les bambins se chamaillent. Et c’est aux surnoms qui claquent, à ceux où se perdent les éclats de rire, et les choses ont toujours été rythmées ainsi, à ne jamais s’aimer plus qu’on le devrait, entre lui et moi. Juste l’instinct fraternel, à en croire que l’on avait connu la naissance l’un de l’autre, et devenir l’aîné toujours rêvé, presque idolâtrer lorsque j’étais minot. Alors c’est ainsi, quand les opales le détaillent, que les songes deviennent réalité, et à celle qui devient moins difficile, et quand enfin les proses m’amène à une délicate poésie, à l’aimer sans guère attendre l’éternité. Alors c’est l’éclat de rire, et l’écho dans une pièce vivante, qui s’éteint là où le dégoût naît. Et c’est lorsque l’esprit enfantin prend le dessus que le rictus arrogant peint mes lèvres, dans l’esprit conquis. Et au vainqueur, à celui qui subit, au cadet qui supporte, et qui se laisse aimer, pourvu que ça ne soit guère éphémère, et les promesses que l’on laisse au creux de l’oreille, comme preuve d’une vie plus remplie. Et je lève ce boxer, comme coupe de victoire, l’allure fière, le torse bombé, et amusé de cette situation, et aux opales de nous deux qui rient pour nous. “ j’suis ton porc préféré, bébé. ” et les gamins qui se chamaillent, à s’en taquiner, à murmurer des mots doux quand ils sont brusques, et brusques lorsqu’ils sont doux. Et allongé là, comme deux corps qui s’abandonne au lourd fardeau qu’offre généreusement la vie, sans l’once d’une miséricorde, c’est le nectar onctueux qui glisse le long de la gorge, et apaise les maux qui torture, et quand les opales se perdent de nouveau en lui, c’est le myocarde qui s’enferme, brûle, à s’en sentir comprimé, comme la respiration qui s’éteint, étreint la peine, berce l’illusion que tout va bien quand tout fout le camp. Et les opales ne le quittent guère, comme paralysées, et le temps qui autour de nous valse sans que l’on ne s’en rende compte, parce que c’est là l’essence d’être avec toi. “ tu as le droit de parler, d’aller crier au monde d’aller s’faire foutre, parce que c’est moi, rico. ” parce qu’on goûte toujours à la liberté, au goût addictif de se sentir entier. Et alors, c’est le sujet d’un myocarde en peine d’amour, plutôt vivant, à celui qui s’égare en elle chaque nuit, et à celle qui fait oublier la mémoire assassine. Et c’est le rictus mélancolique, une énième gorgée de bière qui coule le long de ma gorge, et les opales perdues dans la toile abstraite du vide, les mots qui butent contre les lippes, et comme incapable d’en dire plus, pourtant si bavard. “ elle me fait du bien, je suppose qu’elle me sauve de mes propres bouffons. ” parce qu’en ce moment, c’est l’impression d’être bouffé. Et les opales qui rient en te regardant, le genou qui te bouscule. “ le jour où t’étouffe, appelle-moi, je suis ton frère, rien à foutre de ce que tu peux faire, de mal, j’suis là, ok ? ” frère, toujours, peut-être juste deux âmes séparées, mais le besoin d’être présent, prouver qu’on partage une vie.
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