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I LOVE HARVARD
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    Lou - Be my shelter and I'll be your storm
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    The Fire- Ben Howard

    w/ @Lou Beaufort


    Et puisque Boston est trop étroite pour nous, je nous trouverai de nouveaux royaumes, de nouvelles terres à conquérir, des espaces suffisamment grands pour nous accueillir. Et mes pas qui nous portent, décidés, volontaires, jusqu’à nous engouffrer dans ma berline, te transportant vers d’autres mondes, plein de surprises. Je suis ainsi, on ne sait jamais vraiment ce que je prépare, ressentant une certaine satisfaction à sentir le bitume s’engouffrer sous la puissance du moteur. Je t’interroge sur ta famille, car tu restes une énigme Belle Louve, une énigme à laquelle je n’ai certes pas envie d’avoir toutes les réponses, mais quelques parcelles seulement de plus. Mon sourire s’étire à te voir conter une partie de ton histoire, bien différente de la mienne, Lionne prisonnière de ses barreaux trop dorés, d’une atmosphère oppressante, les vagues ne font pas partie de la mêlée, mais toi, tu es une déesse de l’orage et non des cieux calmés. « Et quand as-tu voulu t’échapper ? » Puisqu’on a ça en commun finalement. Cette volonté de s’arracher à un monde qui n’est pas fait pour nous. Les minutes défilent dans la voiture, le paysage obscure défilant rapidement sans que tu ne saches vraiment où je te conduis. On pressent tout de même le bord de mer se dessiner et la côte gagner en sauvagerie, loin des banlieues cossues et estimées du Massachusetts, on rentre dans l’abrupte, dans l’authenticité du décor. « Ah oui ? » Je me tourne intrigué par cet aveu auquel je ne m’attendais pas. Mes phalanges qui viennent se reposer quelques instants sur ta cuisse, avant de remonter en une caresse. Le temps viendra, mais pour le moment, le serviteur obtempère face à l’ordre de sa Reine. Et que plus de vitesse nous emporte. La route est plus étroite tandis qu’une falaise se dessine, le voyage n’est pas sans danger, mais nous l’aimons particulièrement n’est-ce pas ? Alors, je pousse davantage le pied sur l’accélérateur, laissant le moteur vrombir et mes gestes s’adapter alors que mes deux mains regagnent le volant. Cela nécessite toute ma concentration afin de ne pas nous emporter dans le fossé, mais nos cœurs sont plaqués dans l’adrénaline, le souffle en otage et comme c’est délicieux de se sentir suspendu à un fil. Enfin, le moteur s’arrête, je t’escorte dans un terrain rocailleux et venteux duquel on peut entendre les vagues déchaînées. « La mer s’éveille pour toi faut croire. » T’offrant des tempêtes pour mieux coller à tes orages. Ma main qui se glisse dans la tienne pour t’entraîner dans le singulier dans l’endroit, marches escarpées et longue colonne oblique, c’est bien au sommet d’un phare que je te conduis, d’ici on trônera comme il se doit. Caprice que je me suis offert, refuge pour l’Ermite que je peux être, pourtant tout est aménagé avec goût et finesse. Je viens t’attraper par la taille, laissant ton corps se coller au mien et dans un souffle haleté, je viens mêler mes lèvres aux tiennes. « Comment t’appelles-tu ? » Sourire qui vient naître dans la proximité de nos souffles, à la quête d’une clé supplémentaire tandis que je te dévoile les profondeurs de mon royaume.


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    « Depuis toujours» sa fuite est envisagée depuis son premier souffle, depuis les instants qu'elle a compris qu'elle avait besoin de plus. Quand la petite tornade n'avait pas assez de temps et d'émancipation dans un cours de danse futile. Elle éveille encore le mystère tout en filtrant quelques réponses qui veulent tout dire à la fois. Car tout lui livrer à la fois, le ferait fuir d'un seul coup. La fuite n'est plus une option, elle serait même un cataclysme plus élevé et débordant que celui qu'ils imposent au monde. Maintenant c'est à lui de ne pas l'enfermer, l'aventure qu'il lui offrira devra être encore plus grande, même si les barreaux d'or lui vont à ravir, c'est les cheveux dans le vent qu'elle trouve son comble et son énergie. La voiture file à toute allure, rapidement sans jamais lâcher l'accélérateur. Elle s'accroche, rit de bon coeur tout en fumant son joint sans laisser une seule parcelle de cette drogue éphémère. Le danger de la route, les autres voitures l'endiablent encore plus, mais pas autant que lui qui s'intrigue dans ses aveux et elle qui se délecte d'un silence pour ne pas lui dire tout de suite. Elle en profite pour déposer sa main qui est restée sur sa cuisse, le seul contact possible, comme ses pieds qui valsaient sur la table pour tenter de le toucher. La route continue de serpenter, l'adrénaline est à son plein, elle est comblée, il a longtemps qu'elle n'a pas respiré comme ça. Même Tokyo n'avait pas ce mordant, cette folie quand les deux mains sont requises sur le volant parce que la route s'affole. La mer se déchaine comme une dingue, parce qu'elle a sans doute entendu leurs coeurs et leurs têtes, elle se livre dans ses plus beaux apparats pour le roi et la reine. « Elle m'attendait. » Comme lui durant cet été, comme elle, parmi les épreuves effrénées.Ils gravitent en haut d'un phare, l'endroit parfait pour sentir le vent qui se déchaine sur leurs visages quand on s'approche de la rambarde. Il n'a rien de singulier, il est parfait pour accueillir la reine capricieuse, autant que ses lèvres qu'elle retrouve enfin et ses mains sur sa taille. Elle s'agrippe à ses lèvres, mordillant celle-ci, découvrant toute leurs finesses qu'elle n'avait point oubliées pour réussir enfin à se détacher. « Lorraine.» susurre-t-elle, son sourire se mêlant au sien. Leurs bouches se plaquent de nouveau et elle le fait reculer, reculant elle-même vers l'extérieur pour sentir le vent, sentir la terreur du temps encore plus grand que son orage et les étoiles qui scintillent sur leur peau. Elle rabat son veston pour qu'il glisse de ses épaules, s'attaquant déjà aux boutons de sa chemise. « Encore plus.» Qu'elle réclame encore, elle ne voulait pas être ménager, lui avait-elle déjà semé.



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    The Fire- Ben Howard

    w/ @Lou Beaufort


    Sourire qui vient se plaquer à mes lèvres d’acier. Toi aussi, tu ne rêvais que de t’envoler, appartenant à une cage qui ne te correspondait pas, trop assoiffée de ta propre liberté, obéissante à tes propres règles et non à celles qu’on t’a dicté. « On a ça en commun. » Et d’autres points plus nombreux, j’imagine. Ma cage n’avait rien d’enviable, les barreaux étaient ternes, et le sol empli de crasse, de relents d’alcool d’un père trop brisé et autoritaire, d’une mère effacée, aussi délavée que la couleur pouvait l’être de nos murs moroses. Pas de prestige, pas de noblesse, seule trônait la rudesse et la pauvreté des bas quartiers de Pologne. Je m’en vante pas, je le cache même, me prêtant des sources bien plus riches, bien plus prestigieuses, un peu comme les tiennes. Mais peu importe, c’est le silence que j’adopte la plupart du temps lorsqu’il s’agit de mon histoire. Seul compte le présent et un futur que j’envisage plus enviable. On s’enfuit du chic de l’endroit pour retrouver la vivacité de l’air et la rudesse des embruns qui viennent marquer nos lèvres et la pâleur de nos visages, comme pour apaiser la flamme qui s’obstine à naître entre nous. Marches gravies, jusqu’au sommet et la mer qui t’accueille Reine dans des terres plus sauvages, plus authentiques que celles où tu t’adonnes habituellement. « Lorraine » que je répète avec le rugueux de mon accent, offrant sans doute quelques roulements supplémentaires à tes lettres. « Si français. » que j’ajoute en venant marquer la pâleur de ton cou, de mes incisives déployées sur ta gorge, fermes mais douces. Le brasier s’avive, et le tissu déguerpit de mes épaules, pour autant, le froid ne me menace nullement. Mes mains viennent parcourir le haut de tes cuisses ainsi que le galbe de tes fesses, te pressant davantage vers moi alors qu’après avoir de nouveau embrasser tes lèvres, je n’ajoute. « Attends. » Sourire en coin, sujet qui vient s’opposer à la Reine, tu ne seras pas heureuse d’attendre quelques secondes de plus, mais de ma poche je viens extirper une mince clé d’acier. Clé de nos rêves, clé de nos ombres. « On sera mieux à l’intérieur. » Et tu y découvriras quelques parcelles de cet homme qui te fait frémir plus que de raison. Ma main se glisse dans la tienne après que j’ai ouvert la porte, te laissant pénétrer à l’intérieur de la pièce circulaire. Tous les murs étant composés de vitres donnant sur la mer, j’allume quelques lumières tamisées. Tu peux y découvrir un intérieur richement décoré, des tapis pour venir garnir les sols, un canapé de velours, une bibliothèque, une cuisine rudimentaire mais pratique ouverte sur le reste, mais surtout un piano à queue noir qui trône et semble prendre toute son envergure dans la pièce.


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    Est-ce possible de croire que lorsqu'il repartira il laissera un vide immense ? Il repartira avec le feu et même la braise, ne lui laissant que les allumettes en main, qui deviennent si futiles sans rien pour les accueillir, pas même le bois. Mais elle ne peut pas empêcher sa fuite, car ils ont ça en commun, la liberté comme seule manière de vivre. Il a besoin de voir le chaos et les explosions par millier, pour des corps blessés qu'il peut encore panser. Elle a besoin de sauter à travers les immeubles, courir dans les rues et faire la fête toute la nuit. Ils ont des idéaux qui se ressemblent et parfois qui se divaguent, mais qui au final s'amalgament bien. Il enjolive son prénom avec une rudesse plus nordique, plus rude quand il touche au R. Elle aime quand il le prononce, c'est si différent, elle a moins envie de s'enflammer. C'est plus joli sur ses cordes vocales. Elle a presque envie d'oublier le surnom de trois lettres pour le moment.  Ses canines marquent son cou, passant par ses mains qui redécouvrent ses formes. Elle redécouvre le contact qu'elle n'a jamais oublié. Mais il fait une erreur le temps de quelques secondes, il lui ordonne d'attendre une nouvelle fois. La reine est prête à crier son mécontentement avant de voir une clé scintiller dans la nuit aussi vive que les étoiles. Elle mène vers la liberté et l'union, elle mérite l'attente de quelques secondes et les couteaux placés dans ses prunelles se tapissent à nouveau dans l'ombre, laissant de nouveau place aux flammes. À l'intérieur ou à l'extérieur, elle ne veut que lui, rien d'autre. Ils s'infiltrent à l'extérieur, oubliant le vent de la tempête pour retrouver le luxe qu'ils aient leur propre. Rois du monde et des eaux. Elle observe chaque détail imprégné de velours et d'or, puis un instrument qui fait bonne figure. Elle s'y approche, passant ses doigts sur les touches d'ivoire, avant d'enfoncer un de ses doigts sur celle-ci. «Tu joues ?» la lionne revient à la charge le poussant vers le canapé, une main appuyée sur son torse, en faisant sauter les derniers boutons déjà entamés, se positionnant sur lui. «Joue-moi un morceau.» et pas sur le piano, mais sur sa peau de perle déjà frissonnante, encore plus quand elle commence à faire descendre la fermeture de sa robe. Ils se reflètent dans les nombreuses vitres, prenant toute la place des étoiles et de la nuit.



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    Lien du postLun 9 Nov - 19:14
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    w/ @Lou Beaufort


    Ma seule attache réside dans la ligne de mes ambitions, elles-mêmes destinées à me donner le pouvoir. Pouvoir qui hissera ma liberté d’action au sommet. Car l’Humanité réside en une jungle savamment orchestrée. Les gagnants et les perdants, et je refuse tout simplement d’appartenir au deuxième clan. Les femmes c’est autre chose, ou même les hommes. Un loisir, une distraction, une bulle d’air entre deux apnées, une parenthèse plus légère entre deux vagues d’acier et les phalanges extraites à la vie de façon prématurée. Bientôt, de nouveaux cieux s’offriront à mes yeux désabusés, et pourtant tout est pour moi plus léger sous le couvercle d’une guerre. Le chaos externe fait sans doute taire mes propres batailles, met le corps en action et permet d’oublier les démons qui viennent ronger les sangs lorsque je tente de m’octroyer le repos. Sans doute que lorsque mes paupières se fermeront sur le monde, elles verront ton image, forte et prestigieuse reine, incandescente Sylphide, déesse de mon passé et de mon avenir aussi peut-être, car dans notre relation, j’aime y semer quelques points de suspension, de quoi nous tenir en haleine. Sans doute que mes guerres t’appellent, Lorraine, toi qui représentes ces terres arrachées à une mère patrie bien-pensante, elle s’était affranchie des limites qu’on avait dessiné pour elle, forgeant finalement une singulière indépendance. Rien n’est dû au hasard, pas même nos corps qui se retrouvent au détour de nos routes, dans le capiteux d’un hôtel ou dans l’insolite d’un phare. Ça vient éclairer tes dorures, peindre de noirceurs l’or trop lisse de tes jours, on y parsème quelques démons la nuit, qui viennent murmurer mes lettres. Mais un jour tu prendras peur sans doute, une nuit tu prendras la fuite peut-être. Comme tant d’autres. Je ne suis pas homme à soupeser l’avenir, mais à simplement prendre conscience de mes paumes qui cheminent sur la tendresse de tes chairs. Et comme tu es douce. Sourire qui s’étend comme un drapeau trop loyal lorsque tu parles du piano. « C’est mon secret. » Celui que je n’avoue pas, celui pour lequel j’ai pris tant de coups plus jeunes. Un homme n’est pas sensible, et encore moins mélomane. Du moins, d’après mon paternel. Pourtant c’est le seul instrument dans lequel je peux verser les nuances, les contrastes, de la douceur d’une mélodie, à la profondeur des accords. Du bout des doigts. J’explore tes boucles, je laisse le tissu mourir à tes pieds, et mes remparts les rejoindre. Du bout des doigts. Je viens te dessiner, emprunter quelques notes, aux plus forts classiques, quelques notes contemporaines, à nos accords, et regarde comme on conjugue encore et encore. Notes noires et blanches. Mes lèvres qui s’appliquent en clé de sol sur tes épaules, ta poitrine, et qui viennent t’explorer encore et encore.  « Seulement si tu chantes. » que j’ajoute le sarcasme en offrande, mes iris en chorus, de nouvelles compositions qu’on créera ensemble.


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    Lien du postLun 9 Nov - 20:35
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    Elle aime faire croire qu'elle est incassable, infranchissable, sur son trône de verre et d'or. Elle aime faire croire qu'elle possède le monde, oubliant les gens sur son passage comme s'ils étaient des vulgaires patins, marionnette de ses désirs et de ses idées stupides. Mais toi, Albus, même si elle voulait tirer tous les fils possibles, tu agis avec tes convictions et tes envies. Tu lui offres tout ce qu'elle désire en sachant qu'au final, elle te donnera une partie de son âme. Parce que même dans les plus grands jeux on s'y fait prendre, on perd nos stratégies et les moindres défenses. C'est ce qu'elle te cache encore, ces blessures. Pas celles qui figurent sur sa peau où tes mains courent à ce moment même. Celles dans son coeur, qu'elle croit qui est encore munies de pierres. Elle a un coup un premier coup dans la douceur du printemps, puis un second dans la chaleur de l'été, et tu es en train de lui assainir celui de l'automne, sans doute parce qu'elle t'attendait dans le détour. Tout est calculé avec précision, le destin a ses raisons et il les fait graviter jusque dans un fard. Ils les malmènent les séparant une nouvelle fois bientôt, car ils ne connaissent pas une ligne droite. Ils aiment les cassures, les chapitres qui finissent sur des points de suspension. Ainsi, les souvenirs divaguent et font sentir leur présence, dans les rêves, dans les nuits sombres. Même quand ils retrouvent une autre âme, il n'y a pas la même puissance, pas la même fougue et le mystère du moment, quand la faucheuse les fauche. La suite n'est qu'à écrire et ça sera à son tour, au moment venu, de semer à son tour la surprise et de conquérir le dévoué, dans les terres remplies de sang et de violence. Elle le pousse un peu, lui volant un secret bien gardé, quelque chose qui ne partage pas avec ses nombreuses conquêtes. Elle aime l'imaginer dans une image plus douce un peu plus poétique quand il rejoint l'ivoire. C'est éloigné de l'homme froid qui pratique son métier et l'implacable qui reçoit les coups lors d'un passage obligé à la boxe. Elle lui réclame une mélodie quand ils commencent à se consumer, quand ils se découvrent de leurs lèvres et même de leurs regards qui se rappelent de chaque parcelle, pourtant impossible à oublier. Ils se conjuguent naturellement, entendant presque le piano en arrière-plan et sa symphonie s'immobiliser dans le marbre. À son ordre, il ordonne aussi à son tour, réclamant son chant mélodieux et incandescent. Un chant de sirène qui ramène le marin en périple vers la lumière, vers ces boucles d'or qu'ils découvrent de ses doigts rudes et impitoyables. «Je connais une mélodie qui te plaira.» soupire-t-elle à son oreille, quand il lui vole un souffle bien appliqué, un soupire rempli de luxure et d'envie. Elle lui offrira ses nombreux gémissements qui graviteront sur sa gorge, rapidement puis plus lentement. Il est là son chant.


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    «La mort en vaut-elle toujours la peine ?» demande-t-elle en connaissant déjà la réponse, mais simplement pour retomber dans leur jeu d'apparence qu'ils connaissent bien. De ceux qui sont en manque de l'un et de l'autre, mais restent en silence, préférant laisser les gestes parler à leurs places. Elle relève enfin son regard fauve sur lui, son apparat de lionne vers lui, pour glisser ses doigts blanchâtres sous son menton et l'embrasser de nouveau. Ne m'oublie jamais. soupire-t-elle dans sa tête pour elle-même.


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