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I LOVE HARVARD
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    human's best friend ▬ gresham
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    Lien du postLun 17 Aoû 2020 - 16:52
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    ❖ Boston - 20 août 2020.
    human's best friend - @Gresham O. Ewart


    Plus d'un mois sans avoir de ses nouvelles, de le penser ça me paraît tellement irréel. Depuis que l'on se connaît c'est la première fois que c'est arrivé. Et deux mois en réalité sans le voir. Depuis cet étrange rencard. Je pensais, à la vérité, qu'on ne pouvait pas se passer l'un de l'autre, que nous étions de ces amis qui sont fusionnels et qui ne passent pas plus d'une journée sans au moins un message ou bien un appel. Mais voilà, c'est arrivé, nos dialogues se sont avortés, de part sa volonté que je n'ai fait que respecter, j'imagine que c'était le temps qu'il nous fallait afin de préserver notre amitié.

    J'ignore encore si cela a fonctionné, je n'ai pas vraiment su le déterminer lorsque nous nous sommes croiser par hasard alors que je sortais du Starbuck avec mon café préféré à la main. Ce que je sais c'est que malgré tout, le revoir m'a fait du bien. Parce qu'il est le meilleur ami que je n'ai jamais eu, rien de moins rien de plus. Alors ça m'a paru être normal de lui proposer de venir en boire un avec moi, de café. Passé le moment gênant et nos échanges de banalités, nous en sommes venus au fait, je ne sais plus trop comment, qu'il avait toujours un chien en tête. Alors même si cela pouvait paraître bête,quand il m'a demandé de l'accompagner afin de la récupérer, j'ai dit oui, sans trop hésité.

    Et à la question est-ce que nous avons parlé de nos cœurs ? De nos histoires qui ont continué sans l'autre ailleurs ? Non, voilà toute la vérité, nous avons évité ces sujets. Pour notre bien à nous deux, pour ne pas se risquer à ce que notre échange soit malheureux.

    Alors aujourd'hui je le rejoins, face à la S.P.A et quand je l'aperçois, je lui fais un signe de main. Cela fait déjà quelques minutes que je suis là, que je tapote sur mon téléphone sans y penser, que je regarde les réseaux sociaux que je flâne sur le profil des stars et leurs photos. Et quant il arrive à ma hauteur, j'essaie de me dire qu'on est au dessus du côté gênant, qu'il faut que je sois naturelle et que les choses ne soient pas calculées, que nous en revenions aux bases de notre amitié. Du coup dans cette optique, je m'approche de lui pour lui faire la bise. Espérant ne rien transgresser avec ce contact physique. « Ca va ? » que je lui demande d'une petite voix. « Alors, stressé ? » Après tout ce n'est pas tous les jours que l'on rencontre celui qui va nous accompagner sur plusieurs années.

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    Lien du postLun 24 Aoû 2020 - 3:33
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    ★ ─ Human's best friend.
    w/ @Taylor V. Foster
    S’il n’y avait qu’un mot afin de me qualifier sur l’instant, ce serait nerveux. Je le suis puisque je vais adopter mon adorable bébé husky femelle dont j’ai déjà trouvé le prénom, mais je le suis également, car j’ai proposé à Taylor de m’y retrouver afin de ne le faire seul. Seulement, à présent que j’y songe, que le temps défile à toute allure, je me questionne. Était-ce une si bonne idée au vu de notre passif commun ? Inutile d’affirmer que je n’en ai strictement aucune idée et j’imagine que c’est pour cela que je me sens aussi mal à l’aise ainsi que stresser. Bien sûr, cette journée se doit d’être bonne, positive, puisque je vais avoir un compagnon à quatre pattes qui m’accompagnera durant de nombreuses années, mais c’est une sacrée responsabilité, et cela, m’effraie, soudain. Me suis-je déjà occupé de qui que ce soit ? Serais-je à la hauteur ? Est-ce que nos secondes retrouvailles avec Taylor vont correctement se dérouler ? Régnera-t-il un malaise palpable aux yeux de tous, mais surtout de nous ? Est-ce que cela mettra un point final à notre relation ? Ne supportant plus ce flot continuel de questionnements, je "m’arrache" les cheveux, pour ainsi dire, avant de me redresser et de rejoindre la cuisine, pour me préparer un café. « Hum. » S’extirpe d’entre mes lèvres pincées, tandis qu’une fois encore, je m’interroge. « Putain ! Merde ! » Je m’exclame, pour frapper mon poing contre le marbre de mon plan de travail et grimacer. « Quel con je fais ! » Je jure entre mes dents, puisqu’il ne s’agit d’un mur, mais de marbre et que la douleur qui me lance est on ne peut plus saisissante. Le fait est que je suis coutumier à celle-ci et les autres alors, au bout d’un certain temps, bien que je grimace en mouvant mes doigts, cette dernière est supportable. « Crétin. » Je prononce à mon encontre, puisque je vais avoir une adorable boule de poils et que je n’ai plus qu’une main et demi de valide. « Tant pis. » Je murmure, puisque je ne peux revenir en arrière, afin d’être moins stupide et après avoir pris les papiers demandés, ainsi que mes clefs d’appartement et de voiture, je quitte l’immeuble dans lequel je réside afin de gagner la SPA. M’engouffrant dans ma Jaguar, je mets immédiatement un fond sonore afin de ne réfléchir, un classique : « Etude No 1 » par Peter Sandberg. Laissant le morceau tourné en boucle tout au long du trajet, il cesse de résonner lorsque je coupe le contact avant que je ne sorte de mon bolide. Le verrouillant, je rejoins en quelque enjambés Taylor, qui semble littéralement perdue dans son Smartphone. Immédiatement, je songe au pire, au fait qu’elle puisse avoir un homme qui partage sa vie alors que j’ai la sensation que nous nous sommes quittés la veille, le fait est que cela ne me regarde en rien, puisque nous ne sommes que des amis, des meilleurs amis comme auparavant peut-être, je ne sais plus réellement. « Ça va et toi ? » Je mens, après avoir rendu sa bise à Taylor, je l’espère avec décontraction, pour acquiescer à sa question dans un mouvement de tête. « Excessivement en vérité. » Je reconnais, dans un frêle sourire, pour me laisser aller à prendre une grande inspiration, avant d’expirer en fermant les yeux. « Bon. C’est parti. » Je termine de prononcer, une fois m’être calmé bien que ce ne soit le cas et bien évidemment, j’ouvre la porte du refuge en faisant passer Taylor avant moi, comme un parfait gentleman. « Bonjour. » Je prononce, dès lors que nous sommes à l’intérieur, avant d’esquisser un doux sourire lorsque j’aperçois la femme que j’ai rencontrée à quelques reprises, pour ne pas dire à chaque fois que je me suis rendue ici, à la SPA. « Bonjour, monsieur Ewart ! » Elle s’exclame, toute sourire, pour continuer : « C’est le grand jour ! » Elle a raison et j’en suis ravi, bien que nerveux, évidemment. « Bonjour mademoiselle. » Elle fixe Taylor et je me sens soudainement sot. « Pardonnez-moi. Hum… » Je me pince les lèvres, fronce les sourcils et me reprends : « Voici Taylor, une amie. Elle m’accompagne pour l’adoption de ma Brownie. » Je me rends soudainement compte que je viens de dévoiler son prénom, qui était encore secret pour le moment, mais tant pis. « Elle adorait adopter un chiot, elle aussi. » J’ajoute, dans un large sourire, fixant Taylor, lorsque la femme d’âge mure reprend et nous demande de la suivre. « Je t’en prie. » Je souffle à mon amie, afin qu’elle passe avant moi et qu’ainsi je ferme la marche. « Je suis persuadé que tu vas en tomber amoureuse lorsque tu la verras. » J’assure à cette dernière, pour grimacer à l’emploi du mot amoureuse, mais je ne pipe mot. Sur ceux-ci, je n’ajoute rien et lorsque nous émergeons dans la pièce où se trouve ma petite merveille, je m’accroupis instinctivement afin de l’accueillir dans le creux de mes bras. « Bonjour mon bébé. » Je m’exclame, tandis que je dépose des baisers sur sa tête et que je caresse son poil doux. « Ma Brownie. » Je continue, pour lui offrir une seconde salve de baisers et me redresser, la gardant tout contre moi, dans le creux de mes bras. « Alors, Taylor. Comment la trouves-tu ? » Je l’interroge, des scintillements plein les yeux, puisque je suis d’ores et déjà fou de mon adorable boule de poils que je cajole comme un véritable bébé. « Mon petit amour, tu vas enfin venir à la maison. » Je murmure à son attention, alors que mon sourire ne peut s’effacer de mon visage, bien que ma main me lance toujours, puisque la douleur n’est rien en comparaison au bonheur que je ressens grâce à mon compagnon à quatre pattes. « Je t’aime, je t’aime, je t’aime. » Je lui souffle, l’embrassant encore, pour laisser un rire s’extirper d’entre mes lèvres lorsqu’elle m’offre des coups de langue, et cela, sur mon visage. « Toi aussi, tu es heureuse mon amour. » Je continue, totalement gaga devant mon bébé Brownie.

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    Lien du postJeu 27 Aoû 2020 - 23:17
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    ❖ Boston - 20 août 2020.
    human's best friend - @Gresham O. Ewart


    La légèreté, je me dis que c'est ce qu'il nous faut, la seule chose qu'il nous reste pour panser un peu nos maux. Surtout les siens, puisqu'il semblerait que j'ai brisé son cœur alors qu'il a simplement éraflé le mien. Je mentirai si je disais que c'est deux mois sans avoir de ses nouvelles n'ont pas été étranges, mais c'est ce qu'il a voulu alors je n'ai pas forcé nos échanges. « Ça va et toi ? » Je hoche le visage par la positive en synonyme d'un « oui, je vais bien » et je me contente de ce mouvement, je n'ajoute rien. Parce que je ne sais que dire, et je ne veux pas risquer le pire.

    Alors je change le sujet, je soupire. Et lui demande s'il a peur de rencontrer son futur partenaire de délire. « Excessivement en vérité. » Pour le coup, ça m'arrache un sourire. Il n'y a pas de quoi, dans le fond, moi je sais parfaitement que Gresham saura s'occuper de son compagnon. Il inspire longuement et mes prunelles détaillent son visage, dessus ce dernier la moindre des tensions. Elles me font rire, toutes ces émotions. « Bon. C’est parti. » C'est bien pour cela qu'on se trouve ici, alors l'heure n'est plus incline aux hésitations.
    C'est côte à côte que l'on s'approche de l'entrée, sans pour autant se parler, et quand nous pénétrons dans l'endroit, je réalise alors qu'il n'est pas inconnu a Gresham, et ça me perturbe je ne sais pas pourquoi. « Bonjour. » je le marmonne aussi, histoire d'être polie. « Bonjour, monsieur Ewart ! » J'avais bel et bien raison, au contraire de moi, ce n'est pas la première fois qu'ici il fait un pas. « C’est le grand jour ! » On dirait bien, et je me mure dans un silence que je trouve opportun. « Bonjour mademoiselle. » Sur le coup, j'en relève la tête, comme prise sur le fait. « Pardonnez-moi. Hum… » Et soudain je me dis que ça doit être étrange que l'on soit tous les deux ici. Habituellement lorsqu'un duo de notre genre vient c'est pour l'adopter à deux, le chien. Quand je m'apprête à me présenter, afin de dissiper le possible malentendu que cela pourrait créer, Gresham reprend en premier. « Voici Taylor, une amie. Elle m’accompagne pour l’adoption de ma Brownie. » Voilà, on ne peut plus clair et concis. « Elle adorait adopter un chiot, elle aussi. » C'est vrai mais … Mais seulement je pense que je n'en suis pas capable, que c'est une trop grande responsabilité, que je n'arriverai pas à gérer, que ma vie est déjà bien occupée et que je n'ai pas la place pour y faire entrer un petit chiot qui dépendrait de moi dans toute son entièreté.

    La gérante, ou employée, qu'importe nous fait signe alors de la suivre, et je le fais non sans un petit sourire. « Je t’en prie. » il m'intime afin que je passe devant lui. « Je suis persuadé que tu vas en tomber amoureuse lorsque tu la verras. » Il y a cette impression dans mon ventre, cette sensation qui me prend, qui me dérange, que j'ai entendu dans le son de sa voix, derrière moi. Je le connais tellement par cœur que je sais qu'il se dit lui aussi que ce mot était mal employé.
    Mais le mal-être, tout du moins le mien, s'estompe à la vision du petit chien, et à la voix de Gresham qui s'élève encore. « Bonjour mon bébé. » Il s'agenouille presque devant elle, et je ne peux m'empêcher de sourire. « Ma Brownie. » Il l'embrasse plusieurs fois, et je constate que leur complicité est déjà là. « Alors, Taylor. Comment la trouves-tu ? » Je souris toujours, inclinant le visage en les observant. « Mon petit amour, tu vas enfin venir à la maison. » Gresham n'est pas le même, je le vois bien. « Je t’aime, je t’aime, je t’aime. » Il est apaisé, il est câlin. « Toi aussi, tu es heureuse mon amour. » Il rit et moi je ne dis toujours rien.

    Je suis étrangement paralysée, quelques secondes encore, parce que c'est grisant de le voir aussi serein. Entendre ses déclarations d'amour, ça me glace le sang. J'en passe ma main dans mes cheveux, embarrassée, désirant presque les laisser tous les deux. Enfin, tous les trois, si on compte la femme nous ayant conduit jusqu'ici, n'est-ce pas ?
    J'en pince mes lèvres, stupide, parce que de toutes les manières, Gresham voulait que je sois là, sinon, il ne se serait pas encombré de moi. Je soupire avant de faire quelques pas, et de m'approcher comme si je le faisais avec un prédateur sauvage qui pourrait bien m'attaquer. Une fois à hauteur des deux, je m'abaisse en tendant la main. « Salut, toi... » je murmure, en regardant Gresham de biais, comme si j'attendais son approbation pour pouvoir la toucher. Et puis doucement, mes doigts vont enfin trouver le poil de l'animal. Elle me sent d'abord, ne me connaissant pas, avant de me goûter en mordillant mon index tendrement, ce qui me permet d'affirmer que : « Je lui plais ! » je m'exclame triomphante, comme une gamine, à la vérité et je tire un fin bout de langue à l'encontre de mon ami, pour le narguer, comme s'il avait pu douter qu'on allait se plaire, elle et moi. Alors que comme d'habitude, les incertitudes venaient de moi.

    Puis mes sourcils se froncent finalement, parce qu'il y a un point que je voudrai éclaircir. Un truc que je ne peux pas m'empêcher de lui dire. « Tu étais déjà venu la voir ? » Non pas que j'en sois vexée... Enfin juste un peu, c'est vrai. On avait dit, il y a quelques semaines, que l'on ferait cela tous les deux, c'est dingue comme les choses peuvent si rapidement changer. Comme les amitiés se font et se défont sans même que l'on ne puisse le contrôler. La notre a failli plus que jamais s'effacer, alors bien que cela me touche qu'il ait décidé de venir en amont, j'essaie de ne laisser transparaître aucune émotion. Si ce n'est le fait d'être réjouie par leur nouvelle et complice relation.

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    Lien du postJeu 3 Sep 2020 - 4:37
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    w/ @Taylor V. Foster
    Nerveux, anxieux, impatient, mais heureux. Je me trouve chambouler, déstabiliser, seulement, une pointe de hâte est présente au plus profond de moi. Il faut dire que je ne cesse d’y songer à cette adoption, alors, à présent que nous sommes le grand jour, je n’ai qu’une envie : celle d’accueillir mon adorable boule de poils qui m’aime déjà et réciproquement, bien évidemment. Brownie et moi, ça a été un coup de foudre au premier regard, ce qui me rappelle une autre histoire qui fait naître un sourire amer sur mon visage. Heureusement, il se dissipe aisément, relativement, rapidement, puisque nous avançons et rejoignons l’entrée de la SPA, afin que je récupère mon bébé à quatre pattes. Faisant passer Taylor avant moi, lui tenant la porte, je me faufile derrière elle et je souris à Elizabeth qui se trouve présente. Nous nous sommes rencontrées quelques fois, en rapport à mon adoption de Brownie, mais c’est surtout avec la jeune Billie que j’ai échangé, puisque c’est elle qui prend soin de touts ses adorables boules de poils qui ne demandent qu’amour ainsi qu’affection. Présentant ma douce Taylor afin qu’il n’y ait aucun sous-entendu à l’interrogation d’Elize, je trahis le secret du prénom de mon bébé que je viens chercher pour affirmer finalement que mon bel ange au regard noisette désire elle aussi adopter un chiot. Il faut dire que résister à de tels petits êtres n’est une chose aisée, même pour moi, l’homme que l’on qualifie de sans-cœur ou en arborant un fait de pierre. Suivant la gérante en faisant précédé Taylor qui ne pipe mot, ce qui m’inquiète, bien que je ne dise rien moi aussi, j’accueille finalement Brownie en m’accroupissant afin qu’elle coure et puisse me rejoindre pour se fondre dans mes bras. Me trouvant plus qu’heureux, un sourire allant de mon oreille à la seconde, animant mon visage de coutume sans expression, je termine par la caresser, l’embrasser et lui souffler des mots doux. Dans très peu de temps, je serais considéré comme son « maître » bien que je préfère le terme « papa » et je n’ai qu’une hâte, officialisé le tout en signant les papiers appropriés, ceux qu’ils restent. « Taylor ? » Je murmure, alors qu’elle se montre distante, distraite aussi ou plutôt ailleurs, comme murer, avant de réagir et de s’approcher avec prudence. A-t-elle peur que Brownie la morde ? Cela semble sot et soudain, lorsque nos regards se croisent, je comprends que c’est moi qu’elle craint. Me trouvant blesser par cet état de fait, je la laisse approcher encore un peu, quand elle rencontre Brownie, la laissant se faire renifler par cette dernière puis l’observant en train de mâchouiller son index tandis qu’elle la caresse de sa main libre. « Elle est adorable, non ? » Je souffle à l’intention de Taylor lorsqu’elle souffle, triomphante, qu’elle plaît à Brownie, ce dont je n’ai jamais douté. « Évidemment que tu lui plais. » Je commence, dans un mince sourire. « Puis c’est tant mieux puisque tu deviens officiellement sa tantine. » Je continue, m’essayant à garder mon sourire. *Pourquoi diable a-t-elle tellement peur de moi ? Pourquoi me craint-elle autant ?* Ses questions émergent dans mon esprit avant que je ne les balaye dans quelques mouvements de tête pour me concentrer sur ce qui compte : la présence de Brownie et celle de ma meilleure-amie. « Tire la langue à tata Taylor ma Brownie, tire lui la langue. Elle l’a fait à papa. » Je lui dis tout en continuant de la caresser, pour embrasser son adorable tête à de multiples reprises et me mettre légèrement à rire. « Bon, elle n'a pas compris visiblement. » Je conclus comme elle ne réagit et c’est alors que je prends l’initiative de lui répondre en faisant de même, la tirant davantage encore par ailleurs, comme un véritable enfant. Me sentant gêner puisque je n’ai jamais pu en être un, je termine par me redresser en portant mon bébé Husky, mon regard emprunt de tendresse en le fixant, lorsqu’à l’interrogation de Taylor, je me pince les lèvres dans un premier temps puisque je ne sais quoi dire. La connaissant comme une personne en proie aux doutes, je termine de souffler : « Oui, je suis venue ici sans toi. Je voulais m’assurer qu’il y avait au moins un Husky comme ce sont mes chiens préférés. » Je réponds, déposant un baiser sur la truffe de mon adorable toutou, avant de froncer les sourcils et de fixer Taylor en plantant mes prunelles lapis-lazuli dans les siennes, noisette. « Sentirais-je une pointe de mécontentement dans le timbre de ta voix ? Décèlerais-je même une once de jalousie puisque je l’ai rencontré avant toi et que tu remarques notre complicité plus que criarde ? » Je l’interroge, mon regard azur restant planter dans le sien, tandis que j’attends sa réponse. « Monsieur Ewart, Taylor ! » Elize nous interpelle, nous fait signe de la suivre, afin de voir les autres chiots, sans le moindre doute. « Après toi, miss jalouse. » Je prononce ses deux derniers mots plus bas, pour laisser s’échapper un petit rire d’entre mes lèvres et la suivre une seconde fois, mon bébé reposant entre mes bras. « Mais oui, papa est là. Tata Taylor va se trouver un petit ou une petite. Elle va adopter l’un de tes compagnons de fortune. » Je continue, m’adressant à Brownie afin que nous continuions à nous comprendre. « Alors miss je boude, une idée de ce que tu recherches ? » Je la questionne, pour souffler : « Si tu veux un Huksy, c’est dommage. Il n’y avait que bébé Brownie de cette race et c’est moi qui l’aie ! » Je la soulève à bout de bras mon petit amour, comme dans le roi Lion, sauf que je la regarde avec tendresse ainsi qu’amour et que je souris plus encore, comme jamais auparavant, si bien que je commence à avoir mal à la mâchoire. « Nous allons aider tata à trouver un compagnon, d’accord ? » Je termine de demander à Brownie, la pressant de nouveau tout contre moi, son adorable tête reposant contre ma poitrine.

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    Lien du postDim 13 Sep 2020 - 17:51
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    ❖ Boston - 20 août 2020.
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    « Taylor ? » Et c'est comme si mon prénom, dans sa bouche, avait le pouvoir de me sortir de ma torpeur, dans le fond, je ne sais même plus de quoi j'avais peur. Ou bien ce qui m'a perturbé, je ne suis pas des plus normales et ma réaction n'est qu'un à peu près. Un grand n'importe quoi qu'avec lui j'ai toujours de la peine à maîtriser. Gresham et son effet. C'est cuisant de le constater. « Elle est adorable, non ? » Oui, évidemment, et c'est bien pour cela que je hoche le visage positivement, tout en précisant que c'est bon je semble avoir gagné la confiance de son canidé. « Évidemment que tu lui plais. » Elle aurait pu me rejeter sentir que nos cœurs par nous deux ont été blessé. Enfin je m'égare sur ses capacités... « Puis c’est tant mieux puisque tu deviens officiellement sa tantine. » Cette fois mon expression se fend en un énorme sourire, oui, bien sur que je deviens sa tante, et puis je suis heureuse car cela signifie que la guerre entre nous semble fini. Et ça, très sincèrement j'en suis ravie. Au moins autant que je le suis de voir Gresham aussi heureux, ça me pique presque les yeux. Ca a un côté merveilleux. « Tire la langue à tata Taylor ma Brownie, tire lui la langue. Elle l’a fait à papa. » J'en fronce les sourcils, amusée face à la petite qui ne semble pas tout à fait prête à être disciplinée. « Bon, elle n'a pas compris visiblement. » Et je rigole à moitié en lui précisant que « Les filles n'en font toujours qu'à leur tête Greshou, tu le sais bien. » le gente féminine et tout ce qui va avec, dont le côté compliqué.

    Mais enfin, j'ose lui demander ce qui me taraudait réellement, ce qui fait mal sans le faire vraiment. Ce pourquoi je ne dois pas lui en vouloir et pourtant n'arrive pas à faire autrement. Notre amitié a pris un si drôle tournant, que je ne sais ce qui est dérangeant. Il m'observe, sa chienne dans les bras, il est mignon, je ne le nierai pas, et je me dis que dans le fond, ça ne sert à rien de l'accabler, si distance entre nous il y a eu, je suis à priori celle à blâmer. Du moins de son point de vue, et je veux bien m'y rallier. « Oui, je suis venue ici sans toi. Je voulais m’assurer qu’il y avait au moins un Husky comme ce sont mes chiens préférés. » Non pas pour me fuir, dans ce cas. Je me sens stupide d'avoir été blessée par cela. Peut-être que je calcule trop, que j'essaie de trouver des significations dans tout et qu'en réalité il n'y en a pas... « Sentirais-je une pointe de mécontentement dans le timbre de ta voix ? Décèlerais-je même une once de jalousie puisque je l’ai rencontré avant toi et que tu remarques notre complicité plus que criarde ? » Mon regard dans le sien, je mords un sourire face à sa réflexion. « Moi ? Jalouse ? » Je hausse les sourcils, et les épaules aussi. « Ce n'est pas mon genre. » il sait que si, mais je ne le suis pas de son animal, non, ça comme je l'ai pensé de prime abord, c'est juste mignon. « Je vois juste que tu as une nouvelle meilleure amie ! » Et moi, je ne sais plus ce que, pour toi, je suis …

    Mais le temps n'est pas à la recherche de la nature de notre relation, parce que ce moment en trio est interrompu par la revenue de … merde, j'ai perdu son prénom. « Monsieur Ewart, Taylor ! » Elle nous intime de la suivre. « Après toi, miss jalouse. » humidifiant mes lèvres, je m’exécute, non sans un sourire malin. « Mais oui, papa est là. Tata Taylor va se trouver un petit ou une petite. Elle va adopter l’un de tes compagnons de fortune. » J'ai pourtant signifié que je n'étais pas certaine de le faire, mais Gresham dans son opulence de bonne humeur paraît avoir décidé pour moi. J'en lève les yeux au ciel lorsqu'il revient à la charge, m'affublant d'un nouveau surnom qui ne me sied pas. « Alors miss je boude, une idée de ce que tu recherches ? » Je grimace, vilaine, en relevant l'index pour souligner que « Je ne boude pas. » juste à moitié, quoi. « Si tu veux un Huksy, c’est dommage. Il n’y avait que bébé Brownie de cette race et c’est moi qui l’aie ! » Sa fierté, je peux la ressentir comme si c'était dans mes propres veines qu'elle coulait. « Nous allons aider tata à trouver un compagnon, d’accord ? » Je le saurai quand je le verrai si je dois adopter. Oui c'est ça, si je craque c'est que mon futur chien et moi ce sera la destinée.

    Alors on s'avance dans l'allée, et je me permets de dire à Gresham que « Je ne suis pas réputée pour savoir prendre des décisions ! » Bien au contraire, la seule évidence de ma vie a été provoqué par la mort de mon père. Celle de devenir chirurgienne. « Donc tu te doutes bien que je n'ai aucune idée de la race de chien que je souhaite. » A vrai dire, je pense que le mieux sera un petit, car mon appartement n'est pas des plus grands, et que je ne suis pas certaine que cela convient à des chiens gigantesquement grand. De ce fait, bien que ce soit un brin cliché, je me dis qu'un gabarit tel que le chihuahua ou le yorkshire serait parfait.

    Et tous semblent m'attendre, me dire de les ramener chez moi, et moi, je sais que je suis trop faible pour me balader dans un endroit tel que celui là. Je voudrais tous pouvoir les sauver, et c'est mon – trop – grand cœur qui me fait flancher. Si j'avais été comme Gresham, bien décidée, alors je n'aurai pas à tous les affronter. Oui, parce que c'est totalement ce que je fais, j'affronte leurs prunelles qui sont toutes perdues et sans repères. Je ne peux pas faire ça, je n'en ai pas la force, et je me trouve horrible d'être là. Je ne sais pourquoi, je m'accroche au bras de mon ami, par besoin de soutien, ou parce que j'ai simplement besoin de lui. Deux mois sans sa présence dans ma vie. Je me demande si ça a été long pour lui aussi. Et je ferme les prunelles, je fais quelques pas à l'aveugle en murmurant « Le prochain que je vois, je le prends. » Et moi qui disait que ce serait une question de destin, au final, je laisse le hasard décider, et quand j'ouvre mes paupières, je sais que le hasard est bel et bien toujours bien fait. Parce que de mes yeux je le caresse, je m'en approche en délaissant le bras de Gresham, n'ose tout de même pas glisser mes doigts dans son enclos.
    Il n'est pas parti pour être petit, il est plein d'énergie, il mâchouille avec férocité un chiffon blanc qu'il a du souiller. Il est parfait. « C'est lui. » Alors la dame qui nous accompagne semble sceptique et précise. « C'est un Saint-Bernard, vous savez. » J'avais remarqué. « Certains peuvent atteindre les cents kilos... » Qu'importe, c'est lui qu'il me faut.  

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    Lien du postSam 26 Sep 2020 - 1:47
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    Évidemment que ma Vee m’a fait défaut. Chaque jour sans elle a été un véritable crève-cœur, mais la séparation a été nécessaire puisqu’aujourd’hui, nous agissons comme si nous n’avions pas heurté ou brisé le cœur de l’autre. Je l’aime, Taylor et elle le sait. Je l’ai aimé dès que son regard s’est planté dans le mien, mais cela appartient au passé. Je ne suis pas un homme fait pour elle, du moins, tant que je ne change pas et avec Brownie, j’espère devenir meilleur. Bien sûr, cela ne se fera pas uniquement par sa présence dans mon existence, mais c’est un cap à franchir puisqu’après tout, il faut faire un pas après l’autre et y aller à son rythme. Tenant mon adorable femelle husky tout contre ma poitrine, je termine d'appeler ma douce Taylor, car elle ne prononce pas un traître mot. Pourquoi reste-t-elle si muette ? Il semblerait que je sois bien plus à l’aise par nos retrouvailles et en le constatant, je me pince les lèvres pour occulter cette idée et simplement profiter. Nous ne devons gâcher nos retrouvailles ainsi que l’adoption de ma Brownie et l’adoption de son chiot puisqu’il est clair et certain dans mon esprit qu’elle repartira avec un compagnon à quatre pattes elle aussi. L’interrogeant afin de savoir si elle la trouve adorable, mon bébé, j’affirme qu’inévitablement elle lui plaît, cela ne pouvait être autrement. Brownie m’a aimé au premier regard et réciproquement alors elle ne pouvait que faire de même avec ma Vee. Tout sourire, me démontrant déjà comme un « papa poule », je termine de l’affubler du terme de tantine, puisqu’elle le devient officiellement pour mon adorable boule de poils qui a besoin d’une grande famille afin de s’épanouir dans sa vie de toutou. Cela doit sans doute paraître sot, mais il faut être entouré afin d’être heureux, ainsi que choyer et aimer. C’est malheureusement ce que je n’ai eu de part mes géniteurs et je ne compte pas réaliser le même schéma que ce soit avec mon adorable husky ou qui que ce soit. Jamais, ô grand jamais, je ne traiterais une femme comme l’a fait celui qui m’a procréé et si cela s’avérait être un jour le cas, je sais évidemment comment j’agirais envers ma propre personne. Secouant la tête en songeant à cela, tandis que Brownie émet un petit son afin que je sorte de mon esprit soudainement assombri, je termine de demander à cette dernière de tirer la langue à Taylor comme elle l’a elle-même fait à mon égard, comme pour démontrer à ma meilleure-amie que nous nous comprenons déjà, le fait est que mon adorable amour me fixe et ne réagit pas. Concluant qu’elle n’a pas dû saisir - puisque je refuse de penser qu’elle n’est pas voulue obéir à moi, son papa - je ne peux m’empêcher de plisser les yeux à la remarque de ma douce Vee. « Moui… Tu n’as pas tort. » Je me contente de répondre, puisqu’en y réfléchissant plus d’une seconde, je me rappelle à quel point la gent féminine peut être rebelle ainsi que complexe et indéchiffrable.

    Étant à nouveau debout, prêt à poursuivre notre chemin afin que Taylor trouve celui qui fera battre son cœur - à défaut qu’il s’agisse de moi - je suis relativement surpris ainsi qu’amuser par son interrogation. *Ceci explique cela.* Je songe, étant donné que son comportement est étrange et je pense en avoir saisir le « pourquoi » à présent. Esquissant un sourire, mes prunelles étant emplies de scintillements intenses, je réponds dans un premier temps sans la taquiner, pour assurer qu’il fallait que je sache s’il y avait un husky ici à la SPA. Puis, comme cela est bien trop tentant, je termine de l’interroger et la titiller, mon mince sourire esquisser s’agrandissant sur mon visage. « Oui, toi, ma Vee. » Je réponds, pour me mordre la lèvre afin de ne pas sourire plus encore, mais également rire face à sa réponse qui sonne faux ainsi que sa gestuelle. « Ce n’est pas ton genre, vraiment ? » Je l’interroge de mon regard perçant avant de faire « non » dans un mouvement de tête. « Tu te trompes, tu sais. » Je commence, caressant avec amour et tendresse la tête de bébé Brownie. « Elle est mon adorable bébé chéri, mon amour, mais absolument pas ma meilleure-amie. » Je conclus, bien qu’il me brûle les lèvres de reprendre afin de lui affirmer qu’il s’agit d’elle et d’aucune autre, mais cela serait déplacée au vu de ce que nous avons vécu tous deux quelques mois auparavant. Alors, n’en disant davantage, je suis soulagé par l’interruption d’Elize qui nous interpelle afin que nous la suivions étant donné que je continue à répéter inlassablement que Taylor désire elle aussi adopter un chiot. La laissant passer devant moi, comme on m’a appris à le faire - de part l’éducation d’Edmund - je reprends un flot de paroles en m’adressant à ma douce Brownie tout en titillant de nouveau ma Vee. Oui, je souhaite qu’elle ait elle aussi un compagnon à quatre pattes, puisqu’il s’agit de ce que nous avions prévu avant que je ne lui avoue mes sentiments à son égard et que j’aimerais que tout redevienne comme avant ce dit jour. Continuant à avancer, je l’affuble d’un nouveau surnom « miss je boude » puis je lève les yeux au ciel après l’avoir vu relever son index tout en affirmant le contraire. Ne rebondissant pas sur ses propos, je m’évertue à continuer mes taquineries et j’affirme qu’il n’y avait qu’un husky et que je l’ai : moi ! Pour rien au monde je ne troquerais mon petit amour, même pas pour les beaux yeux de mon ange. Alors, la laissant me devancer en lui jetant des coups d’œil, je termine par reprendre ma discussion avec Brownie en lui soufflant que nous l’aiderons à trouver son futur compagnon.

    À sa réplique, je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. « Ça, je suis au courant ! » Je réponds du tac au tac à Taylor, puisque son côté indécis est pour moi un réel défaut que je peine à supporter chez elle, chez quiconque pour être tout à fait franc. Il faut dire que je sais toujours ce que je désire, qui je désire, ce que je veux de façon générale, et cela, depuis toujours. Il s’agit de mon tempérament, simplement et je suis bien heureux d’être ainsi. Pour une fois, je me dis que j’ai peut-être bien une qualité, ce qui me surprend ! « D’accord, oui. Tu ne sais pas ce que tu veux. Dis-moi, nous allons coucher ici ? » Je l’interroge, taquin, sans pouvoir retenir un léger rire s’extirper d’entre mes lèvres et finalement, je me trouve à ses côtés puisque nous rendons visite à tous les chiots. Brownie dans mes bras, je lui intime de ne pas aboyer et cette fois-ci, elle obtempère et n’émet pas le moindre son. « C’est bien mon amour. » Je lui souffle, déposant un baiser sur son adorable bouille et je me cale à la vitesse de ma Vee, la laissant s’emparer de mon bras tandis qu’elle fait son investigation. Ne pipant mot, elle passe de cage en cage après avoir regardé avec longueur chaque chiot pour souffler en fermant les yeux que le prochain sera celui qu’elle choisira. De l’endroit où je me trouve, je me dis que ce n’est sans doute pas la meilleure des idées, puisqu’il s’agit d’un Saint-Bernard et qu’elle a un appartement assez peu adapté, le fait est qu’elle me surprend toujours, mon ange. « Plaît-il ? » Je l’interroge, mon regard vrillé sur sa personne tandis qu’elle ne le délaisse pas une seconde du regard. Aux mots d’Elize, je lui jette un coup d’œil entendu, puis je rejoins ma Taylor et m’agenouille, me moquant de souiller mon magnifique pantalon griffé. « Dis Brownie, tu penses qu'il s'agit de lui ? » Je la positionne devant la cage tout en la tenant dans mes mains, au vu de sa petite taille. À son aboiement, je conclus qu’il s’agit d’un « oui » clair, sans la moindre hésitation aucune, alors je me tourne vers ma Taylor et encre mes prunelles dans les siennes. « Brownie est de ton avis : c’est lui. » Je conclus dans un doux sourire, pour faire signe à Elize de nous rejoindre. « Nous sommes certains que c’est lui et non pas un autre. Il n’y a pas de discussion possible. » Je termine, car elle entrouvrait déjà la bouche. « Tu vois que toi aussi, tu vas repartir avec un adorable compagnon à quatre pattes. » Je souffle à ma TayTay, avec tendresse. « Nous allons tous deux être parents. » Je prononce afin de l’amuser, bien que ce soit le cas ainsi qu’excitant. « Ne t’en fais pas, tu pourras déposer ton adorable amour chez-moi, lorsque tu le souhaiteras, comme mon appartement est bien plus grand. Puis il deviendra le meilleur ami de Brownie. » Je suis sérieux et je me veux rassurant, car pour une fois Taylor semble sûre d’elle, et cela, me fait excessivement plaisir.

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    « Moui… Tu n’as pas tort. » Moi je dirai que la vraie chose à dire dans ce cas-là, c'est surtout que j'ai toujours raison, tu vois. Mais je n'ajoute rien étant donné qu'il semble déjà assez boudeur de ne pas avoir obtenu ce qu'il attendait de ce petit être déjà si cher à son cœur. Le fait est simple, les femmes sont des énigmes, en plus d'être des êtres sublimes. Et moi ? Je suis parfaitement lucide. On ne peut plus objective.

    Il a cette mine satisfaite alors qu'il m'interroge sur ma potentielle jalousie, qu'évidemment, je nie.« Oui, toi, ma Vee. » J'ai presque envie de lui répondre que c'est n'importe quoi, mais je me contente de préciser que ce n'est juste pas réellement moi. « Ce n’est pas ton genre, vraiment ? » Ce qui est faux, forcément. Parce que, des défauts, j'en ai beaucoup, et la jalousie, en fait bel et bien partie. C'est une émotion incontrôlable, d'ailleurs, lorsque je m'en éprends, c'est un sentiment qui fait que je ne me ressemble plus réellement. « Tu te trompes, tu sais. » Sur le fait que tu m'as remplacé ? Je n'en suis pas certaine et de toutes les façons, c'est justifié. Toi et moi, nous n'avons pas su comment nous accorder, alors c'était la suite logique de nous voir nous éloigner. Même si c'est douloureux rien que d'y penser. D'avoir perdu, de ma vie, un si grand pilier. « Elle est mon adorable bébé chéri, mon amour, mais absolument pas ma meilleure-amie. » C'est presque malgré moi que je souris. Parce que j'aime ce qu'il vient de dire et savoir que j'ai toujours une place de choix dans sa vie.

    Nous sommes alors dans les couloirs de la S.P.A et si je dois être honnête, j'avouerai qu'il me met un tantinet mal à l'aise cet endroit. Parce que ces chiots, je crois bien que j'aimerai tous les sauver, les trouvant les uns et les autres tous aussi tristes et beaux. « Ça, je suis au courant ! » Il répond en riant, quand je lui dis que je ne sais pas me décider, que malheureusement, je n'ai pas changé. « D’accord, oui. Tu ne sais pas ce que tu veux. Dis-moi, nous allons coucher ici ? » J'en plisse les paupières en me retournant vers lui. On ne peut pas être tous comme toi, à tout savoir sur le bout des doigts. Mais j'aime ce ton d'humour qu'il utilise avec moi, au moins, ça prouve qu'on a passé un cap. Que nous ne sommes pas bloqués aux événements de juin dernier, et ça, ce n'est pas à négliger. « Non, je réfléchis. » enfin, j'hésite, mais je ne le dis pas, parce qu'il pourrait le retourner contre moi et mes éternels doutes. « Ce n'est pas n'importe quel choix. » je souligne alors qu'il s'émotionne encore face à sa petite friponne. « C’est bien mon amour. » je souris en les observant tour à tour.

    Et ma solution finalement trouvée, je suis présentement abaissée face à la cage de celui qui va venir vivre avec moi, c'est acté. Obligé. « Plaît-il ? » Je ne l'entends pas, ni même plus les détails que la dame me donne au sujet de son futur poids. C'est lui, que je veux pour moi. « Dis Brownie, tu penses qu'il s'agit de lui ? » J'en incline le visage vers eux, qui viennent de se mettre à ma hauteur et qui jugent le chiot de toute leur douceur. La chienne aboie, et j'en souris encore, oui, c'est lui et comme Brownie, je n'en démords. « Brownie est de ton avis : c’est lui. » Les prunelles de Gresham ancrées dans les miennes, c'est la course du temps qu'elles éteignent. Et j'en crache un soupir, avant que je ne l'entende dire. « Nous sommes certains que c’est lui et non pas un autre. Il n’y a pas de discussion possible. » Et mon expression se fond en un sourire. « Tu vois que toi aussi, tu vas repartir avec un adorable compagnon à quatre pattes. » Apparemment, comme quoi, tout arrive, n'est-ce pas ? C'est parce que je suis avec toi, que tu me donnes des ailes en un claquement de doigts. « Nous allons tous deux être parents. » Et je me redresse mon sourire ne me quittant. « Ne t’en fais pas, tu pourras déposer ton adorable amour chez-moi, lorsque tu le souhaiteras, comme mon appartement est bien plus grand. Puis il deviendra le meilleur ami de Brownie. » Et ma paume va alors se poser sur le torse de mon ami en un geste tendre, mouvement accompagné d'un simple « C'est gentil. » la proposition et de voir à quel point il peut me soutenir au sujet de toutes mes décisions. Qu'il ne soit pas allé à l'encontre de mes ambitions.

    Alors je reporte mon attention sur le chiot qui va bientôt devenir le mien, et prononce à l'intention de la « gardienne » de l'endroit. « Vous pouvez faire tous les papiers. » parce que oui, je suis bel et bien décidée, je ne reculerai pas. Non pas cette fois. Taylor Foster n'hésite plus sur tout et n'importe quoi. Enfin, pour aujourd'hui, car on ne sait pas de quoi sera faite ma vie. Mais c'est un petit pas, et je pense qu'il n'y a pas de petite victoire surtout en ce qui concerne mes indécisions. « Enfin non. » J'arrête les possibles futurs mouvements d'Elize, je crois, pour lui intimer de faire un geste qui compte plus que de simples photocopies qui serviront à me confier officiellement sa vie. « Ouvrez-la cage, d'abord. » Elle esquisse un sourire, malgré qu'elle semble encore réticente à l'idée de me voir adopter un chien de ce gabarit, elle s'approche, ouvre la serrure, avant de nous préciser « Je vous attend dans l'entrée. » démontrant qu'elle a accepté l'idée que je ne repartirai pas d'ici sans lui. D'ailleurs, je m'approche, une main tendue à son intention, pour voir s'il est prêt à m'accepter aussi. « Alors, tu es un elle ou un lui ? » parce que c'est un détail que je n'ai pas regardé, quand j'ai jeté mon dévolu sur lui, mais ça ne changera rien au fait, qu'une fois que ma main caresse sa fourrure pelucheuse, je repartirai avec lui. L'évidence d'aujourd'hui.    

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    Lien du postVen 30 Oct 2020 - 2:45
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    Brownie, mon adorable chiot, me change déjà, je crois. J’ai ce besoin fou de porter mon amour à tous et toutes, mais grâce à celle-ci, je vais pouvoir le focaliser dans une majeure partie sur elle, justement. Cela va m’aider, j’en ai bien conscience et puis, mon adorable bébé husky va me rendre « heureux », si je puis dire, ce que je semble déjà être le cas, vu que je ne peux m’empêcher de lui sourire bêtement ainsi que de lui offrir caresses et baisers, bien évidemment. Le fait est que ma boule de poils ne semble me comprendre, et cela, me contrarie quelque peu. Il va falloir que nous accordions nos violons afin que nous puissions communiquer sans encombre et j’imagine que cela va mettre du temps. Bien évidemment, je ne lui en veux guère à mon petit amour, bien que j’affiche une petite moue peinée, durant une fraction de seconde. Cela amuse-t-il ma douce Taylor ? Je ne le sais. Toutefois, je ne peux que me rendre compte que Vee rime bien avec « jalousie » et c’est taquin que je le lui fais remarquer. À ses réponses, je m’amuse davantage, le regard espiègle. Comment faire autrement alors que j’ai toujours raffolé de cela, la taquiner ? Il m’est impossible de changer à ce niveau de notre relation et je crois qu’elle s’y est faite, bien qu’elle fasse mine de bouder, qu’elle nie tout en bloc, alors que nous savons pertinemment tous deux que je suis dans le vrai. Le fait est que je me dois de la rassurer, je le sais, avec tout ce qui s’est passé entre nous. C’est pour cela et parce que je suis de nature honnête, que je lui explique que Brownie est mon amour, mon bébé chéri, mais que ma meilleure-amie, c’est elle et personne d’autre. Malgré mes sentiments, le fait que cela n’est fonctionné comme je l’aurais souhaité dans notre relation, je ne peux me résoudre à la perdre, ma Taylor. Elle m’est essentielle afin que je m’épanouisse, que j’évolue et puis, que ferais-je sans elle dans mon existence ? Ses deux mois que nous avons vécu sans nous voir et nous adresser le moindre mot ont été plus que synonyme d’enfer sur Terre, alors, même si ne pouvons être amant, partager nos âmes afin de s’en nourrir, je la désire toujours dans ma vie, au sein même de cette dernière, comme si elle était pour moi - et à juste titre - mon soleil, celui autour duquel j’évolue.

    Lorsqu’elle m’affirme qu’elle réfléchit, ma Veena, alors que je m’amuse toujours en la taquinant, je me dis qu’il est tant que je la laisse faire, sans l’importuner, car effectivement, sans le moindre doute aucun, la décision qu’elle va prendre est on ne peut plus importante. Après tout, le petit être pour lequel elle va s’éprendre va partager sa vie durant un sacré bout de temps et il est par conséquent hors de question que je parasite son esprit, avec mes âneries. Me préoccupant donc de mon bébé, continuant à la caresser, à l’embrasser, en ayant d’ailleurs mal à la mâchoire de sourire bêtement, je termine par me positionner au niveau de Taylor, devant la cage contenant son choix, avec Brownie. Lorsqu’elle aboie pour toute réponse à mon interrogation, nous comprenons, mon doux ange au regard noisette et moi-même, qu’elle approuve son choix, c’est une évidence ! Alors, comme la gérante se montre plus que sceptique, j’appuie les dires de ma Vee, afin qu’elle saisisse que nous repartirons avec ce dernier ainsi que Brown-Brown, évidemment, cela va sans dire. Lui proposant d’ores et déjà de me le laisser de temps à autre, son bébé, car mon appartement est immense et que je souhaite qu’il devienne ami avec Brownie, je ne peux m’empêcher de répondre à son sourire par l’un des miens, heureux, emprunt d’une véritable joie, ce qui n’arrive jamais, généralement. « Je t’en prie, c’est normal. » Je me contente de prononcer, alors que le geste accompagné par ses mots me touche, assurément. « Tu sais très bien que quoi qu’il arrive, tu pourras toujours compter sur moi. » Je réponds, tout bas, avec une sincérité dont on ne peut douter, quand enfin, Taylor demande à la gérante de s’occuper des papiers quant à son adoption. Lorsqu’elle se ravise, j’en fronce les sourcils pour pousser un soupir d’apaisement quand je comprends qu’elle veut l’avoir dans ses bras, l’apprivoiser, comme je l’ai moi-même fait avec ma Brownie, mon bébé husky. « Faisons donc connaissance avec ton enfant. » Je prononce à l’égard de TayTay, une fois Elize partie et alors qu’elle l’interroge sur son sexe, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un rire. « C’est évident ! Regarde-le. » Je me permets de prononcer. « C’est un lui, aucun de doute là-dessus. » Je continue et affirme, pour me placer à ses côtés et passer ma main dans son poil pelucheux. « Comme tu es doux. » Je murmure à l’intention du chiot, des étoiles plein les yeux. « Ne soit pas jalouse, ma Brownie. Il s’agit de ton meilleur-ami et de ton cousin chéri. » Je la rassure, pour me demander si je peux la lui présenter, de façon plus conventionnelle. « Attends. » Je prononce, pour me saisir de mon adorable chiot dans mes mains et la poster tout près de l’enfant de Taylor, devant lui. « Petit bonhomme, voici Brownie, ta cousine. Elle est husky. Brownie, voici ton cousin qui… » Je fixe mon adorable amie et reprends : « Qui n’a pas encore de prénom, je présume, mais que tu vas aimer. » Sur ces présentations, je demande à Taylor, tout bas, afin qu’elle seule puisse m’entendre : « Penses-tu qu’ils ont été convenablement présenté ? » Bien entendu, je suis on ne peut plus sérieux et connaissant ma meilleure-amie, j’entrevois déjà sa réaction amusée. « Ne ris pas. » Je la préviens immédiatement. « Il faut tout faire dans les règles de l'art. » J’achève, pour reprendre dans un large sourire : « En tout cas, ils semblent s’apprécier. » Ce qui me ravit, car le cas contraire m’aurait déçu. Il est évident que nos chiots doivent s’entendre puisque nous ne fonctionnons l’un sans l’autre, ma belle Taylor-Veena Foster et moi-même, quoi qu’il advienne.

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    Lien du postSam 14 Nov 2020 - 10:56
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    « Je t’en prie, c’est normal. » Je ne sais pas si ça l'est, surtout à la vue de ce que notre relation est devenue. Mais ça me touche, de savoir que malgré tout, il est là. Et je m'en veux de ne pas avoir mentionné Joshua. Peut-être qu'il ne tiendrait pas le même discours si c'était le cas... « Tu sais très bien que quoi qu’il arrive, tu pourras toujours compter sur moi. » J'ai mal au ventre. Je ne sais qu'ajouter à ce qu'il vient de me murmurer. J'en déglutis, reste muette et me concentrant à nouveau sur le petit, qui n'est pas vraiment petit.

    Alors je demande les papiers, et qu'à la cage je puisse avoir accès. J'ai envie de le voir de plus près, de vraiment constater le fait que lui et moi on est prêt à s'apprivoiser. « Faisons donc connaissance avec ton enfant. » Un sourire fend mon visage, face à l'expression enfant. C'est ce qui est drôle avec Gresham, dans les moindres de ses pensées ou visions des choses, il est toujours à l'extrême. Quand il aime, il le fait de façon diluvienne. Et je m'interroge à haute voix, sur le fait que mon futur compagnon soit une femelle ou peut-être pas. « C’est évident ! Regarde-le. » Qu'il prononce après l'un de ses rires. Évident ? Ah bon, vraiment ? « C’est un lui, aucun de doute là-dessus. » Je veux bien croire Gresham, cela dit, ça ne m'empêchera pas de vérifier ses dires une fois que j'aurai pris le chiot dans mes bras.

    Mon ami à la même hauteur que nous à présent, passe sa main dans la peluche qui va bientôt faire partie de ma vie. « Comme tu es doux. » Oui, c'est vrai, et j'avoue que ça me plaît. « Ne soit pas jalouse, ma Brownie. Il s’agit de ton meilleur-ami et de ton cousin chéri. » Un faible sourire, encore, tandis que mon regard jongle entre Gresham et les deux chiens. Quand je disais, qu'il fait tout à l'exagération, jusqu'aux chiens et leurs présentations. « Attends. » Je ne bouge pas, je me contente de pincer mes lèvres et de contempler tout ça. « Petit bonhomme, voici Brownie, ta cousine. Elle est husky. Brownie, voici ton cousin qui… » J'en arque les sourcils, intriguée par ce qui pourrait terminer cette phrase non achevée. « Qui n’a pas encore de prénom, je présume, mais que tu vas aimer. » Ah oui, un prénom, j'avoue que je n'avais pas pensé à cela. Et le regard de l'homme se détache de moi, si bien qu'il me murmure, comme un secret ; « Penses-tu qu’ils ont été convenablement présenté ? » Mon dieu, je dois me mordre l'intérieur de la joue pour ne pas rigoler. « Ne ris pas. » Et j'en lève mes deux mains en l'air, en guise de bonne foi. « Je ne ris pas. » je prononce avec quelques tressauts dans la voix. « Il faut tout faire dans les règles de l'art. » Il n'y a que lui pour penser à quelque chose comme ça. « En tout cas, ils semblent s’apprécier. » J'en clos les paupières, tellement il est adorablement dingue dans ses manières. Je soupire même, humidifie mes lèvres avant de lui souligner « Tu penses sincèrement que c'était... nécessaire ? » C'est une simple taquinerie, mais d'un côté, je me dis, que c'est mieux qu'ils se reconnaissent directement car ils vont être amenés à se voir souvent leurs maitres étant amis.

    Et me voilà prête à me redresser, quelques caresses accompagnent encore mes mouvements au moment où je me lève et que je le prends dans mes bras délicatement. Comme je me le suis promis, mon regard se pose instinctivement à l'endroit approprié afin de vérifier si c'est vraiment un « il » comme Gresham vient de l'assurer. Une œillade vers mon compagnon du jour, je lui dis « T'es devenu expert en reconnaissance de sexe ? » Et puisque c'est le thème du jour, je souris pleinement. D'un mouvement de tête, je lui indique qu'il est temps de sortir, de partir, et d'observer les autres chiens, j'essaie de me retenir, car mon cœur déjà, un peu, se déchire. Je n'aime pas cette idée de n'en choisir qu'un, mais je ne peux sauver tout le monde, ni animaux, ni humains... Gresham toujours à mes côtés, on arrive finalement face au bureau de l'accueil où la dame à préparer tous les papiers. Carnet de santé à jour, carte d'identité. Un Saint Bernard de trois mois, qui n'attendait que moi. « Tu as un stylo ? » que je demande à Gresham, aussi bien pour remplir ce qu'on me demande afin de l'adopter, mais aussi le chèque que je compte laisser. Car certes, les autres, ils ne viendront pas chez moi, mais je veux bien me serrer la ceinture pour finir ce mois, afin de leur donner un petit quelque chose qui les aidera.    

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    Lien du postLun 7 Déc 2020 - 1:48
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    | @Taylor-Veena Foster |


    Les choses se déroulent bien mieux entre nous que je ne l’avais envisagé, et cela, me fait excessivement plaisir. Je me demande si cela vient du fait que nous sommes entourés d’adorables peluches vivantes qui ne quémandent qu’amour et douceur, ce qui nous entraînent à l’être nous aussi. Quoi qu’il en soit, c’est un sourire qui orne mon visage tandis que je ne cesse de lui offrir des caresses à mon adorable Brownie et c’est dans quelques regards alentours que je suis navré de constater qu’elle n’est pas présente aujourd’hui, la douce Billie. « Tu ne lui auras pas dit "au revoir." » Je prononce à l’intention de mon husky, pour déposer un tendre baiser sur le sommet de son crâne et en revenir à nous, Taylor, Brownie, son futur enfant et moi. Car je considère que nos chiots sont semblables à des bébés que nous allons chérir et éduquer puis aussi que ma chère et magnifique Taylor-Veena Foster est d’ores et déjà sa tante comme je serais l’oncle de son chiot, son Saint-Bernard, ce qui m’arrache un léger rire. « Charlie. » Je prononce parce que c’est ainsi qu’elle aurait pu l’appeler et alors qu’elle s’interroge sur son sexe, je ne peux m’empêcher d’être encore plus amusé. Il est d’une évidence sans nom qu’il s’agit d’un mâle et alors que je m’accroupis afin d’être à bonne hauteur, je termine par caresser son pelage, à celui qui passera des heures entières avec ma Brownie. Après tout, ils vont se promener ensemble, jouer ensemble et être de très bons amis, nos deux petits, alors il se doit de m’aimer ou plutôt j’espère qu’il m’aimera. Puis après avoir affirmé à mon chiot qu’il ne doit être jaloux, je les présente, bien qu’ils se connaissent peut-être déjà, vivant tous deux ici depuis un moment, j’imagine. Les présentations faites dans les règles de l’art, j’interroge ma meilleure-amie afin de savoir si tout a convenablement été fait et je la prie de ne pas se moquer, tout bonnement parce que je la connais. Usant de mon regard sévère tandis qu’elle lève les mains en l’air, me trouvant momentanément vexé, j’esquisse un sourire à son interrogation et fais mine d’être excédé en levant les yeux au ciel. « Évidemment que ça l’était. Tu aurais préféré que je dépose Brownie et que je les laisse se renifler ? » Je l’interroge, feignant la grimace en y songeant, car je refuse que quiconque renifle mon bébé, puisqu’il n’y aura que moi dans sa vie. Je suis et serais son papa ainsi que son amoureux : c’est dit ! Brownie n’aura jamais de copain, aucune portée puisqu’elle est mon enfant et que comme tout bon père, je refuse d’un crétin - bien que chien - vienne lui faire la cour.

    « On est bon ? » Je demande à Taylor lorsqu’elle s’empare de son chiot et que Brownie repose tout contre moi. Attendant sa réponse, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un rire à sa remarque. « Si tu savais. » J’en souris de plus belles. « Je suis un expert en sexe. » Je souffle, afin que les chiots ne comprennent mes mots, ce que je viens de prononcer et c’est dans un clin d’œil que je termine ensuite de lui dire de me suivre afin que nous signions tous les papiers adéquats concernant l’adoption de nos petits. « Évidemment que j’ai un stylo. » Je rétorque, choqué, alors que nous nous trouvons auprès d’Elize qui a d’ores et déjà tout préparer afin de nous mâcher le travail. « Une seconde. » Je prononce, pour extirper mon stylo plume en or blanc de ma poche intérieure tout en tenant fermement et avec douceur ma Brownie. « Voici. » Je prononce en lui tendant pour la laisser commencer et prendre le relais afin de rendre officiel le fait que je deviens l’heureux papa d’un husky. Une fois Taylor me l’ayant rendu, je signe à tous les endroits appropriés pour sortir moi aussi mon carnet de chèque et laisser de multiples zéros après mon « un », faisant ainsi un don onéreux ainsi que généreux à la SPA. Le cachant toutefois à Taylor, qui a fait de même, mais qui n’en a mis autant, nous finissons par nous retirer et après un dernier remerciement à Elize, je dis à ma TayTay, sur le parking : « À présent, allons leur acheter de quoi être heureux. Tu me suis ? » Puisque nous sommes venus séparément et que j’ai privatisé une boutique dans le but que nous fassions nos achats canins. « Je sais où aller. » Je conclus, grimpant dans mon véhicule pour installer Brownie et une fois ceci fait, tous deux étant parés, nous mettons le contact et partons en direction de ladite boutique, continuant ainsi notre journée marathon afin de devenir de très bons parents.


    FIN DE SUJET :: FINITO PIPO!!


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