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Lien du postSam 25 Juil - 0:12
“can't take my eyes of you.”& Il était neuf heures du soir lorsque Shade alluma sa voiture avec cette musique à fond dans la bagnole qu'il ne trimballait que deux ou trois fois dans le mois. Il se mit à chanter d'une voix aiguë dans la voiture, le faisant même rire par moment. Mais il était en pleine ambiance. Ce soir, il avait rendez-vous avec des amis dans un bar branché. Il n'avait pas l'habitude d'aller dans ce genre d'endroits si ce n'est pour discuter calmement. Car dans ce genre d'endroits, pas moyen de choper quoi que ce soit. Toutes les femmes étaient fermées comme des huîtres. Mais soit. Ce soir, il ne comptait rien ramener de toute manière, juste profiter de revoir des amis qu'il avait rencontré par le biais de son boulot de détective. Ils avaient tous la trentaine passé et il avait apprécié ces gens qui ne se prenait pas la tête. Ils pouvaient en découdre sur des choses si sérieuse pour finir par parler d'une chose totalement différente en se tordant par les côtes tellement les conversations étaient drôles. On l'avait prévenu qu'il y aurait de nouvelles têtes ce soir, au moins une. Une de leur connaissance également. Il arriva donc tout sourire à l'adresse et entra presque en moonwalk. Ils étaient tous déjà là. Il marcha à pas dansant vers eux, les saluant chacun leur tour jusqu'à ce qu'arrive le tour de la nouvelle tête comme il le disait bien. Shade s'arrêta net. "Madame Mitchell ?" demanda-t-il en souriant. Un sourire satisfait, dragueur, presque narquois. Gabriella Mitchell, une professeur d'Harvard qu'il avait dragué sans honte dans les couloirs de la fac parce qu'elle était tout juste à tomber. Quel genre de prof avait presque son âge et était aussi canon ? La plupart des mecs allaient à ses cours juste pour mater son beau petit cul à vrai dire. "Comme on se retrouve." ajouta-t-il avec un clin d'oeil à son encontre.
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@Gabriella B. Mitchell
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Lien du postMar 28 Juil - 1:52
(( Can't take my eyes of you. ) You'd be like Heaven to touch |
J’adore sortir rejoindre des amis et faire de nouvelles rencontres prometteuses, alors, lorsque l’on m’a proposé de rejoindre un petit groupe dans un bar branché, je me suis dit que c’était l’occasion de passer l’une de mes belles jupes en cuir, fendue sur le côté gauche, afin de dévoiler mes superbes jambes longues et fines, pour pouvoir attirer les regards des mâles sur ces dernières. Esquissant un sourire en examinant mon reflet dans le miroir, j’enfile une paire d’escarpins Louboutin noirs, puis je passe une veste de costume légèrement large, étant donné que la mode est au oversize. « Parfait. » Je prononce en passant mes mains dans ma longue chevelure, pour appeler mon chauffeur de taxi préféré. « Bonsoir, c’est Gabi ! » Je m’exclame, dans un sourire. « Je dois sortir, vous pouvez venir me chercher à mon immeuble ? » Je demande, tout en inspectant mon maquillage. « Parfait, à dans une dizaine de minutes. » Je souffle, pour raccrocher et me prendre en photo, afin de l’envoyer à ma meilleure amie. Prenant quelques pauses, pour le fun ainsi que pour patienter, je rejoins le vestibule de ce dernier avec hâte, toute guillerette, à l’idée de passer une soirée loin de mon chez-moi, bien que j’aime m’y retrouver parfois. Le fait est que je suis en vacances depuis peu et que je souhaite profiter de chaque journée ! Alors, saluant mon taxiste préféré en déposant une bise sur sa joue, prenant place à ses côtés et non derrière lui, j’attache ma ceinture pour me mettre à danser, sur la musique qui règne en fond sonore dans l’habitacle de son véhicule. « Vous êtes en forme, Gabriella. » Qu’il me dit, dans un mince sourire. Je suis semblable à l’une de ses filles, pour mon conducteur préféré, puisqu’il en a une du même âge que moi, mais qui vit à l’autre bout des États-Unis. « Je suis en vacances et je compte profiter de chaque minute, que dis-je ! De chaque seconde de celles-ci ! » J’affirme, tout en continuant à danser, avant que nous n’émergions devant le lieu-dit, celui de rendez-vous. « Je vous rappelle tout à l’heure. » Je dis, pour lui envoyer un baiser une fois que je me trouve en dehors de son véhicule. « À toute ! » L’affublant d’un large signe de main, je rejoins à pas de courses le bar, pour y pénétrer et embrasser chaque personne composant le petit groupe de ce soir. « Bonsoir ! » Je m’exclame, pour leur offrir également une accolade et ôter ma veste. « On boit quoi ? » Je les interroge déjà, quand ils m’annoncent qu’il manque une personne afin que l’on soit au complet. « OK. Attendons-là. » Je réponds, dans un mince sourire, pour hausser les épaules, puisque de toute manière, je finirais par boire. « Qui… » Je n’achève pas ma phrase qu’un hurluberlu passe le pas de la porte, dans quelques pas de danse. Lorsque je perçois son visage, je le reconnais sans mal et je me dis soudain que la soirée va être excessivement intéressante, puisqu’il s’agit d’un ancien étudiant, qui ne se gênait pas afin de me draguer dans les couloirs de Harvard. Ce qui a changé à ce jour, est qu’il n’en est plus un, ce qui signifie que je vais enfin pouvoir me laisser aller à entrer dans son jeu de séduction. « C’est moi, Shade. » Je prononce, encrant mes prunelles dans les siennes. « Effectivement, comme on se retrouve. » Je prononce, tout en gardant ce contact visuel pour l’inviter à prendre place à mes côtés, lui indiquant le siège libre en tapotant dessus. « Mais à présent, c’est Gabriella. Puis, nous pouvons nous tutoyer. Tu ne penses pas ? » Je l’interroge, tout en lui offrant un sourire qui ne manque pas de charme.
- TENUE DE GABRIELLA:
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Lien du postSam 1 Aoû - 0:15
“can't take my eyes of you.”& Il venait de rentrer dans le bar heureux et dansant presque sur lui-même. Shade se sentait d'attaque ce soir, il était rarement de si bonne humeur bien que cela lui ressemblait. En rentrant, il salua toutes les personnes présente qu'il connaissait déjà. Une bise par ci, une tape de main par là, puis il s'arrêta net en reconnaissant une femme en particulier. Pourtant, son sourire toujours scotché aux lèvres qui s'agrandit en la voyant. Il ne savait pas quel pouvait être son secret, mais elle était encore plus attirante que dans ses souvenirs. Peut-être était-ce parce qu'il avait grandit ? Vieillit ? Devenu adulte ? Sûrement cela. Il se rappela à quel point il était immature à sa sortie d'Harvard, ne sachant pas ce qui l'attendait une fois sortit de là et la vie d'adulte lui ouvrant les bras. Il avait été excité, il se le rappelait, à l'idée même d'ouvrir son cabinet et de ne plus avoir à passer les examens. C'était une période de trop grand stress à chaque fois, et il détestait étudier et apprendre des choses par coeur bien qu'il avait une mémoire exceptionnelle. C'est juste le fait d'étudier, il n'aimait pas ça du tout. Alors, évidemment, comment cette femme déjà dans la vie active aurait pu lui dire oui ? Impossible quand il se souvint de cela. A quel point il était impétueux. Physiquement, il était toujours le même à quelques muscles près. Mais mentalement, il avait tout de même évolué. Bon, il restait immature encore, mais ce n'était rien comparé à Harvard. Lorsque Gabriella lui répond, il chancelle. Elle n'a plus cet air fermé qu'elle avait lorsqu'il lui lançait des piques dans les couloirs. Au contraire, elle est souriante et même ouverte. Sa main tapote le siège à côté d'elle, l'invitant à s'asseoir à côté d'elle. Des sifflements se font entendre et il est vite sortit de la bulle fragile qui commençait à se former en l'espace de quelques secondes. "On savait pas que vous vous connaissiez tous les deux." dit l'un d'eux. Il haussa les épaules et prit place à côté d'elle. "Tu savais pas que je connaissais tous les habitants de Boston ?" lança-t-il en riposte. Il les sentaient venir tous, à les regarder du coin de l'oeil. En parlant de ça, ses yeux se posèrent sur les jambes de la brune, croisées de manière si féminine, coincées dans une jupe en cuir. Il releva la tête lorsqu'elle continua à lui parler. "Evidemment qu'on peut. Les vieilles habitudes pardonne-moi." Un sourire charmeur à son encontre et Shade comprend que madame Mitchell n'en a plus rien à faire de ces vieilles histoires. Il commande plusieurs bières pour la table et repose ses yeux sur elle. "Alors, t'es toujours prof à Harvard ou tu as changé de voie parce que t'en avais marre de tous les petits cons qui te matent ?" l'interrogea-t-il en se laissant aller contre le siège, désinvolte.
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@Gabriella B. Mitchell
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Lien du postDim 16 Aoû - 3:42
★ ─ Can't take my eyes of you. w/ @Shade Ralston |
L’arrivée de Shade me surprend, mais surtout, elle me plaît ! Je me souviens de nos rencontres dans les couloirs de l’université, du regard qu’il posait sur mon minois et je dois admettre que cela éveille de bons souvenirs en moi, puisque j’adore que l’on me regarde de cette façon. Alors, tandis que je le fixe, que je le dévore légèrement des yeux, je confirme qu’il s’agit bel et bien de moi : Gabriella. Écoutant les sifflements des personnes nous accompagnant tandis que je lui fais signe de prendre place à mes côtés en tapotant le siège libre, un petit rire s’extirpe d’entre mes lèvres à l’interrogation de l’un d’eux ainsi qu’à la réponse dans un haussement d’épaules de Shade. « Tu es bien curieux, mon ami. » Je réponds, en fixant la dite personne ayant posé cette interrogation. « Cela ne te regarde absolument pas, c’est uniquement entre Shade et moi. » Je conclus, offrant un clin d’œil complice à l’ancien étudiant se trouvant à présent à mes côtés, pour le fixer à nouveau, encrant mes prunelles dans les siennes et mordre légèrement ma lippe inférieure dans un sourire à sa question. « Non. Je ne le savais pas. Tu me surprends. » Je réponds, tout bas, créant une intimité que nous n’avons encore connu, puis aussi pour faire parler les autres personnes nous accompagnant, afin d’attiser davantage leur curiosité. « Tu te rinces bien l’œil ? » Je l’interroge puisque je note qu’il dépose son superbe regard sur mes jambes croisées, dont ma jupe de cuir avec une ouverture sur le côté, remontant jusqu’à l’une de mes cuisses. « Il n’y a pas de problème. J’apprécie ses vieilles habitudes. J’aimais nos rencontres dans les couloirs de Harvard, figure-toi. » Je réponds, pour poster mon coude sur la table et positionner ma tête sur la paume de ma main, regardant toujours cet Adonis se tenant à mes côtés. « Merci pour la bière. » Je murmure à son intention, adorant en boire pour laisser un rire s’extirper d’entre mes lèvres charnues à sa nouvelle interrogation. « Alors oui, j'y suis toujours professeure, mon beau. » Je commence, laissant quelques secondes s’écouler afin qu’il assimile le surnom dont je l’affuble pour continuer : « Puis, j’aime assez que des petits cons me matent, en réalité. Cela flatte mon ego. » Je l’admets, puisque je suis célibataire. Évidemment, ce statut me convient, étant donné que je ne souhaite plus être en couple, le fait est que j’adore plaire, j’aime plus que tout attirer les regards puisque les femmes sont à l’image des roses : elles éclosent, s’épanouissent, puis elles fanent et mon heure viendra, comme pour toutes les autres femmes, bien malheureusement. « Et toi, dis-moi… » Je commence, pour me permettre de m’emparer de l’une de ses mains : « Attends ! Laisse-moi deviner. » Je prononce, pour lui offrir un énième sourire charmant. « Vu l’état de ta main, je suppose que tu ne travailles pas dans le bâtiment. Puis au vu de ton style et de ton caractère, je t’imagine très bien être ton propre chef. Jusqu’ici, est-ce que je me fourvoie ? » Je lui demande, gardant sa main dans la mienne avant de recouvrer notre contact visuel, notre connexion, dans le but de rester dans notre bulle où nous ne sommes que tous deux.
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Lien du postMer 26 Aoû - 23:24
“can't take my eyes of you.”& Il s'installe avec aise aux côtés de Gabriella. Il remarque son regard appuyé, charmeur et il frémit à l'idée de plaire à cette femme imposante sur laquelle il avait fantasmé bien des fois en la voyant à Harvard. Et tandis que les autres personnes à leur table les taquinent, il est enjoué face au répondant de la belle brune. Elle a une répartie qu'il apprécie et il ne peut s'empêcher de rire en l'entendant remettre à sa place le curieux de service. "Ecoute donc la belle, c'est entre elle et moi." qu'il relance aussitôt en adressant un clin d'oeil au concerné. Elle créée une proximité entre eux, une espèce de cocon, une intimité qu'il ne peut qu'apprécier. Il ne voulait pas être grossier, mais il l'aurait bien prise par la main pour l'emmener à une autre table, que leur petit jeu naissant prenne place ailleurs que sous les yeux curieux des autres. Même si ce n'était pas pour lui déplaire de lui faire du gringue devant tout le monde. Ses lèvres qu'elle mord le rende affable, elle s'amuse et s'en délecte. "Et bien tu le sais maintenant. Personne n'a de secret pour moi." Car il aime fouiner Shade, il aime observer et fouiller dans la vie des gens, à la recherche de leurs secrets. Détective privé, un métier qui lui va si bien. "Effectivement, j'aime beaucoup ta jupe." qu'il lui répond en souriant en coin, reposant ses yeux sur ses jambes. Il n'imagine même pas à quel point cette jupe magnifierait son jolie petit cul. "Tu cherches à te faire draguer ce soir n'est-ce pas ?" qu'il ajoute en levant un sourcil. Personne dans la pièce ne pouvait être à la hauteur du chasseur qu'était Shade. Lui qui ne pensait pas devoir faire appel à ses charmes ce soir, le voilà surprit. Il manque de s'étouffer en l'entendant dire qu'elle aimait le fait qu'ils se rencontrent dans les couloirs. Alors, elle cachait bien son jeu la professeure. Quelle coquine, pensa-t-il. "Pour autant, tu ne m'as jamais laissé entrer dans ton bureau pour te montrer à quel point je pouvais apprécier ta matière." qu'il glisse à son oreille, en se rapprochant si près qu'il pu sentir son parfum. C'était officiel, il préférait Gabriella plutôt que Mme. Mitchell. Elle était ouverte, taquine et à vrai dire, il aimait particulièrement les aises qu'elle prenait à son égard. Shade se mit à siffler lorsqu'elle lui fit sa révélation. "Madame Mitchell vous êtes surprenante ! mais vous êtes une femme. Elles adorent toutes ça en réalité." Il lui ajoute un petit clin d'oeil et apporte sa bière à ses lèvres pour en prendre plusieurs gorgées. Il arrête dès lors qu'elle prend sa main et l'observe de son regard perçant et mystérieux. "Tu es sur la bonne voie ma belle. Continue donc, et tiens, si tu devines, tu pourras me demander ce que tu veux." chuchota-t-il en caressant sa paume de main. Aussi léger qu'intense, de sorte que personne ne puisse le voir, mais que seulement elle puisse le sentir. "Laisse libre court à ton imagination, je n'ai aucune limite." Il sourit, en ne détournant pas son regard, il le soutient au contraire. Cette proximité qui s'est créé en l'espace de quelques minutes est une révélation : ils iraient tous les deux à ravir dans les draps rouges du beau blond, cette nuit.
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@Gabriella B. Mitchell pardonne moi pour le retard
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Lien du postDim 30 Aoû - 2:49
★ ─ Can't take my eyes of you. w/ @Shade Ralston |
Je pensais passer une soirée à discuter en toute décontraction avec un groupe de personnes tout en buvant des bières ou autres alcools, mais finalement, lorsque je constate sa présence, je me rends compte que cette dernière va se trouver bien plus intéressante. Je me dis aussi que ma tenue choisie va servir à quelque chose de plus qu’attiré les regards, puisque dans mes souvenirs les plus lointains, Shade aimait me rencontrer dans les couloirs de Harvard afin de me séduire, et cela, en se moquant des convenances. Souriant en y repensant, j’ose lui demander de s’asseoir près de moi en tapotant le siège libre, puisqu’il n’est plus étudiant et que je ne transgresse par conséquent plus la moindre règle universitaire. Lorsque je note l’intérêt d’une personne du groupe concernant notre soudaine proximité et notre envie de nous rapprocher, je lui rabats gentiment son caquet, pour sourire aux mots prononcés par mon beau Shade, qui m’affuble du qualificatif « belle » avant d’appuyer les miens, puisqu’effectivement, ce qui se passe entre nous ne les regarde pas. Plantant mes prunelles bleutées dans les siennes, créant une intimité entre nous, par notre proximité et mon intérêt envers sa personne et uniquement celle-ci, je lui souffle que je suis surprise par le fait qu’il connaisse tout le monde à Boston et à sa réponse, j’esquisse un fin sourire tout en gardant cette information précieuse dans mon esprit. *Comme ça, personne n’a de secrets pour toi, Shade…* Je prononce dans mon esprit, tout en continuant à le dévorer du regard. « Tu aimes beaucoup ma jupe en cuir ou tu aimes ce qui se trouve dessous ? » Je l’interroge, mes prunelles pétillantes de malice, alors que je reprends : « Je parle de mes jambes uniquement et non de l’intégralité de mon corps, bien sûr. » Mes propos ne sont totalement véritables puisque je suis certaine qu’il souhaite voir non seulement mes jambes, mais également le restant de mon minois, nu, sans le moindre doute. « Est-ce que je cherche à me faire draguer ? » Je prononce dans un souffle, reprenant ses dires, sans quitter ses prunelles magnifiques et claires. « En vérité, je souhaitais attirer les regards. » Je commence, pour continuer : « Mais je ne pensais pas que je me ferais draguer... Ou très peu. » Je prononce, sincère, puisqu’ici, ce n’est un endroit où l’on se rend pour rencontrer une personne que l’on peut potentiellement ramener dans son lit. « Si je ne t’ai jamais laissé entrer dans mon bureau, c’est parce que je savais ce qui se produirait et il y a des règles Shade, que je ne bafoue pas. » Je murmure, adorant cette proximité non seulement entre nos corps, mais également entre nos visages à présent. « Si je l’avais fait, j’aurais dû verrouiller derrière nous. » Je continue, pour me rapprocher de son oreille et susurrer dans cette dernière : « Puis, il aurait fallu que tu me bâillonnes ou que tu recouvres mes gémissements de plaisir en écrasant tes lèvres contre les miennes. Je suis bruyante lorsque j’exprime ce que je ressens. » Je termine, pour rapprocher mes lèvres des siennes, déplaçant mon visage avec lenteur avant de me dérober, puisque j’adore jouer. Le délaissant afin d’avaler quelques gorgées de ma bière, je termine par déposer mon verre sur la table, puisque je suis amusée par sa déclaration. « Shade. » Je commence, souriant plus largement encore. « Les femmes adorent qu’on les regarde, tu le sais. Tu viens de le dire. Nous sommes toute chose lorsque l'on nous porte beaucoup d'intérêt. » Je continue, avant d’avaler quelques nouvelles gorgées et m’emparer de l’une de ses mains, pour la garder dans la mienne et l’examiner attentivement, puisque je désire savoir ce qu’il fait à présent et que je souhaite jouer en l’apprenant par moi-même, plutôt qu’en le laissant tout me révéler en une phrase. M’y essayant, je le questionne pour savoir si je suis sur la bonne voix et à sa réponse, je murmure : « Tout ce que je veux, vraiment ? Intéressant. » Je reprends mes réflexions, adorant ses caresses sur ma paume, qui m’électrisent, jusqu’à mon bas-ventre. « Tu n’as aucune limite, vraiment ? » Je plisse les yeux et ajoute : « J’adore l’idée. » Puis, après avoir gardé un contact visuel des plus intenses, je me saisis de sa main avec les deux miennes, tout bonnement parce que je désire trouver et ainsi pouvoir lui demander ce que je souhaite. « Tout à l’heure, tu as prononcé quelques mots qui pourraient m’aider à trouver ce que tu fais. » Je commence, me démontrant énigmatique à souhait. « T’en rappelles-tu ? » Je continue, en mordillant ma lippe inférieure, pour continuer, afin de lui rafraîchir la mémoire et ne pas lui laisser le temps de me répondre. « Tu m’as assuré que personne n’a de secret pour toi et auparavant, tu m’as interrogé sur le fait que je ne sache pas que tu connais tout le monde, ici, à Boston. » Faisant une pause, de nombreuses idées afflux dans mon esprit et je les trie, rapidement, laissant une bonne grosse minute s’écouler pour finalement retrouver son regard. « Je pense que tu as ta propre agence et que tu fais dans le privé. Ne serais-tu pas, par conséquent, détective privé, mon cher Shade ? » Je termine, attendant sa réponse à mon interrogation. « Sache que si je suis dans le vrai, il va me falloir du temps afin que je te demande ce que je souhaite. J’ai beaucoup trop d’idées et d’envies. » Je prononce, pour humecter mes lèvres à l’aide de ma langue, de manière lascive afin de le captiver et de lui donner envie d’épouser les miennes. « Alors, mon beau. Suis-je dans le vrai ? Ai-je trouvé ton emploi ? » Je murmure, toute excitée ainsi qu’impatiente.
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@Shade Ralston - Il n'y a pas de souci.
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Lien du postLun 21 Sep - 23:24
“can't take my eyes of you.”& Elle était divine, mystérieuse. Il ne la pensait pas du tout comme cela. Shade pensait qu'elle serait plus sur la réserve, une prof coincée en somme. Il avait aperçu plus d'une fois ses joues rougir lorsqu'il lui faisait des appels dans les couloirs. Peut-être qu'il avait mal interprété les choses à vrai dire, et si Gabrielle rougissait de désir en fait ? Parce qu'elle se tenait ce soir face à lui, prête à ouvrir plus que son esprit envers lui. Il sentait tout ce désir en lui, en elle. C'était palpitait, lui faisant penser qu'il adorerait goûter à ses lèvres, ou même caresser ses longues jambes. Mais surtout, faire sauter ce bouton qui révélait la naissance de sa poitrine. Il voulait en voir plus. Prédateur Shade. Il se disait tout cela à ce moment car Gabriella lui faisait des remarques bien vive, qui le faisait souffrir tant sa répartie était délicieuse. "Je pense que tu sais à quoi je pense. Ce n'est pas la jupe qui exalte ma vue, bien que le cuir te va à ravir." Il repose ses yeux en dessous de la table avant de reprendre : "Bien dommage que tu ne parles pas de ton corps. Il n'en dit plus qu'il en paraît." Il ajoute un petit clin d'oeil à sa tempe sur le cou qui grossit à mesure qu'il lui fait des avances on ne peut plus claire. Il comprenait parfaitement les femmes au niveau charnel, et il s'offrait à celles qui en avaient besoin. Il n'était pas du genre à prendre celles qui ne le voulaient pas. Il n'était pas ce genre de mec. Shade se mit à écouter les propos de Gabriella après qu'il l'ait défié sur ses propos. Nul doute qu'avec cette tenue, elle voulait tout de même un temps soit peu attrier les regards. Le cuir avait toujours son effet que ce soit de la gent masculine que féminine. Les regards jaloux, il connaissait bien cela entre femmes. "Et, est-ce que tu te fais draguer en ce moment ?" qu'il ajoute avec un sourire en coin. Ce n'est ni plus ni moins la suite de ses propos qui le rendirent plus qu'excité par la situation. Le jeu était parfaitement en marche et il y prenait goût. Elle était plus intéressante qu'il n'y pensait finalement. Lorsqu'elle parla de gémissements de plaisir et de ses lèvres, il ne put s'empêcher d'imaginer la scène, torride, qui aurait pu se passer dans ce bureau. Si seulement elle l'avait laissée rentrer. "Et bien moi, toutes les règles, je les bafouent et je m'en moque grossièrement." Il prend une gorgée de sa bière et la repose sur la table en jouant avec tout en continuant. "Nul doute qu'il aurait fallu que je cache tous ces cris de plaisirs. Sinon on nous aurait collé pour atteinte à la pudeur." Il aurait voulu entrer dans ce bureau, oh oui. Mais les choses étant faite, il lui rendrait peut être visite un autre jour, pour atteindre ce fantasme. Gabriella joue avec lui, tel un félin, et elle se délecte de ce jeu qui commence. Tout comme lui. Il la laisse faire. Il lui laisse avoir le dessus sur ses désirs, car il a une toute autre façon, bien plus explicite, d'être celui qui mène la danse. "Je n'ai pas froid aux yeux ma douce. Et je tiens toujours parole." Shade lui caresse la paume, ce simple contact les rendant plus complice. Et montrant à Gabriella la capacité de ses doigts à être habile et doux. Elle se montre donc perspicace à vouloir trouver ce qu'il fait aujourd'hui, confirmant son idée qu'elle veuille lui demander quelque chose d'aussi grandiose que sa force de caractère. Il hoche la tête à mesure qu'elle se rapproche, il sourit aussi par moment car elle brûle. "Tu y es presque. En fait, tu es quasiment dessus." Il la laisse encore réfléchir et exposer ses idées avant qu'elle ne dise le fin mot. Et il explose de rire. "Je comprend pas pourquoi tu es prof. Tu pourrais être profiler, ou alors..." Il se rapproche d'elle et lui susurre à l'oreille. "tu ferais une excellente enquêtrice. Je te vois bien, dans une jupe serrée et un tailleur gris, avec tes menottes à l'arrière. Je te laisserais bien m'attacher avec ça, ou bien.. je pourrais le faire aussi." Il s'écarte et prend un verre qui traîne au milieu de la table, une bouteille de whisky qui vient d'arriver également sur celle-ci. "Bingo. Tu as trouvé !" Il reprend ses esprits en prenant une gorgée du breuvage qui lui réchauffe le gosier. "Mais dis-moi.. quels sont ces envies et idées ? Elles sont de quel ordre ?" Il est beaucoup plus intrigué par cela que tout autre chose à ce moment précis. Shade se demande s'il n'est pas dans le faux en pensant que Gabriella était réceptive à ses avances. Après tout ce n'était qu'un jeu. Mais il le voulait plus que tout : la faire chavirer. "Personne n'a de secret pour moi Gabriella. J'aimerais percer les tiens." qu'il avoue en roucoulant bien son prénom entre ses lèvres veloutées.
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Lien du postMar 6 Oct - 2:21
There's nothin' else to compare
The sight of you leaves me weak
There are no words left to speak
But if you feel like I feel
Please let me know that it's real
You're just too good to be true
Can't take my eyes off of you
(( @Shade Ralston ))
Sourire aux lèvres, prunelles encrées dans les siennes, je montre un visage bien différent de ma personne à Shade Ralston ce soir, tout simplement parce qu’il n’est plus étudiant à l’université de Harvard. Il n’y a plus de règles entre nous, aucune infraction étant donné qu’il ne s’y trouve plus et par conséquent, je peux agir avec lui comme je le fais avec tout homme que je rencontre et qui me plaît. Je désire depuis bien longtemps jouer avec lui alors à présent que j’en ai la possibilité, je ne compte absolument pas me gêner, bien que nous soyons observés. Après tout, je me moque que de nombreux regards soient postés sur nous, puisque je dois avouer que cela m’arrive assez couramment et pour cause, draguer, m’amuser avec les hommes, est l’un de mes passe-temps préférés. Alors, gardant mon regard bleuté planté dans le sien, adorant la proximité de nos corps, notre façon de nous parler étant donné que nous communiquons tout bas afin que l’on nous entende, je me mordille ma lippe à ses mots, je lui offre des sourires charmés ainsi que charmants et des œillades sans la moindre équivoque. Il me plaît, Shade et il doit le constater sans mal ce soir. « Merci pour le compliment et effectivement, malgré le cuir, je pense que ce sont davantage mes jambes interminables que tu dévores du regard. » Mon regard est emprunt de malice, ainsi que cet énième sourire qui se dessine sur mon visage. « Que veux-tu dire par là, Shade ? » Je l’interroge, rapprochant mon visage du sien. « Tu aimerais en voir davantage ? » Je murmure à présent pour me mordre ma lèvre inférieure afin de ne pas laisser s’échapper un léger rire amusé par mes propos ainsi que par le fait que je sens toujours les regards des autres convives présents autour de la table vriller sur nous. « On nous observe toujours avec attention. » Je termine de prononcer, calant l’une de mes mains devant mes lèvres afin qu’on ne puisse déchiffrer mes mots pour m’emparer de ma bière et boire tout en gardant mes prunelles postées sur le beau blond présent à mes côtés. « Hum… » Je commence, déposant mon verre sur la table après quelques gorgées afin de répondre à sa question. « Figure-toi que je pense que je me fais draguer, effectivement. » Je plisse des yeux, souris plus largement encore et continue : « Par un ancien étudiant, un beau blond qui adorait me faire de l’œil et me draguer si je puis dire, dans les couloirs d’Harvard. Vois-tu de qui il s’agit ? » Je demande, on ne peux plus amuser à nouveau pour m’emparer une nouvelle fois de mon verre et terminer le contenu de ce dernier. « Tu sais, je n’ai rien contre bafoué les règles de temps à autre. Le fait est que j’aime mon travail et que te laisser mariner, à me chercher, me draguer, me plaisait pas mal, je dois l’admettre aujourd’hui. » L’affublant d’un clin d’œil, je termine par lui exposer ce qu’il se serait passé si nous nous étions laissés tous deux aller et à ses mots, je ne peux m’empêcher de serrer les cuisses, par l’excitation grandissante en mon bas-ventre. « Je suis certaine que tu serais parvenu à couvrir mes cris de plaisir, Shade. Le fait est que j’aurais été renvoyé, en plus du fait d’être collé pour atteinte à la pudeur à l’époque, mais à présent, ce n’est plus le cas. » Oui, au jour d’aujourd’hui, je pourrais laisser Shade pénétrer mon bureau à Harvard et me laisser m’abandonner dans le creux de ses bras, contre l’un des murs, l’une de mes immenses bibliothèques et cette simple idée éveille de nombreux fantasmes que j’aimerais pouvoir réaliser, un jour, avec ce dernier, après avoir davantage joué avec lui, bien entendu. Car le jeu de séduction, justement, a quelque chose d’extrêmement excitant selon moi.
« Si tu n’as pas froid aux yeux et que tu tiens parole alors… » Je n’en dis davantage et je me lance puisque je me dois de deviner ce qu’il fait dans la vie, à présent, l’ancien étudiant. C’est de ma propre initiative que j’ai désiré le deviner et heureusement pour moi, il a accepté. Il faut dire que Shade a toujours été joueur et l’étant moi-même, nous ne pouvons qu’accéder aux requêtes de l’autre. « Hum… Tu désires me déconcentrer ? » Je l’interroge lorsqu’il caresse la paume de l’une de mes mains et ainsi me fait frissonner de plaisir. « Sache que je trouverais malgré tout ce que tu fais dans la vie à présent. » Je le préviens, pour me lancer dans mon investigation et mon raisonnement, ne laissant aucun indice qu’il a pu me donner - sans réellement le vouloir - de côté. « Hum… Je me disais bien que j’étais sur la bonne voix. » Je réponds alors qu’il m’assure que je suis quasiment dessus pour le fixer et l’interroger du regard lorsqu’il explose de rire une fois ma conclusion prononcée. « Profiler ? » Je murmure, quand il se rapproche de moi et me susurre à l’oreille ses quelques paroles qui me font sourire. « Oh ! » Le laissant s’éloigner et s’emparer d’un verre ainsi que d’une bouteille de whisky, je lui offre une sorte de révérence une fois qu’il m’affirme que j’ai trouvé et alors que je le dévore du regard tandis qu’il avale une gorgée de whisky, je m’approche de lui afin de me pencher en avant et de murmurer à son oreille : « Sache que j’adore l’idée de la jupe serrée, du tailleur gris et des menottes. Surtout si tu m’attaches avec ou que je t’attache. » Je viens mordiller subtilement le lobe de son oreille pour reprendre : « Mes envies se susurrent, se murmurent, car elles sont d’ordres sexuelles, Shade. » Puis, reculant, m’éloignant de lui, je m’empare de son verre ainsi que de la bouteille afin de l’emplir quelque peu et ainsi boire dans ce dernier. J’avale son contenu cul-sec et observe une nouvelle fois l’homme détective privé à mes côtés, pour terminer par prononcer une fois qu’il a cessé de parler, ayant tout particulièrement apprécié la manière dont il a déclamé mon prénom. « Shade, perce donc mes secrets dans ce cas ou du moins, essaye. » Je termine tout bas, pour déposer l’une de mes mains sur sa cuisse et garder mon regard encré dans le sien.
« Si tu n’as pas froid aux yeux et que tu tiens parole alors… » Je n’en dis davantage et je me lance puisque je me dois de deviner ce qu’il fait dans la vie, à présent, l’ancien étudiant. C’est de ma propre initiative que j’ai désiré le deviner et heureusement pour moi, il a accepté. Il faut dire que Shade a toujours été joueur et l’étant moi-même, nous ne pouvons qu’accéder aux requêtes de l’autre. « Hum… Tu désires me déconcentrer ? » Je l’interroge lorsqu’il caresse la paume de l’une de mes mains et ainsi me fait frissonner de plaisir. « Sache que je trouverais malgré tout ce que tu fais dans la vie à présent. » Je le préviens, pour me lancer dans mon investigation et mon raisonnement, ne laissant aucun indice qu’il a pu me donner - sans réellement le vouloir - de côté. « Hum… Je me disais bien que j’étais sur la bonne voix. » Je réponds alors qu’il m’assure que je suis quasiment dessus pour le fixer et l’interroger du regard lorsqu’il explose de rire une fois ma conclusion prononcée. « Profiler ? » Je murmure, quand il se rapproche de moi et me susurre à l’oreille ses quelques paroles qui me font sourire. « Oh ! » Le laissant s’éloigner et s’emparer d’un verre ainsi que d’une bouteille de whisky, je lui offre une sorte de révérence une fois qu’il m’affirme que j’ai trouvé et alors que je le dévore du regard tandis qu’il avale une gorgée de whisky, je m’approche de lui afin de me pencher en avant et de murmurer à son oreille : « Sache que j’adore l’idée de la jupe serrée, du tailleur gris et des menottes. Surtout si tu m’attaches avec ou que je t’attache. » Je viens mordiller subtilement le lobe de son oreille pour reprendre : « Mes envies se susurrent, se murmurent, car elles sont d’ordres sexuelles, Shade. » Puis, reculant, m’éloignant de lui, je m’empare de son verre ainsi que de la bouteille afin de l’emplir quelque peu et ainsi boire dans ce dernier. J’avale son contenu cul-sec et observe une nouvelle fois l’homme détective privé à mes côtés, pour terminer par prononcer une fois qu’il a cessé de parler, ayant tout particulièrement apprécié la manière dont il a déclamé mon prénom. « Shade, perce donc mes secrets dans ce cas ou du moins, essaye. » Je termine tout bas, pour déposer l’une de mes mains sur sa cuisse et garder mon regard encré dans le sien.
(c) mars.
HJ ; excuse-moi pour le temps de réponse, je suis en PR, des soucis de santé.
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Lien du postVen 23 Oct - 19:33
tw : mention de sexe
“can't take my eyes of you.”& Le jeu n'en finit plus et ça n'est pas pour lui déplaire à Shade. Encore un soir où il lui était plaisant de flirter, d'autant plus avec une femme telle que Gabriella. Une femme qu'il avait désiré quand il était plus jeune, pourtant, le même désir qui existe aujourd'hui. Elle ravive la flamme imaginaire qu'il s'était inventé quelques années plus tôt. Elle la concrétise en rentrant dans une séduction aussi brûlante que la braise. "Si j'aimerais en voir davantage ? évidemment. Et si tu m'en montrais un peu, cap ?" qu'il répondit, le défi dans les yeux, la malice dans les veines. Même si elle n'acceptait pas, il savait que dans peu de temps, elle le ferait. "Rien à foutre que les autres nous observent. Au contraire. Ca rend le jeu plus... excitant." Et il était sincère le bougre. Ca rendait la chose encore plus brûlante d'excitation. Shade sourit une nouvelle fois lorsqu'elle lui dresse son portrait. Beau blond. Il appréciait entendre ça même s'il n'avait pas besoin de l'entendre pour le savoir. Le regard ténébreux, il jette son regard dans le décolleté de Gabriella avant de se détendre en prenant une nouvelle gorgée. "Quel portrait. Je me rends chef ! c'est moi le coupable." répondit-il en levant les mains innocemment. Il écouta la suite des propos de Gabriella et fut étonné de l'entendre dire tout cela. La voilà qui confirmait tout ce qu'il avait pensé durant des années. "Ca te plaisait tellement que tu t'en délectais sans bafouer les règles. Je te pensais plus aventureuse. La doyenne a pas les yeux partout et des relations avec les profs, j'suis sûr que y en a toujours eu. On est tous adultes après tout." Un brin de vérité, mais il comprenait l'éthique à laquelle elle tenait. Il la comprenait car lui faisait tout le contraire, il n'était pas du genre à suivre les règles, il avait horreur de ça. Le fait est, que si elle l'avait laissé entrer à l'époque où il était considéré comme étudiant, la flamme de l'adrénaline aurait été cent fois plus délicieuse qu'aujourd'hui. Le goût du danger.
Et c'est sans difficulté qu'elle trouva son métier. Il savait qu'elle avait toutes les capacités et la force pour. Elle était intelligente cette femme. Et il l'imaginait parfaitement avec une jupe en cuir, en tenue de détective. C'était bien trop tentant de voir la chose se concrétiser. "J'étais sûr que tu trouverais. ou peut-être, que je t'ai laissé gagné intentionnellement. Pour répondre à tes désirs les plus fous." Il s'était approché à deux centimètres de ses lèvres lorsqu'il avait soufflé sa dernière phrase. Le grand blond était quasiment sûr que Gabriella devait être aussi excitée que lui à ce moment même. Et ils continuent, encore à encore, à se jurer des choses qu'ils pourraient se faire mutuellement. En ignorant complètement qu'ils sont à la limite de l'obscène alors qu'ils sont entourés d'amis autour d'eux. "Ne joue pas avec moi parce que je risque de prendre tout ça au pied de la lettre." dit-il en l'imaginant attachée à son lit. Gabriella le défie de deviner ses secrets, et il y a bien une chose à laquelle il était sûr.
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Lien du postMer 11 Nov - 15:57
" CAN'T TAKE MY EYES OF YOU. "
Non pas sur la bouche, je sais c'est louche puisque ma peau ; à l'odeur de ton odeur, au dehors il fait chaud. Non, pas sur les lèvres, jamais de trêve et pas d'assaut. Le bonheur est dans la pente, entre le sol et le vent. Entre l'oubli et l'oubli, bel oiseau du paradis. Joue plutôt "jeux interdits". Rien ne dure au-dessus de la ceinture. | @Shade Ralston |
Le jeu de séduction qui s’est instauré entre nous dès lors que nous nous sommes aperçus s’intensifie à mesure des secondes qui s’égrènent et à présent, nous en sommes à nous frôler, nous toucher sous les yeux hagards de tous nos comparses présents. Mes prunelles captivent des siennes, son souffle chaud caressant mon visage, je suis comme hypnotisée par ce jeune homme, ancien étudiant de l’université dans laquelle je travaille toujours en tant que professeure. Ai-je déjà eu envie qu’il passe la porte de mon bureau afin que nous fassions plus ample connaissance ? Évidemment que oui, au vu de son physique ainsi que de son charisme et charme dévastateur, mais il s’agissait d’un défi à l’époque, celui de séduire une professeure plus que d’un désir ardent, brûlant, ce qui est le cas actuellement. « Hum. » Je me mordille la lippe à son interrogation, mon regard azur répondant pour moi. « Je crois que tu connais la réponse, Shade. » Je termine de souffler, sans en dire davantage, pour me saisir de l’une de ses mains avec lenteur ainsi que délicatesse et y inscrire à l’aide de l’un de mes doigts un « cap » dans sa paume, avant de laisser s’échapper un léger rire dans l’air jusqu’à la suite de ses propos. Mon regard s’assombrit, devient incandescent et j’acquiesce dans un mouvement de tête. « C’est excessivement excitant. Seulement… » Je leur jette un coup d’œil et reprends : « Ils vont appeler les forces de l’ordre si nous continuons à nous donner ainsi en public ou alors ils vont appeler les pompiers afin d’éteindre l’incendie qui se propage dans la salle. » Je suis on ne peut plus sérieusement, car je brûle de désir actuellement et que cela doit aisément peser dans l’air environnant. « Exact, tu es le coupable, Shade. » Je prononce, me retenant d’ajouter que je devrais lui passer les menottes avant de me confier et ainsi lui souffler mes désirs les plus obscurs, à l’époque où il se trouvait être étudiant. « C’est cela. » Je murmure, dans un mince sourire pour hausser les épaules à son terme « aventureuse » puisque s’il n’y a qu’une chose que je respecte, c’est bien cela : l’éthique de mon métier. Quant au reste, je fais ce qu’il me plaît, je l’admets, sans me soucier des répercussions. « Je suis certaine qu’il y a des relations inavouées à Harvard, le fait est… » Je me mordille ma lèvre inférieure, charnue : « C’est la seule règle que je respecte, l’unique que je ne bafoue pas. » L’affublant d’un clin d’œil complice, je me demande soudain la raison pour laquelle nous nous trouvons ici, bien que jouer ainsi me plaise et que je ne souhaiterais brûler des étapes et ainsi m’offrir à lui aussi rapidement et aisément que toutes les autres, car je sais pertinemment que je ne suis la première ainsi que la dernière que monsieur Ralston désire mettre dans son lit.
Alors nous reprenons notre second jeu, celui qui consiste à mon investigation afin que je découvre quel est son emploi au jour d’aujourd’hui et je termine de le deviner, au vu des indices qu’il a répandus de çà et là, avec parcimonie, peut-être dans le but que je gagne à son petit jeu, afin de savoir si je suis telle qu’il se l’imaginait intellectuellement ou non. « Peut-être, oui. » Je réponds, mes prunelles plissées, car je le sais très futé, je n’ai aucun doute à ce sujet. « Mes désirs les plus fous ? » Je reprends ses termes, tandis qu’un incendie se descelle dans mon regard. « Il nous en faudrait un temps fou, justement. » Je termine d’avouer, car j’en ai à assouvir et que je n’en manque jamais, de désirs, de fantasmes. Appréciant sa nouvelle proximité, ayant envie de réduire la distance entre nos bouches, je me tiens alors que mon palpitant s’emballe davantage encore et que je souffle une énième provocation, dans un sourire carnassier. « J’adore jouer. »
Alors nous reprenons notre second jeu, celui qui consiste à mon investigation afin que je découvre quel est son emploi au jour d’aujourd’hui et je termine de le deviner, au vu des indices qu’il a répandus de çà et là, avec parcimonie, peut-être dans le but que je gagne à son petit jeu, afin de savoir si je suis telle qu’il se l’imaginait intellectuellement ou non. « Peut-être, oui. » Je réponds, mes prunelles plissées, car je le sais très futé, je n’ai aucun doute à ce sujet. « Mes désirs les plus fous ? » Je reprends ses termes, tandis qu’un incendie se descelle dans mon regard. « Il nous en faudrait un temps fou, justement. » Je termine d’avouer, car j’en ai à assouvir et que je n’en manque jamais, de désirs, de fantasmes. Appréciant sa nouvelle proximité, ayant envie de réduire la distance entre nos bouches, je me tiens alors que mon palpitant s’emballe davantage encore et que je souffle une énième provocation, dans un sourire carnassier. « J’adore jouer. »
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