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Veritas
Lien du postDim 16 Aoû - 4:40
★ ─ A road trip together. w/ @A. Snow Burns |
Rentrée de Paris, je n’ai pas le temps de me reposer. Je voudrais passer un bon weekend au lit, à ronronner tel un félin, un pacha, mais je ne le peux puisque j’ai décidé de profiter de mes vacances et c’est pour cela que j’ai prévu un road-trip avec l’un de mes plus proches amis : Snowni. Je l’affuble de ce surnom parce que je l’adore, pour le taquiner, mais aussi parce que ça me plaît de lui donner un qualificatif étant donné qu’il compte énormément pour moi. « Snowni. » Je prononce dans un sourire alors que je me trouve allonger sur mon king size, recouverte de mon drap blanc. « Quelle heure est-il… » Je souffle, pour rouler paresseusement sur ce dernier et m’emparer de mon iPhone. « Merde ! Neuf heures déjà. » Je souffle, ma bouche formant un « O » parfait pour me lever et filer sous la douche, dans le plus simple appareil, étant donné que j’ai dormi nue. Appréciant de sentir l’eau tiède couler sur mon corps, fermant les yeux en affichant un sourire ravi, je m’enroule rapidement dans une serviette une fois propre pour retrouver ma chambre et m’emparer de mon Smartphone. « Snowni chéri, je sors de la douche, mais mes bagages sont faits, enfin mon sac. Je serais en bas de mon immeuble à l’heure. À toute mon BG. XO XO GABY. » Appuyant sur le bouton envoyé, dans un sourire ravi, je file dans des sautillements rejoindre ma cuisine, afin de prendre un délicieux petit-déjeuner. « J’aurais dû t’inviter à le partager avec moi, Snow. » Je souffle pour moi-même, tandis que je prépare mon café et que je m’empare d’une cigarette, pour la placer entre mes lèvres et l’allumer. Il s’agit d’une addiction commune à une bonne partie du commun des mortels, le fait est que peu de personnes de mon entourage savent que j’ai également ce vice. Me dandinant jusqu’à mon plan de travail, je mets en fond sonore une de mes chansons préférées, afin de me réveiller dans les meilleures conditions possibles : Mr. Blue Sky d’Electric Light Orchestra.
Café avalé, mes deux toasts beurrés également, je file dans ma salle de bain afin de me brosser les dents et ainsi me préparer. « Ma tenue… » Je dis, en agitant mon doigt devant moi, celui-ci battant l’air, tandis que je rejoins mon immense dressing où ne trône que du Gucci, ou presque. « Virée en moto oblige… Il me faut du cuir ! » Je m’exclame, dans un demi-sourire, pour m’emparer de ma combinaison Gucci noire, ainsi que de mes bottines. L’enfilant après avoir mis des sous-vêtements de cette même griffe en dentelle, noirs eux aussi, je passe mes fameuses bottines et j’ouvre l’un de mes placards, afin d’en sortir mon casque de moto. « Te voilà ! » Je murmure, pour m’en emparer, me trouvant véritablement heureuse puisqu’enfin, je vais pouvoir le passer. Ce dernier est rose, il possède une visière et bien entendu, il a des ailes greffées dessus, de couleur blanche, en cuir elles aussi. « Fantastique ! » Je dis, pour le déposer avec amour sur la table présente au centre de mon dressing et ouvrir mon tiroir contenant toutes mes paires de gants. « Du cuir… » Je murmure pour moi-même avant de m’emparer de ceux où figure l’emblématique double G qui se croise. « Qu’est-ce qui me manque… » Je m’interroge, l’un de mes doigts tapotant mes lèvres charnues, lorsque je me rends compte qu’il s’agit de l’essentiel : une bonne paire de lunettes de soleil. « Quelle cruche je fais ! » Je m’exclame, avant d’ouvrir les portes de ma vitrine en verre, celle contenant toutes mes paires de lunettes qu’elles soient de vue ou solaire. « AH ! Les œil-de-chat ! » C’est ainsi que se prénomme le modèle dont je me saisis, qui sont en verres gris, elles me protégeront au mieux. « Voilà ! Tenue parfaite ! » Je conclus, avant de passer le tout et de prendre en main mon sac contenant mes affaires, plus exactement mon sac à dos Gucci - toujours - embossé, dont le jeu de texture laisse apparaître le symbole de la maison de cette griffe : c’est-à-dire le GG. « Perfecto ! » Je m’exclame, lorsque l’on frappe à ma porte et que j’ouvre, pour saluer l’un des employés de l’immeuble. « Bonjour, mademoiselle Mitchell. » Je lui rends sa salutation. « Bonjour, Georges. Voici mon sac à dos ainsi que mon casque. Si vous pouviez avoir l’obligeance de me les descendre afin que je ne les porte pas. » Je prononce, étant donné que j’ai des problèmes aux mains, une pathologie dont personne n’est informé. « Bien sûr, mademoiselle Mitchell. Pouvons-nous y aller ? » M’interroge-t-il tandis que je verrouille la porte de mon immense loft. « Nous le pouvons, George. Je vous suis. » Je prononce, toute guillerette, alors que j’attends que l’ascenseur daigne s’ouvrir, n’appuyant sur le bouton puisque l’employé le fait à ma place. « Mademoiselle. » Il me fait signe de pénétrer la cabine, dans un geste fort gentleman et je m’y engouffre, toute excitée par la perspective de ma virée en moto. « Durant combien de jours allez-vous vous absenter, miss ? » M’interroge George, tandis que je hausse les épaules. « Je ne sais pas, mais une femme de ménage passe tous les jours, avec une extrême discrétion, au loft, afin de le tenir propre, comme vous le savez. » Je réponds, pour me questionner, quand ses mots font naître un doux sourire sur mon visage. « Je le sais, miss. C’est seulement que vos sourires ainsi que votre gentillesse vont nous faire défaut, le temps de votre absence. » Je suis évidemment touchée. « Merci beaucoup. En tout cas, ne vous en faites pas, je vais rentrer ! » Je conclus, puisque nous sommes à présent dans le vestibule et que j’aperçois Snow, hors de l’immeuble. « Hey ! Beau gosse ! » Je m’exclame, tandis que l’on m’ouvre la porte et que je me jette à sa nuque. « Comme toujours, je suis à l’heure. » J’ajoute, pour déposer une bise sur sa joue et me saisir de mon casque, puis de mon sac à dos, les passant tous deux. « Je suis parée pour notre virée. » Malgré ma fatigue, mon enthousiasme est saisissant ainsi que communicatif, comme toujours. « Je peux chevaucher ta bête ? » Je l’interroge, faisant exprès de faire un sous-entendu coquin, lorsque je me rends compte que George se tient toujours près de nous. « Oh ! Pardonnez-moi. Merci pour mes affaires et au revoir George, à bientôt ! » Lui lançant un baiser de ma main gantée, je l’affuble également d’un signe de la main une fois qu’il a rejoint la porte de l’immeuble pour me concentrer à nouveau sur mon Snowni, avec qui je pars à l’aventure. « Es-tu prêt à me supporter ? » Je l’interroge, mon regard emprunt de malice.
Café avalé, mes deux toasts beurrés également, je file dans ma salle de bain afin de me brosser les dents et ainsi me préparer. « Ma tenue… » Je dis, en agitant mon doigt devant moi, celui-ci battant l’air, tandis que je rejoins mon immense dressing où ne trône que du Gucci, ou presque. « Virée en moto oblige… Il me faut du cuir ! » Je m’exclame, dans un demi-sourire, pour m’emparer de ma combinaison Gucci noire, ainsi que de mes bottines. L’enfilant après avoir mis des sous-vêtements de cette même griffe en dentelle, noirs eux aussi, je passe mes fameuses bottines et j’ouvre l’un de mes placards, afin d’en sortir mon casque de moto. « Te voilà ! » Je murmure, pour m’en emparer, me trouvant véritablement heureuse puisqu’enfin, je vais pouvoir le passer. Ce dernier est rose, il possède une visière et bien entendu, il a des ailes greffées dessus, de couleur blanche, en cuir elles aussi. « Fantastique ! » Je dis, pour le déposer avec amour sur la table présente au centre de mon dressing et ouvrir mon tiroir contenant toutes mes paires de gants. « Du cuir… » Je murmure pour moi-même avant de m’emparer de ceux où figure l’emblématique double G qui se croise. « Qu’est-ce qui me manque… » Je m’interroge, l’un de mes doigts tapotant mes lèvres charnues, lorsque je me rends compte qu’il s’agit de l’essentiel : une bonne paire de lunettes de soleil. « Quelle cruche je fais ! » Je m’exclame, avant d’ouvrir les portes de ma vitrine en verre, celle contenant toutes mes paires de lunettes qu’elles soient de vue ou solaire. « AH ! Les œil-de-chat ! » C’est ainsi que se prénomme le modèle dont je me saisis, qui sont en verres gris, elles me protégeront au mieux. « Voilà ! Tenue parfaite ! » Je conclus, avant de passer le tout et de prendre en main mon sac contenant mes affaires, plus exactement mon sac à dos Gucci - toujours - embossé, dont le jeu de texture laisse apparaître le symbole de la maison de cette griffe : c’est-à-dire le GG. « Perfecto ! » Je m’exclame, lorsque l’on frappe à ma porte et que j’ouvre, pour saluer l’un des employés de l’immeuble. « Bonjour, mademoiselle Mitchell. » Je lui rends sa salutation. « Bonjour, Georges. Voici mon sac à dos ainsi que mon casque. Si vous pouviez avoir l’obligeance de me les descendre afin que je ne les porte pas. » Je prononce, étant donné que j’ai des problèmes aux mains, une pathologie dont personne n’est informé. « Bien sûr, mademoiselle Mitchell. Pouvons-nous y aller ? » M’interroge-t-il tandis que je verrouille la porte de mon immense loft. « Nous le pouvons, George. Je vous suis. » Je prononce, toute guillerette, alors que j’attends que l’ascenseur daigne s’ouvrir, n’appuyant sur le bouton puisque l’employé le fait à ma place. « Mademoiselle. » Il me fait signe de pénétrer la cabine, dans un geste fort gentleman et je m’y engouffre, toute excitée par la perspective de ma virée en moto. « Durant combien de jours allez-vous vous absenter, miss ? » M’interroge George, tandis que je hausse les épaules. « Je ne sais pas, mais une femme de ménage passe tous les jours, avec une extrême discrétion, au loft, afin de le tenir propre, comme vous le savez. » Je réponds, pour me questionner, quand ses mots font naître un doux sourire sur mon visage. « Je le sais, miss. C’est seulement que vos sourires ainsi que votre gentillesse vont nous faire défaut, le temps de votre absence. » Je suis évidemment touchée. « Merci beaucoup. En tout cas, ne vous en faites pas, je vais rentrer ! » Je conclus, puisque nous sommes à présent dans le vestibule et que j’aperçois Snow, hors de l’immeuble. « Hey ! Beau gosse ! » Je m’exclame, tandis que l’on m’ouvre la porte et que je me jette à sa nuque. « Comme toujours, je suis à l’heure. » J’ajoute, pour déposer une bise sur sa joue et me saisir de mon casque, puis de mon sac à dos, les passant tous deux. « Je suis parée pour notre virée. » Malgré ma fatigue, mon enthousiasme est saisissant ainsi que communicatif, comme toujours. « Je peux chevaucher ta bête ? » Je l’interroge, faisant exprès de faire un sous-entendu coquin, lorsque je me rends compte que George se tient toujours près de nous. « Oh ! Pardonnez-moi. Merci pour mes affaires et au revoir George, à bientôt ! » Lui lançant un baiser de ma main gantée, je l’affuble également d’un signe de la main une fois qu’il a rejoint la porte de l’immeuble pour me concentrer à nouveau sur mon Snowni, avec qui je pars à l’aventure. « Es-tu prêt à me supporter ? » Je l’interroge, mon regard emprunt de malice.
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Lien du postMar 18 Aoû - 14:37
A ROAD TRIP TOGETHER
C'était un coup de tête, un de ces trucs qui me prend parfois. Que je n'explique pas. Juste comme ça. Des envies d'ailleurs, de découvrir le monde, d'aller voir si la liberté est quelque chose que je peux trouver. Habituellement je fais ces choses là tout seul, enfin en tête à tête avec Shelby, quoi. Juste elle et moi. Un homme et sa moto. Rien de plus rien de moins, et les motels et autres bars qu'on peut trouver sur les routes américaines. Comme dans toutes ces sitcoms, c'est cliché, mais je vous promets qu'il y a quelque chose de mystique dans ce que je fais.
Mais cette fois ci, j'ai décidé de partager ces moments avec une de mes amies. Une de celles qui compte. Une femme comme on en fait pas, une vraie. Oui, enfin, elle reste tout de même comme toutes ces créatures divines que les hommes doivent apprivoiser, compliquée. Les femmes, elles ont ce pouvoir de me … flinguer. Et Gabriella, je jure qu'elle a ce pouvoir là. Rien qu'un sourire glissé sur son joli minois. Et le Snow que je suis perds de sa candeur. Faiblesse quand tu nous tient. C'est mon péché mignon, je n'y peux rien. « Snowni chéri, je sors de la douche, mais mes bagages sont faits, enfin mon sac. Je serais en bas de mon immeuble à l’heure. À toute mon BG. XO XO GABY. » Je lis, et je souris. Ouais, mon péché mignon, comme un pauvre con.
Alors après avoir fait mon sac, et m'être assuré que la voisine viendra nourrir Gizmo pendant le weekend. Je retourne vers mon chien pour lui préciser « Je te jure que je reviens dans pas longtemps. » On ne sait jamais, il est susceptible un peu, ce vieux bougre, alors je voudrais pas le vexer. « Et puis, madame Stevens va venir te filer à bouffer. » Et je fais semblant de pas le savoir mais je le sais bien qu'elle te file des friandises alors que je lui ai dis pleins de fois que tu étais assez gros comme ça. Ca va que je sais que tu le vaux bien, mon vieux chien. « Allez, sois sympa avec elle. » Dans le fond, parfois, tu la préfères à moi. Et je caresse longuement un de ses bourrelets, avant de tourner les talons.
Sac sur l'épaule, je ferme à clef, et descends retrouvée Shelby qui m'attends dans le garage, je mon sac dans le coffre, mon casque sur ma tête et me voilà en direction de chez la princesse Gucci. Quelques minutes de trajet avant d'arriver à destination. Je me gare et attends patiemment, comme un parfait gentleman. Ou peut-être que les gentleman sont censés s'annoncer ? Dans le fond, qu'est-ce que j'en sais ? Et puis je suis bien contente de la voir sortir du bâtiment et de m'arracher un sourire montrant toutes mes dents. « Hey ! Beau gosse ! » Ouais, je sais. « Comme toujours, je suis à l’heure. » Ou presque, mais je m'en moque un peu parce qu'elle s'avance et m'offre un baiser, donc bon, on s'en fiche de l'heure, pas vrai ? « Je suis parée pour notre virée. » Mon regard oscille entre le ridicule de son casque et l'homme qui se tient à proximité de nous. Je suis le seul à le voir et je suis donc juste fou ? « Je peux chevaucher ta bête ? » Et plutôt deux fois qu'une ! Mais euh... le type on en parle ou pas ?
« Oh ! Pardonnez-moi. Merci pour mes affaires et au revoir George, à bientôt ! » ENFIN ! Merci, putain. Au moins je ne suis pas complètement taré, et je peux me concentrer à nouveau sur la compagne que je me suis choisis pour cette virée. « Es-tu prêt à me supporter ? » Franchement ? Il y a un truc sur lequel je ne peux pas m'empêcher de douter. Et elle sait bien que je n'ai pas ma langue dans ma poche alors de sortir, ma réflexion, elle y est obligée. « Avec ça ? » Je désigne la chose qu'elle considère comme un casque approprié. Putain mais... « Je ne suis pas sur que Shelby puisse le supporter. » Shelby, au cas où ce ne serait pas assez clair, c'est ma moto. Et cette moto, elle mérite le respect, non pas qu'on monte dessus avec un casque ailé.
« Gabriella, me force pas. » Que je supplie presque en lui signifiant que je ne peu pas supporter ça, j'en suis incapable, quoi que... Elle m'offre encore un énième sourire enthousiaste et moi je me tais. Bordel, elle est trop forte en négociations, c'est tout. J'étais foutu d'avance, c'est toujours comme ça entre nous. Alors je capitule en soupirant, en lui disant autoritaire et faussement avec un air agaçant. « Poses tes foutues fesses la-dessus. » Je tape sur le cuir du siège. « Enfin non ! » Je la stoppe dans son élan, c'est juste que pour le coup, je ne pensais plus au fait que c'est mieux que ce soit moi qui monte en premier, histoire de ne pas lui foutre de coup de pied. Une fois ça fait, j'enfonce mon propre casque, beaucoup plus neutre que le sien. Et conclu d'un « Maintenant, tu peux. » Grimper et qu'on trace le chemin.
☾ anesidora
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Lien du postJeu 27 Aoû - 1:37
★ ─ A road trip together. w/ @A. Snow Burns |
Excessivement enthousiaste, c’est ce que je suis à cet instant alors que je me trouve prête à partir à l’aventure avec mon beau et sexy Snowni. Ayant pris tout ce qu’il me fallait, mon magnifique casque ainsi que mes affaires présentes dans mon sac à dos Gucci, mes gants pour protéger mes mains et mes antidouleurs dont il n’a connaissance, je suis certaine à présent de ne rien avoir occulté alors que je me trouve au bas de l’immeuble accompagné de George, qui se préoccupe énormément de ma personne. C’est un employé ainsi qu’un homme parfaitement adorable, mais parfois, je m’interroge sur ses intentions à mon égard. Est-ce qu’il s’imagine qu’un jour, il pourra y avoir davantage entre nous ? J’espère bien que non, puisque je ne ressens rien pour lui, puis nous ne sommes mêmes pas amis. Certes, je l’apprécie, mais nous ne conversons qu’en nous croisant dans l’immeuble, à mon étage, au rez-de-chaussée ou encore dans l’ascenseur, puisqu’il aime l’appeler à ma place. Me pinçant les lèvres en y réfléchissant plus longuement, lui jetant un léger coup d’œil, je termine par tout oublier dès lors que j’aperçois mon beau Snow qui se trouve déjà là. Le rejoignant à toute hâte, je dépose une bise sur son magnifique visage, pour le saluer et lui assurer que je suis à l’heure, bien qu’en vérité, s’il est là, déjà présent, c’est que je dois avoir un peu de retard. J’espère seulement qu’il est « léger », qu’il ne m’a pas trop attendu. Affichant une petite moue à cette pensée, j’en reviens à la raison de sa présence : notre virée en moto, sur SA moto : mademoiselle Shelby. Elle est absolument magnifique, je le reconnais sans mal et j’ai très envie que nous nous en allions rapidement, alors, dans un sourire emprunt de malice, je le questionne, usant de mots que j’ai choisi afin de le titiller gentiment, puisque j’ose tout de même prononcer « chevaucher sa bête », ce qui n’est pas rien. Le fait est que j’avais oublié George et qu’à présent que je me rappelle qu’il est à notre hauteur - puisqu’il porte encore mes affaires, c’est-à-dire mon sac à dos et mon casque ailé - je me confonds en excuse devant l’employé et mon cher ami, pour remercier « mon porteur » après avoir pris mes affaires, les passant. « Au revoir, miss Mitchell. » Il me répond dans un sourire, tandis que je lui rends, avant de m’occuper de mon Snowni uniquement. Après tout, si je pars vers l’inconnu à sillonner les routes de Boston et bien d’autres encore, c’est grâce à lui, puis je peux inaugurer mon superbe casque de moto. Ravie à cette pensée, face à cette perspective, je plaisante en questionnant une nouvelle fois mon bel Adonis, lui demandant s’il est prêt à me supporter durant quelques jours, ce qui n’est pas une mince affaire, je le reconnais sans mal ! « Pardon ? » Je l’interroge, ne comprenant pas immédiatement. « Tu parles de quoi ? » Je continue, lorsque je remarque que son regard est posé sur mon casque rose, possédant des ailes en cuir blanc. « Oh ! Snow ! » Je suis interdite, puisque je l’ai acheté pour l’occasion et que je le trouve absolument superbe. « Je suis certaine que Shelby l’adore. » Je réponds dans un souffle, lui offrant en prime un ravissant sourire ainsi que mes prunelles suppliantes, afin qu’il cède et qu’il cesse également de se moquer de mon achat, puisque j’en suis tombée amoureuse dès que je l’ai vu, ce casque ! Je fonctionne au coup de cœur et dès que je l’ai vu, j’ai su, comme on le dit, tout bonnement. « Snowni, chéri. » Je prononce en affichant une adorable moue, alors qu’il me demande de ne pas le forcer, ce que je fais, bien évidemment ! Lui offrant un énième sourire, plus charmeur encore ainsi que tendre, je sautille sur place lorsqu’il se met à soupirer, puisque je sais à ce dernier que j’ai réussi mon coup et qu’ainsi : j’ai gagné ! « OK. J’y pose mes foutues fesses. » Je réponds, pour me mettre de côté et m’asséner une gentille fessée quand il me stoppe et qu’il chevauche Shelby avant moi, ce qui me semble somme toute logique lorsque j’y réfléchis, étant donné qu’il va la conduire et que je vais devoir m’accrocher à lui. « C’est parti ! » Je prononce, attachant mon casque et baissant la visière pour la chevaucher à mon tour. Vérifiant que je porte correctement mon sac à dos, tapotant ses sangles, je souffle, dans un demi-sourire : « C’est tout bon, beau gosse, nous pouvons y aller. » Puis, je passe mes bras autour de sa taille afin de m’accrocher à lui. « J’adore lorsqu’on est aussi proche. Coller-serrer. » Je murmure à son intention tandis qu’il n’a pas encore démarré pour me mettre à rire une fois parti, puisque nous prenons de la vitesse et que j’adore cela. Passer du temps avec mon Snow est toujours un véritable plaisir et c’est toute Gucci vêtue, hormis mon casque, que nous sillonnons une première route, nous trouvant toujours à Boston, mais pour combien de temps encore ? À dire vrai, je n’ai pas demandé à mon bel ami si nous avions un chemin, une route à suivre, un lieu à aller découvrir et à présent, je m’interroge. Le fait est que l’inconnu ne me fait pas peur, du moins, pas avec lui. Je pourrais fermer les yeux et le laisser me guider sans craindre quoi que ce soit et parfois, je me questionne. Est-ce normal de lui vouer une confiance aveugle ? Je n’en sais trop rien, en vérité. Depuis ce qui s’est produit avec mon ex-époux, je me suis fait la promesse de ne jamais plus m’attacher à une personne du sexe opposé, pas autant du moins, mais avec lui, c’est bien différent. Nous sommes très proches et j’adore cela, le fait est que parfois, je me demande si je ne vais pas à nouveau me brûler les ailes, bien que je sache que jamais, ô grand jamais, il ne me ferait du mal intentionnellement, mon bel Alexander.
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Lien du postDim 6 Sep - 12:12
A ROAD TRIP TOGETHER
Elle a ce côté mignon, qu'on ne peut lui retirer, qui me fait penser que son casque ridicule je pourrais très bien le tolérer. Mais tout de même, je ne peux pas m'empêcher de lui signaler, parce que bon sang, je suis un homme et j'ai une fierté. Une réputation a conserver. « Pardon ? » Elle ose me le demander ? C'est une blague, c'est ça ? Comme si elle ne comprenait pas. « Tu parles de quoi ? » Elle feint aussi bien l'ignorance que l'innocence et ainsi elle m'arrache un sourire. « Oh ! Snow ! » Ouais, ouais « Oh Snow ! » ouais. Ma faiblesse envers les femmes me tuera. C'est clair et net cette fois. « Je suis certaine que Shelby l’adore. » Je ne me retiens pas de pouffer après cette phrase qui n'est pas réaliste mais qui possède le don de m'amadouer. Il est facile de constater que Gabriella sait parfaitement comment parvenir à venir à bout de moi. « Snowni, chéri. » C'est bon, ça va, ça a déjà fonctionné alors ce n'est pas la peine de me passer encore plus de crème. Et la pointant du doigt, je lui dis, en étant renfrogné, pour de faux, cela va de soi. « C'est moche de se servir de Shelby comme argument. » Et je le secoue, mon index accusateur, pour jouer encore plus les mecs mécontents et railleurs. « Vraiment moche, mademoiselle. » Ca ne se fait pas, elle a rien demandé ma moto, et puis, elle n'est d'accord qu'avec moi.
« OK. J’y pose mes foutues fesses. » alors à ma suite, elle pose son joli postérieur sur mon bien, et moi, et bien je laisse mon casque ouvert, tandis qu'elle me chantonne un ; « C’est parti ! » et comme un idiot, une fois encore, je souris. « C’est tout bon, beau gosse, nous pouvons y aller. » Je l'aime bien cette manière qu'elle a de me surnommer, pour sur, elle a toujours su comment s'y prendre avec moi, et ça, ce n'est pas simple, je crois. Les femmes même si je les adore, celles que je garde dans ma vie, c'est qu'elles valent le coût, sinon, je m'en débarrasse, après un coup, justement. « J’adore lorsqu’on est aussi proche. Coller-serrer. » Et bien figure toi que tu n'es pas la seule à le penser, mais je ne renchéris pas, parce que je suis déjà concentré sur la route, et que je démarre enfin.
Et je sens ses mains qui se resserrent contre moi lorsque je prends un virage trop serré, ou que j'accélère au moment où elle doit penser qu'il faut ralentir. Le fait est que je connais Shelby et ses capacités par cœur, que je n'ai jamais eu d'accident, bien qu'il me faudrait toucher du bois rien que pour avoir eu l'audace de penser cela. Alors j'avoue que lorsque je suis au volant de ma moto, je ne pense pas réellement à la personne qui se trouve derrière moi et ce qu'elle peut ressentir, car pour moi, un road trip sur cet engin est synonyme d'adrénaline. Cependant puisque c'est elle derrière moi, lorsque je m'arrête à un feu rouge, je lui glisse en tournant la tête sur le côté, pour être certaine qu'elle m'entend, la visière relevée. « Les sensations te plaisent ? » C'est une façon détournée de lui dire que je me soucie d'elle. Qu'elle fait partie des privilégiées, qu'elles sont peu à être montées sur ma belle Shelby, que j'apprécie qu'elle fasse partie de ma vie. Le temps de sa réponse, et nous voilà repartis.
Je ne sais pas jusqu'où le chemin nous mènera, mais j'aime cette sensation là. D'être libre, d'avoir le choix. De croire qu'elle m'a murmuré « J'irai où tu iras. » et qu'elle me fasse cette confiance aveugle. On roule encore, on ne se parle pas, ce n'est pas comme si on le pouvait en réalité, mais la sentir contre moi, me suffit, je ne mentirai pas. Je ne sais pas ce que notre voyage va donner, j'ignore même si on va dormir à l'hôtel ou bien à la belle étoile comme j'ai pu l'imaginer. Mais nous fonçons. Envers et contre toute raison. Et puis après plusieurs minutes nous croisons ce fameux panneau, celui nous indiquant, que nous avons quitté la ville de Boston. Et toutes les possibilités de la vie s'offre à nous, à l'horizon.
☾ anesidora
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Lien du postSam 12 Sep - 2:48
★ ─ A road trip together. w/ @A. Snow Burns |
De notre virée sur sa Shelby, j’en ai rêvé depuis le jour où nous l’avons prévu, notre escapade. Je n’ai cessé d’y penser, même lorsque je me trouvais à Paris, dans la boutique de La Durée sur les Champs-Élysées. Je n’ai même cessé d’y songer lorsque je me retrouvais avec ma meilleure-amie Gabriella, alors que nous partageons peu de moments ensemble, notamment à cause de son emploi du temps de ministre, puisque c’est bel et bien le cas ! Je la vois si peu que parfois, je m’interroge, afin de savoir si nous vivons bien toutes deux à Boston ! Le fait est que cela n’a aucun rapport avec mon impatience quant à cet instant, puisque nous y sommes, Snow et moi. Je me trouve au bas de l’immeuble dans lequel je réside, avec mon sac à dos Gucci et je m’apprête à grimper derrière lui, sur miss Shelby. Le truc, c’est que selon lui, quelque chose cloche. Ne comprenant au début de quoi il parle - véritablement - je termine par capter qu’il s’agit de mon superbe casque rose bonbon, arborant de superbes ailes en cuir blanc. Affichant une petite moue étant donné qu’il a été fait sur-mesure pour moi, selon mes goûts ainsi que mes envies, je termine par assurer à mon beau Snow que sa moto est en parfait accord avec moi. Seulement, il ne semble pas de mon avis et à l’expression de son visage et à sa manière de gigoter son doigt, je me dis que mon adorable chéri n’est pas en accord avec moi, lui. « Je suis une femme et Shelby aussi. On se serre toujours les coudes. » J’affirme, bien qu’elle n’ait pas de coude la belle Shelby, mais je ne le dis, puisque nous le savons tous deux. « Tant pis si c’est moche. Je l’ai dit, je l’affirme et je le confirme ! » J’ajoute, dans un large sourire avant de lui envoyer un baiser afin de mettre un terme à notre « pseudo » dispute au sujet de mon superbe casque. Finissant par annoncer que je vais déposer mon derrière sur sa moto, pour me poster derrière lui, je le fais, toute heureuse et j’ai même envie de sautiller sur place tant je le suis. Le fait est que je me retiens, puisqu’il supporte déjà ce qui se trouve sur ma tête alors je me dis que je devrais me faire aussi petite qu’une souris pour au moins une demi-heure avant de le taquiner à nouveau. Chantonnant, un « c'est parti » une fois que je me trouve derrière mon Snow, mes bras encadrant sa taille, mes mains postées sur ses abdominaux, je termine d'affirmer qu’il peut enfin démarrer, pour lui susurrer que j’adore notre soudaine proximité, puisque je repose tout contre mon beau Snow, bien que ce soit tout contre son dos alors que je préférais qu’il se trouve derrière moi. Gardant toutefois ce commentaire pour moi, puisque je me dis que je pourrais le lui souffler plus tard, lorsque nous aurons quitté Boston, mon bel ami démarre et notre virée débute véritablement. Où nous rendons-nous ? Qu’allons-nous faire ? Où allons-nous dormir ? Je n’en ai strictement aucune idée, et cela, me plaît ! Je mets ma vie entre les mains de mon beau Snowni, durant ses prochains jours, pour tout ce que nous ferons et j’espère qu’il sait que je lui voue une confiance aveugle. Poussant des petits cris de joie à chaque tournant, à chacun des virages qui sont trop serrés, puisque cela me rend toute chose, que je me sens plus en vie que jamais, je termine par sentir mon cœur battre à la chamade dans ma poitrine grâce à la vitesse que Shelby prend, puisqu’il ne cesse d’accélérer mon beau Snow. Il adore la vitesse, il en raffole, cela se sent et j’adore le voir ainsi : aussi libre et heureux ! Alors, étant toute aussi en joie que lui, un immense sourire ornant mon visage de poupée, je resserre ma prise sur sa taille à chaque virage, quand nous parvenons à un feu rouge qui l’oblige à ralentir et ainsi s’arrêter. « C’est génial, mon Snow chéri ! » Je m’exclame à sa question, souriant davantage encore lorsque nous redémarrons et que Shelby prend à nouveau de la vitesse. M’agrippant à mon beau gosse, je dépose ma tête contre son dos, la tournant sur le côté afin de voir défiler à vive-allure ce qui se trouve autour de nous. J’aime ce sentiment de me laisser aller, de m’abandonner après d’un homme, lui laissant ainsi le contrôle de tout pour profiter, simplement. Bien sûr, cela n’a aucun rapport avec ce que j’ai pu vivre, puisque jamais plus je ne laisserais quiconque me frapper, puis c’est également pour cela que je préfère rester seule, privilégiant les relations sans lendemain, le fait est qu’avec lui et seulement avec lui, je me permets de laisser s’écrouler toutes les barrières que j'ai érigé autour de moi depuis mon divorce, puisque je suis certaine d’une chose : jamais Snow ne me fera de mal et jamais il ne mettra en péril ma vie. « Arrivederci Boston ! Ci vediamo tra pochi giorni ! »* Je m’exclame soudain, pour défaire l’une de mes prises de la taille de mon meilleur ami afin de lever un bras en l’air, en signe de mon bonheur, de ma joie de partir ainsi à l’aventure avec lui. « Inizia l’avventura ! »** Je continue en italien, un immense sourire rayonnant sur mon visage.
*Au revoir Boston ! Rendez-vous dans quelques jours.
** L’aventure commence !
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Lien du postJeu 24 Sep - 17:57
A ROAD TRIP TOGETHER
A chaque fois que j'entends sa voix faire un sursaut face à la vitesse dont je fais preuve, cela m'arrache un sourire. Ce son pour moi, il se rapproche tout bonnement du délice. Mais aussi de la perfection. Alors arrêtés, j'attends qu'elle réponde à ma question. « C’est génial, mon Snow chéri ! » Je la ressent dans mes propre veine son excitation, ça rend l'instant encore plus unique. Si seulement c'est possible. Et puis je hoche la tête satisfait et je dois un coup de talon afin de repartir de plus belle.
Alors que les secondes défilent, je remarque que nous passons le panneau de la ville. Et je constate avec une certaine satisfaction que je ne suis pas le seul à m'être aperçu de ce détail qui aurait pu paraître un peu con. « Arrivederci Boston ! Ci vediamo tra pochi giorni ! » J'en crache un rire, même si, je me dois d'avouer que l'italien ne fait pas partie des cordes qui se trouvent sur mon arc. Enfin, je ne suis pas non plus idiot, j'ai compris l'essentiel, du coup j'imagine que c'est suffisant. « Inizia l’avventura ! » qu'elle ajoute en criant. Encore une fois, je ne comprends pas réellement, mais je me dis qu'il y a un rapport avec l'aventure, et ça, c'est complètement quelque chose qui me plaît. J'aime penser qu'être avec moi constitue d'être une épopée, un moment que l'on ne peut oublier.
Et je ne réponds rien, mais elle sait qu'elle n'a pas à le prendre mal, dans le fond, je suis surtout concentré sur le fait de rouler et que l'aventure on l'embrasse en un seul morceau, non parce que notre virée je n'ai pas prévu de la terminer dans le service des grands blessés. Enfin je chasse de mon esprit le côté accidenté parce que comme un imbécile je me dis que c'est jouer avec notre chance, et donc, nous porter la poisse.
Les minutes s'amoncellent, les kilomètres aussi, j'ai dans la tête tout et n'importe quoi, et lorsqu'on a l'occasion de se poser un peu, je laisse mes doigts aller se resserrer sur les siens, parce que bien que je ne parle que très peu, je n'omets pas sa présence et le fait qu'elle soit proche de moi. Je ne saurai dire depuis combien de temps on roule, alors je me promets que je vais bientôt m'arrêter, histoire de lui demander si elle n'a besoin de rien. Parce qu'on ne sait jamais, elle pourrait mourir de soif ou que sais-je, les filles, elles ont toujours des besoins. Si bien que le bitume est engloutis de plusieurs autres miles avant qu'un stop au milieu d'un petit village me laisse l'occasion de lui poser ma question. « Pas trop mal aux fesses ? » Oui, Snow Burns fait toujours preuve de délicatesse.
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Lien du postSam 17 Oct - 1:16
Je raffole de l’aventure, ainsi que de l’inconnu et cette virée avec mon Snowni est donc synonyme de pur bonheur ainsi que de pur plaisir. Je suis heureuse, assise derrière lui, mes bras placés tout autour de sa taille tandis que mes mains sont positionnées sur ses tablettes de chocolat, bien que je ne les décèle pas à cause des vêtements qu’il porte. Tête calée contre son dos, je profite purement et simplement de l’instant, un sourire inébranlable flanqué sur mon visage. Je suis toute excitée, je pourrais en sautiller sur place, seulement, je ne le fais pas. Je me contente de sourire, de pousser des cris à chaque accélération, à chaque courbe qu’il prend, heureuse, mes prunelles scintillantes de mille feux. Jamais je n’ai fait de virer de cette façon, sans savoir où je me rends, où nous allons nous reposer, et cela, à quelque chose de galvanisant. Nous sommes véritablement « libre », c’est du moins ce que je ressens et je crois n’avoir jamais été aussi épanoui qu’à cet instant. Il y a bien des années que je ne me suis retrouvée dans cet état, insouciante ainsi que joyeuse, le cœur léger et je dois cela à mon beau meilleur-ami : monsieur Burns. Il me connaît par cœur, sait que j’aime les choses simples, que je n’ai pas besoin que l’on gaspille des mille et des cents afin de me faire sourire et je l’aime également pour cela. Alors, lorsque nous passons la pancarte nous indiquant que nous avons quitté Boston, je m’exclame en italien. Je suis si heureuse que mes billes s’injectent de larmes de joie, avant que je ne ressers ma prise sur sa taille tandis qu’il ne répond quoi que ce soit. En même temps, me trouvant dans son dos, je n’aurais pas perçu grand-chose puis nous ne pouvons pas franchement discuter en étant installé de cette manière, bien que je raffole de la proximité de nos corps. Je suis certes contre son dos, mais je profite de lui, de son odeur, et j’adore cela !
Les kilomètres défilent, se suivent et se ressemblent, bien que le paysage alentour se modifie. Il n’y a plus d’immenses immeubles, nous ne ressentons plus le poids de la ville de Boston, et cela, me met en joie. Au revoir les obligations universitaires, au revoir l’hôpital de la ville dans lequel je me rends bien trop souvent à cause de mes soucis de santé que je tais aux miens, même aux personnes m’étant les plus proches. Au revoir les obligations, la pression du quotidien, au revoir tout ce qui fait que je me sens nerveuse, ou encore stresser. « J’épouse la liberté. » Je murmure contre le dos de Snow, pour frotter mon nez contre ce dernier et fermer les yeux, profitant de l’instant. Je reste ainsi un moment, sans réellement me rendre compte que les secondes puis les minutes défilent et je rouvre mes prunelles lorsque nous arrivons au beau milieu d’un village on ne peut plus charmant. « Hum… » Je me tortille sur mon assise et finis par rétorquer : « Je pense que marcher ne me ferait pas de mal, mais si tu désires conduire encore un peu... » Je sais que sa manière de parler est peu coutumière, mais il s’enquit de moi, mon beau Snowni et je le sais car je le connais bien. « Toi, ça va ? » Je l’interroge, bien qu’il doive être habitué à rester assis ainsi, des heures durant, sans ressentir la moindre gêne depuis le temps qu’il possède sa magnifique moto. « Pas besoin d’un massage sur ton fessier ? » Je prononce dans un gloussement, puisque je ne peux m’empêcher d’être taquine ainsi que coquine.
Les kilomètres défilent, se suivent et se ressemblent, bien que le paysage alentour se modifie. Il n’y a plus d’immenses immeubles, nous ne ressentons plus le poids de la ville de Boston, et cela, me met en joie. Au revoir les obligations universitaires, au revoir l’hôpital de la ville dans lequel je me rends bien trop souvent à cause de mes soucis de santé que je tais aux miens, même aux personnes m’étant les plus proches. Au revoir les obligations, la pression du quotidien, au revoir tout ce qui fait que je me sens nerveuse, ou encore stresser. « J’épouse la liberté. » Je murmure contre le dos de Snow, pour frotter mon nez contre ce dernier et fermer les yeux, profitant de l’instant. Je reste ainsi un moment, sans réellement me rendre compte que les secondes puis les minutes défilent et je rouvre mes prunelles lorsque nous arrivons au beau milieu d’un village on ne peut plus charmant. « Hum… » Je me tortille sur mon assise et finis par rétorquer : « Je pense que marcher ne me ferait pas de mal, mais si tu désires conduire encore un peu... » Je sais que sa manière de parler est peu coutumière, mais il s’enquit de moi, mon beau Snowni et je le sais car je le connais bien. « Toi, ça va ? » Je l’interroge, bien qu’il doive être habitué à rester assis ainsi, des heures durant, sans ressentir la moindre gêne depuis le temps qu’il possède sa magnifique moto. « Pas besoin d’un massage sur ton fessier ? » Je prononce dans un gloussement, puisque je ne peux m’empêcher d’être taquine ainsi que coquine.
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Lien du postVen 23 Oct - 11:25
A ROAD TRIP TOGETHER
« J’épouse la liberté. » Je n'entends pas grand chose à ses paroles, mais je ressens que la belle s'appuie contre mon dos, alors j'ai ce fin sourire sur le visage, satisfait. Parce que même si je ne sais pas vraiment où on va où ce qu'on va faire, l'important, c'est qu'on se laisser aller, que nos pensées s'étiolent dans l'air. Vent qu'avec Shelby, nous fendons sans aucune hésitation.
Les miles disparaissent sous les roues de ma fidèle moto, avant que je ne me décide à faire un « véritable » arrêt pour m'adresser à cette amie encore collée à moi, et je l'apparente presque à un koala. J'aime cette façon qu'elle a d'avoir confiance en moi. « Hum… » L'onomatopée est soufflée, elle me plait... A croire que la princesse s'éveille d'un si long sommeil. Et dire que le prince « charmant » l'a tiré de ses songes en lui parlant de ses fesses. Je fais tellement dans la délicatesse. Au moins, je me rassure en me disant qu'elle connaît par cœur mes « maladresses ». « Je pense que marcher ne me ferait pas de mal, mais si tu désires conduire encore un peu... » Je comprends, après tout, je crois bien qu'on en est à plusieurs heures de route, alors à force, les membres s'engourdissent. Le froid s'infiltre bien que l'été touche à sa fin et que nous avons encore la chance de goûter au rayon de soleil. « Toi, ça va ? » Mon visage tourné vers le sien, je souris, parce que moi, il m'en faut plus que ça. Pas besoin d’un massage sur ton fessier ? » Alors directement mon visage qui était jusque-là serein, change totalement, et je fais semblant de me tordre d'une atroce douleur. Visière relevée afin qu'elle voit vraiment que c'est difficile comme sensation à supporter.
En tentant de garder mon sérieux, je dis tant bien que mal pour la convaincre que je souffre plus que jamais. « Maintenant que tu le dis... » et je grimace encore, et l'expression taquine de ma copine, elle vaut clairement de l'or. « Je crois que j'ai vraiment besoin d'une séance de kiné... » Je le sais, je le jure que je le sais que je vais trop loin, mais c'est simple, je ne peux pas m'empêcher d'être un vrai con, putain. Je n'ai aucune limite, ou presque. Et je me dis qu'elle ne va pas vraiment m'en tenir rigueur. Car ce n'est pas comme si elle ne connaissait pas la véritable couleur de mon cœur. « C'est tout l'entre-jambe qui est douloureux. » Pauvre couillon, tu pousses un peu.
Mais comme elle n'est pas n'importe qui, je me mets à rire, pour détendre l'atmosphère, pour lui signifier que je ne suis qu'en train de déconner, et que j'aime plus que tout autre chose le faire. Une fois ma blague passée, enfin, même si je tressaute encore de rire coquin, mais vrai, je me dis qu'il est simplement temps de se décider. « Le temps de trouver une supérette, pour qu'on puisse se nourrir ce soir, et on s'arrête. » Parce que ça y est, entre le motel et le camping, la belle étoile, j'ai choisi. Ce soir, ce sera la Lune qui sera témoin de nos taquineries. Et redémarrant, je cherche des yeux ce que je viens de lui citer, motiver pour qu'après on essaie de se trouver un point culminant d'où on pourra observer le monde et ses secrets. Ou presque, pas vrai ?
☾ anesidora
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Lien du postMar 3 Nov - 3:45
A ROAD TRIP TOGETHER. Snow et Gabriella
Des virées ainsi à moto, je n’en avais jamais fait ! Alors, me lancer avec Snow, ça me plaît. Il est mon premier, il me « dépucelle » à ce niveau et j’admets que cela me fait sourire, même étouffer un rire rien qu’en y songeant. *Il en a la primeur.* Je pense et je pouffe de nouveau de rire dans son dos, alors que je venais de souffler que j’épousais la liberté. Car oui, je me sens libre et heureuse ainsi qu’en sécurité au côté de Snow. Il fait parti de l’un de mes meilleurs amis et je sais pertinemment que je peux lui confier ma vie. Nous sommes toujours à nous taquiner, à plaisanter et il nous est arrivé de nous offrir à l’autre, comme ça, pour le plaisir, mais il n’y a jamais eu d’ambiguïté. Aucun sentiment amoureux. Nous pouvons donc continuer nos petits jeux, nous titiller encore, toujours, parce que nous savons que cela ne va pas plus loin. Seulement, pour le moment, je reste accrocher à sa taille puisque nous roulons encore, assis sur sa superbe Shelby. Je me dis soudain que je devrais la remercier et lui offrir un petit quelque chose après notre virée, comme de nouveaux pneus, ou que sais-je encore, afin de la remercier. Car elle nous supporte malgré tout, cette superbe cylindrée et bien que l’on pense cela assez « fou » de penser que tout vit, je fais partie de ces personnes qui songent ainsi. Oui, pour moi, s’il l’affuble d’un prénom, c’est que c’est également son cas et puis c’est aussi que mon meilleur pote y est attaché, alors autant la choyer, sa bécane ! Me demandant quelle plaisanterie je pourrais lui faire - juste pour le taquiner, toujours - je termine de songer à des dés d’une couleur qui pète, pourquoi pas en poils, afin de le faire déchanter et qu’ainsi son visage devienne livide. *Qui aime bien, châtie bien.* Je me dis intérieurement, un doux sourire étant à présent encré sur mon visage.
Une fois que nous sommes arrêtés au village, mais toujours postés sur Shelby, j’ose réfléchir à son interrogation et admets que j’aimerais faire une pause, sauf s’il désire continuer à rouler. Car j’admets que mes muscles me tiraillent doucement, mais sûrement. Le fait est que je peux encore patienter, je le sais, alors autant le lui souffler et ne pas faire ma « princesse » quand je me questionne au sujet du nombre d’heures qui viennent de s’écouler. Puis, je termine par m’enquérir de son état, car après tout, c’est lui qui se trouve entrain de conduire et taquine, je l’interroge sur son postérieur, puisque c’est ainsi qu’il m’a interpelé, lorsque nous nous sommes stopper. « Snow. » Je murmure, dans un sourire amusé, levant les yeux au ciel, défaisant mon étreinte autour de sa taille. « Tu as besoin d’un kiné, vraiment ? » Je me retiens de rire, car la situation est plus qu’amusante, réellement ! Snow est un adorable clown, je l’adore pour ce trait de sa personnalité, mais également pour bien d’autres ! « Pas seulement ton postérieur ? Également ton entrejambe ? » Sourire mutin présent sur mon visage, regard plissé, je termine de joindre mon rire au sien, car il cède le premier. Nous voici comme deux couillons à nous esclaffer, dans un village que nous ne connaissons pas et finalement, après son dernier soubresaut, il propose de trouver une supérette afin que nous y achetions de quoi dîner, avant de nous poser. « OK. Allons à la supérette. » Je proclame, pour passer une nouvelle fois mes mains autour de sa taille avant qu’on ne démarre. Il ne faut guère énormément de temps afin que nous dénichions l’endroit devant lequel nous arrêter et une fois que nous avons quitté Shelby, je tapote gentiment cette dernière, dans un sourire. « Merci, la belle, repose-toi un peu. » Je murmure à son intention, quand je dis à mon Snowny : « Attends ! » Et je le rattrape, pour me jeter à sa nuque, alors qu’il se trouve de dos. « Tu ne voudrais pas me porter, dis ? Je crois que j’ai mal au popotin. » Je susurre ce dernier mot, afin de plaisanter encore, à nouveau, puisque c’est en partie ce qui fait que nous sommes si proches, si amis, si liés.
@"Amiel McKenzie"
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Lien du postDim 15 Nov - 13:06
L'arrêt au feu se prolonge un peu, et ça tombe bien car il n'y a personne derrière nous afin de râler, enfin, de toutes les façons, ce n'est pas comme si Shelby était des plus compliquée à doubler. Et tandis que je parle de mon entre-jambe – sous peine de passer pour un obsédé – je me rassure en entendant le son de sa voix, car je sais qu'elle est sur a même longueur d'onde que moi. Celle de la légèreté, et dieu sait que ça me plaît. « Snow. » Oui, c'est moi, fidèle au poste pour toujours être celui qui veillera sur toi. Et qui te fera rire, n'est-ce pas ? « Tu as besoin d’un kiné, vraiment ? » Et bien si c'est réellement négociable, je ne dis pas non, moi. « Pas seulement ton postérieur ? Également ton entrejambe ? » Effectivement, c'est ce que je viens de lui préciser, alors... Si elle veut passer à l'action, je ne suis pas certain de parvenir à dire non. On m'excusera, mais je ne suis qu'un homme, parfois.A road trip together
w/ @Gabriella B. Mitchell
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Mais puisqu'elle a défait son étreinte, je comprends bien qu'elle ne risque pas de m'en faire, du bien. Alors on se met à rire, pour conclure ce petit aparté, sur lequel je lui dis comment va se dérouler la suite des évènements. « OK. Allons à la supérette. » Parfait. Et d'un coup de pied sur la pédale, nous voilà reparti de plus belle. On roule donc encore un peu, jusqu'à ce qu'on trouve ce qu'on recherche, et sur le parking, juste devant l'entrée, je m'arrête.
A tour de rôle, on descend, elle en premier, forcément. « Merci, la belle, repose-toi un peu. » Elle dit à ma moto, et je souris face à nos caractères complétement tarés. Prêt à aller acheter ce qu'il nous faut, je devance Gabriella sauf que je n'avais pas prévu de sentir la blondinette s'accrocher à moi. « Attends ! » Forcément, vu que ses mains s'attachent à ma nuque, je marque un arrêt, curieux de connaître la suite de ses pensées, qu'elle dise à voix haute ses étranges idées. « Tu ne voudrais pas me porter, dis ? Je crois que j’ai mal au popotin. » Je tourne le visage, alors, autant que ce que me le permets la position, pour tenter de croiser son regard, et lui balancer un « Pardon ? » Non parce qu'il me semble qu'elle essaie de profiter de la situation. J'en plisse les paupières, et je me sens déjà faible quand j'ajoute, d'une voix plus douce que la première. « Sérieusement ? » Elle m'a déjà eu, moi et mon caractère faussement mauvais, mais c'est de bonne guerre que de faire semblant d'hésiter.
Et toute de même, parce que je ne suis pas qu'une bonne pâte, voir un pantin, je lui précise d'un air taquin. « Tu fais chier. » parce que oui, il faut quand même qu'elle le sache, bien que je suis déjà en train de céder, à son caprice d'enfant gâtée. Et à l'aide de mes mains, je l'aide à s'accrocher. Une fois qu'elle est sur mon dos, je lui glisse les termes du contrat « Jusqu'à l'entrée, c'est tout. » non parce qu'il ne faudrait pas non plus qu'elle pense pouvoir tout obtenir de moi, juste parce qu'elle a un joli minois. « Parce que faut pas croire... » je commence à lui dire alors que j'avance avec son corps sur le dos. Franchement, c'est un poids plume alors, ça ne me perturbe pas tant que ça de l'avoir sur moi. « Mais elles pèsent leur poids. » Plus que quelques pas qui nous séparent de l'entrée, et à une distance potable, je la repose en terminant ; « Tes fesses. » Et je lui lance un sourire avant de pénétrer dans le magasin. Pas le peine de préciser, n'est-ce pas, que son derrière, il est très bien. Mais d'arrêter d'en parler, ce serait peut-être bien le moment, parce que sinon, la belle se risque, à se voir ploter dans très peu de temps.
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