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I LOVE HARVARD
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  • in the still of the night // margot
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    in the still of the night




    J'ai le droit, ce soir, à La Margot dans toute sa splendeur. A tous ses charmes et sa candeur. Putain à toute sa luxure, et je sais pertinemment qu'elle pourrait m'avoir, à l'usure. Je ne suis qu'un homme après tout, et pour la refuser plusieurs fois, il faudrait être fou. Mais le jeu de la séduction, bon sang, ce que c'est bon. Cette langoureuse tentation. Et le plaisir aussi de la tenir entre mes doigts, de me dire que je suis le loup et elle la proie. « Vraiment ? Moi, je pense que tu aurais passé ta soirée avec quelqu’un d’autre si tu n’avais pas de remords. » Qu'elle murmure à mon oreille, pernicieuse et que ses dents vont me mordre, vicieuses. Elle mériterait que je lui fasse comprendre qui commande sur l'instant, que j'aille la plaquer contre un mur pour la bouffer. Mais puisque c'est tout ce qu'elle veut, me faire craquer, je me contente de rire faussement gêné, en ajoutant « Margot, tu m'as démasqué. » et je feins d'être touché, chose que je ne suis pratiquement jamais. Surtout pour une fille que j'ai moi-même rejeté. Ce n'est pas comme si j'étais en train de – face à elle – ramper.

    Et c'est moi, qui essaie de lui faire dire à présent qu'elle regrette, bien que je ne sache pas vraiment quoi. Après tout, faut avouer que mon frère vaut le coup d'œil alors … « Sérieusement Snow, je ne suis jamais tombée amoureuse de ton frère. » Elle lève les yeux au ciel, maniérée autant qu'agacée. Sauf que voilà, le problème de l'histoire ce n'est pas l'amour. Ca encore, ça aurait pu passer, que tu tombes amoureuse de lui avant de me préférer. Le souci, ça vient d'ailleurs. C'est que ce sont ses draps que tu as visité. Ses mains qui t'ont fait crier. Lui qui est allé au plus profond de toi, et ça bordel, je ne digère pas. C'est malsain de passer en second choix. Surtout quand le premier possède le même sang que toi. « Mais je regrette de ne pas être tombée sur toi en premier. » qu'elle reprend, et moi aussi, je le regrette, évidemment. « tu n’es peut-être pas le genre d’homme que je fréquente habituellement, tu manques aussi peut-être d’un peu de classe. » Garce, et j'ai encore plus envie de lui faire fermer sa jolie bouche. « mais je me suis toujours demandée ce que ça serait une aventure avec le « méchant » frère. » Elle mord son inférieure, provocatrice. Et mes mains se font plus pressantes sur elle, sur le bas de ses reins.

    Je l'empoigne – ou presque – pour la coller contre mon bassin. Son regard, je le capture du mien. Nos lèvres sont dangereusement proches, qu'un seul pas et ma langue pourrait aller violer sa bouche qui vient de m'attaquer. « Je manque de classe ? » je crache entre mes dents. Je ne suis qu'un homme, je l'ai précisé, avec un ego démesuré et elle vient de l'écorcher. « C'est pour ça que je te plais autant. » Parce que tu sais que je suis vivant. Que les autres hommes ne sont pas à la hauteur. « C'est un homme comme moi qu'il te faut. » Parce que si je me glissais entre tes cuisses, je t'en ferais perdre le moindre de tes mots.

      


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    Lien du postLun 14 Sep - 5:14
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    ≈ ≈ ≈
    {in the still of the night}
    ✰ w/ @A. Snow Burns

    Maintenant que son corps était proche de celui de Snow, Margot savait qu’elle ne rentrerait pas indemne de cette soirée. Elle n’était peut-être pas ravie de sa venue au départ, actuellement elle n’était plus vraiment capable de relâcher Snow de ses griffes acérés. Le brun savait comment l’a manier, utilisant ses points sensibles comme avantage et sachant l'utiliser comme une pauvre marionnette. En général, Margot n’est pas faible, mais quand il s’agit de luxure, elle oublie parfois sa fierté. Elle a essayé de retenir ça coute que coute depuis le début de la soirée, mais soyons honnête, il était bien trop enivrant pour qu’elle résiste. Elle avait quelques verres en poche, un sourire bien trop dévoilé et une poussée de chaleur entre ses cuisses, il est difficile de faire demi-tour. Elle continuait de danser contre son corps, ne pouvant s’empêcher de montrer son agacement lorsque la discussion restait toujours sur son frère. Elle savait qu’il avait un sérieux complexe sur le fait qu’elle ait couchée avec lui, puis et alors ? Elle le pensait plus courageux que ça. Ne perdant pas son sourire d’aguicheuse, elle décida d’être sympathique pour une fois en lui faisant des compliments à sa manière, c’était bien rare pour la rousse, qu’il en profite. Elle le laissa agripper ses hanches, il n’avait pas besoin de parler, elle voyait bien à son comportement qu’il était entrain de craquer et que la princesse était sur le point de gagner la partie. Un léger rire s’échappa d’entre ses lèvres lorsqu’il répéta ses mots lorsqu’elle parlait de son manque de classe. Evidemment, c’est ce qu’il a retenu. Peut-être, tu sais me donner des défis et j'avoue que j’aime ça. Dit-elle en ne quittant pas son regard vert du siens. Leurs visages n’avaient que quelques centimètres qui les séparaient, la chaleur qu’elle ressentait en elle l’a suppliait de craquer et d’oublier ce petit jeu. Mais son cerveau l’empêchait, lui disant qu’elle devait avoir le dernier mot. Alors qu’est ce que tu attends ? Je ne pourrai pas être sûre de ton affirmation tant que je n’ai pas goutée. Dit-elle en frôlant pratiquement ses lèvres des siennes et serrant ses ongles contre sa nuque. Il disait aujourd’hui qu’il était l’homme qu’il lui faut et bien qu’il le prouve. Qu’il essaye donc de l’embrasser comme aucun autre homme ne l’a encore fait.
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    Lien du postJeu 24 Sep - 14:18
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    in the still of the night




    Il faudrait être fou pour ne pas vouloir d'une telle femme dans son lit. Vraiment, je fais preuve d'un contrôle que je n'ai pratiquement jamais. Et l'avoir contre mon corps n'aide rien à mes efforts. Ceux dont je fais preuve pour ne pas lui proposer directement de terminer cette nuit chez moi. Et lorsqu'elle rit, provocante, alors que je souligne de quelques mots le fait qu'elle a blessé mon égo, j'ai encore plus envie de faire taire cette bouche de bien des façons. Ou plutôt seulement lui donner l'occasion de crier mon prénom. « Peut-être, tu sais me donner des défis et j'avoue que j’aime ça. » Ce que tu aimes c'est quand un homme ne te montre pas tout le pouvoir que tu peux avoir sur lui. Mais surtout, c'est ce jeu de séduction, c'est l'attente et le processus qui sert à faire grimper la tension. Et ses doigts qui agrippent ma nuque, son visage qui s'approche de bien trop près. Cette tentation qu'elle renforce, pernicieuse quand elle propose ; « Alors qu’est ce que tu attends ? Je ne pourrai pas être sûre de ton affirmation tant que je n’ai pas goutée. » Ses lèvres qui frôlent les miennes, c'est une invitation à la luxure, je le sais, et je dois faire preuve d'un énorme self control pour ne pas la conduire dans les toilettes afin de la sauter. « Tu joues avec le feu. » Ou peut-être qu'en réalité c'est moi qui le fait, car je ne sais plus vraiment qui a provoqué l'autre en premier. J'avoue que mon cerveau ne sait plus très bien fonctionner, comme quoi l'adage est vrai, un homme ne s'entend plus dès que la barrière du sexe est impliquée.

    Je sais pertinemment que cette histoire avec mon frère est un blocage et que je ne supporte pas l'idée d'être un de ses seconds choix, alors j'essaie de remettre de l'ordre à l'intérieur de moi. Elle a toujours sur ses lèvres ce mystique sourire et je sais bien qu'elle n'attend que ça, alors je fous en l'air toutes mes précédentes balivernes. Parce que ma paume remonte sur elle, effleure sa peau et son épaule dénudée, ma bouche va chercher la sienne, prend les devants et ma langue passe la barrière des convenances quand sa chaleur offre à la sienne une danse. Le baiser est enclin à la violence. A lui montrer combien notre petit amusement me mets en transe. Je le sens qu'elle voudrait que j'accentue encore, tout comme en moi ça me dévore. Mais je mets un terme à notre échange, en restant à une parfaite distance, proximité maîtrisée juste afin de lui souffler. « T'as perdu. » J'ai pris le dessus.


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    Lien du postMar 13 Oct - 20:07
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    ≈ ≈ ≈
    {in the still of the night}
    ✰ w/ @A. Snow Burns

    C'est certainement ce que Margot préfère dans le jeu de la séduction ; l'attente. Elle était enivrée et excitée, tout ça sans réellement savoir si elle allait finir par craquer ou bien si c'est Snow qui craquera en premier. Elle essayait de garder son calme et son sérieux, mais elle en oubliait presque le but du jeu tellement elle avait envie de le plaquer contre une table et de lui arracher tous ses vêtements. Habituellement, elle était un peu plus classe que ça, mais le brun venait de réveiller la lionne à l'appétit sexuel en elle. La rousse n'était plus capable de faire demi-tour, elle savait que si elle abandonnait ses bras et son corps collé au siens, elle en serait bien trop frustrée. Après tout, cela faisait bien trop longtemps qu'elle désirait l'avoir dans son lit le temps d'une nuit. Ah oui ? Tu brûles déjà depuis un moment, tu sais. Dit-elle de son sourire en coin quand il disait qu'elle jouait avec le feu, en effet, elle y jouait depuis longtemps et le bar n'allait pas tarder à s'incendier. Elle continuait encore de le provoquer en murmurant un défi contre ses lèvres, il parlait beaucoup et elle demandait plus d'action de sa part. Son coeur manqua un battement quand il décida d'attraper ses lèvres pour les embrasser fougueusement, enivrée par ce baiser endiablée, Margot prolongea en serrant ses doigts contre sa nuque qu'elle remontait dans ses cheveux. Ses lèvres et sa langue devenaient sauvage, montrant à quel point elle avait besoin de ça. Elle oubliait les menaces et la guerre qu'ils s'étaient promis, profitant de cette luxure qui commençait à retrouver son apogée. Une fois qu'il se recula, elle posa ses prunelles dans les siennes, essayant de reprendre ses esprits. Tu rigoles ? TU as perdus en craquant le premier. Dit-elle d'un petit rire en secouant sa tête, arrivant malgré tout à refuser cette défaite. Elle décida finalement d'attraper son bras pour le tirer avec elle hors du bar, il n'avait pas le droit de l'embrasser de cette façon et de tout arrêter. Sa voiture garée devant le bar, elle ouvrait la portière arrière pour y entrer tout en tirant Snow avec elle. Elle monta sur ses genoux à califourchon, un sourire en coin sur ses lèvres. Là, j'ai perdu. Dit-elle d'un sourire en coin alors qu'elle le tirait par sa chemise vers elle pour à nouveau attraper ses lèvres. Si elle devait perdre, autant le faire bien.
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    Lien du postDim 18 Oct - 21:41
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    in the still of the night




    Les enfers en moi, elle les déchaine, et je n'ai plus l'envie de la voir princesse, juste chienne. Margot, c'est celle que j'ai jamais pu avoir, et ce soir, je le vois bien que je fous mes principes au placard. Je la veux, et rien d'autre n'a d'importance dans notre jeu. Est-ce que ça vaut vraiment la peine de préciser qu'elle joue avec le feu ? « Ah oui ? Tu brûles déjà depuis un moment, tu sais. » Et sa bouche, je voudrai bien qu'elle la boucle. Qu'elle arrête de vouloir me tenir tête, et de feindre le fait qu'elle maîtrise la bête.

    Alors on l'atteint, ce point de non-retour. Ce jamais qui sonne finalement avec « un jour ». Le baiser est vif, il est cuisant. Il est lascif, foutrement violent. Elle y répond, avec fougue elle aussi, elle s'accroche à moi, et je ne sais même pas comment j'arrive à prendre sur moi. Parce que j'arrête cet acte, alors que je voulais que nos corps l'un contre l'autre se débattent. L'esprit encore affublé de mon envie, je parviens tout de même à lui intimé une sombre vérité. Elle a perdu, on a fini de jouer. J'ai gagné. Parce que Snow Burns gagne toujours, pas vrai ? « Tu rigoles ? TU as perdus en craquant le premier. » J'en lève les yeux au ciel, ma langue sur mes dents, écœuré par ses déductions, et mon âme ravagée, ayant le besoin de plonger avec elle dans les affres du charnel et leur perdition. « Démon. » je crache quand elle rit de nos actions. Je déteste me faire prendre pour un con.

    Mais voilà que la demoiselle change la donne, qu'elle m'attrape la main, et que je la suis comme un chien. Faiblesse du masculin. Attrait divin. Putain, je veux embraser le bas de ses reins.
    On se retrouve dans sa voiture, et elle me prend comme monture. « Là, j'ai perdu. » qu'elle murmure. Avant que nos lèvres se retrouvent pour battre la mesure. Mes paumes caresses sont dermes, ses épaules dénudées, obstrués par cette robe que j'aimerai lui retirer. Et j'en viens à maudire sa voiture car je ne peux me mouvoir comme je le souhaite vraiment. Etriqué dans mes vêtements. Le désir grimpant. J'en oublie que mon frère est déjà passé par là avant.

    De ses lèvres à son cou, ma bouche la parsème, j'en deviens fou. Avant de remonter vers son oreille à laquelle je murmure de tout à l'heure, l'inverse. « Déesse. » A ma morale, je préfère l'ivresse. Et je reprends de plus belle mes caresses. Mes phalanges glissent sur elle, elles vont jusque ses hanches, sur lesquelles j'effectue une pression, tandis que de mes lèvres je vais à nouveau couper sa respiration. Baisers fougueux, et mes doigts vont se glisser sous le tissu de sa robe, sur d'eux. Ils taquinent les cuisses, avant d'aller érafler le sous-vêtement... « Rappelle moi pourquoi on a pas fait ça avant ? »


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